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Le Maroc se réarme


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Vous verrez très prochainement le PLZ-45 ainsi que le char T-99. Le Maroc s'apprete à faire un achat politique.

Je n'ai pas de sources écrites simplement des officiers des FAR qui me l'on confirmé.

J'en saurais plus courant de la semaine

http://far-maroc.forumpro.fr/

Euhhhhh, c'est tres tres ligth sa comme "source", un gars d'un forum qui dit avoir entendu sa d'un officier marocains...  :rolleyes:

Attendons une source officiele, pcq la c'est pas super crédible...  :-\

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AESA a dit que Raid a parlé de T50, juste parlé et non pas acheté ni commandé... Romy dit lui que Raid à parlé d'achat de T-99 ou je ne sais quoi...

Tu permets que je trouve sa vague et que je veux en savoir plus? Ou pas? Si c'est illégale, qu'ont me l'envoie en PV et je confirmerai ici l'avoir lut...

D'avance merci...

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  • 3 weeks later...

Le Para Marocain

Image IPB

Ce Para est en tenue camouflée inspirée du modèle Français, il est équipé de matériels à la fois Américain et Français, sur sa tête un paire de jumelle à intensificateur de lumière US AN/PVS-SA, sur l'épaule un FM AA52, sous la patte d'épaule le béret vert commun à toutes les unités de l'Armée de Terre

Considéré comme l'une des armées les plus solide d'Afrique, l'Armé Marocaine à toujours disposé de soldats dont la réputation decourage n'est plus a démontrer.

En 1956, peu de temps après l'indépendance, le Maroc a l'image de la France décide de former, une forte unité de parachutiste qui serait le fer de lance de la nouvelle armée.

Les relations avec la France n'étant pas des plus cordiale, Rabat se tourne vers Waschington, qui profitant de l'aubaine, envoi plusieurs dizaines de conseillers pour instruire Paras, aviateurs et unités blindés.

A la fin des année 60, la Première Brigade d'Infanterie Parachutiste est totalement opérationnelle. Toutefois, entre temps, plusieurs unités de paras auront eu l'occasion d'en découdre contre l'armée Algérienne en 63 dans la région de Tindouf, et dans un cadre plus pacifique, en tant que casques bleus au Congo alors déchiré dans les affres de l'indépendance.

En 67, puis en 73, le Maroc se trouve impliqué dans les deux conflits Arabo-Israéliens, notament en Octobre 1973, dans les combats sans pitié sur le Mont Hermon en Syrie, où paras Marocains et Israéliens durent s'affronter.

Considéré comme force d'intervention rapide par excellence, deux bataillons parassont envoyé en 1976 combattre les troupes Mauritaniennes lors du partage du Sahara Espagnol. Après les Mauritaniens, les paras de Rabat vont affronter les forces du Polisario.

En Avril 1977, trois bataillons sont envoyé au Zaïre, pour aider ce pays à repousser l'invasion des "Katangais" à partir de l'Angola. L'année suivante ils y retournent après l'intervention des Paras du 2ème REP au Shaba, à Kolwezi, ils y stationneront plus d'un an.

La première Brigade d'Infanterie Parachutiste, comprend environs 5000 hommes et dispose d'un bataillon de commandement et service, de 5 bataillons de combats, ainsi que d'un centre d'instruction.

Outre la brigade commandée par un Colonel-major, basée à Rabat-Salé, les FAR (Forces Armées Royales) disposent de 3 bataillons commandos composés uniquement d'engagés (50% d'appellés composant la brigade). La brigade fait partie des unités de réserve générale. Le bataillon de commandement et de service. 2 bataillons de combat et le centre d'instruction (CIP), sont cantonnés à Rabat-Salé, un bataillon de combat est basé à Shkirat et deux autres sont dispersés en zone sud le long du mur (construit pour contrer le polisario), sous l'autorité directe du roi.

