Fusilier Posté(e) le 17 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 17 novembre 2008 AAV7 ou EFV pour des sac de riz c'est pas un peu overkill !!! :lol: Si tu veux. Mais dans ce cas, quelle est l'utilité de l'armée? Autant transformer tout ça en unités de la Sécurité Civile, qui seront plus adaptées à la distribution de sacs de riz... S'il y a bésoin de "protection", il suffit de quelques unités de Gendarmerie. Comme ça on peut mettre à la ferraille ou vendre les VBCI, Leclerc, AUF1... Le Nuk et quelques unités pointues, Commandos, FS, Paras, et l'affaire est dans le sac... =D Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 28 novembre 2008 Share Posté(e) le 28 novembre 2008 Lu dans le dernier rapport sénatorial. Pour ce qui est de la projection maritime, le contrat opérationnel prévoit la projection de 5 000 à 26 000 hommes et la mise en oeuvre d'une force amphibie de réaction immédiate (groupement interarmes embarqué de 1 400 hommes avec des composantes terrestre et aéromobile), ainsi que le soutien d'un groupe amphibie et/ou d'un groupe de transport maritime. Pour remplir ce contrat, la marine dispose aujourd'hui de deux transports de chalands de débarquement (TCD) «Foudre» et «Siroco», admis au service actif en 1990 et 1998, et de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC), «Mistral » et «Tonnerre » mis en service en 2006 et 2007, qui possèdent des capacités accrues dans les domaines de l'aéromobilité, du commandement et du soutien santé. Bien que non encore admis au service actif, le BPC «Mistral» avait participé pendant plus d'un mois à l'opération «Baliste» au Liban en juillet et août 2006, démontrant à cette occasion une grande polyvalence : évacuation de ressortissants en grand nombre (4 653 ressortissants évacués dont 1 378 en un seul voyage), transport de fret, conduite d'opérations amphibies, embarquement de troupes, accueil d'un soutien santé, accueil d'un état-major embarqué. En revanche, la batellerie associée, constituée de chalands de transport de matériel (CTM), s'est avérée trop lente et trop limitée par l'état de la mer, nécessitant de rapprocher de la côte les BPC et les TCD en les exposant, de facto, à une menace ennemie venant de la terre. La batellerie actuelle sera remplacée à partir de 2013 par des engins plus rapides et mieux adaptés aux BPC et TCD (projet «engin de débarquement amphibie» - EDA). Par ailleurs, à l'horizon 2020, les deux TCD type «Foudre» seront remplacés par deux BPC de nouvelle génération. L'objectif de 20 % de la capacité de transport stratégique par voie maritime fixé aux bâtiments amphibies est atteint. Pour les 80 % restants, le recours aux affrètements demeure indispensable. L'affrètement permanent de 3 navires permet de satisfaire une part significative des besoins nationaux. Un contrat de type partenariat public-privé (PPP) est en cours d'élaboration pour une capacité de 5 navires disponibles fin 2013 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 29 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 29 novembre 2008 2013, pour des contrats d'affrètement et la batellerie.... O0 Il ne faut pas aller trop vite pour passer la bosse et puis cela ira mieux après 2012... :lol:Remarquez pareil il faudra choisir alors entre le PA2 et la batellerie à cause la "mini bosse"... :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 9 décembre 2008 Share Posté(e) le 9 décembre 2008 http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=108979 Toulon : Le L-CAT prépare ses premiers essais avec la marine En attendant de premiers essais avec la marine, qui devraient intervenir avant la fin du mois, le Landing Catamaran (L-CAT), développé par les Constructions Navales et Industrielles de la Méditerranée (CNIM), a réalisé samedi dernier une nouvelle série d'essais. Cette fois, l'engin de débarquement a été testé à pleine charge (110 tonnes) par mer formée. Le L-CAT a réalisé des présentations et plageages sur petits fonds, avec deux, puis quatre propulseurs sur la plage de la Vieille à Saint-Mandrier. Quelques présentations ont également été effectuées pour tester la dérive en mode chaland. Arrivé à Toulon en octobre, ce prototype, réalisé par les chantiers Gamelin de La Rochelle, est destiné à démontrer les performances du concept L-CAT. Destiné à remplacer les actuels chalands de débarquement, dont la conception remonte aux années 40, cet engin dispose d'une plateforme centrale élévatrice, capable d'accueillir deux chars Leclerc. Avec la plateforme en position haute pour les transits entre la côte et le bâtiment porteur, le L-CAT se comporte comme un catamaran, permettant une plus grande vitesse et une meilleure tenue à la mer. Abaissant sa plateforme à proximité de la plage pour le chargement et le déchargement, il se transforme alors en chaland traditionnel. Misant également sur le marché export, les CNIM espèrent vendre leur concept à la Marine nationale pour équiper les Bâtiments de Projection et de Commandement (BPC), ainsi que les Transports de Chalands de Débarquement (TCD). