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Manu

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L'armée française chercherait à vendre 120 chars Leclerc

PARIS (Reuters) - L'armée française cherche à vendre à un pays étranger 120 chars Leclerc d'occasion, soit un tiers de son parc de chars de bataille, écrit Le Point.fr.

La nouveauté vient du fait qu'il ne s'agit pas de chars qui seraient fabriqués par leur constructeur, mais d'engins en dotation dans l'armée française, qui compte 350 Leclerc aptes au combat, souligne l'hebdomadaire.

Les engins d'occasion seraient remotorisés par une société allemande et mis au standard "SX", avec caméra thermique et climatisation.

Contacté par Reuters, l'état-major des armées n'a pas commenté cette information dans l'immédiat.

Selon Le Point.fr, le premier client potentiel approché a été l'Arabie saoudite, qui a décliné l'offre.

"On se rend compte aujourd'hui que 400 chars Leclerc ne représentent pas nécessairement l'équipement prioritaire pour nos armées", avait déclaré en septembre dernier le ministre de la Défense, Hervé Morin.

Les promoteurs du dossier mettent plus prosaïquement en avant des raisons financières, les seuls chars Leclerc consommant entre un quart et un tiers du budget affecté au maintien en condition opérationnelle (MCO) de l'armée de Terre, croit savoir l'hebdomadaire.

Les quinze chars Leclerc déployés au sud-Liban depuis 2006 grappilleraient ainsi, à eux seuls, la moitié des crédits du char de bataille français.

Gérard Bon

Bon, il va falloir s'habituer à avoir une armée de parade pour le 14 juillet  :-[

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En tout cas avec tout ce qu'on taille, si il n'y a pas d'argent disponible c'est vraiment a se demander comment on faisait avant ... ou c'est que l'argent a été reversé au budget général mais ça je n'ose meme pas l'imaginer.

Tout ça ressemble a un "coup d'acordéon": on fait une diète sévere, ça taille de partout et une fois qu'on a de la disponibilité on se remet a dépenser. C'est en général assez efficace: les anciennes dépenses ne sont pas toujours rationnelles, les nouvelles dépenses sont souvent beaucoup plus refléchies.

Par exemple, si on avait  de la disponibilité aujourd'hui, est ce que c'est dans les chars qu'on investirait ? peut probable, les helicos passeraient avant.

Pour ce qui est des chars, et tout le reste d'ailleurs, l'essentiel, a defaut de menace, ce n'est pas la quantité mais le savoir faire. Perso je préfere avoir moins de chars mais plus de r & d et de prototypes, tout en sachant qu'au besoin ont pourrait faire remonter la production (et la formation des tankistes) assez rapidement.

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Mais, ce n'est pas très excitant du point de vue comptable.

Alors que, "réalisation des actifs"  "recentrage sur le coeur de métier" ça oui, Cela titille et excite le manager....

oui mais c'est une belle c.....e !!! >:( >:( >:(

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oui mais c'est une belle c.....e !!! >:( >:( >:(

Une de plus une de moins  :-[

La France est pointé du doigt comme le plus mauvais éleve niveau budget, et Bruxelles estime que les reponse du gouvernement sont inadapté a la "crise économique", et pas respectueuse des engagement européen de la France.

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Une de plus une de moins  :-[

La France est pointé du doigt comme le plus mauvais élève niveau budget, et Bruxelles estime que les réponses du gouvernement sont inadapté à la "crise économique", et pas respectueuse des engagements européen de la France.

misère

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Oui Roland, comme en 39 / 40..... On était aussi les rois du prototype  =D

Je ne voit pas ce que tu cherches a me dire là  :rolleyes:

A part que tu donnes de l'eau a mon moulin: si en periode de paix, disons les années 20/début des années 30, on avait réduit notre armée plethorique pour investir le meme budget en r & d, on aurait pas pris du retard, notament en aviation puis, lorsque la menace s'est précisé, a partir de 1935, si on avait lancé la prod en grand sur un matériel top niveau, ça n'en aurait été que meilleur en 39/40 non ?

Ceci dit, notre probleme de 39/40 n'était pas tant un probleme de matériel qu'un probleme de doctrine et d'ouverture d'espris en général du haut commandement, donc je ne pige pas vraiment ta logique là.

