zx Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 1 progress/atv pour s'arrimer et pousser la station, 1 dragon/htv pour être récupèrer par le bras de l'iss, à mon avis, il y aura une nouvelle commande des ATVpour conserver une alternative au progress, on est pas certains de ne pas avoir des problèmes avec le progress, ca s'accumule ces temps ci, l'atv reste une alternative importantesinon ils dépendront des russes pour remonter l'orbite. On en saura plus quand le 5eme ATV sera lancé.Maintenant ils prévoient des mission d'un an.http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/bientot-des-missions-dun-an-a-bord-de-la-station-spatiale-internationale_40988/#xtor=RSS-19le quatrieme ATV s'appelera Georges Lemaître en hommage au grand cosmologiste belge, prévu pour début 2013http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/le-cinquiame-atv-baptisac-du-nom-de-georges-lemaaRtre_37045/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 Je pense aussi que les ATV auraient du subir un allongement de la série, car c'est la meilleur solution disponible sur le court moyen terme. Mais visiblement ce ne sera pas le cas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 C'est vrai que l'avenir ne s'annonce pas rose, l'europe parle d'un arrêt de sa contribution à l'ISS en 2017/2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 même pas puisque l'ATV est déjà technologiquement obsolète. C'est une des raisons de la non continuité des vols. Après les 5 exemplaires prévues il aurait fallut refaire un traitement des obsolescences assez conséquent. Par contre il y'a d'autre projets plus modernes dans les cartons. Croisons les doigts pour que la crise ne les affecte pas trop. pourtant Progress a servie - et sert encore- longtemps en comparaison, tout en étant toujours adapté ? quelles sont les obsolescences en question ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
deco Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 C'est vrai que l'avenir ne s'annonce pas rose, l'europe parle d'un arrêt de sa contribution à l'ISS en 2017/2018 ce n'est pas un mal. - Aux début de l'ISS je pestais contre la faible participation de l’Europe au programme ISS - Ces dernières années je me suis souvent demandé à quoi servait l'ISS puisque on ne parlais jamais de ce qu'elle apportait - Dernièrement j'ai entrevue un documentaire sur la cinquième ou arte qui expliquait que la station n'a pas tenue ses promesses et ne servait à rien Elle a été conçue pour élaborer de nouveaux procédés industrielles ou de recherches en apesanteur qui intéresserait le secteur privé et faire du profit mais ils n'ont jamais réussi quoique ce soit, elle est inutile sauf pour observer les effets de l’apesanteur sur la nature........... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 pourtant Progress a servie - et sert encore- longtemps en comparaison, tout en étant toujours adapté ? quelles sont les obsolescences en question ? Je pense que le progress a subit quelques évolutions également depuis sa création ^^. Elle a été conçue pour élaborer de nouveaux procédés industrielles ou de recherches en apesanteur qui intéresserait le secteur privé et faire du profit mais ils n'ont jamais réussi quoique ce soit, elle est inutile sauf pour observer les effets de l’apesanteur sur la nature........... Oui et le lancement d'un ATV coute quand même cher. Mais sans l'ISS plus de vols habités, ou alors il faut que l'ESA prenne son indépendance dans ce domaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
S-37 Berkut Posté(e) le 3 septembre 2012 Share Posté(e) le 3 septembre 2012 Premiers instants d'une sortie extravéhiculaire L'astronaute américaine Sunita Williams et son collègue japonais Akihiko Hoshide ont effectué jeudi une sortie extravéhiculaire afin de procéder à des travaux de réparation et pour préparer l'ISS à l'arrivée d'un module russe. Vidéo ici : http://fr.rian.ru/video/20120831/195841329.