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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy


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Invité grinch

je crains que nous n'y allions gaiement.... Et pour tout dire j'ai des craintes sur le caractère pacifique du prochain mouvement si la réponse est un peu raide....

pour ma part je crains l'after vote [08], la prefecture aussi.

D'ailleurs l'armée a prêté un hélicoptère basé qqpart en région parisienne pour guider les CRS.

note; dans le 93, au 1er tour

83,02% de participation

34,13% Royal

26,85% sarkozy

16,72% bayrou

9,04% le pen

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Invité grinch

pour les tigres cela va être dur, sont pas encore au service actif

Les autorités préparent un dispositf policier spécial pour le soir de l'élection du nouveau président de la République, afin de prévenir d'éventuels troubles.

Toutefois, il n'y a aucun signe que des violences organisées se préparent.

Selon des sources policières, une quinzaine de CRS (Compagnies républicaines de sécurité) supplémentaires seront en "disponibilité", pour la plupart en région parisienne. Environ 1.200 policiers au total devraient être déployés dans le but de renforcer, en cas de besoin, les 25 CRS affectés en permanence à la surveillance des zones les plus sensibles de toute la France.

La surveillance habituelle des RG (Renseignements Généraux) et des policiers locaux dans les quartiers sensibles, n'a pas permis de conclure à l'existence de plans organisés, notamment en cas de victoire de Nicolas Sarkozy.

Important dispositif à Paris

Même si elles restent très discrètes sur le sujet, les autorités estiment nécessaire de prévenir une éventuelle vague de violences spontanée et doivent par ailleurs gérer les importants mouvements de foule et manifestations de joie prévisibles, quel que soit le résultat du 6 mai.

A Paris, la droite a pour habitude de fêter la victoire à la Concorde, tandis que la gauche choisit la place de la Bastille.

A Paris intra-muros, 19 escadrons de gendarmerie et un de CRS, soit environ 1.600 personnes, seront déployés en renfort. Quatre unités mobiles surveillent les transports publics dans le cadre du plan Vigipirate. Le dispositif est au total trois fois supérieur à celui d'un week-end ordinaire.

Un hélicoptère doté de moyens sophistiqués, comme une caméro thermique et un détecteur de mouvement, sera mis à la disposition de la police pour la surveillance de la région, a révélé le quotidien gratuit 20 minutes.

Toujours selon le quotidien, "les forces de l'ordre devraient se concentrer, dimanche soir, aux alentours de Matignon, de l'Assemblée Nationale, du Sénat, de l'Elysée mais aussi à Bastille et à République". Les Halles, gare de Lyon et gare du Nord auront également leur lot de forces de l'ordre "pour filtrer les arrivants de banlieues".

En cas d'élection de Nicolas Sarkozy, les syndicats policiers disent craindre de possibles dérapages en fin de soirée, notamment de la part de jeunes de banlieues et de militants d'extrême-gauche qui ont menés une campagne virulente contre le candidat UMP.

Les associations, quant à elles, ont assuré au journal que "au contraire le risque est faible".

je vais juste faire un petit HS, à propos de la taxe sociale qui est d'après Mme PÉCRESSE au coeur du programme fiscal. Si quelqu'un pourrai me dire dans quel proportion les charges patronales et salariale vont diminuer et leur impact,

>un sur mon salaire [08]

>deux sur l'augmentation des prix car je ne crois pas que les entreprises vont diminuer leur prix de vente car les charges ont baissé

merki

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Perso, je voudrais juste pousser un petit coup de gueule.

Je suis peut-être le seul a penser ça ?

Mais je trouve ça tout de même incroyable que dans le débat d'hier soir pour décider du futur président de la république, il n'y ai pas eu un seul mot sur la défense de notre pays.

Pas un en 2heures30minutes !

On a parlé de tout, (même de connerie), mais jamais de défense.

Alors que c'est le deuxième budget de l'état, que la France a l'arme nucléaire (c'est pas comme si on était aux élection présidentiel de Malte), alors que des centaines de millier de gens travaille dans ou pour la défense.

Ce sujet est totalement passé à la trape.

Et personnellement, je trouve ça très grave.

Bon, bin à ce que je vois ma question a totalement été zappée, donc je la remets ici.[17]
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Mais entre les principes et la réalité il y a parfois des écarts et très franchement je ne vois pas ce qu'un gouvernement pourrait faire face à un mouvement de type 1995 ; et comme les mouvements sociaux (de tout nature certes ) sont assez cycliques en France : 48, 58, 68, 76, 85, 95.... je crains que nous n'y allions gaiement.... Et pour tout dire j'ai des craintes sur le caractère pacifique du prochain mouvement si la réponse est un peu raide....

