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Réalisme des films de guerre


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C'est vrai que certains Trailer de jeu video valent un film.

Ceux de World in Conflict sont particulièrement réussi :

 

http://www.youtube.com/watch?v=M-6Dayn9NBI

 

 

Le moment avec le soum qui tire les ICBM est flippant :

 

http://www.youtube.com/watch?v=0TN68sp-vIw

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j'ai du jouer plus d'une vingtaine d'heure au jeu + extension... avec à chaque fois une très bonne histoire (globale set par mission) introduite par de bonnes cinématiques intermédiaires...L'équivalent du film l'aube rouge correspond à peine à la première cinématique et la première mission... sur un CoD ou un MW, la trame scénaristique du FPS pourrait fournir un film a elle toute seule, alors qu'ils doivent intégrer aussi le fait qu'un jeu vidéo est interactif ! 

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Globalement le tendance est à un nivellement par le bas des films d'action spécialement en raison de l'émergence de FPS de qualité et de plus en plus cinématographiques. Les jeux vidéos, type CoD, reprennent énormément de canevas du cinéma, de poncifs, de lieux communs. ça a plus ou moins commencé avec Medal of Honor ainsi que les Ace Combat ou encore Final Fantasy.

 

Concomitamment le cinéma bénéficie ou subi, notamment avec le tout CGI, un retour de flamme de la tendance et une identification de plus en plus jeux-vidéo du métrage. Les métrages sont également calibrés pour être diversifiés en produits dérivés... dont des jeux vidéos (en général ratés mais des gens achètent donc tout va bien).

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En fait les films qui s'en tirent le mieux sont ceux qui ne se prennent pas trop au sérieux. J'ai vu le dernier G.I. Joe et je l'ai trouvé génial car dans ce métrage il ne faut évidemment pas tenir compte du fait que tout y est irréaliste. Par contre dès qu'un film se veut "réaliste" il tombe dans des travers qui ne sont pas pardonnables (vu que le film se veut crédible).

 

Dans un jeu vidéo on note moins le fait que les scènes soient souvent imprbables car on est dans l'action, là où quand on regarde un film les incohérences sont plus flagrantes.

 

Il suffit d'aller voir dans le sujet sur les séries TV pour voir tous les poncifs du cinéma/série télévisée. Dans un jeu vidéo ça passe inaperçu, pas dans un film.

 

Je pense que la cinéma va devoir se réinventer s'il veut tenir le coup.

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Il le fait. Avec les séries télé en saisons courtes de 10 à 15 épisodes, les saisons se multipliant selon les résultats ou simplement des mini séries ne devant pas aller au delà d'une saison ou deux, et cela à dessein. ça passe ou ça casse. À noter d'ailleurs que de plus en plus de blockbuster obéissent à des règles assez similaires. On vise de plus en plus la trilogie. 

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Le problème des séries que l'on rallonge en fonction du succès c'est que ça peut très vite partir dans tous les sens scénaristiquement, le scénario étant ensuite plus ou moins improvisé au fil des saisons, voire des épisodes.

 

--> Lost, Pretty Little Liars...

 

Des séries qui partaient bien mais qui se perdent complètement en cours de route.

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Globalement le tendance est à un nivellement par le bas des films d'action

 

Dis, Chronos, commence pas à jouer les vieux qui pensent que tout fout le camp: tu veux VRAIMENT te rappeler des films d'action des années 80? Les direct en vidéo produits au kilomètre (par les ricains surtout), les American Ninja (1, 2, 3....), les Chuck Norris en pagaille (qui a déjà subi Delta Force?).... Ou ceux des années 60-70? Entre la Blaxploitation, les Dracula sur la planète des vampires, Zardoz, et autres productions action/SF du genre, je ne pense pas que les merdasses produits en quantité d'aujourd'hui rabaissent le niveau: chaque époque produit 95% de pourriture qui seront oubliées avant la décennie suivante :happy: .