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 6 septembre 2012 Share Posté(e) le 6 septembre 2012 La Station Spatiale Internationale sauvée par une brosse à dents. Mercredi, les spationautes Sunita Williams et Akihiko Hoshide réalisaient une nouvelle sortie hors de la Station spatiale internationale (ISS) dans le but d'achever la mission avortée lors de la précédente. D'après la NASA, la sortie s'est, cette fois-ci achevée par un succès.L'opération consistait à changer un boitier défectueux appelé "Main Bus Switching Unit". L'ISS en possède quatre de ce type pesant pas moins de cent kilos chacun. Ceux-ci servent à conduire l'électricité produite par les quatre doubles antennes solaires de la Station. L'un d'entre eux défectueux avait ainsi privé l'ISS de l'électricité fournie par deux des huit antennes et contraint à éteindre de nombreux équipements. Il convenait donc le remplacer. Mais la tâche s'est avérée plus facile à dire qu'à faire puisque, s'ils ont bien réussi à retirer le boitier défectueux, les deux spationautes ont ensuite été bloqués par un boulon grippé empêchant l'installation d'un nouveau.Hier, le boulon ne leur a toutefois plus résisté et ce, grâce à un outil pour le moins inattendu... une brosse à dents. En effet, si les réparateurs de l'espace ne parvenaient pas à manipuler le boulon, c'est que des débris, décrits comme des copeaux de métal, s'y étaient amassés et que ceux-ci empêchaient d'attacher le nouveau boitier à la station. Toute tentative de nettoyage s'était alors révélée insuffisante pendant la première sortie. Une fois revenus, les spationautes se sont donc creusés la tête pour trouver un moyen d'extraire ces copeaux et de nettoyer en profondeur le système : c'est alors que l'idée de la brosse à dents est venue. Après environ quatre heures de récurage intensif, le boulon est redevenu immaculé et les deux spationautes ont été en mesure de fixer la nouvelle unité MBSU. "On dirait que vous avez réparé la station les gars", a déclaré l'astronaute Jack Fisher par radio depuis le Johnson Space Center de la NASA à Houston au Texas. "Les deux réparateurs de l'espace ont achevé leur sortie de 6 heures et 28 minutes mercredi à 17H34 GMT", a précisé la NASA dans un communiqué. "La Station est de nouveau en très bon état de fonctionnement", a ajouté de son côté Mike Suffredini, le responsable de l'ISS, lors d'une conférence de presse.http://www.maxisciences.com/station-spatiale-internationale/iss-mission-accomplie-pour-les-spationautes-grace-a-une-brosse-a-dents_art26440.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 7 septembre 2012 Share Posté(e) le 7 septembre 2012 Hier, le boulon ne leur a toutefois plus résisté et ce, grâce à un outil pour le moins inattendu... une brosse à dents. En effet, si les réparateurs de l'espace ne parvenaient pas à manipuler le boulon, c'est que des débris, décrits comme des copeaux de métal, s'y étaient amassés et que ceux-ci empêchaient d'attacher le nouveau boitier à la station. Faut il comprendre que c'est la faute du fournisseur du "boitier" qui manifestement a fourni un engin sommairement nettoyé avant son envoi en cargo (j'imagine il est arrivé par la, ou bien en charge utile sur un vol habité) Dans tout les cas c'est un manquement assez sévère sur le niveau de propreté générale des choses qu'on envoie normalement en orbite qui sont sensées être nettoyé, désinfecté de fond en comble ... Hors des copeaux de ce type sont révélateurs ... A moins qu'ils aient percé dans l'espace sur le chantier il y a peu, et que c'est la que les copeaux se sont accumulés mais bon j'en doute un peu Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
S-37 Berkut Posté(e) le 21 septembre 2012 Share Posté(e) le 21 septembre 2012 ISS: la capsule Soyouz atterrit au Kazakhstan La capsule du vaisseau piloté russe Soyouz TMA-04M a atterri avec succès au Kazakhstan près de la zone prévue, a fait savoir lundi à RIA Novosti un porte-parole du Centre de contrôle des vols (TsOuP). L'équipage de retour de la Station spatiale internationale (ISS), comprenant les cosmonautes russes Guennadi Padalka et Sergueï Revine, ainsi que l'astronaute de la NASA Joseph Akaba, a bien supporté l'atterrissage. L'atterrissage de l'appareil a été suivi par les unités des forces aériennes russes comprenant trois avions Antonov An-12 et An-26, 12 hélicoptères Mi-8 et six véhicules de recherche et de sauvetage. http://fr.rian.ru/science/20120917/196061861.