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Ankara décide de mener une incursion en Irak


Invité barbaros pacha

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Invité barbaros pacha

ça chauffe dans la région

Israël bombarde la syrie

la Turquie fait des incursions en Irak

tout la région va s'enflammer

Tu oubli l'Iran et son nucleaire...

Il y a aussi l'Afghanistan...

Les 8 soldats Turcs ne seront pas de monnaies d'echanges..

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oui mais les incursions ça peut finir par une occupation

regarde l'exemple d'Israël.

Je dit pas que la Turquie va envahir l'Irak

mais rien n'est impossible.

et en plus la région toute entier devient explosive.

C'est peut être la vision des USA; redessinée les frontières du proche et moyenne Orient

qui se réalise.

Liban, Israël, Irak, Iran, Turquie, Syrie, Palestine un nouveau ordre dans la région?

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L'aviation turque a bombardé un village kurde d'Irak.

DAHOUK, Irak (Reuters) - L'armée de l'air turque a attaqué mercredi un village situé dans les zones kurdes du nord de l'Irak, faisant des dégâts matériels mais aucune victime, a déclaré dans la soirée à Reuters un responsable kurde irakien de la sécurité.

Ce responsable, qui s'est exprimé sous le couvert de l'anonymat, a précisé qu'une localité des environs de Chiranich Islam, à 25 km au nord-est de la ville de Dahouk, avait été violemment bombardée en milieu de journée.

De source proche des services de sécurité turcs, on avait rapporté dans la journée que l'aviation turque avait effectué une série de sorties à 20 km à l'intérieur de l'espace aérien irakien, entre dimanche et mardi soir. Dans le même temps, ajoutait-on, 300 soldats ont pénétré à une dizaine de kilomètres à l'intérieur du territoire irakien.

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SCHAERBEEK-SAINT-JOSSE / Flambée nationaliste

LA MANIF anti-PKK, interdite, a dégénéré : plus de 100 arrestations, beaucoup de casse et trois policiers blessés.

Image IPB

n'y a pas que des drapeaux belges qui flottent aux fenêtres, à Bruxelles. Dans le quartier turc, la « petite Anatolie », situé à cheval sur les communes de Schaerbeek et Saint-Josse, ce sont les drapeaux turcs qui fleurissent. Rue du Méridien et chaussée de Haecht, ils flamboient depuis quelques jours aux fenêtres des immeubles et aux devantures des cafés. Ils se déploient même en banderoles au-dessus de rues du quartier, attachés aux fils électriques.

C'est aux cris de « Le martyr ne meurt pas, la patrie ne se divise pas » qu'une foule de jeunes ultranationalistes, partis de la place Liedts vers 17 h, a progressé vers la chaussée de Haecht, le cœur d'« Emirdag Bruxelles » (une bonne partie des Turcs du quartier sont issus de cette province turque).

La veille, la police de la zone 5 (nord de Bruxelles) avait intercepté des messages SMS échangés au sein de la communauté turque et appelant à un rassemblement mercredi. La « manifestation spontanée » n'avait fait l'objet d'aucune demande officielle. Plus d'une centaine de policiers se sont alors déployés tant à Schaerbeek qu'à Saint-Josse. Positionnés stratégiquement sur les grands axes (chaussée de Louvain, près du Botanique, chaussée de Haecht) ils étaient prêts à intervenir. Par sécurité, le bourgmestre de Saint-Josse Jean Demannez (PS) avait fait fermer la maison communale et le commissariat de la rue Bériot

Les heurts se sont concentrés sur trois lieux : la chaussée de Haecht où les manifestants parfois cagoulés ont été arrosés par des autopompes, la rue de Liedekerke et la place Houwaert. Par petits groupes, les manifestants, armés de bâtons et de pierres, provoquaient les autorités puis se repliaient. Au même moment, d'autres groupes agissaient à plusieurs centaines de mètres de là.

La présence des forces de l'ordre a cependant limité les dégâts. Rue de Liedekerke, le café « Le jardin de Babylone », tenu par un Arménien, a de nouveau été attaqué. Juste à côté, une pierre a fracassé la vitre d'un immeuble. Quelques mètres plus loin, c'est une boutique gérée par un Kurde dont la devanture a volé en éclats, malgré la protection du rideau baissé. Une dizaine de policiers ont été blessés dont trois dans un accident de voiture. Ils ont été soignés à l'hôpital.

En fin de soirée, le commissaire David Jansen faisait état de nombreux contacts physiques avec les forces de l'ordre, des poubelles incendiées et de nombreux véhicules endommagés.

D'après l'agence Belga, les incidents ont concerné entre 600 à 800 personnes. Certains seraient même venus de Gand et d'Anvers. Toute la soirée, la police est restée sur le qui-vive. En tout cas, des commerçants commencent à se décourager. Comme ce tenancier turc d'un snack de la chaussée de Louvain : « J'en ai marre. Moi, je fais d'habitude un chiffre d'affaires de 700 euros par jour. Depuis lundi, il n'y a plus personne. Aujourd'hui, j'ai gagné cent euros ».