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 10 décembre 2008 Share Posté(e) le 10 décembre 2008 http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=108979 Toulon : Le L-CAT prépare ses premiers essais avec la marine En attendant de premiers essais avec la marine, qui devraient intervenir avant la fin du mois, le Landing Catamaran (L-CAT), développé par les Constructions Navales et Industrielles de la Méditerranée (CNIM), a réalisé samedi dernier une nouvelle série d'essais. Cette fois, l'engin de débarquement a été testé à pleine charge (110 tonnes) par mer formée. Le L-CAT a réalisé des présentations et plageages sur petits fonds, avec deux, puis quatre propulseurs sur la plage de la Vieille à Saint-Mandrier. Quelques présentations ont également été effectuées pour tester la dérive en mode chaland. Arrivé à Toulon en octobre, ce prototype, réalisé par les chantiers Gamelin de La Rochelle, est destiné à démontrer les performances du concept L-CAT. Destiné à remplacer les actuels chalands de débarquement, dont la conception remonte aux années 40, cet engin dispose d'une plateforme centrale élévatrice, capable d'accueillir deux chars Leclerc. Avec la plateforme en position haute pour les transits entre la côte et le bâtiment porteur, le L-CAT se comporte comme un catamaran, permettant une plus grande vitesse et une meilleure tenue à la mer. Abaissant sa plateforme à proximité de la plage pour le chargement et le déchargement, il se transforme alors en chaland traditionnel. Misant également sur le marché export, les CNIM espèrent vendre leur concept à la Marine nationale pour équiper les Bâtiments de Projection et de Commandement (BPC), ainsi que les Transports de Chalands de Débarquement (TCD). 110 tonnes de charge maxi, ça correspond à deux AMX Leclercs ou 4 VBCI ! ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 décembre 2008 Share Posté(e) le 10 décembre 2008 110 tonnes de charge maxi, ça correspond à deux AMX Leclercs ou 4 VBCI ! ;) En pratique sur mer calme on peut monter a 130t pour y mettre effectivement 2 MBT. Il est rare qu'on mettent 2 MBT lourd sur le meme transport, en général on mixe pour profiter de la surface dispo. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 16 décembre 2008 Share Posté(e) le 16 décembre 2008 Les chantiers Gamelin en redressement judiciaire Le groupe Gamelin a été placé, le 5 décembre, en redressement judiciaire. Le tribunal de commerce de La Rochelle a décidé d'une période d'observation de six mois. Basé à La Rochelle, Gamelin est un spécialiste de la construction de navires à passagers. Il a notamment achevé à l'été 2007 le bateau à grande vitesse Tocqueville, unité innovante de 37 mètres à coque aluminium. D'une capacité de 260 passagers, ce bateau a été réalisé pour la compagnie Manche Iles Express afin d'assurer la desserte des îles anglo-normandes. Le Tocqueville est également le premier navire réalisé en France suivant la norme HSC 2000, extrêmement contraignante en matière de sécurité (On trouve notamment à bord plusieurs systèmes de sécurité indépendants, une caméra panoramique infrarouge pour la vision nocturne et une boite noire). Il y a deux ans, le groupe s'était implanté à Saint-Malo, où il réalise un yacht de 43 mètres. Outre le yachting, Gamelin souhaite également se développer sur le segment militaire. Le chantier rochelais a, notamment, réalisé le prototype du Landing Catamaran (L-CAT), concept d'embarcation de débarquement imaginé par les Constructions Industrielles et Navales de la Méditerranée. Les CNIM espèrent vendre ce produit à la Marine nationale en vue de remplacer ses chalands de débarquement, et mise beaucoup sur le marché export. Bien plus qu'un problème de charge de travail, le développement, très lourd, des derniers prototypes serait responsable de la situation financière actuelle. Employant une centaine de personnes, Gamelin sera fixé sur son sort le 3 février, date à laquelle le tribunal de commerce de La Rochelle examinera la situation de l'entreprise à l'issue de la période d'observation. C7 appelle ton pote Nicolas les entreprises innovantes ont du mal a se financer... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 16 décembre 2008 Share Posté(e) le 16 décembre 2008 si il y a une commande rapide de L-CAT on sauve la mise de groupe Gamelin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
