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ERC-90 Sagaie: un successeur?


SPARTAN

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L'erc 90 sagaie est l'engin des paras, des alpins et de la 13e dble. Si je suis ton raisonnement, tu vas doter ces unites de blindes deployables en afrique uniquement (pour la 13dble je veux bien encore). De plus, si l'afrique suit le mouvement observe en irak/afghanistan, ton blinde sera devenu inutile car trop leger.

Enfin, ton vextra 105 pesait 27t, donc niveau rustique et leger...tu prends un vbci 120FER tu as quasi le meme en plus puissant. On arrive donc avec cette categorie de masse a...l'ebrc.

non je parlais de dotation non organique cad d'un matériel non specifiquement affecté a une unité particulière mais dont le but est d'etre utilisé en poerations exterieures legeres

après tout les sagaies à moins que je ne me trompe tournent également dans d'autres unités notamment l'infanterie de marine deployée en opex en afrique

après si tu raisonne en terme d'unités a fonctions multiples, je redis ce que j'ai dis plus haut, un blindé plus moderne et plus polyvalent est necessaire je suis d'accord avec toi. Si on se contente de ne raisonner qu'en terme de conflit de basse intensité cependant, un blindé moyen éprouvé et peu couteux sierra très bien.

quant aux risques IED etc .... qu'il s'agisse d'ERC90, d'EBRC ou de Leclercs y'a pas grand chose a faire alors pourquoi envoyer sur un theatre secondaire des blindés hors de prix inadaptés aux conditions climatiques et a la rusticité du terrain en plus

enfin je suis comme toi pour le maintien du tube mais même un 105 suffirait amplement

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Invité grinch
L'erc 90 sagaie est l'engin des paras, des alpins et de la 13e dble. Si je suis ton raisonnement, tu vas doter ces unites de blindes deployables en afrique uniquement (pour la 13dble je veux bien encore). De plus, si l'afrique suit le mouvement observe en irak/afghanistan, ton blinde sera devenu inutile car trop leger.

Enfin, ton vextra 105 pesait 27t, donc niveau rustique et leger...tu prends un vbci 120FER tu as quasi le meme en plus puissant. On arrive donc avec cette categorie de masse a...l'ebrc.

.............................................................................................................

Pour preciser ma pensee:

On n'arrete pas un projectile fleche de 120mm lance a 1850m/s, meme avec une protection active. Pas de probleme de rechargement avec un tube AC, avec les missiles tu dois te tirer du champ de bataille et revenir apres.

Il vaut mieux ne pas mettre tous ses oeufs dans le meme panier. Les missiles AC pour les compagnies AC, le tube de 120 pour l'ebrc, tu as deux solutions differentes plutot que faire doublon.

Deux choses, Les companies AC existeront-elles encore? et dans l'affirmative quel sera leur équipement?

Il me semble que les VAB hot ont été rétiré du service actif et de fait les companies AC supprimé.

Pour finir, l'ebrc est encore au stade de la pré-etude

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Je ne sais pas si elles portent encore le meme nom, mais il y a plusieurs types: vab hot ou vbl milan. Pour ce qui est des brigades equipees de vbci, normalement ca devait etre des vbci equipes specialement, pour remplacer les vab hot. Enfin, pour l'ebrc, je ne fais que donner mon opinion.

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  • 1 year later...
Invité grinch

En cherchant des news sur l'EBRC, je suis tombé sur un powerpoint où on peut voir que l'EBRC dispose d'un essaim de capteurs (sismique, acoustique, image) pouvant être abandonnés et d'un robot d’observation.

Sachant que L’EBRC est en charge du soutien informationnel et doit pouvoir fournir les éléments de connaissance au niveau supérieur qui les transformera en compréhension.

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Invité grinch

@ tactac

tu penses à quel types de véhicules?

si on tient compte de l'encombrement des drones/capteurs, du système de mise en place, du système de traitement de l'information (vu sur l'expérimentation PHOENIX qui a souligné l’intérêt d’un peloton d’appui image coordonné par un opérateur posté dans le VB2L ). La place disponible va vite diminuer.

Je ne parle même pas du système d 'arme.

Mais bon on peut imaginer d'autre solution si l'on accepte que les porteurs soient dédiés.