Rappelons que le quartier rassemble plus de la moitié de la communauté turque à Bruxelles. Dès que se produit le moindre soubresaut politique en Turquie, Schaerbeek et plus encore Saint-Josse importent la violence politique. Victimes involontaires d'un nationalisme exacerbé.

Ce genre de manifestation violente est vraiment répréhensible et incompréhensible !  =(

S'ils veulent en découdre avec le PKK qu'ils aillent s'engager dans l'armée turque et aillent se battre contre le PKK que de tout casser en Belgique et ailleurs (Allemagne, ...) dans leurs pays d'accueil !

Je ne comprends pas ce genre d'attitude inexcusable et inconscient =(, après on s'étonne que l'extrême-droite national ou local récolte non seulement les fruits de ces casses et bagarres mais progresse.

C'est pareil avec le proche-orient, il faut toujours que les pays d'accueil encaissent des antagonistes les frais et les violences sur son sol à cause du conflit israélo-palestinien ou israélo-libanais, ...  =(

Enfin, je constate un certain laxisme de leurs pays d'origine de condamner les violences, les agressions, les dégradations, les actes de vandalisme, ... de leurs expatriés qui leur rapportent de l'argent de leurs pays d'accueil.  =|

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@ Mani

Merci je sais c'est une honte...

C'est gens n'ont aucun respect pour les pays qui les acceuille

Au lieu de s'intégrer ils ne font qu'entretenir leur différences, si à la limite ce n'était que cela, mais en plus leurs conflits.

Je ne parle pas de la statues commémorant le génocide arménien vandalisée, ni de rabbins agressés et passés à tabac.

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Invité barbaros pacha

Je condamne les actes de mes compatriotes en Belgique ou dans le reste de l'Europe, oui si ils veulent se battrent, ils peuvent s'engager dans l'armée Turc, sur ce point je suis d'accord avec vous... ;) =)

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Une délégation irakienne en route pour Ankara sur fond de fortes tensions frontalières --par Selcan Hacaoglu--

ANKARA (AP) -- La Turquie est à bout de patience et ne tolérera plus que les rebelles séparatistes kurdes utilisent le territoire irakien pour mener contre elle des attaques terroristes, a averti jeudi le président Abdullah Gul, relançant la menace d'une offensive transfrontalière d'ampleur contre les bases arrière du PKK.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a quant à lui laissé entendre que les objections soulevées par les Etats-Unis ne dissuaderaient pas son pays de mener des incursions en Irak pour frapper la rébellion kurde.

«Ils (les Américains) peuvent souhaiter que nous ne lancions pas une offensive transfrontalière, nous prendrons la décision que nous aurons à prendre», a-t-il déclaré au cours d'un déplacement en Roumanie. «Nous sommes aujourd'hui forcés de prendre cette mesure et nous la prendrons.»

Le gouvernement turc, qui a massé des troupes sur la frontière avec l'Irak, avait fait état mardi de possibles incursions dans le nord de ce pays voisin si Bagdad, soutenu par Washington, n'agissait pas contre les hommes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Ankara avait exclu tout cessez-le-feu avec les séparatistes.

L'armée turque a indiqué jeudi avoir tué au moins 64 rebelles présumés cette semaine, dont plus d'une trentaine qui se préparaient à attaquer mardi une unité proche de la frontière irakienne.

Elle a précisé dans un communiqué avoir repéré un «groupe massif de terroristes» près d'un avant-poste militaire de la province de Semdinli, près de la frontière irakienne, et avoir ouvert le feu. Le groupe aurait pris la fuite vers le territoire irakien.

Dans une dépêche de l'agence pro-kurde Firat, la rébellion a cependant démenti toute perte, qualifiant de «mensonges» l'annonce de l'armée turque.

Au lendemain des bombardements signalés mercredi sur des positions rebelles dans ce secteur, deux chasseurs F-4 ont été vus jeudi effectuant un vol de reconnaissance à basse altitude le long de la frontière. Parallèlement, au moins cinq chasseurs-bombardiers F-16 ont décollé de la base de Diyarbakir (sud-est) et plus de dix hélicoptères d'attaque ont été repérés dans le ciel de la province frontalière d'Hakkari, où des hommes en armes patrouillaient dans les villages.

«Nous sommes totalement déterminés à prendre toutes les mesures nécessaires pour faire cesser cette menace», a souligné le président Gul avant de recevoir une délégation irakienne de haut niveau en route pour Ankara.

La Turquie «attend d'elle qu'elle vienne avec des propositions concrètes, faute de quoi cette visite n'aura aucun sens», a expliqué le ministre turc des Affaires étrangères Ali Babacan.

Yassin Majid, conseiller du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, a pour sa part indiqué que les deux parties souhaitaient parvenir à une solution lors de cette rencontre. Il a ajouté que la délégation était conduite par le ministre de la Défense Abdul-Qader al-Obeidi et comprenait son collègue en charge de la Sécurité nationale Cherwan al-Waili.

