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Oswaldo Alvarez, l'un des principaux détracteurs du président vénézuélien Hugo Chávez, a été condamné à deux ans de prison pour "diffusion de fausses informations".

Un tribunal de Caracas a condamné, mercredi, l'opposant Oswaldo Alvarez Paz à deux ans de prison pour "diffusion de fausses informations" après qu'il eut déclaré en 2010 que le pays était devenu une plaque tournante du trafic de drogue, a rapporté le ministère public. "Oswaldo Alvarez Paz, ancien gouverneur de l'État de Zulia (État pétrolier et le plus peuplé du Venezuela), a été condamné à deux ans de prison pour avoir commis le délit de diffusion de fausses informations dans une émission de télévision".

Oswaldo Alvarez Paz, ancien candidat à la présidentielle de 1993 et un des principaux détracteurs du président socialiste Hugo Chávez, avait été arrêté en mars 2010, avant d'être remis en liberté dans l'attente de son procès tout en étant soumis à une mesure d'interdiction de quitter le territoire. Après le verdict, Oswaldo Alvarez Paz a démenti ces accusations devant la presse et a annoncé que ses avocats feraient appel, évoquant "un processus de criminalisation de la dissidence politique".

Par ailleurs, l’État vénézuélien a décidé d’ouvrir une nouvelle procédure administrative contre la chaîne de télévision Globovision. La chaîne avait diffusé des images d’une mutinerie en prison jugées “angoissantes” pour la population par la  Commission nationale des télécommunications (Conatel) qui “après une rigoureuse analyse technique, juridique, objective, a décidé au vu des faits qui se sont produits les 16 et 19 juin, d’ouvrir une procédure administrative sanctionnant Globovision”, a annoncé le président de la Commission, Pedro Maldonado, au cours d’une conférence de presse.

Globovision a diffusé des images de proches des détenus très énervés, à la recherche d’informations sur les prisonniers défunts. Selon Pedro Maldonado, ces images peuvent représenter une “apologie au délit” et “provoquer des troubles de l’ordre public”.

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  • 3 weeks later...

Je deterre mais comme le titre du sujet colle bien et qu'il n'y a pas d'autres fil "Venezuela"...

http://french.ruvr.ru/2011/08/02/54059054.html

Hugo Chavez apparaît le crâne rasé à la télé vénézuélienne

Image IPB

© Photo: EPA

La télévision vénézuélienne a pour la première fois montré, lundi, le président Hugo Chavez  le cheveu ras, intervenant à un conseil des ministres, rapporte ITAR-TASS.

Chavez, opéré fin juin d'un cancer à Cuba, a assuré que le traitement par chimiothérapie faisait effet.

Le président a présidé la prestation de serment de neuf nouveaux ministres en plaisantant sur sa nouvelle apparence. Son intervention a été retransmise par plusieurs chaînes de télévision.

Ca semble bien confirmer le cancer.

J'avais lu il y a assez longtemps que certains services secrets utilisaient parfois de petites pastilles de plutonium glissees sous le lit d'une cible afin de lui donner un cancer.

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çà lui va pas trop mal ! il a l'air plus cool et moins stessé . =)

pour le cancer , malheureusement il s'attrape naturellement aussi.

d'un autre coté c'est pas trop mal non plus que certains pays d'Amériques du sud bousculent un peu le géant US !

on lui souhaite un bon rétablissement !

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  • 3 weeks later...

La note à long terme de Standard & Poor's au sujet du Venezuela passe de BB- à B+.

L'agence précise que l'état de santé du président vénézuélien Hugo Chavez pourrait représenter une incertitude pour la politique du pays. :P

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/08/19/97002-20110819FILWWW00498-sp-degrade-le-venezuela-a-b.php

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  • 4 months later...

Je ne vois pas vraiment le lien direct entre une augmentation du taux de criminalité et les discours feutrés de Chavez... C'est comme supposer qu'une hypothétique augmentation des violences faites aux femmes en Italie pourrait résulter du comportement du Berlusconi  ;)

L'augmentation du taux de criminalité n'est pas propre au Venezuela mais touche quasiment tous les pays sud américain. On peut reprocher à Chavez sa mauvaise gestion des ressources pétrolières, il pourrait engager plus de policier entrainés au lieux de mettre en place des gardes citoyennes.