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@ tactac

tu penses à quel types de véhicules?

VAB - VBCI.

La démo Phoenix, c'est avec un VAB équipé ?

Pour moi, la mise en situation de tous les senseurs n'est pas liée nécessairement à un véhicule. Peut-être à un format de véhicule, mais avec la miniaturisation et les capacités accrues en transmission de données, on peut imaginer des véhicules plus petits, VBL ?

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Invité grinch

La démo Phoenix, c'est avec un VAB équipé ?

Les véhicules comprenaient un transport de troupe VAB (véhicule de l’avant blindé) numérisé, intégrant une caméra panoramique et un réseau d’information interne et un VB2L (véhicule blindé léger long) équipé d’un poste de travail de réception d’images et d’une radio haut débit.

Pour moi, la mise en situation de tous les senseurs n'est pas liée nécessairement à un véhicule. Peut-être à un format de véhicule, mais avec la miniaturisation et les capacités accrues en transmission de données, on peut imaginer des véhicules plus petits, VBL ?

Faire des porteurs dédiés à la sous-mission en fait, l'un qui transporte les véhicules (EBRC par exemple ou le groupe Felin qui transporte des micro-robot plus léger) et le second qui met en œuvre les senseurs.

Il faut éviter que l'EBRC soit le véhicule de la mort qui tue, hyper technique, hyper informatique et que l'on a peur d'utiliser. Le seul problème est que l'on utilise la ressource d'un VBL comme une régie même si celle-ci devient indispensable. Je ne sais pas encore si l'intérêt d'utiliser un VPC comme régie pour faire du reporting est probant tactiquement

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Je ne sais pas encore si l'intérêt d'utiliser un VPC comme régie pour faire du reporting est probant tactiquement

:O mais ça sera en partie son rôle avec les équipements SIR, le commandement sera relié aux équipes FELINs sur le terrains et aux autres véhicules, pour prendre les décisions au près, et sera aussi relié au haut commandement pour reporting, sinon pourquoi faire un VBCI/VPC ?

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Invité grinch

mais ça sera en partie son rôle avec les équipements SIR, le commandement sera relié aux équipes FELINs sur le terrains et aux autres véhicules, pour prendre les décisions au près, et sera aussi relié au haut commandement pour reporting, sinon pourquoi faire un VBCI/VPC ?

Nous sommes d'accord sur le fait que le VBCI/VPC est là pour prendre les décisions et faire du reporting pour le niveau supérieur mais j'ai un doute sur le nombre de VBCI/VPC. Je crains qu'il y ait trop de données à traiter et que le commandement ne fasses que cela au lieu de commander.

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Nous sommes d'accord sur le fait que le VBCI/VPC est là pour prendre les décisions et faire du reporting pour le niveau supérieur mais j'ai un doute sur le nombre de VBCI/VPC. Je crains qu'il y ait trop de données à traiter et que le commandement ne fasses que cela au lieu de commander.

Si les choses ont été bien faites (par vos gens chez Nexter,  :lol: oui, je pense que Grinch et Rescator sont des Nextériens  :lol: ), les données seront automatisées dans leur traitement et présentés suivant la façon dont le commandement le souhaite. Ce dernier doit pouvoir alors sélectionner les données relevantes simplement pour les extraire en un reporting vers l'échelon supérieur.

La théorie s'arrête là et en pratique, ça pourrait, en effet, être un beau bordel.

Sur le nombre de VPC, une centaine est "sanctuarisée", il y a 50 exemplaires dans la balance, à voir si cela influera sur la charge de données à traiter ou si ces 50 sont principalement ceux du commandement Leclerc et dans ce cas, on garde au pire les VAB PC et le traitement pour les VBCI est alors constant.

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Invité grinch

oui, je pense que Grinch et Rescator sont des Nextériens  :lol: )

Pour moi, c'est loupé. Mais bon, j'ai senti le chaud il y a peu. Zan rancune

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En cherchant des news sur l'EBRC, je suis tombé sur un powerpoint où on peut voir que l'EBRC dispose d'un essaim de capteurs (sismique, acoustique, image) pouvant être abandonnés et d'un robot d’observation.