Des menaces ?

Le fameux 3e tour social, appellé aussi petit putch des syndicats de fonctionnaires Communistes.

De toute façon on y aura droit, probablement a l'automne. Mais la je ne croit pas que Sarko, si il est élu, baissera son froc comme Chirac a fait en 95 seulement 6 mois après son election.

Pas de problemes, 6 mois de grèves pour mater la mutinerie et après on sera tranquille. Je sais je suis un incorrigible optimiste. Mais bon je vais me taire, faut pas effaroucher le centriste.

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6 mois de grèves : le gouvernement sera tombé bien avant ........ tu te souviens quand en france on a eu 6 mois de grosses gréves ? pour les syndicats communistes, c'est aussi bête que de dire que sarko est fasciste , ça défoule mais c'est trés loin de la réalité..........

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Primo pour les gréves , c'est encore plus nos voisins qui tremblent , ainsi que les institutions de l'UE , ensuite conçernant NS et à titre d'example c 'est le premier a s'étre défroqué sur le CPE , par calcul politique .

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Primo pour les gréves , c'est encore plus nos voisins qui tremblent , ainsi que les institutions de l'UE , ensuite conçernant NS et à titre d'example c 'est le premier a s'étre défroqué sur le CPE , par calcul politique .

ça c'est vrai et d'ailleur j'ai eu beaucoup de mal a le digèrer.

Espérons que l'administration et les services public se remettrons au service des élus et du peuple sans trop de troubles mais j'y croit pas trop.

La concertation est impossible avec ces syndicats communistes retardés: la France n'est pas l'Allemagne ou l'Europe du nord. Et d'ailleurs je suis loin d'etre persuadé que Sarko ne baissera pas son froc lui aussi sous la pression, l'exemple du CPE n'est pas trop rassurant. A la limite Segolene aurait peut etre plus de volonté mais elle ne serait pas soutenue par son propre camp.

Bon faut dire quelque chose sur la defense. Voila, on serait horrifié si l'armée n'obeissait pas aux politiques. Pourquoi tolère on beaucoup mieux que l'administration civile n'obeisse pas aux politiques ? les élus n'on aucun pouvoir sans la machine administrative, ça sert a rien de voter si celle-ci empeche la volonté du peuple de s'accomplir.

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ça c'est vrai et d'ailleur j'ai eu beaucoup de mal a le digèrer.

Espérons que l'administration et les services public se remettrons au service des élus et du peuple sans trop de troubles mais j'y croit pas trop.

La concertation est impossible avec ces syndicats communistes retardés: la France n'est pas l'Allemagne ou l'Europe du nord. Et d'ailleurs je suis loin d'etre persuadé que Sarko ne baissera pas son froc lui aussi sous la pression, l'exemple du CPE n'est pas trop rassurant. A la limite Segolene aurait peut etre plus de volonté mais elle ne serait pas soutenue par son propre camp.

Bon faut dire quelque chose sur la defense. Voila, on serait horrifié si l'armée n'obeissait pas aux politiques. Pourquoi tolère on beaucoup mieux que l'administration civile n'obeisse pas aux politiques ? les élus n'on aucun pouvoir sans la machine administrative, ça sert a rien de voter si celle-ci empeche la volonté du peuple de s'accomplir.

Le problème Roland c'est que, a force de regarder le monde qu'en noir en blanc, un certain nombre de nuances (ou d'évidences) nous échappent.... Quand à ceci dans ton prècedent post : Des menaces ? Tu n'as pas l'impression d'exagèrer? Moi personnellement je ne ménace personne, je tente simplement de rappeller au principe de réalité; car il y a longtemps que je crois plus aux contes pour enfants.....

Je ne crois pas que le problème soit dans la personnalité ou la volonté du Président(e) mais dans le fait d'être capable de construire un concensus sur tel ou tel problème ou action à conduire.....

Ce que je dis, c'est qu'en France si tu essayes de passer des reformes en force, il y aura des surprises.....