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Certes, mais les inégalités y sont très fortes. Si au Brésil, elles se sont un peu réduites, en raison de l'action de l'Etat, ce n'est pas le cas partout. Et même au Brésil, les problèmes sont encore très importants, ne serait-ce qu'en raison due grand nombre de paysans sans terre.

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Vraiment étrange de voir le taux de criminalité augmenter autant en Amérique du Sud alors que ces pays vivent un développement économique sans précédent

Il y a une forte corrélation entre taux de criminalité, activité économique  (voir les travaux de Nicolas Bourgoin), le tout combiné à une recrudescence des activités des Cartels qui instaurent des zones échappant à tout contrôle ça donne un cocktail explosif. Ca fait 2 ans  (bientôt 3 ) que le pays est en récession économique par exemple et les perspectives futures ne sont pas rassurantes. (Baisse des exportations et hausse des importations, inflation et déficit qui se creuse)

L'autre explication de ce taux de criminalité, qui pourrait s'appliquer cette fois aux autres pays de l'Amérique du Sud qui connaissent pourtant une forte croissance économique, tient dans le modèle urbain de ces pays où une très grande misère côtoie de très près une très grande richesse. (Certains bidons ville de Brésil s'arrêtent aux pieds d'immenses murailles des luxueuses villas avec gardes armés, hélico privés etoussa  ) 

Il y avait eu une étude sociologique en France (dans les années 90) pour voir quelle ville connait le taux de criminalité était plus élevé. Naturellement on s'attend à ce que les villes pauvres (qui connaissent un taux de chômage plus élevé que la moyenne nationale ) aient un taux de criminalité sensiblement plus élevés. Les résultats de l'étude ont démontrés que ce sont surtout les villes où les quartiers extrêmement pauvres et les quartiers extrêmement riches se juxtaposent qui connaissent un taux de criminalité élevé. (Logique, difficile de voler l'Iphon 4s d'un pauvre qui n'en a pas  :lol:)

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  • 5 months later...
  • 1 month later...

Chavez menace de plonger le pays dans une guerre civile s'il n'est pas réélu.

Venezuela : Chavez avertit qu'une guerre civile éclatera s'il perd l'élection.

Le président vénézuélien Hugo Chavez a averti vendredi qu'un éventuel échec de sa campagne à la réélection à la présidentielle du 7 octobre pourrait provoquer une guerre civile.

"Si le candidat présidentiel de l'aile droite entre au pouvoir, il mettra fin aux programmes sociaux promus au cours des 14 dernières années par le gouvernement. Par conséquent, le pays entrera dans une guerre civile," a indiqué M. Chavez dans une interview accordée à la télévision d'Etat dans l'Etat d'Anzoategui (nord-est), cité par l'agence de presse d'Etat AVN.

L'unique rival de M. Chavez à la présidentielle, le candidat de l'opposition Henrique Capriles est ancien gouverneur de l'Etat de Miranda.

M. Chavez était à Anzoategui dans le cadre de sa campagne présidentielle, qui a officiellement débuté le 1er juillet avec une tournée dans les Etats d'Aragua et de Carabobo (centre).

Selon M. Chavez, lorsque M. Capriles était gouverneur de l'Etat de Miranda, il a retiré son soutien officiel aux groupes médicaux cubains que M. Chavez a promus à travers le pays pour éradiquer la pauvreté rurale.

De son côté, M. Capriles a indiqué que s'il était élu président, il poursuivrait les programmes sociaux du gouvernement.

M. Chavez, 58 ans, président vénézuélien depuis 1999, cherche à être réélu pour un troisième mandat de six ans afin de consolider ses politiques socialistes.

http://french.cri.cn/621/2012/07/14/561s288146.htm

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  • 3 weeks later...

Mercosur: l'adhésion du Venezuela officialisée le 31 juillet

MEXICO, 31 juillet

L'adhésion du Venezuela au sein du Marché commun du Sud (Mercosur) sera officiellement proclamée mardi dans le cadre du sommet de l'organisation qui s'ouvre mardi à Brasilia, rapporte un correspondant de RIA Novosti.