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Dis, Chronos, commence pas à jouer les vieux qui pensent que tout fout le camp: tu veux VRAIMENT te rappeler des films d'action des années 80? Les direct en vidéo produits au kilomètre (par les ricains surtout), les American Ninja (1, 2, 3....), les Chuck Norris en pagaille (qui a déjà subi Delta Force?).... Ou ceux des années 60-70? Entre la Blaxploitation, les Dracula sur la planète des vampires, Zardoz, et autres productions action/SF du genre, je ne pense pas que les merdasses produits en quantité d'aujourd'hui rabaissent le niveau: chaque époque produit 95% de pourriture qui seront oubliées avant la décennie suivante :happy: .

 

Rassures-toi, j'ai vu plusieurs Steven Seagal. J'ai Commando et Conan en DVD, j'ai même vu un flic à la maternelle et L.A. Takedown. J'ai une idée assez précise d'où on vient t'inquiète. ;)  J'aurai la décence de ne pas dire trop fort que le meilleur film sur la brigade légère était avec Errol Flynn, que Captain Blood reste sympa à regarder malgré un canevas totalement dépassé et qu'il date de 1935 ; et que depuis 50 ans personne n'est parvenu à tourner Rio Bravo comme il le fut, n'en déplaise à Carpenter.

 

Par contre ce qui est certain c'est que la décennie 2000 n'a pas vu sortir un truc comme Bullit. Ce qui manque depuis le début des années 2000 Amha c'est un ou deux films grand public majeurs, qu'on oublie pas dans la masse, que tu peux taper dans une conversation et voir le regard de tout le monde s'illuminer. ça veut pas dire qu'il y en a des mauvais mais que le haut du panier décline quand même un peu tu trouves pas ? Le cinéma américain des années 50-60-70, tout en produisant des bouses, produisaient également plus de films de très bonne facture qu'aujourd'hui. Ceci ne se limite pas au plan technique mais concerne les talents, les histoires, les personnages crées et produits.

 

Et pour faire mon chieur, ouais, quand tu foutais Bud Spencer et Terence Hill dans un nanard t'étais sûr de te marrer. Maintenant c'est même plus certain. Si on prend le cinoche d'action au sens large dans les années 60, on peut rallier sans trop forcer dans l'action classique, le western, un peu de SF passable. on peut ratisser relativement large et trouver pas mal d'excellents films, alliant parfois action et autre chose.

Modifié par Chronos
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Par contre ce qui est certain c'est que la décennie 2000 n'a pas vu sortir un truc comme Bullit. Ce qui manque depuis le début des années 2000 Amha c'est un ou deux films majeurs, qu'on oublie pas dans la masse. ça veut pas dire qu'il y en a des mauvais mais que le haut du panier décline quand même un peu tu trouves pas ?

 

Non, pas vraiment, même si j'ai pas, là tout de suite, d'exemples en tête (y'a d'autres choses dedans pour l'instant). J'ai plus l'impression qu'on sur-sacralise le passé (déformant notre perception), et/ou qu'on se rappelle avec plus de préjugés favorables ce qu'on a vu et aimé dans sa jeunesse (qui sait si t'aimerais autant Bullit si tu le découvrais aujourd'hui, APRES avoir vu ce qui s'est fait depuis?), quand on découvrait ses trucs avec des hormones jeunes et naïves, qu'on avait pas encore les ficelles et mécanismes en tête qui font d'un film ou d'une série une collection de clichés et de trucs cousus de fil blanc....

 

J'ai personnellement plus l'impression d'une meilleure qualité moyenne des films. Pour le très haut du panier, on peut à mon avis débattre sans fin. Mais ça amène aussi à un examen de l'évolution de l'industrie du cinéma: le professionnalisme n'a pas changé, les moyens de bien produire ont progressé (notamment par le fait que beaucoup de trucs qui étaient impossibles, à peine possibles, très compliqués et de toute façon hors de prix ou très chers sont aujourd'hui très accessibles, faciles, et moyennement, voire peu coûteux), mais les films ambitieux ont intérêt à pas être trop novateurs, parce que les décideurs de l'industrie (seule à pouvoir dispenser les budgets importants) sont pas vraiment des gens capables de prendre des risques (ce qui ne les empêche pas pourtant de se prendre des gadins à répétition). L'innovation vient plutôt d'autres pays, comme l'Australie, l'Afrique du Sud, le Canada, l'Asie du Sud Est, l'Amérique du Sud, mais tous leurs films ne passent pas forcément l'épreuve de la distribution mondiale. Je note cependant l'excellent District 9, qui a fait l'événement et amené son réalisateur à Hollywood (il vient de faire Elysium), comme exemple de productions ambitieuses avec peu de moyens.