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 10 octobre 2012 Share Posté(e) le 10 octobre 2012 La chanteuse britannique Sarah Brightman se rendra à bord de l'ISS comme touriste.La chanteuse britannique Sarah Brightman a annoncé mercredi lors d'une conférence de presse à Moscou qu'elle se rendrait prochainement, en tant que touriste, à bord de la Station spatiale internationale (ISS)."J'entends participer à un vol spatial et je viens de recevoir de Roskosmos (Agence spatiale russe) la confirmation de ma préparation à venir pour ce voyage dans l'espace, dont les détails seront prochainement précisés entre Roskosmos et les partenaires de l'ISS", a déclaré Mme Brightman.Sarah Brightman (52 ans), prochaine touriste de l'espace, est une chanteuse et actrice anglaise qui a vendu plus de 26 millions d'albums dans le monde. Avec sa voix de soprano pure, elle a obtenu un grand succès populaire en produisant une musique pop fortement influencée par la musique classique. Elle a débuté comme danseuse avant de devenir la vedette des comédies musicales Cats et The Phantom of the opera. Par deux fois, en 1992 et en 2008, elle a chanté lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques.http://fr.rian.ru/science/20121010/196281030.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 27 novembre 2012 Share Posté(e) le 27 novembre 2012 L'agence spatiale russe Roskosmos et la Nasa américaine ont sélectionné deux astronautes expérimentés pour effectuer une mission d'un an à bord de la Station spatiale internationale (ISS) en 2015. Le Russe Mikhaïl Kornienko et l'Américain Scott Kelly s'envoleront depuis le cosmodrome russe de Baïkonour (Kazakhstan) au printemps 2015 pour une mission d'un an au cours de laquelle ils vont collecter des "données scientifiques importantes pour les explorations futures du système solaire par l'homme", ont précisé Roskosmos et la Nasa. L'objectif de cette mission d'un an à bord de l'ISS est de "mieux comprendre comment le corps humain réagit et s'adapte aux rudes conditions de l'espace", selon les deux agences. Les données collectées pendant cette expédition de 12 mois vont permettre de définir avec davantage de précision les capacités et l'état de santé des membres d'équipage en vue de réduire les risques liés aux expéditions futures pour des missions autour de la Lune et sur Mars, selon la même source. Suite : http://www.lepoint.fr/science/un-russe-et-un-americain-selectionnes-pour-une-mission-d-un-an-dans-l-espace-27-11-2012-1534133_25.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jérôme Posté(e) le 14 janvier 2013 Share Posté(e) le 14 janvier 2013 Des modules gonflables accrochés à l'ISS avec Bigelow Aerospacehttp://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/des-modules-gonflables-accroches-a-liss-avec-bigelow-aerospace_43979/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 15 janvier 2013 Share Posté(e) le 15 janvier 2013 J'espère qu'ils ne le feront jamais ... J'ai aucune confiance dans ces aspects "gonflables" d'habitat spatiaux qui a mes yeux ne sont d'ailleurs que des impostures économiques qui croivent a s'attaquer a ce que j'appelle clairement un faux problème : Celui des couts ... Hors la vérité des couts étant ailleurs, un module spatial pour l'ISS par exemple ça vaut 150 millions d'euros, ça peut donner l'impression que c'est cher mais par rapport a ce qu'elle a couté en lancements : c'est un pet de lapin ! Soit a peut près 0,14% des couts de la station ... Soit globalement si on additionne tout les modules : 1,5% peut être 3% si on compte tout : les poutres, les nodes, les bras robotisés, les diverses technologies et dispositifs externes et les grandes surfaces de régulation et captage solaire Et encore la je compte large, je pense qu'on tourne plutot entre 2 et 2,5% du cout total ... Quel est l'intérêt de faire du gonfable dans ces conditions ? Alors qu'on ne connait pas du tout leur comportement sur le moyen/long termes face aux micro-météorites qui pourraient les user rapidement par rapport au métal ... Ou pire encore : augmenter sensiblement le risque de danger majeur sur les petites météorites de 1mm en faisant une différence majeur de conséquences a l'impact : sur du métal ça fera un petit impact, sur du gonfable : forte chance qu'elle traverse de part en part et mette en péril l'habitat ... Pour de fausses économies on changerait les seuils de sécurité ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 15 janvier 2013 Share Posté(e) le 15 janvier 2013 J'espère qu'ils ne le feront jamais ... J'ai aucune confiance dans ces aspects "gonflables" d'habitat spatiaux qui a mes yeux ne sont d'ailleurs que des impostures économiques