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Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale


Manu

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On transforme l'armée en entreprise rentable avec facturation interne.... =D Le premier ministre veut tant de types à tel endroit, ça coûté tant HT.... :lol:

L'Adt a besoin de transporter tan de types, facturation de la Marine à l'Adt.

Un pays a besoin de de deux régiments, ça coûte tant par jour, hors taxes et frais... :lol:

On pourrait faire de plaquette publicitaires genre : louez vôtre régiment de Légion; fourni avec équipement et entraînement garanti; le défile le jour de la fête nationle est offert pour la location de deux Rafys...

vivi.....prime au chiffre d'affaire pour les chefs de corps.... :lol: :lol: :lol:

putain on se marre, mais kekkifont les ricains en IRAK avec les 35000 H des societes privés de sécu.. ;)

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Jojo tu m'excuses mais ........... =(

Un de nos soldats "jeune et large d'épaules" vient de nous quitter, il ne connaitra jamais le combat de haute intensité non plus sauf qu'il est plus là. ;)

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TTU publie un "libre propos" qui pourrait bien nous éclairer sur des choix présidentiels à venir...

Source TTU

Une question stratégique majeure pour 2020

Le tir antisatellite chinois du début d’année 2007 a été un coup de tonnerre pour les débats sur la militarisation de l’espace (vulnérabilité des satellites aux agressions) et la pollution de l’Espace (débris sur des orbites utiles). Le silence gêné de plusieurs jours de l’administration américaine est passé un peu inaperçu mais mérite aussi une analyse : avec ses moyens satellitaires actuels, il ne fait guère de doute que Washington savait (d’autant qu’il est possible que certains services américains aient bénéficié d’une prénotification) et ont retenu l’information grâce à leur monopole technique. Compte tenu des enjeux économiques et stratégiques de l’utilisation des satellites, la démonstration ainsi faite des conséquences de la cécité européenne face à ce type d’évènements a désormais une valeur démonstrative de surprise stratégique.

Les tirs nord-coréens de 1998 ont été utilisés pendant une décennie pour souligner l’importance d’une capacité de défense antimissile mais aussi de suivi de la prolifération balistique : chaque tir de développement a une valeur de validation technique mais aussi de démonstration politique de puissance. La perspective d’un arsenal iranien de missiles à longue portée d’ici à 2020 est venue renforcer cette appréhension. La question des investissements dans un système spatial d’alerte avancée a ainsi retrouvé une nouvelle jeunesse.

L’évolution de la triade stratégie américaine, avec les orientations annoncées par la Nuclear Posture Review de 2001 et mises en œuvre depuis, peut aussi réserver «une surprise stratégique» qui s’imposera dans les années à venir : l’impact de l’arrivée de capacités conventionnelles tant défensives (Missile Defence) qu’offensives (Prompt Global Strike). La perspective pour 2020 de tirs de missiles balistiques conventionnels – même si elle est très limitée en nombre et a priori réservée à des cibles de très haute valeur et fugaces – change les enjeux d’une capacité de suivi de ces phénomènes, ne serait-ce que pour éviter des méprises tragiques.

Même en se limitant à ces trois considérations, il devient clair que disposer d’une capacité d’alerte avancée sera un élément technique important pour juger des ambitions que chaque pays voudra conserver ou acquérir dans les équilibres de demain.

Une capacité pour quoi faire ?

Le programme américain SBIRS témoigne de la grande complexité des nouveaux projets d’alerte avancée à partir de l’espace. La transition doit s’opérer d’une surveillance jusque-là essentiellement axée sur les missiles balistiques intercontinentaux (soviétiques qui plus est, c’est-à-dire géographiquement repérés) à celle de missiles de plus courte portée (c’est-à-dire moins facilement détectables) répartis sur des théâtres d’opérations potentiellement nombreux. L’existence à travers le monde d’une dizaine de programmes de missiles balistiques de courte ou de moyenne portée, à propulsion liquide ou solide, rend cette mission de plus en plus compliquée.

