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Darfour : 26 000 hommes


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ouaip

l'un d'entre eux s'est fait descendre dans son Mig29 y'a quelques fois en faisant du straffing sur une colonne de rebelles et c'etait un pilote russe

Straffer des technicals c'est chaud 80% du temps tu as un ZPU ou un ZSU par véhicule, de quoi prendre plus que du plomb et pas que dans l'aile.

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Je veux bien admettre qu'un pays se donne les moyens de se défendre. Mais quand même, bordel, les gens crèvent la faim.

Ils sont sans pitié dans ce pays.

Bah ils veulent juste en foutre certains dehors sans trop se salir les mains ... un grand classique.

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Je veux bien admettre qu'un pays se donne les moyens de se défendre. Mais quand même, bordel, les gens crèvent la faim.

Ils sont sans pitié dans ce pays.

au Soudan des gens qui crèvent de faim ? : les rebelles, les opposants aux regimes, les regions sécessionistes, le reste de la population s'en tire assez bien

la famine dans ce pays a été instrumentalisée en arme de guerre

y'a pas plus ou moins de famine au Soudan qu'en Angola ou en Somalie

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au Soudan des gens qui crèvent de faim ? : les rebelles, les opposants aux regimes, les regions sécessionistes, le reste de la population s'en tire assez bien

la famine dans ce pays a été instrumentalisée en arme de guerre

y'a pas plus ou moins de famine au Soudan qu'en Angola ou en Somalie

Pourtant on voit beaucoup de squelettiques. Mais bon je m'appuie sur les images qu'on me montre. Tu as surement raison.

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Cette jolie bête c'est bien un Mi-8 non?

On en manque il me semble en Afghanistan,la Pologne y est elle engagée? Si oui y fournit elle ces rustiques mais efficaces Helicos?

(En reflechissant me semble que les Polonais ne sont pas en A-stan...Mais quels pays pourraient nous en procurer?)

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La Pologne est bel et bien en afghanistan, et y conscentent un gros effort avec plus de 1000 hommes.

http://www.nato.int/isaf/docu/epub/maps/graphics/afghanistan_prt3.jpg

En tout cas, cette vue d'un Mi8, bien armé, polyvalent, et qui vole, et semble bien adapté aux terrains africains va donner à réfléchir à l'UE pour l'achat d'un parc commun d'hélicoptères, que l'on voit de plus en plus de nationalité russe...

donc, plutot que des mi8 polonais en afghanistan, je dirais plutot des Mi8 européenes, avec équipage... français...  O0

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Franchement Tiger, pour avoir des MI8 autant refaire des Super Frelon....

Tout à fait.

Et je pense qu'en tant soit peu patient, on verrait arriver des Tigres sur le front Afghan (ça j'en suis sûr). Pourquoi se doter de vieu matos comme celui-ci alors qu'en attendant un peu on peut avoir beaucoup mieux ? (beaucoup mieux et aussi plus européen)

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Franchement Tiger, pour avoir des MI8 autant refaire des Super Frelon....

Pourtant, cela est clairement évoqué dnas le dernier DSI (N°39), à savoir :

"les ministres de la défenses de l'union d'étudier les opportunités existantes en matière de modernisation des parcs d'hélicoptères (y compris en envisageant l'achat d'hélicoptères d'origine russes)".

La photo montre des MI8 égyptiens. De là, on ne peut pas en déduire qu'il s'agierais de ce type d'hélicoptères, mais au prix de son les hélicoptères russes en tout genre (même les plus vieux Mi8 ou Mi17), l'achat d'une cinquantaine, moyennant peut être 100 millions d'euros (prix de 4 NFH90...) serait à étudier avec sérieux, le parc d'hélicoptères européen de transport étant en crise, et seul les anglais, et leurs nouveaux EH101 s'en tirent bien.