Alors le film qui marque une génération, ça dépend de trop de facteurs subjectifs (et personnellement, Rio Bravo n'a jamais fait accélérer mon rythme cardiaque.... Comme tout film avec John Wayne); mais généralement, j'ai tendance à constater que la génération marquée a entre 15 et 25 ans au moment où elle consacre le film. C'est pas les trentenaires (et les plus âgés) qui "décrètent" qu'un film est désormais un monument historique. Sans trop verser dans ce registre, il y a cependant un fait acquis, qui est que l'esprit désormais nettement plus "managérial" du cinéma, l'augmentation des budgets moyens (qui compliquent le développement des projets, rendent plus peureux, entravent la prise de risque, accroît l'importance de "critères" supposés de réussite, ferment les portes à beaucoup de projets....) et la tendance un peu plus prononcée à un certain conformisme dans les projets d'une certaine ampleur, ont amené à une sédimentation d'Hollywood sur le plan du cinéma, ce qui faisait dire à David Lynch que l'avenir de la création audiovisuelle réellement innovante se trouvait dans les séries télé et webséries, parvenues à une maturité intéressante et à un niveau de concentration de moyens techniques et humains, de capitaux et de moyens de diffusion réellement impressionnants.

Et c'est vrai que la scène télé, c'est indiscutable, a atteint un très haut niveau par rapport aux décennies précédentes: les séries de tous formats et autres productions télé sont de plus en plus ce qui donne le ton, et le lieu de la nouveauté et de la surprise. Pas toujours évidemment, mais c'est de cette masse qu'émergent les bonnes histoires.

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Attention mon commentaire était réservé au cinéma américain. Peut-être que j'idéalise ouais. J'ai beaucoup aimé District 9 et je l'ai volontairement écarté de mon champ d'analyse (tout comme Coriolanus, dans un registre moins action, tentative mitigée de Fiennes même si la Légion romaine en Multicam c'est super :happy: ). Tout comme d'autres films comme Tropa de Elite, notamment, et je caresse pas mal d'espoir dans le robocop (d'ailleurs Padhila a failli péter une case à ce qu'on dit, la production lui a refusé ses idées en bloc ce qui ne surprend guère s'il envisage le concept comme on peut voir le BOPE de Rio) à venir, ou dans George Miller supposé revenir avec un Mad Max 4. Oui, la qualité technique moyenne est indubitable. Par contre j'ai l'impression qu'ils vivent dessus, justement par managerialisme. Ce qui me fait aussi penser que les jeux vidéos sont un avenir potentiellement plus diversifié que le cinéma type Hollywood.

 

Sans trop verser dans ce registre, il y a cependant un fait acquis, qui est que l'esprit désormais nettement plus "managérial" du cinéma, l'augmentation des budgets moyens (qui compliquent le développement des projets, rendent plus peureux, entravent la prise de risque, accroît l'importance de "critères" supposés de réussite, ferment les portes à beaucoup de projets....) et la tendance un peu plus prononcée à un certain conformisme dans les projets d'une certaine ampleur, ont amené à une sédimentation d'Hollywood sur le plan du cinéma, ce qui faisait dire à David Lynch que l'avenir de la création audiovisuelle réellement innovante se trouvait dans les séries télé et webséries, parvenues à une maturité intéressante et à un niveau de concentration de moyens techniques et humains, de capitaux et de moyens de diffusion réellement impressionnants.

Et c'est vrai que la scène télé, c'est indiscutable, a atteint un très haut niveau par rapport aux décennies précédentes: les séries de tous formats et autres productions télé sont de plus en plus ce qui donne le ton, et le lieu de la nouveauté et de la surprise. Pas toujours évidemment, mais c'est de cette masse qu'émergent les bonnes histoires.

 

 

Ou Coppola (ou était-ce Leone) qui avançait récemment que Hollywood tournait le même film depuis 25 ans et que le cinéma, en tant que création, était d'"auteur".