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Quand à ceci dans ton prècedent post : Des menaces ? Tu n'as pas l'impression d'exagèrer? Moi personnellement je ne ménace personne, je tente simplement de rappeller au principe de réalité; car il y a longtemps que je crois plus aux contes pour enfants.....

oui Fusilier, évidement rien de personnel. Je voulais juste souligner que tu relayais les menaces de syndicats qui se permettent de menacer la france d'un troisieme tour social au cas ou le peuple déciderait d'une politique qui ne leur conviendrait pas, ce qui est tu en conviendra d'une arrogance insuportable mais que personne ne semble relever. Il me semble meme que tu suggérait qu'on devrait encore cèder a ces menaces, ce qui m'a surpris.

Je ne crois pas que le problème soit dans la personnalité ou la volonté du Président(e) mais dans le fait d'être capable de construire un concensus sur tel ou tel problème ou action à conduire.....

Ce que je dis, c'est qu'en France si tu essayes de passer des reformes en force, il y aura des surprises.....

absolument, il faut chercher l'adhesion du maximum et c'est certainement possible. Mais amha, avant on échappera pas à une confrontation avec les syndicats qui, à force de leurs cèder, sont devenu d'une telle arrogance qu'ils sont completement a coté de la plaque, sont d'une susceptibilité (feinte) exacerbée et on vite fait de confondre "gouverner" et "passage en force".

J'espere qu'on va arreter avec ce genre d'enfantillage et qu'après une période difficile inévitable on repartira sur des bases plus saines.

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Pour les syndicats, rappelons que ceux-ci sont en France trés faibles ( par rapport à leurs homologues nordiques par exemple ) et qu'ils sont tout à fait dans leur fonction quand ils mennent des actions syndicales y compris par la grêve : la défense des intérêts de leurs adhérents au sens stricte et des "travailleurs" est tout à fait légale Et en aucun cas un vote démocratique n'interdit aux syndicats d'agir dans une démocratie : c'est quand même bizarre cette manie que de considérer que le vote octroierait quasiment tous les pouvoirs à celui qui est élu , un président de la République française n'est ni un tyran au sens antique du terme ni un monarque absolu..... la démocratie française ( parlementaire de surcroit ) fonctionne avec des contre-pouvoirs reconnus ( justice, syndicats, liberté individuelle des citoyens etc..... )

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Pour les syndicats, rappelons que ceux-ci sont en France trés faibles ( par rapport à leurs homologues nordiques par exemple ) et qu'ils sont tout à fait dans leur fonction quand ils mennent des actions syndicales y compris par la grêve : la défense des intérêts de leurs adhérents au sens stricte et des "travailleurs" est tout à fait légale

Et en aucun cas un vote démocratique n'interdit aux syndicats d'agir dans une démocratie : c'est quand même bizarre cette manie que de considérer que le vote octroierait quasiment tous les pouvoirs à celui qui est élu , un président de la République française n'est ni un tyran au sens antique du terme ni un monarque absolu.....

la démocratie française ( parlementaire de surcroit ) fonctionne avec des contre-pouvoirs reconnus ( justice, syndicats, liberté individuelle des citoyens etc..... )

Je parlais surtout des syndicats de la fonction publique qui ne sont pas si faible que ça et en tout cas beaucoup plus retardés et rigides dès qu'il s'agit du public que si il s'agit du privé.

Je ne conteste pas le droit aux syndicats de la fonction publique et des services publiques de protester.

mais:

1- il ne faut pas qu'ils se mèlent de politique. Quand tu entend des dirigeants syndicaux des impots en grève protester contre la TVA parce que ce serait un impot injuste, ça laisse rèveur. Comme si le fait de collecter l'impot leur donnait le droit de décider de son assiete. Pourquoi pas les laisser décider de son affectation tant qu'on y est ?

2- les dirigeants on aussi le droit de résister aux revendications si ces revendications remettent en cause la politique décidée par le peuple.

Hors il semble que résister aux revendications c'est devenu quasi illégitime et des methodes de plus en plus violentes, voir quasi insurrectionnelles, sont utilisées pour imposer ces revendications, souvent des broutilles d'ailleurs. Au point que ça commence a ressembler a du racket.

Les grèves de 95 illustrent assez mon propos.

Si les syndicats de fonctionnaires sont pret a appliquer la tactique de la terre brulée, j'exigent de nos élus qu'ils relèvent le défi et qu'ils ne cèdent pas. Autrement comme je l'ai déja dit ça ne sert a rien de voter.

Rien n'empeche nos politiques d'etre habiles, de rechercher l'adhésion, mais au final il faut bien trancher, que la volonté du peuple s'accomplisse.