L'hypothèse d'acheter un hélicoptère à bas coût serait bien. On le voit avec ce Mi8 polonais au Darfour, il suffit emplement à remplir sa mission, ne justifiant pas l'emploi de NH90 très chères. Même chose en afghanistan. La qualité n'y vaut pas grand chose, c'est d'avantage le nombre qui compte.

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  • 3 weeks later...
Invité barbaros pacha

Le président soudanais bientôt en Turquie


Le président soudanais Omar el-Béchir se rendra la semaine prochaine en Turquie, pour son premier déplacement à l'étranger depuis son inculpation pour génocide par la Cour pénale internationale, selon des sources proches du président. Il participera les 19 et 20 août au sommet Turquie-Afrique à Istanbul, en compagnie de plusieurs chefs d'Etat. La Turquie n'a pas ratifié le traité fondateur de la CPI, mais a été pressée de le faire dans le cadre des négociations en vue d'une adhésion à l'Union européenne.

>>>> http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200833/le-president-soudanais-bientot-en-turquie_140796.html?popup
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Invité barbaros pacha

Le Soudan défie la justice internationale lors d'un forum en Turquie



ISTANBUL (AFP) — Un diplomate soudanais de haut rang a affirmé mardi que son pays continuerait à défier la Cour pénale internationale (CPI) alors que le président Omar el-Béchir, menacé de poursuites pour génocide au Darfour, participait à Istanbul à un sommet sur la coopération Turquie-Afrique.

La visite du président Béchir à Istanbul est son premier voyage à l'étranger depuis qu'un procureur de la Cour pénale internationale a demandé en juillet aux juges d'émettre contre lui un mandat d'arrêt international pour génocide crimes de guerre et crimes contre l'humanité dans la province du Darfour.

"Le président peut aller n'importe où et nous n'avons peur de rien (...) Cette CPI est ridicule", a affirmé à des journalistes Abdalmahmood Abdalhaleem, l'ambassadeur du Soudan auprès de l'ONU, alors que débutait le sommet dans un palais ottoman d'Istanbul.

Interrogé sur l'attitude qu'adoptera le Soudan si la Cour répond favorablement à la demande du procureur, le diplomate a répondu : "Nous ne montrerons aucun respect pour cela. Nous l'ignorerons et le désavouerons".

Plus tôt dans la journée, le président turc Abdullah Gül a appelé le dirigeant soudanais au cours d'une rencontre bilatérale à mettre fin à la crise du Darfour

"Lors de notre entretien bilatéral, nous avons parlé du Darfour. J'ai dit qu'il fallait absolument (...) que les larmes et le sang cessent de couler, que les gens cessent de souffrir quelle que soit leur appartenance religieuse ou ethnique, qu'il fallait que le gouvernement soudanais face preuve à ce sujet de la plus grande détermination", a déclaré M. Gül lors d'une conférence de presse.

Béchir a repondu que son gouvernement n'était par la seule partie responsable pour le conflit, a affirmé un diplomate turc parlant sous le couvert de l'anonymat.

M. Abdalhaleem a pour sa part indiqué que les deux présidents n'avaient pas discuté de la procédure lancé contre M. Béchir, expliquant que "les présidents discutent d'habitude des questions importantes, et celle-ci est des plus triviales".

Le régime soudanais, qui rejette les accusations de la CPI, s'efforce de convaincre le Conseil de sécurité de l'ONU de geler de possibles poursuites si la CPI lançait un mandat d'arrêt contre Béchir, arguant que cela ne ferait qu'entraver le processus de paix au Darfour.

Beaucoup de pays arabes et africains ont appelé la Cour à ne pas interférer dans la question du Darfour.

Dans une déclaration commune, la Turquie et les 50 Etats africains représentés au sommet d'Istanbul, qui s'achève mercredi, ont affirmé que leurs relations de partenariat seraient notamment fondées sur "la nécessité d'éviter l'abus de l'application du principe de la juridiction universelle".

