Skw Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 L'information date déjà de quelques jours : Citation According to his obituary, SFC Zachary Allan Bannister, 33, was killed in action while serving in Alpha 3236, Company C, 2nd Battalion, 3rd Special Forces Group (Airborne) in Kenya on October 17, 2016. Details regarding his death have not been released yet. SFC Bannister left the Marine Corps in order to join the Army Special Forces. His memorial service will be held on Saturday October 29th and he will be buried in Arlington Cemetery with full military honors, time and date undetermined. http://snafu-solomon.blogspot.fr/2016/10/special-forces-operator-killed-in-kenya.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 31 juillet 2017 Share Posté(e) le 31 juillet 2017 "Tensions" au Kenya Au Kenya, la résidence du vice-président libérée après vingt heures de siège William Ruto, qui n’était pas présent lors de l’attaque, brigue un second mandat, au côté du président Uhuru Kenyatta, lors des élections générales du 8 août. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/07/31/au-kenya-la-residence-du-vice-president-liberee-apres-vingt-heures-de-siege_5166862_3212.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 1 septembre 2017 Share Posté(e) le 1 septembre 2017 Coup de tonnerre au Kenya avec l'annulation de la présidentielle http://www.lepoint.fr/monde/kenya-l-opposition-salue-la-decision-historique-de-la-cour-supreme-01-09-2017-2153813_24.php La Cour suprême kényane a pris vendredi une décision à la portée historique en invalidant pour "irrégularités" le résultat de l'élection présidentielle du 8 août, qui avait donné le sortant Uhuru Kenyatta vainqueur, et en ordonnant qu'un nouveau scrutin soit organisé dans les deux mois. "A la question de savoir si les illégalités et irrégularités ont affecté l'intégrité de l'élection, la Cour est d'avis que c'est le cas", a déclaré le président de la Cour, David Maraga. C'est reparti pour des vagues de violences... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 10 octobre 2017 Share Posté(e) le 10 octobre 2017 La NASA (je n'avait pas noté que l'opposition s'appelle ainsi) se retire de la prochaine élection présidentielle vu qu'il n'y a pas eu de réforme : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/10/10/au-kenya-l-opposant-raila-odinga-annonce-son-retrait-de-la-presidentielle-du-26-octobre_5198928_3212.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 29 août 2020 Share Posté(e) le 29 août 2020 Déterrage pour un article intéressant : https://www.dailymaverick.co.za/article/2020-08-28-revealed-the-cia-and-mi6s-secret-war-in-kenya/ La CIA et le MI6 qui chapeautent ensemble un escadron de la mort au Kenya, la "Rapid Response Team", chargé de faire des raids la nuit sur les domiciles de présumés terroristes (ou leurs homonymes...) pour les exécuter. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 17 août 2022 Share Posté(e) le 17 août 2022 (modifié) William Ruto élu président, le résultat rejeté par une partie de la commission électorale. Après six jours d'attente, William Ruto a été déclaré lundi vainqueur de l'élection présidentielle par le président de la commission électorale du Kenya. Une partie des membres de cet organe indépendant ont cependant rejeté ces résultats. https://www.france24.com/fr/afrique/20220815-présidentielle-au-kenya-des-membres-de-la-commission-électorale-rejettent-les-résultats-avant-leur-proclamation Espérons que cela ne dégénère pas trop.... message aux admin. : serait-il possible de changer le titre du sujet et laisser uniquement "Kenya" ? Modifié le 17 août 2022 par Paschi 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 27 avril 2023 Share Posté(e) le 27 avril 2023 Une secte à fait mourir de faim au moins 95 personnes au Kenya : https://www.ouest-france.fr/monde/kenya/kenya-qui-est-paul-mckenzie-le-gourou-d-une-secte-accusee-de-proner-un-jeune-jusqu-a-la-mort-86c472ea-9ce4-462b-aa26-c8faa84d7bb1 ... mercredi 26 avril 2023 dans l'est du Kenya, portant à 95 le nombre de morts au sein d'une secte qui prônait un jeûne extrême pour « rencontrer Jésus ». Paul Mackenzie Nthenge, à la tête de l’Église internationale de Bonne Nouvelle, est en détention après s'être rendu à la police le 14 avril dernier. Voici ce que l'on sait sur cet ancien chauffeur de taxi autoproclamé pasteur..... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 18 juin 2023 Share Posté(e) le 18 juin 2023 https://www.semafor.com/article/06/13/2023/kenya-tea-pickers-destroy-machines Les cueilleurs de thé kenyans détruisent les machines destinées à les remplacer lors de violentes manifestations qui mettent en évidence les difficultés auxquelles sont confrontés les travailleurs, alors que de plus en plus d'entreprises agroalimentaires recourent à l'automatisation pour réduire leurs coûts. Les récentes manifestations ont fait un mort et plusieurs blessés, dont 23 policiers et ouvriers agricoles. L'Association des producteurs de thé du Kenya (KTGA) a estimé le coût des machines endommagées à 1,2 million de dollars (170 millions de shillings kenyans) après la destruction, en mai, de neuf machines appartenant à Ekaterra, fabricant de la marque de thé Lipton, la plus vendue au monde. En mars, un groupe de travail du gouvernement local a recommandé que les entreprises de Kericho, la plus grande ville productrice de thé du pays, adoptent un nouveau ratio de 60:40 entre la récolte mécanisée et la cueillette manuelle. Le groupe de travail souhaite également qu'une législation soit adoptée pour limiter l'importation de machines à récolter le thé. Nicholas Kirui, membre du groupe de travail et ancien PDG de KTGA, a déclaré à Semafor Africa que 30 000 emplois avaient été perdus à cause de la mécanisation dans le seul comté de Kericho au cours de la dernière décennie. "Nous avons fait participer le public dans toutes les circonscriptions et avec tous les différents groupes, et le sentiment dominant que nous avons entendu était que les machines devaient disparaître", a déclaré M. Kirui. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 28 juillet 2023 Share Posté(e) le 28 juillet 2023 https://nation.africa/kenya/counties/tana-river/president-ruto-s-encounter-with-al-shabaab-threat-tana-delta-4318974 (28 juillet 2023) Le président William Ruto a été confronté jeudi aux problèmes de sécurité auxquels sont confrontés les habitants de la Côte après que son hélicoptère a été contraint de changer de site d'atterrissage lors de sa première tournée de quatre jours dans la région. L'hélicoptère du président devait initialement atterrir dans le village de Gamba, où il devait inaugurer un projet de production de riz dans le cadre du programme d'irrigation du delta du Tana, mais il s'est finalement posé à l'école primaire de Marembo, à 12 kilomètres de là, après que le site d'atterrissage initial s'est révélé inadapté. Le capitaine de l'hélicoptère, flanqué de deux hélicoptères de sécurité, a été vu en train de parcourir la zone à la recherche d'un endroit où atterrir. Après près de 20 minutes de recherche, le commandant de bord s'est éloigné de 12 kilomètres du site d'atterrissage initial jusqu'au village de Marembo, où le pilote a posé l'appareil dans l'école. https://information.tv5monde.com/afrique/manifestations-au-kenya-le-president-ruto-propose-un-tete-tete-avec-le-chef-de-lopposition (25 juillet 2023) Le président kényan William Ruto s'est dit prêt à "rencontrer" le chef de l'opposition Raila Odinga, qui avait un peu plus tôt dénoncé "une violence policière sans précédent" lors des manifestations contre le gouvernement et la vie chère qui secouent le pays d'Afrique de l'Est depuis des mois. La coalition d'opposition Azimio a organisé depuis mars neuf journées d'action contre la politique du président Ruto, qui ont parfois donné lieu à des pillages et des affrontements avec les forces de l'ordre. Selon Azimio, au moins 50 personnes ont été tuées depuis mars, une vingtaine selon les chiffres officiels. L'opposition avait annulé des manifestations prévues en avril et mai, après l'acceptation d'un dialogue par William Ruto. Mais les discussions ont échoué et entraîné la reprise des actions depuis début juillet. Elu en août 2022 face à Raila Odinga, qui a crié à l'élection "volée", William Ruto fait face à une contestation croissante. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 5 novembre 2023 Share Posté(e) le 5 novembre 2023 https://afriquexxi.info/Au-Kenya-les-Johnnies-ne-sont-plus-en-terrain-conquis (1er novembre 2023) Depuis près de soixante ans, des milliers de soldats britanniques partent chaque année s’entraîner dans la région de Nanyuki durant plusieurs semaines. Mais cette présence militaire est aujourd’hui contestée en dépit de la manne financière qu’elle représente. Viols, victimes collatérales, feux de brousse : les griefs, de plus en plus nombreux, sont désormais portés devant les tribunaux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin La journée de mobilisation de la jeunesse à Nairobi a donné lieu à de violents affrontements avec la police. L’armée a été déployée et le président Ruto a promis de réprimer «l’anarchie». https://www.lefigaro.fr/conjoncture/scenes-de-chaos-invasion-du-parlement-les-manifestations-au-kenya-contre-les-hausses-de-tva-ont-fait-plusieurs-victimes-20240625 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 28 juin Share Posté(e) le 28 juin https://jacobin.com/2024/06/africa-digital-tech-extractivism-apps Les applications ne sont pas un moyen d'échapper à la pauvreté sur le continent, mais un moyen de vivre avec ses effets. La majorité de la population de l'Afrique subsaharienne ne vit pas du travail salarié, mais de l'agriculture de subsistance des petits exploitants. Il n'est donc pas étonnant que la start-up germano-kényane [d'Odhiambo] se consacre précisément à cette clientèle. Avec son application AgriBORA - le nom est composé du mot grec pour "champ" et du mot swahili pour "meilleur" - Odhiambo met en relation les petits exploitants agricoles et les informe, entre autres, des prévisions météorologiques. Ils peuvent ainsi déterminer le meilleur moment pour semer et récolter. L'application utilise les données de l'Agence spatiale européenne (ESA), qui investit également dans la start-up. Les huit millions de Kényans qui vivent de la culture de céréales, de fruits, de maïs, de pommes de terre et de manioc ont besoin non seulement de données météorologiques, mais aussi de prêts pour acheter davantage de semences, de machines ou d'engrais. Rien d'étonnant à cela : les agriculteurs de subsistance, comme leur nom l'indique, produisent avant tout pour eux-mêmes et pour leur consommation personnelle, et non pour le marché (mondial) et pour l'argent. Et là où il n'y a pas de commerce, les pays d'Afrique subsaharienne n'ont aucun intérêt à créer ou à maintenir l'infrastructure nécessaire à l'activité de crédit. C'est là que l'application innove et propose un marché numérique : pour les emprunteurs et les banques, pour l'achat et la vente, et pour fournir des données actualisées sur le marché et le financement. Il n'est pas tout à fait exact de dire qu'il n'y avait pas de marché auparavant. Les produits étaient effectivement vendus, mais avec six à neuf intermédiaires. Ces intermédiaires entre les agriculteurs et les marchés de vente sont aujourd'hui éliminés par leurs concurrents numériques. AgriBORA prend en charge l'ensemble de la chaîne de valeur. De cette manière, le capital commercial numérisé agit comme un grand simplificateur et supplante la concurrence des intermédiaires analogiques avec des frais d'application peu élevés. AgriBORA peut se permettre d'offrir cela parce qu'elle élimine les acteurs qui prenaient auparavant une partie des bénéfices et ouvre de nouveaux secteurs d'activité. En 2007, Vodafone a lancé M-PESA en collaboration avec Safaricom, la plus grande société de téléphonie mobile du Kenya. Le "M" du néologisme composé signifie "mobile", tandis que "pesa" signifie "argent liquide" en kiswahili. L'application est aujourd'hui utilisée par soixante millions de personnes, dont la moitié au Kenya. On peut donc dire que le service de paiement a le monopole dans ce pays d'Afrique de l'Est. Les trente autres millions d'utilisateurs sont répartis entre la Tanzanie, la République démocratique du Congo, le Mozambique, le Ghana et l'Égypte. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin https://www.rfi.fr/fr/afrique/20240627-tensions-au-kenya-si-vous-avez-une-bonne-croissance-mais-que-votre-monnaie-est-dévaluée-la-situation-est-intenable Le Kenya a beaucoup de dettes avec la Chine, avec un certain nombre d'autres pays. Et donc, négocier avec ces différents interlocuteurs est beaucoup plus difficile. Surtout dans la situation actuelle où, effectivement, les uns et les autres sont en train de se regarder pour voir lequel va être servi en premier. Et donc, c'est la situation dans laquelle se trouve le président William Ruto. Il a hérité d'une économie avec une grande croissance. Mais, c'est une bonne démonstration du fait que la croissance n'est pas tout. Si vous avez une bonne croissance, mais que votre monnaie est en train d'être dévaluée comme c’est le cas au Kenya, effectivement, la situation est intenable. https://www.rfi.fr/fr/afrique/20240622-kenya-la-mobilisation-contre-la-loi-de-finances-continue Avec cette loi de finances, le gouvernement kényan espè[rait] rentrer 2,5 milliards d’euros en plus que l’année précédente dans ses caisses. Pour ce faire, le projet prévo[yait] une batterie de nouvelles taxes. Les plus impopulaires ont été abandonnées ce mardi par les députés. Il s’agissait d’une taxe de 16% sur le pain, une autre de 2,5% sur les transports motorisés ou encore une écotaxe sur les produits polluants, provoquant notamment une hausse du prix des serviettes hygiéniques ou des couches par exemple. Donc en fait ce sont des "gilets jaunes". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet https://www.theguardian.com/commentisfree/article/2024/jul/01/kenya-protests-finance-bill-government-debt Le défi auquel est confronté le Trésor kenyan est que l'administration précédente, dont faisait partie l'actuel président William Ruto, s'est lancée dans une décennie d'emprunts et de dépenses effrénées, contractant des dettes massives pour des projets d'infrastructure malavisés, dépassant le budget, mal exécutés et en retard par rapport au calendrier prévu. Par exemple, plutôt que de rénover la ligne ferroviaire existante [délabrée : https://www.bbc.com/news/world-africa-40171095 ] qui relie la ville côtière de Mombasa à la capitale ougandaise, le pays a emprunté beaucoup d'argent à la Chine pour construire une nouvelle ligne ferroviaire qui ne traverse que la moitié du pays et que les compagnies de fret ont été réticentes à utiliser. Il en va de même pour le nouveau viaduc de Nairobi, pour lequel des centaines d'arbres ont été abattus dans ce qui était autrefois la capitale la plus verte d'Afrique. La route a été construite, mais les péages étant trop chers, elle reste sous-utilisée. Pourtant, le pays reste redevable de la dette. En 2013, lorsque Uhuru Kenyatta et Ruto sont arrivés au pouvoir, le ratio dette/PIB du Kenya était de 43 %. En 2019, il était de 61,7 % et, jusqu'à présent, en 2024, il dépasse les 70 %. Tout cela serait déjà assez grave si Ruto ne dépensait pas également une fortune pour une expansion sans précédent de l'exécutif. Bien que le Kenya dispose de ministres et de secrétaires de cabinet, l'administration a tenté de créer 50 postes de secrétaires administratifs en chef répartis dans les différents ministères, ainsi qu'un bureau du premier secrétaire de cabinet. Il s'agit non seulement d'une duplication coûteuse des rôles, mais aussi d'une mesure illégale, et une décision de justice a jugé ces postes inconstitutionnels, ce qui a conduit Ruto à retarder la création de certains postes de secrétaires administratifs en chef. En outre, les bureaux de la première dame, de la première dame adjointe et de l'épouse du premier secrétaire - chacun doté d'un budget, d'un bureau et d'un personnel - ont été créés en grande pompe. De nombreux législateurs élus dans le pays font régulièrement étalage de leur richesse sur les médias sociaux, partageant sur TikTok des vidéos de voitures et de maisons de luxe, ou faisant des dons d'un montant scandaleux à des organisations religieuses et à des œuvres de bienfaisance. Les législateurs kenyans sont les deuxièmes mieux payés au monde par rapport au PIB et, en raison de leur statut, ils seraient exemptés d'une grande partie des nouvelles taxes. Le projet de loi de finances a été qualifié d'austérité, mais il ne s'agit pas d'austérité : il s'agit d'une ponction sur les pauvres pour soutenir le mode de vie des riches. Malgré l'histoire politique de Ruto, qui a notamment été inculpé de crimes contre l'humanité par la Cour pénale internationale, des efforts considérables ont été déployés à l'extérieur du Kenya pour redorer son blason. Le président américain, Joe Biden, a rencontré M. Ruto quelques jours avant que le projet de loi de finances ne soit présenté à l'assemblée nationale, et a déclaré que le Kenya était un partenaire stratégique clé des États-Unis. La police kenyane a été déployée la semaine dernière en Haïti dans le cadre d'une mission soutenue par les États-Unis ; le Kenya est un État de première ligne dans la "guerre contre le terrorisme" menée par les États-Unis, une base à partir de laquelle sont lancées des attaques de drones contre Al-Shabaab en Somalie ; des soldats kenyans sont présents en Somalie depuis plus d'une décennie. La stabilité du Kenya est cruciale pour la géopolitique occidentale, mais les institutions occidentales jouent également un rôle central dans la déstabilisation du pays. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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