anthoemt Posté(e) le 16 décembre 2008 Share Posté(e) le 16 décembre 2008 je sens qu'un concept génial va encore nous filer sous le nez..... =( :'( O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 16 décembre 2008 Share Posté(e) le 16 décembre 2008 si il y a une commande rapide de L-CAT on sauve la mise de groupe Gamelin je sens qu'un concept génial va encore nous filer sous le nez..... =( :'( O0 Petite précision pour le L-cat ... Gamelin est "juste" le constructeur du prototype, la conception c'est CNIM. Gamelin est néammoins concepteur et constructeur d'autre modele de navire de transport de personne innovant comme l'illustre la photo. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 16 décembre 2008 Share Posté(e) le 16 décembre 2008 On a une idée du besoin de trésorerie des chantiers? Somme toute, à l'échelle des budgets militaires, ce genre d'encours, c'est des petites patates: Gamelin a pris un risque légitime, mais pas au bon moment. Gageons que les élus du département sauront attirer l'attention du ministère sur l'enjeu industriel en question. C'est pas le soutien aux chantiers Gamelin qui va peser énormément. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
flanker Posté(e) le 16 décembre 2008 Share Posté(e) le 16 décembre 2008 Dommage que je n'ai plus l'article de Sud Ouest, mais il en ressortait qu'il y avait bon espoir de sauver l'entreprise.C'est plus un problème de trésorerie, en effet il y a du travail mais l'argent ne suit pas (une autre victime du crédit crunch ?), et qu'une partie du problème vient de difficultés avec le groupe CNIM qui tarderait à payer la facture du L-cat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 19 décembre 2008 Share Posté(e) le 19 décembre 2008 Une petite nouvelle publiée aujourd'hui sur meretmarine.com qui va ravir notre ami Fusilier : "Outre ce (troisième) BPC, le ministère de la Défense va passer commande, en 2009, de nouveaux engins de débarquement destinés à remplacer la batellerie des BPC et TCD. Plusieurs chantiers français sont en lice pour ce contrat, qui pourrait porter sur une dizaine d'unités. Les Constructions Navales et Industrielles de la Méditerranée (CNIM) semblent très bien placées avec leur concept de catamaran de débarquement (L-CAT), répondant aux spécifications formulées en 2003 par la Délégation Générale pour l'Armement (transport de 100 tonnes de fret à 20 noeuds notamment). L'acquisition de L-CAT par la marine permettrait, en outre, de donner un coup de pouce aux chantiers Gamelin, dont le site de La Rochelle a réalisé le prototype. L'entreprise rencontre en effet, actuellement, des difficultés financières liées aux investissements consentis sur de nouveaux concepts, dont le L-CAT." http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109092 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PLANTEVERTE Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 à part la CNIM ET LE L-CATqui sont les autres fourniseurs possibles? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 à part la CNIM ET LE L-CATqui sont les autres fourniseurs possibles? Les transbordeurs militaire enradiable moderne ca court pas les rues. Pour des plus petit modele avec des perf presque semblable niveau vitesse y a les LCVP Mk5 brit et les plus grand LCM-1E espagnols. LCM-1E http://es.wikipedia.org/wiki/LCM-1E 24m x 6.4m - 1 compagnie renforcée ou 56t de fret sur 100m² - exceptionnelement on peu surcharger si la mer et calme pour embarque un MBT -. - vitesse de 22 à 14kts selon la charge. LCVP Mk5 16m x 4.3m - une section équipé + 6t de fret. - vitesse 24kts en charge. Aucun des deux ne correspond au critere de l'appel d'offre EDA ... trop petit. Pour les modele plus grand ... rapide y a plus que les hovercraft. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PLANTEVERTE Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 en gros le L-Cat est gagnant d'avance? le concept me parait compliqué, j'aurais préféré un matos + rustique, on aime ça nous le rustique...un CTM avec une motorisation dopée pour une plus grande vitesse par exemple... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 en gros le L-Cat est gagnant d'avance? le concept me parait compliqué, j'aurais préféré un matos + rustique, on aime ça nous le rustique...un CTM avec une motorisation dopée pour une plus grande vitesse par exemple... Les chaland sont victime de limitation de conception, une grande surface mouillé et une tenu a la mer de merde a cause du fond plat ... ce qui interdit les grande vitesse sauf par mer calme, faible charge et grosse motorisation. en gros faut les faire déjouger pour en sortir quelques chose... et un barge déjaugé meme dans le bassin d'arcachon c'est un peut délicat des qu'il y a du gros clapot. Pour avoir de bonne perf sans mettre 2 turbine LM30 dans un LCS ... tout en aillant les critere d'acces au plage digne d'un chaland ... il faut changer de concept ... d'ou le Lcat, les hovercraft - eux il sont motorisaté version aéro ... - ou melange des deux. Les Hiovercraft c'est tres cher a l'usage et a l'achat, pas si rapide que ca a l'usage et ca emporte moitier moins qu'un Lcat ... en contrepartie ca debarque absolument n'importe ou, mer terre marais baquise etc. , pourvu que ca soit a peu pres plat. Les chaland avec ventilation de la coque ne sont pas encore dispo ... reste le Lcac ... perso je le sens bien la conception a l'air bien carré. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 Aucun des deux ne correspond au critere de l'appel d'offre EDA tu veux dire DGA, non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 tu veux dire DGA, non? l'appele d'offre EDA de la DGA ;) Engin de Debarquement Amphibie http://www.ixarm.com/IMG/rfi/LEROYM_12059182371_rfi-eda_version_11-03-2008_v1.4.pdf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 23 décembre 2008 Share Posté(e) le 23 décembre 2008 merci, j'étais perdu vu qu'on a aussi European Defence Agency pour l'acronyme EDA. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 24 décembre 2008 Share Posté(e) le 24 décembre 2008 On a une idée du besoin de trésorerie des chantiers? Somme toute, à l'échelle des budgets militaires, ce genre d'encours, c'est des petites patates: Gamelin a pris un risque légitime, mais pas au bon moment. Gageons que les élus du département sauront attirer l'attention du ministère sur l'enjeu industriel en question. C'est pas le soutien aux chantiers Gamelin qui va peser énormément. AFP 24/12/2008 | Mise à jour : 17:56 . Le patron des chantiers navals Gamelin, Joël Gamelin, s'est donné la mort hier sur son lieu de travail à La Rochelle, alors que son entreprise avait été placée en redressement début décembre, a-t-on appris aujourd'hui auprès du député-maire de la ville, Maxime Bono. "Il a craqué. Il n'a pas laissé de lettre, mais il a écrit un mot sur un tableau: +Pardonnez-moi de n'avoir pas pu sauver l'entreprise+", a indiqué M. Bono. M. Gamelin se serait donné la mort en absorbant un produit toxique dans son bureau, mardi à la mi-journée, a-t-il ajouté. "Le 5 décembre, l'entreprise Gamelin (a été) placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de La Rochelle", a indiqué le journal Sud Ouest dans son édition de mercredi. "Une période d'observation de six mois devait laisser le temps à Joël Gamelin d'apurer une situation caractérisée par un passif de 2,3 millions, pour un actif de 28.600 euros", a ajouté le journal. "La pression a été trop forte", a regretté M. Bono, pour qui aujourd'hui "la priorité est de sauver l'entreprise". Joël Gamelin, âgé de 55 ans et père de trois enfants, selon Sud Ouest, avait fondé son entreprise en 1983. Spécialisée dans la construction et la réparation navale en aluminium et en acier, l'entreprise emploie 120 personnes, à La Rochelle et Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 24 décembre 2008 Auteur Share Posté(e) le 24 décembre 2008 28000 euros d'actifs pour une entreprise de construction de 120 personnes..? Il y a un truc qui deconne...Mis à part cette remarque, toutes mes condoléances à la famille. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 24 décembre 2008 Share Posté(e) le 24 décembre 2008 Bien triste ... http://www.sudouest.com/charente-maritime/actualite/article/455575/mil/3960799.html JOËL GAMELIN EST MORT HIER. Son chantier naval, implanté à la Pallice à La Rochelle, était pris dans la tourmente depuis le début du mois Le PDG s'est suicidé C'est un homme de 55 ans, le père de trois enfants qui est décédé hier à la mi-journée. C'est un chef d'entreprise, qui n'a sans doute pas supporté la pression, qui a mis fin à ses jours dans son bureau, entre 12 et 14 heures, quand le personnel avait déserté les locaux. Joël Gamelin est mort. Une enquête est naturellement ouverte. Il paraît en l'état peu plausible qu'elle dissocie ce drame de la conjoncture très difficile qui ébranlait le chantier naval rochelais au seuil de l'hiver. Le 5 décembre dernier, l'entreprise Gamelin était placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de La Rochelle. Une période d'observation de six mois devait laisser le temps à Joël Gamelin d'apurer une situation caractérisée par un passif de 2,3 millions, pour un actif de 28 600 euros. Taillé dans le roc L'annonce avait tétanisé la filière maritime rochelaise. Ces dernières années, elle avait compté les succès technologiques du chantier au rythme des mises à l'eau de bateaux. Tous l'envisageaient bien loin de la tourmente. Aussi, depuis ce 5 décembre, les partenaires s'arc-boutaient pour que Gamelin survive, et avec lui, ses 120 salariés répartis sur les deux sites de production de la Pallice et Saint-Malo. Une des voies de sorties envisagées était la construction du nouveau bac de l'île d'Aix. La commission d'appels d'offres du Conseil général devait ouvrir les plis mercredi dernier ; mais une demande technique complémentaire renvoyait la décision au début de l'année prochaine. Pour Gamelin, ce marché portait l'espoir de dix-huit mois d'activité. Ce chantier, Joël Gamelin l'avait forgé à son image. L'homme était ambitieux, taillé dans le roc, carré. Un ouvrier chaudronnier hautement qualifié qui s'était fait à la force du poignet, après être passé par le chantier Simbad, près de Dompierre-sur-Mer. Il y avait déployé toute son adresse pour former les tôles d'aluminium. L'alu, c'était la signature Gamelin. Celle qui de 1987 à aujourd'hui a donné naissance à plus de 150 navires civils, de 11 à 37 mètres : voiliers de luxe, coureurs des mers, ateliers mytilicoles, navires de servitudes, jusqu'aux navires à passagers qui, ces dernières années représentaient 80 % de l'activité du chantier rochelais. La dernière prouesse en date avait été la réalisation cette année du L-Cat, un chaland de débarquement susceptible d'intéresser le marché militaire avec une capacité de charge de deux chars Leclerc. Créée à Marans, sa société avait emménagé à la Pallice en 1998. Depuis lors, son développement exponentiel attirait les commandes, réclamait des recrutements, mais aussi de lourds investissements qui l'ont exposé aux premiers sursauts de la crise. Et nul n'imaginait la tourmente actuelle autrement que passagère. « La pression était trop forte, il a craqué. » Le député-maire de La Rochelle, Maxime Bono, est particulièrement sensible au décès de Joël Gamelin, « un homme qui avait monté son entreprise, recruté du personnel, qui se battait comme un lion. C'est un terrible gâchis. Nous avons tous le sentiment que ça arrive au moment où il allait s'en sortir. Depuis l'annonce de ses difficultés, beaucoup de gens se sont occupés de lui, de l'entreprise, mais je ne sais pas s'il en était vraiment conscient. Le milieu local ne le laissait pas tomber. Tous avaient confiance en lui, et dans l'entreprise. Il faisait partie de ces patrons qui ont une très haute idée de ce qu'ils font. Nous avons reçu un gros coup. Plein de copains sont effondrés. » Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 31 décembre 2008 Share Posté(e) le 31 décembre 2008 c'est moche. toutes mes condoléances. On apprend d'après "eau tarie "sur marine forum les faits suivants: Sinon juste pour l'aspect militarisation de l'engin, l'étude est en cours. Un blindage des parties sensibles est à l'ordre du jour (timoneries / local vie / local machine). Par contre évidemment, il ne s'agit pas de résister à un missile . Le blindage visera à protéger essentiellement des calibres "transportables" (type 20mm / 12.7mm / 7.62 avec +/- la portée pratique correspondante ). Le tout étant qu'avec les redondances, même avec un coup de RPG () on soit capable de quitter la plage et ramener les personnels ou ressortissants en sûreté. http://forummarine.forumactif.com/france-f1/nouvelle-batellerie-des-bpc-tcd-t3866-105.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 31 décembre 2008 Share Posté(e) le 31 décembre 2008 moi j'y mettrais une tourelle toutatis de 40 mm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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