Cette résolution s'appliquera aussi à la CPI, a indiqué à l'AFP la source diplomatique turque.

L'organisation Human Right Watch (HWR) a appelé la semaine dernière les autorités turques à ne pas soutenir le régime soudanais dans ses efforts pour obtenir une suspension des poursuites.

"Suspendre l'enquête de la CPI en réponse aux menaces scandaleuses et aux promesses creuses de Khartoum serait trahir les victimes du Darfour", a affirmé l'organisation.

Le conflit au Darfour, où s'affrontent forces gouvernementales appuyées par des milices arabes et mouvements rebelles, a fait jusqu'à 300.000 morts, selon l'ONU, quelque 10.000 selon Khartoum.

Ankara avait déjà accueilli le président Béchir en janvier, s'attirant les critiques des militants de la défense des droits de l'Homme.
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Mais non,voyons !

Eux et leurs copains Turcs ils vont se faire du pétrole,a la chinoise en appuyant le plus possible pour que l'ONU ne fourra pas sa lampe déterreuse de sales dossiers en Afrique !

Ces petits blancs colonisateurs qu'ils les laissent se massacrer entre eux,ils ont du pétrole on leur achète !

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Invité barbaros pacha

Mais non,voyons !

Eux et leurs copains Turcs ils vont se faire du pétrole,a la chinoise en appuyant le plus possible pour que l'ONU ne fourra pas sa lampe déterreuse de sales dossiers en Afrique !

Ces petits blancs colonisateurs qu'ils les laissent se massacrer entre eux,ils ont du pétrole on leur achète !

Le Soudan et la Turquie sont des pays lies par des liens amicaux des plus sinceres petrole+argent+interet+pour emmerder les occidentaux  :lol:, on donnera jamais le president Beshir car le president Beshir est un ami de la Turquie...

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  • 1 month later...

KHARTOUM (Reuters) - Un hélicoptère de la force de maintien de la paix au Darfour s'est écrasé lundi, faisant quatre morts. Une enquête a été ouverte sur les circonstances de sa chute.

Trois des victimes sont des Russes, le pilote était soudanais, a précisé la police soudanaise.

L'appareil, un hélicoptère Mi-8 affrété par la Minuad, la force conjointe mise sur pied par l'Onu et l'Union africaine, s'est écrasé quelques minutes après avoir décollé de la ville de Nyala, à proximité du camp de réfugiés de Kalma.

"Nous cherchons à vérifier des informations non confirmées selon lesquelles il y aurait eu une fusillade", a dit Kemal Saiki, porte-parole de la Minuad.

Quatre hélicoptères au moins utilisés par cette force de maintien de la paix ont été la cible de tirs depuis le mois d'août.

http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/09/tchad-vers-une.html

Tchad: vers une reprise des hostilités ?

La fin de la saison des pluies, sans doute dans la première quinzaine d'octobre, pourrait se traduire par une reprise des combats entre rebelles et forces gouvernementales, même si le contingent européen de l'Eufor est désormais entièrement déployé à la frontière avec le Soudan.

Petit point de situation militaire:

- Les rebelles sont toujours au Soudan. Après leur défaite au printemps, ils se sont rééquipés en véhicules et armements légers. Une source militaire indique qu'ils auraient récemment acquis 165 nouveaux 4x4, qui sont leur unique monture pour mener des raids (rezzous). En revanche, ils ne disposeraient toujours pas de missiles sol-air, le Soudan redoutant de leur confier des armes aussi redoutables. Point faible des rebelles, leur extrême division au sommet.

- Les forces gouvernementales se sont elles aussi renforcées. Les défenses de la capitale N'D'jaména ont été durcies. Le régime du président Déby cherche à acquérir des hélicoptères de combat (il en a perdu un au printemps), ainsi que des avions d'attaque au sol Su-25.