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Invité grinch

Le fameux 3e tour social, appellé aussi petit putch des syndicats de fonctionnaires Communistes.

La RATP est un établissement public à caractère industriel et commercial, ou EPIC. tout comme la SNCF, EdF.

De fait les personnels ne sont pas des fonctionnaires mais des employés car les fonctionnaires sont embauchés sur concours.

Ils existent 3 types de fonctionnaires, en général de catégorie C,B et A et Haut-fonctionnaires (mais aussi la catégorie B+ et A+ pour pas faire compliqué). Appartenant soit à:

> la fonction publique d'etat,

> la fonction publique territoriale

> la fonction publique hospitalière

Les plus importants sont les fonctionnaires dit administratifs (il y a encore les A+,A,B+,B,C techniques).

Les plus gros grévistes sont les syndicats de cheminaux RATP et SNCF, donc semi-privé. et donc on ne pas dire qu'ils 'agit de syndicats de fonctionnaires Communistes.

J'ai oublié les profs et ceux du tout-puissants Minifi, pour ceux du MinDef on en peut pas dire qu'il soit rigide. le non remplacement sur deux des fonctionnaires du Mindef est deja une réalité.

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Je ne redirai pas ce que vient de dire Loki sur le fonctionnement de la démocratie et le rôle des contre-pouvoirs indispensables tout a fait d'accord avec lui.

Mais Roland, je crois que tu as une vison du monde syndical un peu sommaire. quelques exemples :

1° - Pour la CGT tu as raison elle est liée aux communistes depuis longtemps. Cependant, ceci ne veut pas dire que la CGT et les communistes soient sur la même ligne, par ce que a la CGT il n'y pas que des communistes, etc....

2° La CFDT peut difficilement être taxée de "syndicat communiste" puisque elle est issue d'un courant chretien en tant que scission de la CFTC (conféderation des travailleurs chrétiens) dans laquelle tu trouvais, par exemple, des Gaullistes à l'époque ou ceux-ci avaient des sections d'entreprise...

3° - Le comble du contre sens est par rapport à FO (qui doit être pas mal present chez les fonctionnaires) et que l'on accusait à une epoque d'être une créature de la CIA (elle aurait été fondée en 1949 avec des subventions de la CIA...) dans une stratégie anti-communiste...

Et ne parlons pas des syndicats de la police dont un clairement à droite (plutôt pro sarko) et l'autre à gauche (plutôt socialiste) majoritaire aux dernières élections. Ou encore la FEN et ses dérivés ou il y a de tout.....

Et en plus de tout ça il y a une multitude de syndicats "autonomes" sur des bases plus ou moins corporistes.... Donc on est loin d'un monde syndical aussi monocolore que tu le penses....

Et on pourrait faire la même analyse avec les syndicats paysans ou patronaux. Tu serais parfois étonné de la position politique de certains patrons....Je connais des présidents regionaux ou départementaux du MEDEF socialistes....

En ce qui concerne le fait de ceder ou pas... Je ne vois pas ce que l'on peut faire si la SNCF se met en grêve contre le service minimum..... Pas grand monde qui sait faire marcher les trains, mis a part les cheminots....

Le problème ce n'est pas les syndicats, ou la gauche d'une manière générale mais les gens dans leur réalité concrète par ce que l'on peut être favorable à un Sarko pour des raisons sécuritaires (par exemple) mais opposé au fait que l'on touche a ses propres droits ou acquis par ailleurs..... On peut être favorable aux heures supplémentaires ou plutôt favorable a gagner plus. Qui pourrait être contre? Et au même temps être contre la baisse des prestation ssociales.... On est pour plus de flics, mais on n'est pas contents quand ces mêmes flics te mettent un PV pour excés de vitesse [08]

Et je n'évoque même pas les courants de type "gaulliste colbertiste" opposés à la ligne libèrale de Sarko et qui vont pédaler à contre-courant autant qui le pourront...

Bref, le monde est compliqué et par conséquent il n'y pas de solutions simples. Ceux qui disent le contraire sont des "marchands d'illusions" ; Parmi les malandrins de la politique il y en a de forts habiles dans l'art de la menterie [08]

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Je parlais surtout des syndicats de la fonction publique qui ne sont pas si faible que ça et en tout cas beaucoup plus retardés et rigides dès qu'il s'agit du public que si il s'agit du privé.