Les unités para sont équipées de matériels légers :

- Canons de 106 SR

- Mortiers e 120 mm

- Bitubes de 14,5 mm

- Lances-missiles Miln, Hot et Tow

Dans les années soixante dix, renouant les relations politiques avec la France, le Maroc accepte des coopérants militaires, exceptés à Kénitra où les Américains ont plusieurs conseillers issus des forces spéciales.

Image IPB

Brevet para des années 60

Brevet d'instructeur - Brevet para de base

Variante du Brevet de base

Autre variante du Brevet de base - Variante du Brevet d'instructeur

http://far-maroc.forumpro.fr/personnel-des-far-f18/forces-speciales-t1350-15.htm

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HS

Après plusieurs message privé de sa part sans réponse ( j'ai pas beaucoup de temps en ce moment) voila que monsieur déverse sa rancune en public  :lol:

Écoute je suis pas psychiatre ou psychologue, si tu as des problèmes avec des administrateurs de certains forums c'est pas mon problème, donc laisse moi tranquille, ma messagerie privé n'en sera que soulager   :P :P

Fin du HS

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Six officiers coopérants français servent au sein du CREMS. Depuis la rentrée aucun d’entre eux n’est en position de responsabilité car tous les postes de direction sont aujourd’hui tenus par des officiers marocains. Ils jouent en revanche pleinement leur rôle de conseillers et garantissent le lien avec l’enseignement militaire supérieur français dont le CREMS a adopté les méthodes et la pédagogie. Trois de ces officiers représentant les trois armées appartiennent au département opérationnel. Ils dispensent des cours dans leur domaine de compétence mais participent surtout à la conception et à la conduite des exercices tactiques et opératifs. Un coopérant français est chargé du cours de culture générale au sein du département enseignement général. Officier supérieur disposant d’une très solide formation universitaire, il assure l’enseignement des méthodes d’expression orale et écrite, dispense des cours d’histoire militaire et d’analyse des crises, dirige et évalue les travaux individuels et collectifs concernant les relations internationales. L’officier simulation rattaché au CREMS est le conseiller de l’état-major des FAR dans un domaine qui prend une place de plus en plus importante dans l’armée marocaine. Il participe à l’élaboration du schéma directeur qui a pour objectif de développer de façon cohérente les outils de simulation qui contribuent à la formation et à l’entrainement opérationnel des états majors et unités. Il assure la liaison avec les organismes français qui œuvrent dans ce domaine telle la Direction de la Simulation et de la Recherche Opérationnelle (DSRO). L’officier de cohérence opérationnelle enfin, directement subordonné au commandant de l’école, est le garant de l’adéquation de l’enseignement opérationnel avec les objectifs de l’école et de son évolution en relation avec l’enseignement militaire supérieur français et le commandement de la doctrine (CDEF). Il est avant tout une force de proposition pour la préparation de l’avenir. Dans ce domaine, il participe à l’actualisation des exercices opérationnels et à la prise en compte du retour d’expérience issu des engagements actuels. Il est aussi pleinement engagé dans certaines études et dossiers qui dépassent le seul cadre du CREMS. Ainsi en juin 2009, il accompagnera en France une délégation des FAR qui visitera le Centre d’Entrainement des Postes de Commandement de Mailly-le-camp à l’occasion de l’exercice de contrôle opérationnel de l’état-major de la 2e Brigade Blindée. L’objectif est de présenter à l’armée marocaine le nouvel outil de simulation de brigade SCIPIO, la conception et la conduite d’un exercice de stabilisation et l’apport du SIC dans le fonctionnement du CO de brigade. Cette visite pourrait être le point de départ de nouveaux projets de coopération pour équiper les PC de l’armée marocaine des outils de communication opérationnelle qui sont ceux d’une armée moderne et le gage de son efficacité.