- Le contingent européen est désormais déployé au complet, avec 24 pays représentés pour un total de 3419 hommes. Trois pays fournissent à eux-seuls 75% des effectifs :  la France (1710), la Pologne (449), l'Irlande (409). On trouve ensuite l'Autriche (162), la Suède (149), l'Espagne '198), l'Italie (104), puis les Pays-Bas,  la Belgique, l'Albanie et la Finlande. Et enfin : Bulgarie, Chypre, Tchéquie, Allemagne, Grèce, Hongrie, Lituanie, Luxembourg, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie et Royaume-Uni.

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  • 2 weeks later...

http://warisboring.com/?p=1398

The EUFOR Multinational Aviation Battalion in Chad

    Abeche, Chad – The Armee de l’Air Transall C-160 was powering up for takeoff from the Polish Forward Operating Base (FOB) outside Iriba, eastern Chad, on June 28 when a howling sandstorm rolled in from the south. For nearly half an hour the 50mph (80 km/hr) winds enveloped the C-160 and an accompanying Antonov An-26, grounding them.

    Such sandstorms – a nearly daily occurrence in this arid Central African country – are among the dangers facing the new European Union (EU) peacekeeping force (EUFOR) that is deploying to Chad in the spring with a U.N. mandate to protect a quarter-million refugees fleeing the ‘ethnic cleansing’ in the neighboring Darfur region of Sudan.

    The 3,200-strong EUFOR brigade includes a significant aviation component. A fleet of fixed-wing transports based in the capital of N’Djamena in the west serves the long-haul supply routes while a smaller helicopter contingent deployed to the remote eastern town of Abeche ferries supplies to forward bases while also performing escort, surveillance and medical evacuation roles. Armament options include HOT missiles for the Gazelles and door-mounted guns and cannons for the Pumas. Both types can carry snipers for disabling vehicles’ engines.

    The 200-person EUFOR multinational aviation battalion is only the second of its kind. (The E.U. operated a similar multinational unit in Kosovo, a far less difficult theater, beginning in 2000.) The battalion, commanded by French Armee de Terre Colonel Jean-Yves Bouillaud since June, includes French aviators and maintainers and an Austrian medical team, with Polish and Russian aviators and maintainers slated to join this summer.

    A complex mission

    EUFOR’s mission is a complex one – and the aviation battalion’s mission is no less so. The U.N. mandate requires EUFOR to protect Chad’s refugee population and the thousands of aid worker who care for them.

    But protect them from whom, exactly? Chad is in the throes of overlapping regional proxy wars pitting armed factions – sponsored by and based in Chad, Sudan and Central African Republic – against each other and against the governments of all three states. All the rebels and government troops dress similarly, operate similar jerry-rigged armed pickup trucks and employ the same rudimentary tactics. Rampant banditry is another major threat – and bandit groups, too, are indistinguishable from each other and from the rebels and native armies in the region.

    Armee de Terre Colonel Vincent Fleuret said that it’s difficult to get good intelligence in Chad, so it’s not always clear who’s fighting whom … or why. Case in point, for two hours on June 20, gunfire laced the streets of Abeche, just a mile from the aviation battalion’s base at the airport. It was never clear who was shooting at whom. The Chadian government insisted it was celebratory fire, but this reporter witnessed the incident and saw at least one dead body and observed target gunfire. Soldiers at the scene said they were fighting rebel infiltrators. Fleuret said he believed the entire ‘battle’ might have been a ‘friendly fire’ incident that escalated out of control.

    Clarifying the murky intelligence picture is one of the aviation battalion’s missions. Helicopter crews provide ‘eyes in the sky’ for EUFOR headquarters. And the unit’s sole Aerospatiale Gazelle ‘Viviane,’ fitted with Infrared (IR) and Electro-Optical (EO) cameras, plus a laser range-finder, can even peer through darkness to spot rebels and bandits.