Sachant que L’EBRC est en charge du soutien informationnel et doit pouvoir fournir les éléments de connaissance au niveau supérieur qui les transformera en compréhension.

Si c'est sur le web tu pourrais nous mettre un lien stp.

edit: je crois que je l'ai., meme si 2004 me semble un peu vieux.

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Invité grinch

edit: je crois que je l'ai., meme si 2004 me semble un peu vieux.

C'est celui-ci

Outre, le traitement des donnée, une autre problématique est celui de son acheminement et donc son interopérabilité

Le programme Scorpion, ou l'avenir des armements terrestres français, par Jean Guisnel (Le point)

  On sait que l'armée de terre va voir son contrat opérationnel considérablement réduit par la mise en place des mesures préconisées par le Livre blanc. Alors qu'elle devait naguère être capable de déployer 50.000 hommes à l'étranger, ce chiffre sera désormais ramené à 30.000. Le général Elrick Irastorza estimait lors de sa conférence de presse le 24 juillet : "Cette réforme ne sera pas simple. Nous ne ferons pas plus avec moins." Certes. Mais sans faire davantage, l'armée de terre entend faire mieux. Notamment grâce à un gigantesque programme de modernisation de ses équipements, baptisé Scorpion (Système du contact renforcé par la polyvalence et l'infovalorisation). L'armée de terre ayant préféré abandonner le terme d'unités de "mêlée" pour lui préférer celui d'unités de "contact", seuls quatre types d'équipements sont concernés : ceux de l'infanterie, de l'armée blindée-cavalerie, de la reconnaissance et de l'artillerie.

Ce programme n'est pas une vue de l'esprit. Il correspond à ceux que deux grandes armées occidentales ont mis en oeuvre : le FCS (Future Combat System) américain, conduit par Boeing. Et le FRES (Future Rapid Effects System] britannique copiloté par Thales UK et l'Américain Boeing . Si le programme Scorpion est actuellement d'une grande sensibilité, c'est qu'il s'agit du plus gros investissement de la prochaine décennie pour l'armée de terre. Si elle veut continuer à jouer dans la cour des grands, sa modernisation va de pair avec sa réduction d'effectifs. Or, Scorpion, c'est beaucoup d'argent : 10 milliards d'euros sur 10 ans. Et sans doute encore plus sur les deux décennies suivantes, pour entretenir et accompagner la modernisation des matériels. Deux consortiums concurrents montent en puissance : l'un conduit par EADS Defense & Security associé à Nexter dans une joint-venture ; l'autre consortium est conduit par Thales, qui pourrait être associée à Safran, Panhard et Bertin, et aussi éventuellement à Boeing. Pour tous les acteurs de ce dossier, il est clair que les industriels français absents du contrat Scorpion seront ipso facto éjectés de tout marché futur avec l'armée de terre française. Il est vrai que ce programme, directement issu des travaux initiaux financés par la DGA (Délégation générale pour l'armement) sur la "bulle aéroterrestre", implique des transformations telles que ceux qui n'y participeront pas ne seront plus dans la course.

L'armée de terre souligne que Scorpion ne vise pas à acquérir des matériels futuristes inaccessibles, mais à mettre en oeuvre deux facteurs clés : l'informatisation intégrale du champ de bataille et le renouvellement des matériels majeurs avec des budgets maîtrisés, dont l'un des socles sera l'EBM (engin blindé médian). Remplaçant du Véhicule de l'avant blindé, son entrée en service devrait intervenir vers 2020. L'EBM associerait deux engins, l'un de 10 tonnes et l'autre de 20 tonnes. L'armée de terre estime avoir besoin de 2.000 exemplaires, à un million d'euros pièce, pour remplacer ses 3.500 VAB.