Il y a déjà peut de chance que ça se mette a bastonner serieux en Europe et si ça arrive dit moi pas qu'on y verrait pas venir. Si on maintient le savoir faire et la tradition guerriere, il faut pas plus de 5 ans pour faire monter les effectifs en flèche. Si on perd le savoir faire, ça mettra beucoup plus de temps. C'est pour ça qu'il faut continuer a faire de tout, meme si c'est en format réduit et investir les sommes dégagées dans la r & d et le maintient au top niveau des unitées qui restent.

Si j'ai bien compris Tancrede, c'est a peut pres ce qu'il pense sauf que je n'ai pas saisi pourquoi la réduction du nombre de Leclerc le rend furieux.

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Gné??? Pourquoi chuis mêlé à ça moi?

Voire mon explication dans le sous-forum "Armées de terre européennes" sur le topic convernant la vente des chars.

Chuis pas contre la réduction en soi (quoique je préfère des RC64 à des RC60, rapport à l'histoire des pelotons de 4), mais chuis contre la vente: je préfère la mise en réserve sous cocon, afin de préserver un RC60 (ou 64) en réserve, avec des équipages AMX-10RC gardant la double qualification, pour que ce RC en réserve ait un corps éventuel de redémarrage expérimenté.

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Autre moyen de faire des économies ?

LesEchos.fr, 30/04/08,

"Défense : la durée des contrats d'entretien du matériel s'allonge

Les industriels de l'armement qui réclament à cor et à cri au ministère de la Défense des contrats de maintenance sur plusieurs années en échange d'une baisse des prix sont-ils en train d'obtenir gain de cause ? Plusieurs négociations en cours le laissent croire. C'est le cas notamment pour le véhicule de l'avant blindé, le VAB. Renault Trucks Defense, qui le construit, est sur le point de se voir notifier un contrat de huit ans, avec une première tranche ferme de quatre ans. La Direction centrale du matériel de l'armée de terre, la DCMAT, a déjà conclu pour d'autres matériels des marchés de dix ans. Mais, au-delà d'une première tranche ferme de 12 à 18 mois, les contrats ne prévoient par la suite qu'une succession de tranches conditionnelles. Un pas important pourrait donc être franchi avec les VAB.

Anticipation

Même mouvement du côté des navires. Les tranches fermes accordées par le service de soutien de la flotte à DCNS se situent actuellement entre trois et cinq ans en moyenne, selon le groupe naval de défense. Elles devraient passer de cinq à sept ans. Autre cas, celui du Rafale. L'avion de chasse entre peu à peu en service dans l'armée de l'air. Sa maintenance fait l'objet de trois marchés auprès de Thales pour l'électronique, Snecma pour les moteurs, et - bien sûr - Dassault pour la plate-forme (environ 25 % du total). Ce dernier est lié par un contrat de quatre ans qui arrive à échéance cet été. Anticipant sa renégociation, l'avionneur a fait une proposition non sollicitée portant sur un contrat de dix ans avec, affirme-t-il, une réduction du coût de l'heure de vol de 20 % à la clef. « C'est vrai uniquement sur le poste réparation. Si l'on prend tout en compte, traitements de faits techniques notamment, la réduction est nettement inférieure », affirme la Simmad, la structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels aéronautiques du ministère de la Défense. N'empêche, le cabinet du ministre n'a pas d'a priori à contracter sur une telle durée.

Engagement

Pour un industriel et ses sous-traitants, rien de mieux qu'un engagement sur le long terme de son client. En échange de cette garantie de revenu, et donc d'un plan de charge stabilisé, l'Etat peut espérer voir sa facture baisser. Pour le ministère de la Défense, c'est d'autant plus intéressant que le « poste » maintenance a explosé sous le double effet du vieillissement des matériels et de la sophistication des nouveaux programmes. Mais il lui faudra pour cela mettre fin à une (mauvaise) habitude. Pour faire des économies, l'Etat a (très) souvent sabré dans les crédits d'entretien des armées, au détriment de la disponibilité des matériels. Contracter sur plusieurs années impose d'engager des crédits dans la durée. C'est donc se priver d'une variable d'ajustement budgétaire. Mais on ne peut pas tout avoir..."

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Le sujet des contrats de maintenances appliqué à certains matériels militaires est une possibilité de réduction sensible des coûts si, et seulement si, elle est accompagné d’un cahier des charges, une expression du besoin, particulièrement précise.