On le sait, qui trop embrasse souvent mal étreint. Le programme américain d’alerte vise à atteindre un niveau élevé de polyvalence : objectifs de surveillance et de détection des tirs, mais aussi de protection des troupes, voire de défense du continent nord-américain tout entier, en identifiant les têtes nucléaires et en fournissant les données au système d’intercep­tion final. Les difficultés techniques s’amoncellent et, à l’issue d’un quadruplement des coûts de développement, d’années de retard sur les plans initiaux, seules certaines des premières charges utiles ont été mises en orbite. A ce jour, le coût des programmes de satellites est estimé à 20 milliards de dollars jusqu’en 2020.

En conclusion, le système d’alerte américain se modernise, mais il ne répondra pas avant longtemps à l’ensemble des missions qu’on lui fixe. Détecter précisément le départ de missiles à courte portée ou identifier à mi-course les têtes nucléaires présentes dans les cortèges balistiques de missiles intercontinentaux sont des objectifs qui présentent de nombreux défis techniques. Un système pleinement opérationnel semble encore hors de portée.

Les missions d’un système d’alerte avancée, comme nous pourrions l’envisager en Europe, se rapportent en fait à deux objectifs distincts : la surveillance des efforts de prolifération, d’une part, et la mise en place d’une véritable architecture de défense (comme l’envisagent les Etats-Unis), d’autre part.

La surveillance de la prolifération participe du renseignement sur le potentiel technique d’éventuels adversaires. En cela, elle constitue une mission à part entière pour laquelle on peut choisir de définir un système adapté. Elle suppose que ce système soit sensible mais n’impose pas obligatoirement une couverture mondiale, sauf à vouloir suivre des proliférations de pays lointains comme la Corée du Nord. Elle suppose d’enregistrer les caractéristiques des pistes d’intérêts, mais n’exige pas les mêmes précisions pour le suivi du missile porteur. Pas plus qu’elle n’exige les fonctions complexes de discrimination nécessaires à un éventuel système d’interception. La technologie reste compliquée mais sans doute abordable. La mise en place de charges utiles en orbite doit permettre l’enregistrement de signatures d’objets qui tout à la fois nourrissent un dictionnaire d’objets d’intérêt en même temps qu’elle permet l’acquisition progressive de compétences tant techniques qu’opérationnelles. La valeur d’un tel système réside précisément dans l’apport de nouvelles informations sur une menace envisageable à moyen terme. Il se justifie par le regain de crédibilité qu’il apporte aux moyens de défense, de l’exercice de la contre-force à la menace de rétorsion stratégique. Savoir et faire savoir que l’on sait et que l’on peut attribuer à un pays un tir demeurent sans doute les valeurs sûres d’un système spatial de surveillance de la non-prolifération.

La dimension spatiale n’est qu’un des éléments d’un système d’alerte avancée. L’enjeu n’est pas mince face à des cibles peu détectables et la fonction de détection pose dans tous les cas des problèmes difficiles. Les missiles à courte portée (notamment à propulsion solide, dont le jet est moins longtemps visible) restent difficiles à traiter depuis l’espace. La mise en place de moyens principaux performants (au sol ou aériens), pour des systèmes de défense anti-aérienne élargie demeure sans doute la solution à préférer. En revanche, les moyens spatiaux prennent tout leur sens pour les missiles balistiques de portée intermédiaire (aux environs de 3 000 km), dont la vitesse et la capacité de pénétration en font des menaces majeures. Suivre le développement de ces moyens, apprécier la menace balistique au niveau stratégique devient aujourd’hui un enjeu à part entière.

Cette fonction de surveillance doit permettre ensuite d’adapter les mesures défensives, parmi lesquelles le système de défense anti­balistique, la fameuse architecture de défense, ne représente finalement qu’une modalité. Elle est à l’étude aux Etats-Unis, à un moindre titre en Europe à travers une série d’études Otan. Elle reste hypothétique du triple point de vue technique, opérationnel et politique. La mise en place d’un système spatial de surveillance de la prolifération n’implique pas la mise en œuvre d’une défense antimissile. Dans tous les cas, un tel système contribue aux moyens de défense du moment sans obérer de choix trop engageants.