Je ne conteste pas le droit aux syndicats de la fonction publique et des services publiques de protester.

mais:

1- il ne faut pas qu'ils se mèlent de politique. Quand tu entend des dirigeants syndicaux des impots en grève protester contre la TVA parce que ce serait un impot injuste, ça laisse rèveur. Comme si le fait de collecter l'impot leur donnait le droit de décider de son assiete. Pourquoi pas les laisser décider de son affectation tant qu'on y est ?

les syndicats des impôts sont dans leur rôle d'expliquer aux citoyens ( c'est de la communication ) ce que signifie réellement chaque impôt ( notamment quand tu entends toutes les conneries débitées par les politiques ) et en général, ce sont des professionels compétents sur ces points, bref là je ne vois pas où est le problème quand un syndicat explique ce que signifie chaque impôt pour tout à chacun, justement d'ailleurs les syndicats ne décident pas de l'affectation des impôts

2- les dirigeants on aussi le droit de résister aux revendications si ces revendications remettent en cause la politique décidée par le peuple.

Hors il semble que résister aux revendications c'est devenu quasi illégitime et des methodes de plus en plus violentes, voir quasi insurrectionnelles, sont utilisées pour imposer ces revendications, souvent des broutilles d'ailleurs. Au point que ça commence a ressembler a du racket.

Les grèves de 95 illustrent assez mon propos.

le droit de gréve est légal, on peut noter que jupé a perdu en 95 et raffarin a gagné en 2002 sur les retraites ; on peut certes trouver qu'il y a trop de gréves en france mais ce n'est qu'une opinion ( à vérifier par ailleurs ) et la question est peut être tout autant celle de l'absence de dialogue syndical ( faire des compromis en amont des gréves ) que celle d'un archaisme syndical

Si les syndicats de fonctionnaires sont pret a appliquer la tactique de la terre brulée, j'exigent de nos élus qu'ils relèvent le défi et qu'ils ne cèdent pas. Autrement comme je l'ai déja dit ça ne sert a rien de voter.

Rien n'empeche nos politiques d'etre habiles, de rechercher l'adhésion, mais au final il faut bien trancher, que la volonté du peuple s'accomplisse.

C'est quoi la volonté du peuple ? prends le service minimum: y a t'il eu au premier tour 50% des français qui ont voté pour des candidats défendant la mise en plaçe d'un sevice minimum ?

de même en françe, le législatif dépend du parlement, dans un systéme majoritaire à 2 tours qui permet à un parti minoriataire en voix de rafler la majorité à l'assemblée , peux-t'on parler de majorité ( avec un systéme proportionel , ça serait différent ....) ?

enfin, n'oublie pas qu'au final, le droit doit être respecté même par la majorité ( un ex, si un candidat d'extréme-gauche était un jour élu , accepterais-tu sans manifester la fin de l'école libre ou des nationalisations sans indemnisations etc...... , je donne des ex un peu gros )

bref au final, dans une démocratie occidentale , la répartition des pouvoirs ne découle pas que du vote , il faut aussi tenir compte des droits individuels et collectifs des citoyens qui résulte du droit en vigueur......
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Bon, bin à ce que je vois ma question a totalement été zappée, donc je la remets ici.[17]
Réponses de Jacques Attali :

"De fait, à aucun instant, depuis que le premier tour s’est achevé, on a entendu débattre les deux candidats sur aucune dimension de leur programme ni de celui de leur adversaire. Aucun d’eux n’a expliqué en détail le mal qu’il fallait penser ce que l’autre allait faire de la défense du pays, de sa politique étrangère, de ses initiatives européennes, ou de tout autre sujet dont l’élu aura à traiter dans moins de deux semaines. Aucun n’a expliqué clairement en quoi son projet de société était clairement, frontalement, différent de celui de l’autre prétendant. Aucun n’a même essayé de démontrer comment la France pourrait devenir en quoi que ce soit différente de ce qu’elle est aujourd’hui, s’il, ou elle, était l’élu(e) des Français"

Tiré de son blog :

Le premier mois du premier septennat d’un nouveau président de la république est le plus exaltant de tout son séjour à l’Elysée : quelque soit l’expérience gouvernementale du nouveau venu, tout, pendant ce moment rare, est inédit : les procédures du secret-défense, les réunions diplomatiques au sommet, les décisions à prendre.