    Stretched thin

    Upon its initial deployment in April, the unit operated just six helicopters – all French – including four Aerospatiale Pumas and two Gazelles, including the Viviane model. The Polish reinforcements were expected to bring three Mil Mi-17s; the Russians promised four Mil Mi-8s. Meanwhile, in July the Armee de Terre was sending another two Gazelles.

    Even with the extra aircraft, the battalion will be stretched thin, according to Bouillaud. He said his Area of Operations (AO) is around the same size as Texas. “It’s a 900km (560mi) AO from north to south. … It’s like the Pacific War for helicopters,” he added, referring to the World War II campaign that spanned three continents and thousands of miles of ocean.

    The extreme distances involved in many missions, which can last up to three days, means the battalion often uses staging bases. For that reason EUFOR provided the unit with its own organic trucks. Mechanics can drive into the Chadian desert, set up a quick refueling and maintenance point, and receive helicopters near the limits of their endurance. Alternatively, Bouillaud said the battalion is building its own semi-permanent FOBs.

    Crowding at the battalion’s base in Abeche is another challenge. The town’s airport features one of the few runways in eastern Chad capable of supporting large fixed-wing transports such as the C-160s and EUFOR’s Spanish CASA C-235s and Greek Lockheed Martin C-130s. The U.N., various aid groups and the Chadian air force also use the facility. On any day, the tiny apron practically groans with as many as a dozen aircraft.

    To remedy this, EUFOR was putting the finishing touches on four new large aprons at Camp des Etoiles, a new base near the Abeche airport. “These aprons are waiting for us,” Bouillaud said. “The trigger point to increase the number of helicopters here,” he explained, “was the parking offered to the force.” The battalion expected to make its move to Camp des Etoiles in July, in time for the new Polish and Russian helicopters’ arrival.

    Maintenance nightmare

    Chad is a logisticians’ headache and a maintainer’s nightmare. From October to May the weather is hot and dry with frequent sandstorms. From June to September there are heavy rains and flooding interrupted only by more sandstorms. The rainy season halts all ground travel and forces EUFOR to rely heavily on aircraft for re-supply.

    But it’s tough sustaining the aviation battalion’s 80-percent availability rates and six to eight daily sorties in the brutal conditions. Battalion maintenance head Captain Thierry Spenle said that transmissions wear out fast. But he said he’s only had to do one engine change in three months.

    The sand filters fitted to every aircraft surely are a factor in the surprising engine longevity, but Spenle offered another theory. He said the Gazelles and Pumas are “well-adapted” designs for desert conditions. He called them “simple” and said he expected to be able to perform all routine maintenance in Abeche. The current Pumas and Gazelles were slated to remain in Chad for one year before rotating back to France for depot maintenance.

    The pilots, in contrast to the simple airframes, rely on sophisticated flying to survive Chad’s unforgiving climate. ‘Brownout’ is a bigger threat than any rebel or bandit group. (Although rebels did manage to shoot down a Chadian Mi-35 with small arms fire in early June.) Captain Antoine Thomas, a Gazelle pilot and commander of the battalion’s single flying squadron – there’s a second squadron for maintainers – said his fliers use special landing techniques to sidestep the inevitable blinding dust clouds that result from rotor downwash during landing.

    When a sandstorm catches a EUFOR helicopter in flight, Bouillaud said there are three options: land quickly in some protected area – say, behind a hill – and wait it out; fly around the storm if the aircraft has the time to do so; or, if the storm is low enough, climb above it. Often, however, sandstorms are topped by rolling thunderstorms reaching to altitudes above the helicopters’ ceilings. In those cases, there might be a 1,000ft gap between the two storm strata that the aircraft can slip through: but that requires skillful flying.

    Fortunately, the aviation battalion’s French aviators are all highly experienced, many having served with the French Chad garrison that predated the EUFOR deployment – and which still operates in western Chad with helicopters, Dassault Mirage F1s, a Sud Atlantique for surveillance and a Boeing C-135FR tanker. “Previous experience is a great help,” Bouillaud said.

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