Un avenir possible : surveillance de la prolifération dans une optique européenne de sécurité

Dès lors pour l’Europe, peu de choix stratégiques paraissent aujourd’hui aussi assurés dans leurs résultats que celui de mettre en place un système spatial d’alerte et de surveillance aux fins de suivre les progrès de la prolifération balistique :

– Il s’agit d’un système technologiquement et financièrement accessible, dès lors que les ambitions sont bien cernées : si le démons­trateur français Spirale ne permettra que de commencer à disposer de fonds de terre, il ouvre la voie à une démarche progressive d’acquisition de compétences et de capacités.

– Les bénéfices tirés d’un tel système sont opérationnels pour le renseignement militaire (en particulier lorsqu’ils sont croisés avec les données d’autres capteurs) et d’ordre politico-stratégique dans la mesure où ils feraient faire à l’Europe un nouveau pas vers la maîtrise de sa propre sécurité.

– Ce type de système permet aussi une intervention européenne mieux assurée dans l’effort international visant à prévenir les menaces. En cela, l’amélioration de la capacité de suivi de la non-prolifération qui découlerait d’un tel système conférera à l’Europe le statut qui lui manque peut-être aujourd’hui dans les discussions stratégiques.

Guillaume Schlumberger, directeur de la FRS

Xavier Pasco, maître de recherche à la FRS

Source TTU

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Moi j'avais pensé à une sorte de "téléton défense"  :  Allez les gars cette année on finance une frégate il faut 300 briques ; l'année prochaine on achête 5 Rafales  =D

En plus du point de vue télévisuel ça pourrait être très spéctaculaire, tours en Rafale, parcours commandos, conduite d'un Leclerc, appontage sur le CdG, etc... Ca ferait la promo au même temps.... =D

Les industriels défense pourraient faire de la pub les armées partagent 50/50 avec la télé... =D

ouaim .... c'est fait avec humour mais bon pour que l'armée ne devienne plus une variable d'ajustement facile on devrait presque en passer par la

en fait beaucoup de gens ne voient pas l'interet d'une defense crédible (il faut dire que mis à part les spots de recrutement quelle est la visibilité de la grande muette par rapport au public maintenant que le SN a disparu ?)

Les anglais eux s'y prennent beaucoup mieux

Autour de moi, mes ami(e)s ne sont pas des pro-depenses militaires loin de là

Mais il se trouve qu'en leur expliquant un peu mieux le pourquoi et le comment en corrélation avec des exemples tirés des relations internationales ou de l'histoire on arrive a des positions moins tranchées que "l'armée ça sert a rien et ca coute cher"

Alors en premier lieu, peut être serait il bon d'investir dans un service marketing et de com correct

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Lire les pages 5/6/7 de ce document.

avec le ASTER block 2 et les HZ on pourrait faire la même chose que les USA

ouaim .... c'est fait avec humour mais bon pour que l'armée ne devienne plus une variable d'ajustement facile on devrait presque en passer par la

en fait beaucoup de gens ne voient pas l'interet d'une defense crédible (il faut dire que mis à part les spots de recrutement quelle est la visibilité de la grande muette par rapport au public maintenant que le SN a disparu ?)

Les anglais eux s'y prennent beaucoup mieux

Autour de moi, mes ami(e)s ne sont pas des pro-depenses militaires loin de là

Mais il se trouve qu'en leur expliquant un peu mieux le pourquoi et le comment en corrélation avec des exemples tirés des relations internationales ou de l'histoire on arrive a des positions moins tranchées que "l'armée ça sert a rien et ca coute cher"

Alors en premier lieu, peut être serait il bon d'investir dans un service marketing et de com correct

c'est du lobbying

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c'est du lobbying

Eh oui, mais il y a tellement de secteurs profesionnels qui font du "Lobbying" aujourd'hui qu'il faudrait que celui de la Défense s'y mette, car maintenant la plupart des décisons politiques vont être prises sur le critère principal de la "puissance médiatique", donc ceux qui n'en ont pas ... Et là c'est quand même de notre sécurité qu'il s'agit O0
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ici je ne parles pas de lobbying cad de l'influence par des industriels, elus et parlementaires (je suppose qu'ils le font deja avec plus ou moins de bonheur)

Je parle d'education de la population de base (au même titre que le civisme, après tout la defense de la nation en faisant partie......)