Chacun sait que le coup de possession d’un système d’arme inclus l’ensemble du segment maintenance, qui tout bonnement atomise la facture totale. C’est vrai aussi pour des matériels moins « nobles », notamment pour tout ce qui est lié à la mobilité terrestre.

La mobilité terrestre, comme tout autres composantes des outils de forces, a été impacté de façon importante après 1997. Les ateliers de 2 eme échelons d’unités (2A) ont été intégrés avec les ateliers régimentaires (2B) afin d’alléger le dispositif de soutien  auto régimentaire (dit AEB pour auto engins blindés). De ce fait chaque unité ne possède plus d’équipe propre sur son TED (tableau des effectifs d’unité, appelé aussi DO pour document unique) à l’entretien de son parc auto, char ou engins, mais se voit doté d’une équipe lors de chaque mouvement (manœuvre, Opex , écoles à feu….). Dès lors cette articulation a permis de faire maigrir significativement le personnel et le matériel dédié au soutien direct des unités. L’atelier régimentaire devenant alors un « prestataire de service » détachant deci dela des équipes de soutiens en fonction des activités d’unités. Satisfaction réelle du résultat (allégement du dispositif matériel et humain), les RETEX de cette articulation nouvelle annonçaient pourtant déjà les prémices d’une forme de « contrepartie » insidieuse.

Le fait de laisser chaque unité privé de son  atelier en permanence faisait que chaque petit bobo mécanique n’était remonté à l’atelier régimentaire que sur le tard, souvent trop tard pour n’être qu’un petit bobo.

En gros on attendait le dernier moment pour aller au garage (un peu comme ma femme)  ;).

Dès lors le gros bobo nécessitait un gros pansement, genre échange de sous-ensembles, car comme chacun le sait, la moyenne d’age du parc de certains régiments a allégrement passé…les 30 ans. Le ratio des heures pondérées par type de matériels atteint des sommets passé un certain potentiel, normal c’est l’age.

Cette pratique courante à l’échelle d’un régiment change considérablement la donne du MCO( coûts des pièces détachées, heures de mains d’œuvre, délais d’approvisionnement, délais d’indisponibilité….) et concourt au fil des activités menées à un rythme soutenu à une perte totale de ce que l’on appel l’entretien curatif du 1er échelon. En bref il n’y a plus en unité le gendarme « mécano » pour superviser au plus près le parc, donc on délègue à un officier « échelon ».

Le parc d’une unité varie de 40 à 80 unités. Comme la pratique de mise consiste en général à surmultiplier les casquettes de tout officier en unité (officier bouche à feu, officier adjoint chef de section, responsable foyer, officier sécurité, officier transmission, officier mobilisation…), la composante auto devient par priorité des urgences dans l’unité la dernière roue de la charrette (un comble). La synthèse donne pour résultat la réémergence de l’entretien curatif dans un volume particulièrement indigeste pour l’atelier régimentaire.

J’y ajouterai une autre remarque concernant l’indigestion nouvelle des ateliers régimentaires. Lorsque l’unité comptait dans ses effectifs un atelier de soutien, celui-ci travaillait aux quartiers ( et même parfois sur le terrain) à l’entretien préventif  de 2eme échelon, donc soulageait significativement l’atelier régimentaire. La recentralisation de l’activité « post-1997 »  a permis d’alléger le dispositif humain du soutien en fermant des postes de mécaniciens, donc de diminuer la voilure de l’atelier régimentaire.

Hors le nombre de matériels générique dans une formation, lui, n’a pas été impacté. Déjà la aussi il a fallu revoir les procédures de maintenance, et par là même diminuer encore le ratio homme/matériel au détriment de la qualité général du soutien. Cette dernière solution était encore relativement équilibrée au début 2001, mais est apparu alors une autre forme larvée de dégénérescence du soutien. Le coût du soutien (MCO, DTI, DTO) explosant beaucoup trop, les régiments (avec accord de la DCTMAT) ont adapté l’insuffisance de maintenance en pratiquant la cannibalisme sur les véhicules non utilisés en manœuvres, OPEX et autres.