«Le choix politique sera privilégié pour résoudre la crise. Le gouvernement irakien insiste sur le dialogue et la coopération pour trouver un règlement», a relevé M. Majid.

L'ambassadeur des Etats-Unis en Irak, Ryan Crocker, a de son côté annoncé que des diplomates américains se joindraient à la délégation irakienne dans le cadre d'un «comité tripartite» destiné à désamorcer cette crise. Selon lui, tout doit être fait pour prévenir une invasion de l'Irak par la Turquie, mais l'armée irakienne doit aussi s'employer à stopper les approvisionnements du PKK.

L'Irak s'est engagé à fermer des locaux utilisés par les séparatistes kurdes. Mais la Turquie attend beaucoup plus. Elle veut notamment que le gouvernement de Bagdad et les forces américaines en territoire irakien détruisent les bases du PKK et extradent les principaux chefs rebelles vers la Turquie.

Ankara semble vouloir s'abstenir de toute intervention d'envergure au moins jusqu'à la conférence sur l'Irak des 2 et 3 novembre à Istanbul. Aussitôt après, M. Erdogan doit rencontrer à Washington le président George W. Bush. AP

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Colère des villageois Kurdes chassés par les Turcs

vendredi 26.10.2007, 11:56

"Les Turcs se comportent comme Saddam Hussein, ils nous bombardent et nous chassent de nos terres", raconte un villageois qui a fui Nezouri, un petit village du Kurdistan irakien, menacé par les tirs de l'artillerie turque. Une quinzaine de familles de cette bourgade ont trouvé refuge à Begova, une localité voisine qui abrite paradoxalement une base militaire turque, en vertu d'un accord passé en 1997 entre le parti de l'actuel président du Kurdistan irakien et Ankara.

« L'ancien dictateur irakien Saddam Hussein avait brûlé nos maisons pour nous chasser et nous avons dû fuir. Après la chute du tyran, nous sommes revenus à Nezouri et avons tout reconstruit avec l'aide de notre gouvernement », raconte une mère de famille. "Et maintenant, c'est une autre dictature qui nous fait fuir de nos terres, de nos maisons", lance-t-elle, n'hésitant pas à comparer les autorités turques au régime du Baas irakien.

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Invité barbaros pacha

Colère des villageois Kurdes chassés par les Turcs

vendredi 26.10.2007, 11:56

"Les Turcs se comportent comme Saddam Hussein, ils nous bombardent et nous chassent de nos terres", raconte un villageois qui a fui Nezouri, un petit village du Kurdistan irakien, menacé par les tirs de l'artillerie turque. Une quinzaine de familles de cette bourgade ont trouvé refuge à Begova, une localité voisine qui abrite paradoxalement une base militaire turque, en vertu d'un accord passé en 1997 entre le parti de l'actuel président du Kurdistan irakien et Ankara.

« L'ancien dictateur irakien Saddam Hussein avait brûlé nos maisons pour nous chasser et nous avons dû fuir. Après la chute du tyran, nous sommes revenus à Nezouri et avons tout reconstruit avec l'aide de notre gouvernement », raconte une mère de famille. "Et maintenant, c'est une autre dictature qui nous fait fuir de nos terres, de nos maisons", lance-t-elle, n'hésitant pas à comparer les autorités turques au régime du Baas irakien.

Les bombardements sont justifiés, mais reste a voire la propagande de ces gens...

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Les bombardements sont justifiés, mais reste a voire la propagande de ces gens...

Rien ne justifie de bombarder des civiles innocents.

c'est mignon a lire. Donc les bombardement des israelien sur le Liban aussi et tout le reste

Non.

Ma position est assez clair i hope.

Que se soit les israeliens , les turques ou les Papoux rien ne le justifira.

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Invité barbaros pacha

:lol: c'est mignon a lire. Donc les bombardement des israelien sur le Liban aussi et tout le reste :)

L'armée bombardent pas les villages...il y a des feu de broussailles a cause des bombardement...c'est de la pure propagande, comme d'habitude, pas d'images, pas de videos...eh oui..montre moi des images.. ;)

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L'armée bombardent pas les villages...il y a des feu de broussailles a cause des bombardement...c'est de la pure propagande, comme d'habitude,

mais bien sur et la marmotte ......

c'est marrant c'est exactement ce qu'avait sorti le général Mladic lors de l'avancée de son bataillon en Croatie (il n'etait que colonnel chef de corps alors) mot pour mot......

Brabaros tu cites là un grand homme (joke of course ....  =) O0)

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Invité barbaros pacha

mais bien sur et la marmotte ......

c'est marrant c'est exactement ce qu'avait sorti le général Mladic lors de l'avancée de son bataillon en Croatie (il n'etait que colonnel chef de corps alors) mot pour mot......

Brabaros tu cites là un grand homme (joke of course ....  =) O0)

:lol: ;)

je veut voire des images ou des images...

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