 

Mais rassures-toi, je peux encore être sauvé. C'est pas parce que je grogne que tu me feras m'asseoir sans mal devant un Rohmer ou une œuvre truffaldienne :P.

Modifié par Chronos
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Rôôôh, on les caricature, ceux là. M'font chier aussi..... Mais quelqu'un a t-il jamais songé à leur donner un budget (un vrai) et un cahier des charges de film d'action? Tu crois qu'ils en auraient fait une prise de tête tendance laxatif-soporifique en une seule pilule?

 

Mine de rien, dans la "banalisation" des "grands" films actuels, faut aussi noter le rôle du marketing et de l'abondance de productions tous médias confondus: qu'on le veuille ou non, on est saturés et blasés, ce qui rend plus difficile d'en voir, dans nos esprits, certaines qui émergent. On est littéralement agressés de toute part par la pub, plus que dans les décennies précédentes, et plus souvent dans nos journées, et saturés de fiction, plus accessible, plus consommable qu'avant parce qu'à la demande et ne nécessitant même pas d'être à domicile et d'avoir à guerroyer pour le pouvoir de contrôle de la programmation du jour (on a un film ou une série quand on veut où on veut), comme il y a encore une quinzaine d'années seulement, où la fiction dépendait d'une télé (pas forcément plus d'une dans un domicile, pas accès tout le temps, pas forcément contrôle sur elle), de la programmation des chaînes dispo et/ou du choix physique disponible pour l'achat ou la location de vidéos. Mine de rien, le cycle connaissance-choix-acquisition-consommation (la boucle OODA du geek cinéphile/téléphile) était mille fois plus lent, aboutissant à une consommation annuelle infiniment moindre. A l'arrivée, cumule quelques années au rythme de l'époque internet/numérique/supports mobiles, et tu dois avoir le cerveau saturé sans t'en rendre compte. Essaie de pas être blasé malgré toi.

 

Mais je le répète, en toute objectivité (évidemment) :happy: : John Wayne = caca!!!!!!!!

 

 

Sinon, je sais un peu pourquoi j'ai pas trop de films à te balancer pour avoir des "Bullits de notre époque".... Je suis pas un grand fan de polars :-X  et j'en mate pas des masses (et perso, Bullit m'a jamais paru inoubliable, du coup). L'ambiance flics et voyous, à quelques exceptions près, m'ennuie généralement, qu'il y ait de l'action ou pas. Si un truc me plaît (d'ailleurs plus souvent en série qu'en film), c'est souvent pour d'autres raisons: liens avec quelque chose de plus grand (actualité/monde réel, mélange avec un autre genre....), bon angle d'approche du réalisateur (enfin "bon".... Original.... Ou "qui me parle", "qui sort du genre"), personnages/trames personnelles.... Mais en général, flics et thrillers, bof: me font pas thriller.

 

Enfin sinon, notre époque produit quand même des films choquants et violents: Sex and the City, le journal de Bridget Jones, Twilight.... Pour des raisons diverses, j'ai du me payer ces trucs.... On souffre! C'est pas pour les tapettes, de pouvoir endurer ça (surtout TOUS les twilights)! Saloperies de gamins qu'il faut accompagner. Les autres décennies ont rarement fait aussi violent et sans compromission.

Modifié par Tancrède
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Finalement moi c'est devant les films qui ne se prennent pas au sérieux que je prends le plus de plaisir en général tant les films qui se veulent réalistes sont à côté de la plaque.

 

J'ai vu hier G.I. Joe : Retaliation et j'ai adoré ! Et un arsenal du feu de Dieu !

 

gi-joe-retaliation-20120419054152702.jpg

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Kiri: tu sors! Il faudra que l'on mette en place des points d'avertissements pour "mauvais goût flagrant"!

Pas Gi Joe 2!

 

@Tancrède: je comprends la douleur pour Toiwlette, j'ai vu le dernier au ciné (les regards plein de compassion entre gars blasés accompagnant une nana, par contre les duo de djeunes, j'ai toujours pas compris...)

 

@ Chronos: Tropa d'elite (1 & 2) est une perle à mes yeux: scénario haletant, brut, réaliste et évitant tout manichéisme. C'est du corrosif, un bon mélange de dénonciation et d'action. 