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Quand on utilise le document

http://www.senat.fr/rap/l07-091-38/l07-091-38_mono.html#toc239

Sur les engagements

On peut s'apercevoir qu'ils restent à payer 17 Md€ après 2010 et que pour le instant 2 Md'€ n'ont pas encore été affecté en 2010.

Calculons qu'il faudrait dépenser 30 Md'€ (avec développement) pour tout faire d'ici 2015 (soit 5 années à payer):

Commande de 3,6 Md€ de Rafale sur 2011-2015, rénovation de M2000 pour 1800M€ , commande de 11 A330-200 MRTT, 2 SNA, satellite (programe MUSY), modernisation des FAA "Cassard" (dès 2009) et frégates type Lafayette, missile antinavire supersonique, torpille lourde, début étude ABM, toujours 600 M€ annuel en munitions etc...

Soit il faut 8,8 Md€ par an sur 2010-2015 ( à noter que Bercy voulait limiter à 8,5)

Plus 1,3 Md€ en R&T (recherche et technologie).

Donc, si l'effort est maintenu (en fait légèrement augmenté de quelque %), tout passe y compris le PA2.

A moins que l'EMA veuille encore de nouveaux "joujou" coûteux en C3I, histoire de contrôler encore plus les opérations sur le terrain.

Une réduction RGPP,

Le PA2 représente donc 5% des engagements annuels (500 M€ annuel)

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Quand on utilise le document

http://www.senat.fr/rap/l07-091-38/l07-091-38_mono.html#toc239

Sur les engagements

On peut s'apercevoir qu'ils restent à payer 17 Md après 2010 et que pour le instant 2 Md' n'ont pas encore été affecté en 2010.

Calculons qu'il faudrait dépenser 30 Md' (avec développement) pour tout faire d'ici 2015 (soit 5 années à payer):

Commande de 3,6 Md de Rafale sur 2011-2015, rénovation de M2000 pour 1800M , commande de 11 A330-200 MRTT, 2 SNA, satellite (programe MUSY), modernisation des FAA "Cassard" (dès 2009) et frégates type Lafayette, missile antinavire supersonique, torpille lourde, début étude ABM, toujours 600 M annuel en munitions etc...

Soit il faut 8,8 Md par an sur 2010-2015 ( à noter que Bercy voulait limiter à 8,5)

Plus 1,3 Md en R&T (recherche et technologie).

Donc, si l'effort est maintenu (en fait légèrement augmenté de quelque %), tout passe y compris le PA2.

A moins que l'EMA veuille encore de nouveaux "joujou" coûteux en C3I, histoire de contrôler encore plus les opérations sur le terrain.

Une réduction RGPP,

Le PA2 représente donc 5% des engagements annuels (500 M annuel)

c'est 30 Md'€ pour tout les programmes?

j'ai du mal à comprendre avec tous ces chiffres et tous ces post.

Questions :

1) le budget annuel d'équipement est de l'ordre de 16 Md'€ sur le budget total (47Md'€?) oui ?

2) si tous les programmes sont réalisés quelle sera le coût supplémentaire?

3) Des sénateurs pensent faire une économie de 1 Md'€ par an avec la réorganisation, autrement dit 5 Md'€ sur 2008/2013 (LPM)

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Donc, si l'effort est maintenu (en fait légèrement augmenté de quelque %), tout passe y compris le PA2.

A moins que l'EMA veuille encore de nouveaux "joujou" coûteux en C3I, histoire de contrôler encore plus les opérations sur le terrain.

Une réduction RGPP,

Le PA2 représente donc 5% des engagements annuels (500 M€ annuel)

C'est bien là le problème : notre Président avait promis de maintenir l'effort de défense engagé par J.Chirac et le gouvernement sortant, mais le "petit plus" budgétaire qu'il faudra pour concrétiser sera t-il accordé alors que les technocrates-comptables (la peste soit de ces "gens" là ! =() de Bercy s'activent à fond pour "pomper" qq milliards au détriment de la défense ??....