La coopération franco-marocaine au sein du CREMS est exemplaire. Elle repose avant tout sur les relations de confiance, d’estime réciproque et de camaraderie qui unissent officiers français et officiers marocains. Un grand nombre de cadres du CREMS ont suivi la scolarité de l’Ecole d’Etat-Major et du Collège Interarmées de Défense français ce qui crée les conditions d’une grande compréhension mutuelle. Etablissement de haut niveau et jouissant d’une aura continentale, le Collège Royal d’Enseignement Militaire Supérieur est à l’image du Maroc : un pays de haute civilisation qui s’affirme de plus en plus comme une puissance militaire régionale avec un impact sur les pays subsahariens francophones mais aussi sur un grand nombre de pays du Maghreb et du Moyen Orient.

http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/actions-france_830/defense-securite_9035/cooperation-securite-defense_9037/revue-freres-armes_12582/freres-armes-262-dossier-maroc_19662/dossier-maroc_19665/enseignement-militaire-superieur_75055.html

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  • 1 month later...

Image IPB

'Jebel Sahara' exercise cements excellent relations with Moroccan forces

Now in its tenth year, Exercise Jebel Sahara continues to grow in size, scope and importance. The current exercise, based around Ram Ram Camp a few miles north of Marrakech, involves 180 members of the Royal Gibraltar Regiment, over 200 members of the Joint Helicopter Force(JHF) and 115 members of the Moroccan Deuxieme Brigade d’Infanterie Parachutiste(BIP).

As well as having scores of vehicles, the exercise is supported by eight helicopters of the Joint Helicopter Force(JHF) – five RAF Chinooks and 3 Lynx helicopters from the Army Air Corps. The Moroccan authorities make huge areas of countryside available for this military training and so the helicopters are an invaluable means of moving both men and equipment.

Soldiers from Gibraltar have been improving many of their own infantry skills but they have also been training their Moroccan counterparts in such specialist skills as sniping.

Meanwhile about thirty-five soldiers, two thirds RG and one-third BIP have been preparing for one of the British Army’s toughest tests, the Cambrian Patrol competition. This will be the first time that the Moroccans have entered this grueling test of stamina and infantry skill but they are being well prepared by their Gibraltarian instructors.

‘This exercise is unique’ says Major Ivor Lopez, the overall exercise controller. ‘The desert, with its high temperatures and rugged terrain, make for some extremely challenging and utterly realistic conditions. We are able to ‘live fire’ our weapons and we are spoiled for choice when it comes to brilliant locations to train in all the different infantry skills needed in today’s counter-insurgency environments.’

‘This year’s Jebel Sahara is going exceptionally well. Thanks to the hard work of our logistic staff we have been able to keep everything running according to our programme.’

The quality of the exercise has attracted the attention of senior military officers and there have been visits from, amongst others, Air Marshal Sir Stuart Peach, the Chief of Joint Operations, Commodore Adrian Bell, Commander British Forces Gibraltar and Brigadier Richard Dennis, the Director of Infantry.

‘This exercise is an opportunity for the Royal Gibraltar Regiment to hone its skills to the required standard so that it can contribute to current operations,’ said Brigadier Dennis.

‘The relationships that the RG have built with the Moroccans not only guarantees the continuing success of Jebel Sahara but it also gives the Regiment the relevant skills in mentoring other nations’ forces – a skill that is much needed on current operations.’

‘The icing on the cake is having the Joint Helicopter Force out here. For them this represents an excellent opportunity to practice their skills in austere areas and it also means that the RG’s exercise can achieve so much more than if it didn’t have access to JHF air assets.’

‘Morocco is an ideal location for the JHF’s operational training – both for aircrew and ground crews,’ said Wing Commander John Watson, the JHF Commander. ‘The excellent relationship that the RG enjoy with the Moroccans has allowed us to adapt and shape the exercise to enable us to gain maximum benefit. It has also been the basis for another exercise we now carry out with the Moroccan Air Force.’

Perhaps Brigadier Dennis summed it up when he described Jebel Sahara 2009 as, ‘a first class exercise

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  • 2 weeks later...

je ne voudrai pas diverger mais regarder l'Egypte : 1000 M1a1, 400 M2... zont oublié que la guerre froide était finie et qu'ils ont un pacte avec Israel??

ça correspond aux standarts de la région ( de mémoire environ 1500/1800 merkava en Israél et 1600 T72 en Syrie )

et je pense que pour les égyptiens, l'hypothèse d'un conflit avec israél reste leur première préoccupation

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