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Cela chauffe en Centrafrique.


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La traduction google n'est plus vraiment compréhensible après le 1er paragraphe, y aurait il des hispanophobes pouvant résummer le contenu de l'article ?

 

 

désolé j'ai pas eu le temps de corrigé l'ensemble .

 

je vais le faire maintenant ;)

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La traduction google n'est plus vraiment compréhensible après le 1er paragraphe, y aurait il des hispanophobes pouvant résummer le contenu de l'article ?

 

J'ai commencé à corriger le 1er paragraphe :

 

Mercredi, une équipe militaire espagnole du Commandement des opérations spéciales (MOE) revenait d'une patrouille dans le 3ème arrondissement de Bangui, la violente capitale de la République centrafricaine. Ils voyageaient à bord de deux véhicules "Lince" à destination du camp de la mission EUFOR RCA quand ils ont rencontré un groupe local armé et d'attitude hostile, quelque chose de pas rare dans cette ville, car il y a eu plusieurs affrontements et embuscades dont ont souffert depuis fin mai aussi bien les effectifs du MEO que le Groupe d'action rapide (RAG) de la Garde civile.

 

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correction terminée =)

 

 

les militaires espagnols  se sont retrouvé  sur les lieux ou se trouvaient 5 véhicules avec des personnels  de la MINUSCA des militaires français de l'opération «Sangaris .

 

 

Le chef de l'unité opérationnelle espagnol, le capitaine LCL, a exhorté les rebelles de rendre leurs armes , quand  a commencé un échange de coups de feu entre les locaux et les soldats  français , qui ont riposté avec des mitrailleuses lourdes.

 

Un de leurs véhicules (véhicule français )  a été frappé d'une Grenade mais sans conséquence ,le capitaine espagnol a observé que les locaux gardé en mire la  patrouille française  , et le capitaine ordonna l'ouverture du feu après avoir respecté les règles d'engagement ,tuant un personnel .

 

Toutes les troupes espagnoles ont abandonné leurs véhicules pour se mettre à l'abri car des grenades étaient lancé par les locaux , sans que cela ne cause de dégât du côté des militaires espagnols .

 

mais une roquette de PG7 a frappé à côté de l'endroit ou était posté le capitaine commandant l'unité espagnole .

blessé Il a été immédiatement emmené à la base (un ancienne usine de textile appelé UCATEXl) pour un premier examen, puis au «Rôle 2» Mission Hospital, qui est situé à l'aéroport de M'Poko, où le personnel international l'attendait pour le prendre en compte et le soigné .

 

le capitaine a était touché un de ses  bras et son  dos, les médecins lui ayant enlever les éclats d'obus.

 

 

hier , le capitaine était toujours à l'hôpital en attente de déterminer si ses blessures exigé un rapatriement en Espagne .

 

Le contingent espagnol en République centrafricaine se compose de 96 personnels : 60 militaire des opérations spéciales , 25 garde civils  et 11 personnels cantonné  à Bangui et à Larissa (Grèce).

Modifié par gibbs
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Merci ! :)

Ca va etre embetant si des grenades se répandent dans la population civile.

Et l'attaqque au RPG, ça me semble inédit.

 

de rien =)

 

disons qu'ailleurs en RCA les accrochages sont violent avec l'emploi de la gamme classique d'armes que l'on peu rencontré dans ses contrées .

AK47 ,RPK ,RPD ,mitrailleuse de 14.5 ,RPG7 ,grenade à main etc ...

 

il est largement possible que de l'armement soit "ressorti" de planque ou arrivé de l'extérieur de Bangui .

 

pour les attaques à la grenade à main ,sa arrive souvent sur Bangui .

il faut dire que s'est discret comme arme et sa permet de mettre la pression sur les militaires occidentaux et Africains ,car hormis repéré le lanceur ,observé en permanence s'est vite usant .

 

pas de départ de coup avec une grenade comme celui d'une arme à feu ,sauf si on entend la grenade fusé lorsque la cuillère saute .

 

donc compliqué de repéré la menace .