qui croivent a s'attaquer a ce que j'appelle clairement un faux problème : Celui des couts ... Hors la vérité des couts étant ailleurs, un module spatial pour l'ISS par exemple ça vaut 150 millions d'euros, ça peut donner l'impression que c'est cher mais par rapport a ce qu'elle a couté en lancements : c'est un pet de lapin ! Soit a peut près 0,14% des couts de la station ... Soit globalement si on additionne tout les modules : 1,5% peut être 3% si on compte tout : les poutres, les nodes, les bras robotisés, les diverses technologies et dispositifs externes et les grandes surfaces de régulation et captage solaire Et encore la je compte large, je pense qu'on tourne plutot entre 2 et 2,5% du cout total ... Quel est l'intérêt de faire du gonfable dans ces conditions ? Alors qu'on ne connait pas du tout leur comportement sur le moyen/long termes face aux micro-météorites qui pourraient les user rapidement par rapport au métal ... Ou pire encore : augmenter sensiblement le risque de danger majeur sur les petites météorites de 1mm en faisant une différence majeur de conséquences a l'impact : sur du métal ça fera un petit impact, sur du gonfable : forte chance qu'elle traverse de part en part et mette en péril l'habitat ... Pour de fausses économies on changerait les seuils de sécurité ? Je te trouve bien optimiste sur les coûts mon cher Alpacks ^^ et tu oublis les couts de lancements. Car en lançant des modules qui seront ensuite trois à quatre fois plus gros ça te permet d'avoir une station de taille équivalente avec 3 à 4 fois moins de lancements.C'est pas négligeagle. Pour la résistance je ne pense pas que ce soit un problème. il est possible de faire des matériaux flexibles de plus en plus résistants. Même si il faudra sûrement surveiller cette problématique. Au niveau comportement à long terme je pense que justement les expérimentation diront si c'est viable sur la durée de vie d'un module. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 16 janvier 2013 Share Posté(e) le 16 janvier 2013 J'espère qu'ils ne le feront jamais ... J'ai aucune confiance dans ces aspects "gonflables" d'habitat spatiaux qui a mes yeux ne sont d'ailleurs que des impostures économiques qui croivent a s'attaquer a ce que j'appelle clairement un faux problème : Tiens, ça faisait longtemps que je n'avais pas croisé le verbe croiver. Quel est l'intérêt de faire du gonfable dans ces conditions ? Alors qu'on ne connait pas du tout leur comportement sur le moyen/long termes face aux micro-météorites qui pourraient les user rapidement par rapport au métal ... Ou pire encore : augmenter sensiblement le risque de danger majeur sur les petites météorites de 1mm en faisant une différence majeur de conséquences a l'impact : sur du métal ça fera un petit impact, sur du gonfable : forte chance qu'elle traverse de part en part et mette en péril l'habitat ... Pour de fausses économies on changerait les seuils de sécurité ? Le métal aussi est extrêmement sensible à une usure rapide par les micro-météorites, avec l'inconvénient majeur que les dégats ne se voient généralement pas à l'oeil nu, et que l'affaiblissement structurel qui peut en résulter n'est perceptible qu'au moment de l'avarie finale (mécanique, le plus souvent), qui entraine la fin de mission. En terme de résistance à l'impact, je ne serai pas si catégorique sur les différences de résistance. La structure souple peut utiliser des matériaux d'une grande résistance, comme des nappes de kevlar, de soies techniques, de nanotubes ou de Dyneema. Cela permet de répartir la pression de l'impact sur une plus grande surface (par le je de traction des fibres dans le nappage/tissage) qu'avec des matériaux rigides en plaques fixes. En outre, la structure gonflable peut aussi être auto-réparante, à l'instar des réservoirs auto-obturants des avions de combat de la seconde guerre mondiale. C'est pas idiot et ça vaut le coup d'être tenté, expérimenté au moins pour ne pas éliminer une vraie solution sur la base de préjugés techniques infondés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 16 janvier 2013 Share Posté(e) le 16 janvier 2013 Et puis le gain de coût se verra surtout sur le nombre de fusées nécessaires pour tout envoyer, c'est véritablement là que se trouve l'intérêt du gonflable ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jérôme Posté(e) le 16 janvier 2013 Share Posté(e) le 16 janvier 2013 l'avantage c'est que les modules gonflage ne seront plus limité a des formes cylindrique du genre suppositoire !on peu imaginée des module en forme de losange , carré, rectangle etc ..... ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 16 janvier 2013 Share Posté(e) le 16 janvier 2013 Heu je ne vois pas pourquoi C'est même au contraire, à la base un élément gonflé de part la pression qui s'applique sur toute sa paroi prendra une forme sphérique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 16 janvier 2013 Share Posté(e) le 16 janvier 2013 C'est même au contraire, à la base un élément gonflé de part la pression qui s'applique sur toute sa paroi prendra une forme sphérique. Parce qu'il est possible d'avoir un patron de découpe des pièces pour créer un volume avec des formes complexes, même gonflées. Cela nécessite juste des renforts sur les zones anguleuses pour ne pas affaiblir la structure au gonflage. Il est aussi possible de brider le gonflage par des "sangles" qui vont limiter le développement selon tel ou tel axe. Heureusement que tous les chateaux gonflables pour enfant ne se transforment pas en citrouille. ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jérôme Posté(e) le 16 janvier 2013 Share Posté(e) le 16 janvier 2013 on peu imaginé des structures gonflable capable de protège un vaisseaux spatial contre les radiations ou autre danger venue du fin fond du cosmos , et en cas de problème technique ou d'accident plus grave sa faciliterait le travaille des astronautes pour réparé le vaisseaux de l’extérieure . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 17 janvier 2013 Share Posté(e) le 17 janvier 2013 Parce qu'il est possible d'avoir un patron de découpe des pièces pour créer un volume avec des formes complexes, même gonflées. Cela nécessite juste des renforts sur les zones anguleuses pour ne pas affaiblir la structure au gonflage. Il est aussi possible de brider le gonflage par des "sangles" qui vont limiter le développement selon tel ou tel axe. Heureusement que tous les chateaux gonflables pour enfant ne se transforment pas en citrouille. ;) Ha mais j'ai pas dis que c'était impossible ! :lol: J'ai juste réagis aux propos de manivelle qui disait que cela faciliterait ce genre de forme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) le 17 janvier 2013 Share Posté(e) le 17 janvier 2013 En fait c'est une erreur de penser que les modules sont souples. Sont peut être pseudo souple sur terre, mais des qu'ils sont gonflés dans le vide, c'est comme des parois de béton. Il est même possible que ce soit plus rigide que les modules actuels.Le danger de des Bigelow, c'est la perte de pression à l'intérieur du module, parce que c'est le delta de pression intérieur - extérieur qui fait que la structure se rigidifie.Pour les météorites, la superposition des couches et des matériaux permet un amortissement des chocs qui est très bon. Un nombre suffisant de feuille de papier arrête une balle après tout.En ce qui concerne la forme, je pense que l'on restera pour un moment avec des formes cylindrique, c'est un bon compromis entre volume occupé au départ et volume disponible gonflé. De plus ca permet d’emporter un volume et une masse non négligeable a l’intérieur de la structure lorsqu’elle est pliée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
stormshadow Posté(e) le 17 janvier 2013 Share Posté(e) le 17 janvier 2013 Les modules gonflables sont surtout très léger. Un BA330 ne pèse que 23t max pour 330m3. Avec 3 BA 330 t'as déjà plus de volume que l'ISS. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 22 janvier 2013 Share Posté(e) le 22 janvier 2013 La Nasa lance un concours international ouvert à tous afin d’optimiser la production d’électricité par les panneaux solaires de la Station spatiale internationale (ISS). L’agence spatiale américaine cherche l’idée géniale qui permettra de positionner ces panneaux de manière telle qu’ils généreront un maximum d’énergie, même pendant les positions orbitales les moins favorables. La Nasa offre en tout 30 000 dollars de prix. Suite : http://www.rtbf.be/info/societe/detail_la-nasa-offre-10-000-dollars-a-celui-qui-permettra-d-ameliorer-l-iss?id=7912382 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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