Créé en 1991, le Mercosur regroupe l'Argentine, le Brésil, le Paraguay et l'Uruguay qui le président à tour de rôle par périodes de six mois. Les représentants des pays associés de l'Alliance sont la Bolivie, le Chili, l'Equateur, le Pérou, la Colombie.

L'accord sur l'entrée du Venezuela dans le bloc économique de Mercosur a été rédigé le 4 juin 2006 à Caracas. Depuis lors, le parlement paraguayen bloquait la ratification de cette décision.

Suite à la destitution le 22 juin dernier du président paraguayen Fernando Lugo, les autres pays membres du Mercosur ont décidé de suspendre la participation du Paraguay, ce qui a ouvert la voie à l'adhésion du Venezuela au marché commun.

Avant son départ pour Brasilia, M.Chavez a appelé les producteurs vénézuéliens à profiter de "nouvelles opportunités" s'offrant à eux avec l'entrée du pays dans le Mercosur. Auparavant, le dirigeant vénézuélien avait estimé que l'adhésion à l'organisation devrait permettre de créer 240.000 nouveaux emplois dans le pays.

http://fr.rian.ru/world/20120731/195524983.html

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Chavez menace de plonger le pays dans une guerre civile s'il n'est pas réélu.

Venezuela : Chavez avertit qu'une guerre civile éclatera s'il perd l'élection.

Le président vénézuélien Hugo Chavez a averti vendredi qu'un éventuel échec de sa campagne à la réélection à la présidentielle du 7 octobre pourrait provoquer une guerre civile.

"Si le candidat présidentiel de l'aile droite entre au pouvoir, il mettra fin aux programmes sociaux promus au cours des 14 dernières années par le gouvernement. Par conséquent, le pays entrera dans une guerre civile," a indiqué M. Chavez dans une interview accordée à la télévision d'Etat dans l'Etat d'Anzoategui (nord-est), cité par l'agence de presse d'Etat AVN.

L'unique rival de M. Chavez à la présidentielle, le candidat de l'opposition Henrique Capriles est ancien gouverneur de l'Etat de Miranda.

M. Chavez était à Anzoategui dans le cadre de sa campagne présidentielle, qui a officiellement débuté le 1er juillet avec une tournée dans les Etats d'Aragua et de Carabobo (centre).

Selon M. Chavez, lorsque M. Capriles était gouverneur de l'Etat de Miranda, il a retiré son soutien officiel aux groupes médicaux cubains que M. Chavez a promus à travers le pays pour éradiquer la pauvreté rurale.

De son côté, M. Capriles a indiqué que s'il était élu président, il poursuivrait les programmes sociaux du gouvernement.

M. Chavez, 58 ans, président vénézuélien depuis 1999, cherche à être réélu pour un troisième mandat de six ans afin de consolider ses politiques socialistes.

http://french.cri.cn/621/2012/07/14/561s288146.htm

  'achement démocrate comme attitude ... (même si je ne suis pas du genre a lui trouver "que des défauts" : mon chromosome gauchisss très certainement qui fait des fois quelques "back up")  car on se doute bien que c'est assez loin d'être une simple réthorique de "risques" s'il venait a perdre son poste : mais tout autant un message de "menaces" ...  Et ça c'est mauvais, très mauvais

 

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Chavez menace de plonger le pays dans une guerre civile s'il n'est pas réélu.

Venezuela : Chavez avertit qu'une guerre civile éclatera s'il perd l'élection.

Le président vénézuélien Hugo Chavez a averti vendredi qu'un éventuel échec de sa campagne à la réélection à la présidentielle du 7 octobre pourrait provoquer une guerre civile.

"Si le candidat présidentiel de l'aile droite entre au pouvoir, il mettra fin aux programmes sociaux promus au cours des 14 dernières années par le gouvernement. Par conséquent, le pays entrera dans une guerre civile," a indiqué M. Chavez dans une interview accordée à la télévision d'Etat dans l'Etat d'Anzoategui (nord-est), cité par l'agence de presse d'Etat AVN.

L'unique rival de M. Chavez à la présidentielle, le candidat de l'opposition Henrique Capriles est ancien gouverneur de l'Etat de Miranda.