 

un lanceur peut vite se fondre rapidement dans la foule ou une population ,donc pas d'arme sur lui qui pourrait l'identifié rapidement comme assaillant .

Modifié par gibbs
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http://www.newyorker.com/magazine/2014/10/20/mission-3?intcid=mod-yml (20 octobre 2014)

 

Grand article de synthèse sur l'année écoulée, écrit par un journaliste américain qui a enquêté en Centrafrique durant une assez longue période et qui rassemble les multiples points de vues des personnes qu'il a interviewées. Il part du récit du prêtre catholique de Bossemptélé qui a vécu des choses assez atroces, et puis il enrichit progressivement le contexte en écoutant les différentes versions des chefs Sélékas et Antibalakas, des militaires de la force Africaine, de la présidente, d'une ministre, de l'ambassadeur de France, du fils Bokassa, de responsables d'ONG occidentales, etc..

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  • 2 weeks later...

Mauvaise nouvelle :

 

Un des militaires français, du 126ème régiment d’infanterie (RI) de Brive la Gaillarde, est décédé dans la soirée, hier mercredi (5 novembre) à Paris d’une forme grave de paludisme.Il avait été  rapatrié de Bangui vers Paris mardi au matin (4 novembre) vers l’hôpital militaire Begin. Son nom a été révélé ce matin par l’Etat-Major des armées, il s’agit du caporal-chef Moana Heiarii. C’est le premier mort en mission (même si c’est de maladie) pour l’opération EUFOR RCA;

 

http://www.bruxelles2.eu/2014/11/06/un-militaire-francais-deufor-rca-decede-de-maladie.html

Modifié par collectionneur
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Sur lignes de défense, un intervenant écrit qu'il n'avait pas prit son traitement :

 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2014/11/06/rca-deces-d-un-soldat-du-12857.html

 

Le traitement n'évite pas la maladie, elle permet éventuellement d'en atténuer les effets la doxicycline c'est préventif.

 

Et oublier un cachet ça arrive, là dans ce cas c'est juste un tocard qui veut s'improviser "moi je sais".

 

Pour info, le traitement c'est 1 comprimé par jour à heure fixe et de préférence durant les repas.

 

Modifié par Hilariovespasio
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http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140411410.html

Le sénateur Christian Cambon a visité la Centrafrique les 14 et 15 avril :

 

Il n'y a pas de moustiquaires sauf pour l'hôpital alors que la saison des pluies favorise la prolifération des moustiques et le risque de paludisme.

Le Ministère de la défense répond le 31 juillet 2014 à cette question posée le 24 avril 2014 :

 

Outre les 450 places en dur du bâtiment principal, 268 tentes collectives, équipées de lits de camp avec moustiquaires, ont notamment été montées.

Dans le domaine médical, toutes les dispositions nécessaires, incluant la distribution de solutions anti moustiques, ont été adoptées pour prévenir l'apparition ou la propagation des maladies.

Cela reste vague comme réponse. On ne sait toujours pas si 100% des troupes sont équipées comme il convient ou si l'on est encore loin du compte.

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Le paludisme (ou malaria) n'est pas un virus, c'est un parasite transmis par la femelle anophele (moustique) lors de la piqure. Il existe plusieurs parasites de la même famille, plasmodium falciparum, ovale,  vivax, malariae. les crises les plus graves c'est plasmodium falciparum.

 

Il n'existe pas de vaccin

 

Il existe plusieurs type de traitement, qui dependent de la zone ou l'on se trouve.

 

Le traitement de base c'est un derive de la quinine, la chloroquine (nivaquine) mais il existe des zones ou les parasites sont resistants, et on utilise donc d'autre traitements, comme l'association chloroquine/proguanil (savarine) ou atovaquone/proguanil (malarone), ou encore la mefloquine (lariam).