L'heure de vérité approche pour notre (trop)médiatique Président et on va savoir s'il a vraiment la force de caractère qu'il prétend, où si son talent se limite à "faire le spectacle" comme beaucoup le prétendent =|

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En ces temps de contraintes budgétaire, il serait scandaleux de ne pas moderniser les équipements dont le potentiel le justifie pleinement sachant qu'une modernisation est entre 20 et 25% du prix du neuf:

les 5 FLF

Les 2 FAA cassards

Les 4 derniers SNA Amethystes

Les 40 derniers M2000C

les M2000D et les 40 derriers M2000N

Pour LBP, Bon finalement en recalculant le budget on arrive à :

http://www.senat.fr/rap/l07-091-38/l07-091-38_mono.html

Forces conventionnelles en M €:

Il faudrait en moyenne:

Rafale : 1,3 (0,4 M developpement et 0,9 M production)

SAMP: 0,2

Modernisation M2000 : 0,2

A400 puis MRTT en plus: 0,8

Armée terre sans C4ISR : 0,8 ( 0,36 tigres et NH90 au minimum, 0,24 VBCI, 0,2 M€ pour les programmes de cohérence)

Munitions 3 armes: 0,6

R&D radar/sonar/CME (maintien compétences, modernisations et mises à jours, nouveaux systèmes): 0,3

R&D armée de terre : 0,3 (comme actuellement)

R&D munitions: 0,3 (inclus nouvelles torpilles lourdes et missiles antinavires)

SNA : 0,7 (8,5 M€/12 ans)

FREMM : 0,7 (8,5 M€/12 ans)

Programmes cohérence marine: 0,2 (modernisations, NH90 ASM)

Total : 6,4 M€

A ce sens, on pourrait se contenter de 600 M€ sur le C4ISR (on dépense plus d'1M€ mais ça va en diminuant)

Donc on arrive à 7 Md'€ sur les programmes conventionnels hors R&T (recherche et technologie)

Il faut 1,2 Md€ sur la R&T

Donc on arrive à 8,2 Md€

Reste 3,7 Md'€ à payer sur la dissuasion (hors R&T) et 300 M€ sur horizons donc 4 soit sur 6 ans 0,66 Md'€ annuels

On en arrive à 8,86 Md'€ soit moins que ce que l'on paye en moyenne

Incluons modernisation des M2000 et FAA Cassard

Reste le PA2 et c'est 3,5 Md€ en 7 ans soit 0,5 Md'€ annuel

on arrive à 9,36 Md'€ donc moins que les CP moyens actuels proches de 10 Md'€

Néanmoins, on n'a parlé que des programmes existants et identifiés.

Ainsi, l'EMA veut encore du nouveau C4ISR de de l'ABM.

Une solution d'une réduction de 30 000 h, en économie on gagne 1,1 Md € Hors Taxes ;annuel en équipement.

En conclusion, si l'effort est maintenu hors inflation tout devrait passer et y compris la bosse 2009 2012.

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@Philippe

Citation:

"Néanmoins, on n'a parlé que des programmes existants et identifiés.

Ainsi, l'EMA veut encore du nouveau C4ISR de de l'ABM.

Une solution d'une réduction de 30 000 h, en économie on gagne 1,1 Md € Hors Taxes ;annuel en équipement.

En conclusion, si l'effort est maintenu hors inflation tout devrait passer et y compris la bosse 2009 2012."

Je suis à 100% d'accord sur la démo.