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Bouef, je l'ai trouvé à chier. Autant le premier m'avait fait marrer (et son scénario était impeccable: Rachel Nichols et Sienna Miller en combi moulante), autant çui là.... Mais c'est vrai qu'il y a un fort effet des séries B et Z dans la motivation de visionnage, de revisionnage et -éventuellement- d'achat: on revoit quand même plus facilement les films sans scénar que ceux avec. Ceux avec, la surprise passe une fois. Après, meilleur a été le film, plus il faut attendre avant d'avoir plaisir à le revoir. Tandis que les bouses et semi bouses (et un peu moins bouses) d'action et films sans trop d'ambition scénaristique mais reposant sur leurs scènes, leur style, leurs clichés (Tarantino est un des noms de ce genre; jamais un film réellement bon, mais la plupart filent du plaisir), on se les paie et se les repaie sans fin. Comment invoquer le Geek qui est en nous.

Modifié par Tancrède
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Kiri: tu sors! Il faudra que l'on mette en place des points d'avertissements pour "mauvais goût flagrant"!

Pas Gi Joe 2!

 

@Tancrède: je comprends la douleur pour Tancrède, j'ai vu le dernier au ciné (les regards plein de compassion entre gars blasés accompagnant une nana, par contre les duo de djeunes, j'ai toujours pas compris...)

 

 

C'est quand ils ont pas trouvés de nana acceptant de voir un film pareil. Ou qu'ils refusèrent de s'abaisser à aller voir le nanard favori de la nana :D. Et y aller tout seul revient à être un naze. Et puis ils se cherchent les pauvres avec tout ce qu'on leur raconte à la télé savent plus trop bien.  >:D 

 

@ Chronos: Tropa d'elite (1 & 2) est une perle à mes yeux: scénario haletant, brut, réaliste et évitant tout manichéisme. C'est du corrosif, un bon mélange de dénonciation et d'action.

 

 

Aaaaaah enfin ! :D

Modifié par Chronos
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Fait chier Chronos: j'arrive pas à me sortir ce que tu m'as remis en tête: soudain l'envie de me remater un Trinita! Et j'ai honte! Et c'est bon la honte ??? !

 

 

Sinon un autre angle pour voir l'évolution du cinéma sur un sujet:

- les années 80 nous avaient donné Navy Seals (si, si, faites pas les faux ignares: Charlie Sheen et Michael Biehn)

- les années 90 nous ont donné GI Jane

- les années 2000 nous ont donné Act of Valor

Comme quoi, le cinéma a un truc à régler avec les hommes grenouilles de la Navy.... Y'a vraiment que Sam Axe (dans la série Burn Notice) pour redonner un peu d'espoir à l'institution. Sam Axe rules :happy: !

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Raaaaah! J'ai été eu! Quel coup de vache! Mais bon, lui c'est qu'un personnage secondaire et dans une série. Sam a eu droit a son film.... Enfin un film télé. Et Sam est le vrai personnage central de Burn Notice, tout le monde le sait! Il est culte!

M'enfin je répète tout qu'est-ce que j'ai dit, avec l'amiralavocat en plus: l'audiovisuel en veut aux SEALs. Ils leur ont fait quoi?

Tiens, et je te relance avec une perle: The Pacifier, avec Vin Diesel jouant aussi un Seals.... Et le coup de grâce: Under Siege! J'avais oublié que le perso de Seagal était un Seal.

 

Ou le triplet: Navy seals (déjà cité), Abyss et the Rock.... Où les Seals sont dirigés par Michael Biehn dans les 3 cas: ils sont pas à leur avantage dans 2 des films, et le 3ème, dont ils sont les héros, est.... Ce qu'il est. Michael Biehn est en guerre contre l'unité?

Modifié par Tancrède
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C'est le mélange parfait du Marines (le guerrier) et du matelot (voyage sur les 7 mers) sans la partie "jeconnaisletarifdetouteslesputesaumonde" et en plus ils sautent en parachute. Un petit parfum de secret sans avoir l'image crasse du barbouze revenant du Viet Nam.

 

Celui qui est toujours là pour servir son pays et même quand il quitte les forces armées.

On en a oublié un, le plus célèbre moustachu de la télé:

Magnum_1980_Magnum_P-1.I._1.jpg

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