Dès lors une unité de retour aux quartiers voit son parc auto et char devenir l’objet d’une dilapidation au profit des autres unités. Sa vocation AEB devient alors  « le pompier » des autres unités. On assiste partout à une véritable foire aux cochons du parc auto. A un tel  point que cet effet de cascading est devenu une composante naturelle de la gestion matériel des formations, avec tout les effet pervers qui l’accompagne ; non suivi technique normal des véhicules ( curatif et préventif), quasi impossibilité de gestion des potentiels à l’échelle régimentaire et pour finir forte propension à augmenter l’ardoise.

Je n’ai pas forcément les bons mots pour décrire cet état de fait et regrette parfois la verve de certains pour illustrer mes propos. Mais je le dis tout net, les contrats de maintenance liés à la mobilité terrestre ne sont pas une réponse pertinente à l’ensemble de cette problématique ( coût, délais, dispo et durabilité des matériels).

L’externalisation ou sous traitance du soutien technique des véhicules,chars et engins est selon moi uniquement un appoint  à utiliser avec parcimonie au niveau des 3eme et 4 eme échelon du MEC, très en amont du soutien opérationnel. Donc que l’on ne se berne pas avec des solutions « clés en mains » des constructeurs, on en a pas les moyens.

Du reste comme je les comprend de réclamer à cor et à cri au ministère de la Défense des contrats de maintenance, imaginez la véritable niche que représente le contrat pour des VAB, des PVP, des TRM ou des VLRA

Un exemple modeste, mais tellement révélateur, me vient à l’esprit. Le démarreur électrique d’un GBC8KT acheté chez Renault truks c’est 1,8 fois le prix du même acheté chez un équipementier. Vous savez, le GBC8KT, celui là même que l’on a laissé en nombre  il y a quelques années en quittant  Oran et à Alger et dont on a doté notre détachement au Liban avec les AMX10P et autres AUF1 il y a quelques mois.

Imaginez donc ce que représente pour un constructeur un contrat de maintenance (même pour du 4eme échelon) sur ce type de matériel….  ;)

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Oui Roland, comme en 39 / 40..... On était aussi les rois du prototype  =D

Bien vu, effectivement les 30 ans de chiraco-socialisme ont ramené la France à une situation équivalente à ce qu'elle était dans la fin des années 30 (Front Populaire), c-à-d à genoux économiquement et industriellement. >:(

Heureusement pour nous, l'Allemagne n'est pas dans la même situation de 1930.  =D

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Bien vu, effectivement les 30 ans de chiraco-socialisme ont ramené la France à une situation équivalente à ce qu'elle était dans la fin des années 30 (Front Populaire), c-à-d à genoux économiquement et industriellement. >:(

Heureusement pour nous, l'Allemagne n'est pas dans la même situation de 1930.  =D

Tiens encore un déclinologue, qui a appris l'histoire dans les bandes dessinés.... :lol:

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Le sujet des contrats de maintenances appliqué à certains matériels militaires est une possibilité de réduction sensible des coûts si, et seulement si, elle est accompagné d’un cahier des charges, une expression du besoin, particulièrement précise...

Merci pour cet exposé particulièrement intéressant sur la gestion du matériel.

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De rien g4lly  ;),

Comme dans toute affirmation, il convient de modérer les propos. Je ne milite pas ici pour revenir, même partiellement, vers le passé concernant le chapitre de la maintenance…. Je constate par expérience que du « tout fait maison » il y a encore une quinzaine d’année on prend une direction ou clairement la place de l’externalisation/sous-traitance séduit pas mal de monde et prend parfois des allures de solution miracle.

Techniquement ce sujet est effectivement idéaliste. En effet, quoi de mieux qu’un constructeur pour soutenir son matériel ? En gros et selon la pub consacré, « qui mieux que Renault peut entretenir votre Renault ? ». Seulement voila, malgré des allonges et rallonges de contrats de maintenance, aucune des deux parties (armée/constructeur) ne s’y retrouve sur le moyen terme et le long terme.

Le constructeur argue du fait que son matériel n’a pas été prévue pour tel ou tel utilisation (franchissement, autonomie, ajout ou suppression de sous ensembles…) et que dès lors un upgrade ou une reconstruction est nécessaire (CF les RMDV, remise à niveau à mi-durée de vie) avec une durée d’immobilisation inconcevable ou difficilement accepté par les militaires.