Bien qu' à la modernisation des Cassard j'aimerais que soit préférée une refonte en profondeur des FLF

Les 4 Améthystes sont trop petits pour supporter une réduction des émissions accoustiques significative (tjs le même pb)

Les N sont limites et comme pour les C RDI S5-2C le coût de modernisation à un standard proche d'un F16 C Block 30/40 (GPS/LASER/MICA) coutera bonbon (pieuvre électrique complète, bus 1760, visionique)

Si la non modernisation des FAA et des 2000C doit être la vaseline pour faire passer le suppositoire du PA2 alors il faut foncer  =)

En revanche il faut l'A2SM sous le D avec la L 16 et le Mica IR

Concernant les tendances

Le renseignement a le vent en poupe je peux te le dire ;) ainsi que la préparation aux nouvelles menaces intérieures

La seule inconnue est la posture budgétaire qui va être imposée à la Défense par l'arbitrage budgétaire. Si l'inflation est compensée c'est bon.

Sinon ...

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Put... il devrait faire partie de la commission du Livre blanc sur la Défense le Philippe... ;)

Pourvu qu'il ait raison! =)

Ps: Je ne crois pas à l'abandon du PA2. Il y a plein de raisons raisonnables pour cela mais une compte aussi je crois : l'ego surdimensionné de NS qui le supporterait difficilement. L'abandon cela ferait vraiment "petit bras", en lâchant les Britanniques au passage (quel signal négatif pour l'Europe) et alors qu'on donne des leçons d'effort de Défense aux autres pays européens, Britanniques exclus. Il le fera, mais la question est : avec combien de sacrifices pour y arriver? J'espère que ce sera à budget constant en terme de % du PIB, sans perte de pouvoir d'achat.

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Que le dieu des marins  écoute nos prières  =D Amen....

Pour les Cassard, franchement je suis dubitatif.... Comme déjà dit, ça doit être plus simple de les transformer en ASM ; mettre des VLS dessus j'y crois pas trop....

Pour les FLF, contrairement aux opinions courantes, je crois qu'elles ont un potentiel d'évolution. Il y de la place prévue pour le Sylver dévant. Lui coller un sonar et un radar Arabel cela a déjà été fait sur les F3000 de l'Arabie Saoudite, ça doit pas être d'une complexité folle....

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SPARTAN

Les SM2 sur la mk 13 ne seraient qu'au standard MR avec une portée < à l'ASTER 30

Si on devait moderniser les F 70 AA (malheureusement) que ce soit avec un système novateur... =)

Mais bon le poids joue aussi un rôle et une FAA se doit de disposer d'au moins 32 missiles

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@Philippe

Citation:

"Néanmoins, on n'a parlé que des programmes existants et identifiés.

Ainsi, l'EMA veut encore du nouveau C4ISR de de l'ABM.

Une solution d'une réduction de 30 000 h, en économie on gagne 1,1 Md € Hors Taxes ;annuel en équipement.

En conclusion, si l'effort est maintenu hors inflation tout devrait passer et y compris la bosse 2009 2012."

Je suis à 100% d'accord sur la démo.

merci philippe pour ta démo

Mais en lisant tes calculs je me pose une question?

Donc, s'il y a un budget constant et que l'on face des réorganisations (suppression du gras).

"Cela passe"

Donc cette affaire serait une énorme manipulation !!!!

Je ne parle pas du livre blanc qui peut relancé notre stratégie de défense, mais qui entretient la panique.

Une énorme intox, de peur, de suppression ...

Et le NS arrivera en sauveur, "Grâce à moi on aura un beau outil de défense"

Beaucoup markéting

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C'est aussi ce que je pense, on fait un peu peur, on lance une reflexion (le livre blanc), on laisse passer quelque fuite bien calculée...Puis on annonce un maintient des crédits grace à la volontée du président et a son courage...technique classique...MAis tant mieux si on a tout ce qui était prévu!

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Euh, ne passons pas d'un pessimisme bien franchouillard à un optimisme béat non plus. Je crois tout simplement que nos journalistes ont une règle simple: ce n'est pas parce-qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa g... D'où des erreurs, des approximations, des contre-vérités récurrentes dans leurs annonces. ;)

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Il faut reconnaitre que si le scenario retenu est celui de maintient du budget actuel avec un coup de pouce plus inflation, c'est bien joue...mediatiquement parlant: on verra bien!

Par contre cela represente combien part du pib au bout de 5 ans ce scenario?

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