Pendant cette courte période, le président nouvellement élu devra d'abord constituer, dès le 17 mai, son équipe de collaborateurs directs et nommer son premier gouvernement. Il devra prendre position sur les plus grands sujets internationaux (l’avenir du traité constitutionnel européen, la reprise des négociations de l’OMC, les relations avec l’Iran, la situation au Moyen-Orient) , qu’il aura à traiter , face à ses nouveaux homologues, dans deux réunions capitales, qui auront lieu l’une et l’autre en juin, en Allemagne: le sommet du G8 à Rostock les 7 et 8 et le Conseil européen à Berlin les 21 et 22 .

NS(SR) devra, au même moment, décider des premières mesures de politique intérieure, économiques ou sociales, symboliques ou concrètes, qu’il (elle) devra prendre par décret. Il (elle) devra aussi faire les grands choix budgétaires pour 2008 et préparer les premiers projets de loi à soumettre à la future assemblée nationale. Enfin, et surtout, i l (elle) devra aider son premier ministre à mener la campagne pour les élections législatives du 10 et 17 juin. Et les gagner.

Pendant ces quatre semaines, le nouveau président sera absolument seul(e) aux commandes ; aucun contrepouvoir ne sera là pour lui résister. C’est même la seule période du quinquennat pendant laquelle le nouvel élu sera en situation de quasi-dictature.

Car, un mois plus tard, tout aura changé : si le président perd les élections législatives, (et on ne doit absolument pas exclure cette hypothèse) le pays devra oublier toutes les promesses faites par le nouvel élu. Si au contraire le premier ministre qu’il(elle) aura nommé gagne ces élections, le président devra partager sa légitimité, et donc son autorité, avec lui et avec sa majorité parlementaire ; il(elle) le devra d’autant plus qu’il(elle) a promis, pendant la campagne présidentielle, d’accorder au Parlement d’innombrables pouvoirs nouveaux, en particulier en matière de nominations, de finances et de politique étrangère.

Devenir président, c’est comme monter sur un cheval lancé au galop : il faut en prendre tout de suite le contrôle, ou y renoncer à jamais. Nous connaitrons très vite les talents de cavalier de l’élu(e) du 6 mai.

j@attali.com

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Le problème c'est que comme mis à part les écrits (pas toujours lumineux) et les suppositions... il n'y a pas grand chose à comenter sur la défense, vu qu'ils n'ont rien dit ou qu'ils sont restés dans le flou.... Ont peut tenter de décrypter le projet économique pour voir ce qu'il cache ou ce qu'il laissera comme marge budgètaire. On peut tirer des plans sur la comete à propos des quel axe stratégico -militaire va être privilegié Europe? Etats Unis? (le propos de campagne etant des propos de campagne, il y a boire et à manger...) Tenant compte qu'un discours pro Europe peut très bien masquer le contraire, varier selon les circonstances, n'être qu'un exercice obligé.... On peut essayer de décrypter les paradoxes genre : "pro américain" mais favorable à un retrait d'Afghanistan....

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Je veux bien admettre qu'il est peut etre plus exacte de parler de syndicats corporatistes que syndicats communistes .. sachant que l'un n'empeche pas l'autre. Mais on tourne en rond, j'ai dit ce que j'avais a dire, je pensais que tous le monde serait d'accord que c'est aux élus de décider de la politiques de la France et pas aux syndicats corporatistes de la fonction publique et des services publiques. Mais apparement c'est pas si simple: il y a les un établissement public à caractère industriel et commercial, ou EPIC, les employés, les fonctionnaires de catégorie A de la fonction publique d'état, les fonctionnaires de type A de la fonction publique territoriale, les fonctionnaires de type A de la fonction publlique hospitalière, les fonctionnaires de catégorie B de la fonction publique d'état, les fonctionnaires de type B de la fonction publique territoriale, les fonctionnaires de type B de la fonction publique hospitalière, les fonctionnaires de catégorie C de la fonction publique d'état, les fonctionnaires de type C de la fonction publique territoriale, les fonctionnaires de type C de la fonction publlique hospitalière, et je ne parle pas des A+, B+ et C+ et d'ailleurs une standardiste de la fonction publique d'état ne peux ABSOLUMENT PAS travailler en tant que standardiste dans la fonction publique hospitalière, NO WAY: il n'y a rien a voir, remettre en cause cet acquit serait remettre en cause ce pour quoi nos parents se sont battus [08] Conclusion: c'est pas si simple, vaut mieux pas laisser les français mettre leur nez la dedans et laisser ceux qui savent, les fonctionnaires, règler tout ça entre eux sans que les politiques viennent foutre leur souk la dedans et d'ailleur si il y a un 3eme tour social ça sera de leur faute. Allez ciao, j'espere que vous aurez l'occasion de descendre de votre petit nuage sans que ça fasse trop mal.