 

Selon les traitements, il peut etre necessaire de debuter plusieurs semaines avant le depart (cas du lariam ou on surveille la survenue d'un effet secondaire psy, sans doute peu adapté aux militaires qui n'ont pas toujours le temps d'attendre avant de partir et chez qui ce genre d'effet n'est pas...Ideal)

 

Le plus souvent on commence au moment du depart, et il faut poursuivre plusieurs semaines apres le retour

 

En effet, le traitement n'empeche pas d'etre impaludé, il agit en eliminant les parasites dans le sang au fur et a mesure, et evite les crises graves. Cependant certains parasites peuvent demeurer au niveau du foie dans une forme "dormante" insensible à certains des traitements, et c'est pour cela qu'on poursuit le traitement apres le retour: afin de gerer les parasites "dormants" au fur et à mesure qu'ils redeviennent actifs dans le sang.

 

Dans tous les cas, et vu que le traitement n'empeche pas l'impaludation, on conseille les mesures preventives contre les piqures de moustiques seules à même d'eviter completement l'impaludation, donc moustiquaires, repulsifs, manches et jambes longue surtout le soir et le matin, eviter les zones humides et eaux stagnantes etc

 

Les prises prolongées de ces traitements peuvent poser probleme, donc si le sejour se prolonge plus de trois mois, la prise du traitement en continu n'est pas preconisée, à ce moment on prend un traitmeent pendant la saison des pluies, ou en cas de deplacement dans une zone rurale plus à risque, ou en cas d'eloignement temporaire d'une structure de soin...

Idem en cas de sejour brefs mais repétés.

 

Quoi qu'il en soit, on insiste d'autant plus sur les mesures anti moustique que l'on ne prend pas de medicaments, bien sur, et on considere par defaut toute fievre comme un acces palustre jusqu'a preuve du contraire.

Modifié par Ben
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  • 2 weeks later...

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20141112.OBS4724/centrafrique-le-vague-a-l-ame-du-legionnaire-francais.html

 

 

 

Paludisme, chaleur, mal du pays, affrontements, tensions entre musulmans et chrétiens... De l'intimité de leur camp de base aux missions à hauts risques, le photographe Edouard Elias, 23 ans, a partagé en août dernier le quotidien des légionnaires français engagés dans l'opération Sangaris en Centrafrique.

Le photographe s'est rendu à Bambari quelques mois seulement après sa libération de la geôle syrienne où il était retenu en otage. Il rapporte des clichés forts. Lors de leurs moments de liberté, les hommes se retrouvent face à eux-mêmes. Certains pleurent et s'isolent, d'autres jouent, se reposent, lisent.

 

 

http://www.dailymotion.com/video/x2a2cno_en-centrafrique-avec-les-legionnaires-francais-par-edouard-elias_news

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Le palu est l'une des maladies les plus meurtrières car la recherche ne travaille guère plus dessus (l'Afrique n'étant pas à même de payer). Les tt actuels perdent peu à peu leur efficacité.

 

Triste pour un soldat, rip et pensées à sa famille.

Il y a quand même des financements publics et privés (par exemple la fondation Bill Gates). Des vaccins sont en essai phase iv je crois, mais sont très difficiles à mettre au point du fait d'une part du caractère essentiellement intracellulaire du cycle de vie du parasite, d'autre part de la "variété" (je simplifie ) antigènique.

Edit : les molécules les plus efficaces actuellement sont des dérivés de l'artémisinine (issue de la médecine traditionnelle chinoise, "redécouverte" à l'occasion de la guerre du Viet Nam). On ne l'utilise normalement qu'en polythérapie, de façon à limiter l'apparition de résistances.

Modifié par prof.566
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  • 2 weeks later...

Des photos sur Sangaris par le jeune photographe Edouard Ellias.
(Un des otages français récemment libéré de Syrie.)

Un des intérêts, de mon point de vue, dans ces photos, est qu'on peut y sentir la moiteur du climat.

http://edouardelias.com/portfolio/2827/

Modifié par syntaxerror9
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Juste le calibre de différent a priori.

L'AA(T?)-52 était la version originale en 7.5*54, le calibre de dotation de l'AdT dans les année 50. L'AAN F1 étant la version en 7.62 OTAN (je crois que c'est ce que le "N" veut dire).

Peut-être y a t-il quelques autres différences mineures ?

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