La numérisation de l'espace de bataille (NEB) est au coeur de Scorpion. Elle permettra à toutes les composantes d'une force aéroterrestre de communiquer par une forme d'intranet associant tous les équipements, jusqu'au combattant à pied, le "condé" (combattant débarqué), le tout en ambiance de combat, sous la pluie, de nuit ou en plein soleil, sans prise électrique et en mouvement sur le terrain. Ce n'est pas gagné, car il faut savoir qu'actuellement, le SICF (Système d'information et de commandement des forces), qui a été vendu aux états-majors de l'Otan, n'est pas compatible avec le SIR (Système d'information régimentaire) d'EADS ! Sans doute, dans l'avenir, les choses iront-elles mieux grâce à la collaboration entre les deux industriels, mais pour l'instant, les choses fonctionnent... mal ! Et ce n'est pas tout : au fil des années, chaque spécialité de l'armée de terre a développé son propre système : Le char Leclerc fonctionne avec le système de gestion du champ de bataille Icone, le char AMX-10 RC avec le Sitel, l'artillerie avec Atlas, les unités de renseignement avec Granite NG , Granite NG2 et Maestro . Scorpion est censé remettre de l'ordre dans tout cela et fédérer l'ensemble des outils informatiques de l'armée de terre au sein du SICS (Système d'information et de combat Scorpion).

Le projet de démonstrateur BOA (Bulle Opérationnelle Aéroterrestre) a été conjointement défini par la DGA et l’armée de terre. Ce système, mené sous le leadership de Thales en collaboration avec Nexter et Sagem, répond au besoin des forces armées de projeter, sous contrainte de délai, un dispositif militaire « léger », réactif et apte à remplir un large spectre de missions, particulièrement en zone urbaine. L’ingénierie d’un tel système de systèmes (ISDS) se révèle très complexe à concevoir, compte tenu de la diversité des plateformes engagées (aéronefs, chars, drones, hommes et robots) et de l’existence de multiples versions en service ou en étude. Un LTO (Laboratoire Technico-Opérationnel) a ainsi été développé pour évaluer les nouveaux concepts, grâce à des simulations et à un échange structuré entre des ingénieurs et des opérationnels, acteurs de terrain. Ce laboratoire permet de faire converger la doctrine opérationnelle et les innovations technologiques et de définir l'architecture offrant le meilleur compromis entre performance, robustesse et coût.

Prolongeant et concrétisant la réflexion BOA, un vaste projet d’évolution des équipements de l’armée de terre est en cours, sous le nom d’opération « Scorpion ». Il apparaît par ailleurs que l’Etat français à lui seul n’a plus les moyens financiers de soutenir les efforts considérables nécessaires à la modernisation de sa défense, ni d’ailleurs de maintenir un tissu industriel complet pour soutenir ses besoins. La consolidation européenne du marché de la Défense est donc inéluctable. Les coopérations européennes nécessitent d’être encouragées, au travers des instruments existants que sont l’OCCAR et l’AED (Agence Européenne de Défense).

ESSOR, acronyme de « European Secured Software Defined Radio Referential », est un exemple type de programme financé par l’AED, dans le domaine des télécommunications militaires. Ce projet, mené par Thales, vise à définir une norme commune de radio logicielle (« software radio »). La radio logicielle intègre les fonctions typiques d’une interface radio, généralement réalisées par des équipements physiques, afin d’assurer l’indépendance vis-à-vis des terminaux et des infrastructures matérielles. Ce concept permet également la conception et la mise en oeuvre de techniques de reconfiguration, de chargement de programmes et de mise à jour automatique.

Source

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Avec tout ce qui se passent dans les chaumières, sommes-nous sûrs qu'il y aura vraiment maintenant, un successeur de la Sagaie ?

L'Arc...?

pas sur la tête.... =D

La question étant de savoir s'il est bien utile d'avoir deux chars légers...

Alors les cavaliers à vos plumes! Quels avantages et inconvénients pour chaque char...?

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Zut alors. Encore loupé.   =( :lol:

Il est curieux ce Tactac  :lol:

Allez zou on monte un 40 CTA sur un VBR, ça fera l'affaire non !

Pour ne pas faire de jaloux, on prend l'Aravis avec l'AXL 20 mm.

On améliore le concept Vextra 105 mm et on a le remplaçant idéal de l'AMX10 RC.

Encore, je suis sympa on pourrait y adjoindre un 120 FER.

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Par pitié, faites une section abréviations sur le forum. :'(

TACTAC : Tourelleaux Anti-Char, Toujours Aussi Curieux

Y a qu'à demander CVS.  ;)

Sans vouloir t'offensser, je préfère le tic-tac à la menthe. :lol:

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