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quand Attali appele a voter pour NS .

Devenir président, c’est comme monter sur un cheval lancé au galop : il faut en prendre tout de suite le contrôle, ou y renoncer à jamais. Nous connaitrons très vite les talents de cavalier de l’élu(e) du 6 mai.

Image IPB

il lui manque que les tiags et le stetson , Bush cherchait pas un bon cowboys lors de sa visite a l'Elysée le lundi 21 février 2005 .

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Mon cher Roland; sans vouloir polémiquer (de toutes manières je crois que les jeux sont faits pour démain) quand tu dis : "Allez ciao, j'espere que vous aurez l'occasion de descendre de votre petit nuage sans que ça fasse trop mal." Je crois que tu te trompes de perspective. Moi je n'attends pas grand chose, et je ne crois pas aux "grands changements", je ne risque donc pas d'être déçu ni par l'un ni par l'autre. D'ailleurs, je ne suis ni fonctionnaire, ni appartiens à une aucune catégorie sociale susceptible d'être touchée par les "heures sup" et autres gracieusités... Par contre, tu me sembles attendre beaucoup d'un des deux candidats et tu professes une foi inébranlable dans sa "volonté politique". Je crains que tu ne te prépares des lendemains qui déchantent.... Si les promesses et les programmes électoraux avaient été tous ténus .... Par exemple, commment expliquer que de 1962 à 1981 la droite a été au pouvoir avec tous les léviers, et que pendant ce temps là (20 ans quand même) le problème des Arkis n'a jamais été résolu. C'est une honte que nôtre pays ait parqué ces soldats, qui se sont battus, pour lui, dans des véritables camps pendant tant années.... C'était si compliqué à résoudre? Et on pourrait dire la même chose des 20 années qui vienent de s'écouler, gauche et droite confundues... Alors démain, par quelle opération du Saint Esprit cela changerait-il?

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Invité grinch

Après avoir couvert tous les aspects de la campagne, après s'être passionnée pour le débat, la presse internationale prend position en faveur de l'un ou l'autre candidat.

On se souvient de l'hebdomadaire britannique The Economist qui avait pris fait et cause pour Nicolas Sarkozy. Eh bien, aujourd'hui c'est au tour de Newsweek d'appeler à voter pour le candidat de l'UMP. La photo de une n'est pas très flatteuse, mais le titre est sans équivoque : "Sarko power", ou "la force Sarko", avec ce sous-titre : "Une victoire de Nicolas Sarkozy peut remettre la France dans la course économique mondiale."

L'hebdomadaire américain souligne par ailleurs que Nicolas Sarkozy est accusé en France d'avoir une attitude dictatoriale alors que, explique Newsweek, son parcours montre plutôt sa souplesse. De plus, seul l'hyperactif Nicolas Sarkozy proposerait un programme compréhensible pour sortir la France de sa torpeur et la propulser dans le XXIe siècle.

A l'inverse, le programme de Ségolène Royal est traité avec dédain. "La candidate socialiste", explique Newsweek, "insiste sur l'éducation, la recherche et l'environnement comme autant de facteurs de croissance. C'est peut-être vrai, sauf que l'approche de Sarkozy a fait ses preuves dans la plupart des pays industrialisés, alors que celle de Mme Royal demande encore à subir quelques tests…"

Mais il reste tout de même quelques journaux pour soutenir Ségolène Royal, même côté britannique. The Observer, par exemple, se demande si les Français ont vraiment besoin de plonger dans la jungle anglo-saxonne pour s'en sortir. Il s'appuie sur une étude très sérieuse de l'université de Cambridge qui explique que, contrairement à ce qu'on a l'habitude d'entendre, les pays qui sont les plus compétitifs, les plus modernes, voire les mieux armés face à la mondialisation ne sont pas les Etats-Unis ou la Grande-Bretagne mais plutôt la Suède, la Norvège et la Suisse. C'est-à-dire des pays qui allient des services publics puissants et une protection sociale forte à une flexibilité maximale de leur marché du travail. C'est exactement ce que propose Ségolène Royal avec son donnant-donnant.

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