Par exemple un contrat sur 10 ans implique de facto au moins plusieurs upgrade, et encore à l’allure ou se développe le coté polymorphe de la menace lié à la mobilité terrestre des théâtres d’opérations actuels et à venir, il est nécessaire de rajouter BEAUCOUPS  d’impondérables dues aux RETEX du moment. Hors ces impondérables techniques à venir se paient au prix fort, très fort. Le constructeur n’aime pas les changements en cours de route, et il le fait savoir, du moins payer. Du reste sa position alors est forte, car il représente un partenariat incontournable pour la défense qui se retrouve, elle, scotché à l’upgrade…

Je citerai pour exemple le sur blindage des AMX10RC durant la 1ere guerre du golf, les lamelles compensatrices pour renforcer le châssis sur les TRM10000 CLD, la maîtrise d’ouvrage des caisses en aluminium de LRM, les rétrofit de GBC8KT en GBC180, le programme de revalorisation des SUMB….

Et ce malgré les excellentes prestations amont de la STAT.

Selon moi le soutien doit rester dual. A partir d’un certain degré d’intervention (4eme échelon et échelon constructeur) l’externalisation est à privilégier. Pour le reste, le soutien opérationnel incombe aux forces, et uniquement aux forces. L’armée doit conserver sa maîtrise d’œuvre et d’ouvrage pour l’opérationnel. Bien entendu ce discourt à l’heure ou tout se perçoit par la lorgnette du privé est à contre courant car il nécessite un coût. Mais alors plus que le prix de revient d’un tel virage, c’est la disponibilité technique immédiate qui se verrait ENCORE sensiblement amoindrie.

Je me permet un petit HS au passage pour signaler que le cap des 45 ans de bons et loyaux services a été passé par le GBC8KT N°° 223-0659, toujours en dotation dans un régiment, immatriculé en 1962…  ;)

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Le livre blanc était annoncé fin Avril...et toujours rien ! avez vous une date sur la sortie officielle ?

rien de plus énervant de ne rien savoir  =(

plus le temps passe et plus j'ai l'impression que la pillule va etre dure à avaler  :-[

Je ne suis pas sûr que l'annonce se fera avec tambour et trompette !!

Je prends les paris, qui d'après vous fera l'annonce, Sarko ou Morin ? Qui va se mouiller ?

Normalement, c'est le chef des armées qui doit effectuer ce genre d'annonce, donc Sarko...mais avec sa côte de popularité au plus bas....

Sinon, un "puntch" est il envisageable ? histoire de remettre les pendules à l'heure  ;)

Non, sérieux, y en a marre de ce gouvernement qui n'a pas l'air de savoir ou il va ! un jour, c'est blanc et le lendemain, c'est noir !

Y a t il moyen de faire pression sur les officiels, pour leur faire connaitre notre mécontentement !

Il me semble que dans le passé, un ministre qui effectuait une visite à st cyr a été reçu avec un "cao-bang",long-son" par les élèves suite à une decision politique d'évacuer ces avant postes et qui avait provoqué le desastre de la RC4 (Indo)...ou plus récement, la garde républicaine a refuser de présenter les armes au président pour une raison que je ne me souvients plus....

Imaginez, le 14 Juillet...le président passe en revue les troupes, il descend les champs élysée, il se place au milieu des ambassadeurs, des chefs d'états étrangers et de tout le gouvernement, et....les troupes refusent de descendre le champs  :O >:(

chiche ??

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Tiens encore un déclinologue, qui a appris l'histoire dans les bandes dessinés.... :lol:

Je suis pas un déclinologue, désolé, juste quelqu'un qui sait lire et penser tout seul comme un grand. Maintenant si tu crois que March Bloch c'est de la BD, c'est toi qui voix.

Si tu veux on peu faire un petit comparatif vite fait de ce que la France à accompli de l'après guerre à la fin des années 70 et ce quelle à fait depuis? tu aura beaucoup de mal à dire que la dégringolade vertigineuse dans les domaines économiques et industriels est une simple vue de l'esprit.

Je tiens tout de même à rectifier un point en effet. La situation de la France de la fin des années 30 n'est pas seulement dû au Front Populiste, mais aussi en grande parti à une droite ramollie du bulbe et des burnes, grosso-modo les antidreyfusards. 

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– Présentation du rapport d’information (n° 717) déposé en conclusion des travaux de la mission d’évaluation et de contrôle (MEC) sur le financement des projets d’équipement naval militaire (MM. Jean-Michel Fourgous et Bernard Cazeneuve, rapporteurs) 2

http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/07-08/c0708026.asp#P2_69

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