M. Chavez était à Anzoategui dans le cadre de sa campagne présidentielle, qui a officiellement débuté le 1er juillet avec une tournée dans les Etats d'Aragua et de Carabobo (centre).

Selon M. Chavez, lorsque M. Capriles était gouverneur de l'Etat de Miranda, il a retiré son soutien officiel aux groupes médicaux cubains que M. Chavez a promus à travers le pays pour éradiquer la pauvreté rurale.

De son côté, M. Capriles a indiqué que s'il était élu président, il poursuivrait les programmes sociaux du gouvernement.

M. Chavez, 58 ans, président vénézuélien depuis 1999, cherche à être réélu pour un troisième mandat de six ans afin de consolider ses politiques socialistes.

http://french.cri.cn/621/2012/07/14/561s288146.htm

Il y a quand même tout un monde entre prévenir les risques d'une guerre civile en cas d'arrêt du robinet social et menacer de déclencher une guerre civile si il n'est pas réélu..  :P

Si je me souviens bien, feu Sarkozy et sa fine équipe faisait également miroité la fin du monde, l'apocalypse économique et financière si la gauche arrivait au pouvoir...

Chavez a un style bien particulier, ça plait ou ça ne plait pas mais il y a une tendance constante dans les médias occidentaux à vouloir le présenter comme un dictateur digne de ses homologues arabes ou africains.

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  • 1 month later...

Il recommence...

(AFP) Venezuela: Hugo Chavez promet le chaos s'il perd la présidentielle.

A près d'un mois de la présidentielle du 7 octobre au Venezuela, Hugo Chavez a brandi la menace d'une "guerre civile" en cas de défaite, un changement de ton qui traduit la volonté du président sortant de convaincre les nombreux indécis, selon les analystes.

Depuis le début de la campagne, le chef de file de la gauche radicale latino-américaine a limité ses menaces au fait que l'arrivée de la droite au pouvoir sonnerait le glas de ses nombreux programmes sociaux (logements, santé, alimentation) qu'il finance grâce à la rente pétrolière de son pays, cinquième exportateur mondial de brut.

Fort d'un appui sans faille dans les milieux populaires et apparemment sûr de sa victoire ces derniers mois, il a refusé de débattre avec son opposant, qu'il méprise ouvertement, le qualifiant notamment de "médiocre", de "porc", et plus généralement de suppôt des capitalistes.

Mais lundi, il a clairement haussé le ton en affirmant à une radio locale que l'opposition préparait un "programme néolibéral occulte" qui "veut nous ramener à un Venezuela que n'y résisterait pas". Cette issue déboucherait selon lui sur un "scénario désastreux, une profonde déstabilisation" qui pourrait mener "jusqu'à une guerre civile".

S'il a déjà brandi ce type de menace par le passé, comme "par exemple au moment des législatives de 2010 (...) il le fait aujourd'hui avec plus de vigueur, parce qu'il s'est rendu compte qu'il n'est plus autant en avance qu'avant" dans les sondages, observe Carmen Beatriz Fernandez, présidente de l'institut DataStrategia.

Mme Fernandez rappelle que M. Chavez a déjà beaucoup usé du ressort les vieux démons, en présentant notamment Henrique Capriles Radonski (40 ans), investi par une coalition de partis d'opposition, comme la réincarnation des deux partis - Copei et Action démocratique - qui ont gouverné le pays sans partage pendant 40 ans jusqu'à ce qu'il arrive au pouvoir en 1999.

Pour Luis Vicente León, président de l'institut d'études politiques Datanalisis, ces déclarations constituent davantage "un sujet politique qu'une véritable menace, une ruse que le président Chavez met sur la table pour instiller la peur chez l'électeur".

"Le président associe un coût à la décision de voter pour M. Capriles: un pays en guerre, déstabilisé", poursuit l'expert, qui évalue la proportion d'indécis à 30% des 19 millions d'électeurs inscrits.

"L'intention de M. Chavez est d'inhiber le vote en faveur de M. Capriles", abonde l'analyste politique Mariana Bacalao, de l'Université centrale du Venezuela.

Cette dernière relève d'ailleurs qu'Henrique Capriles s'est récemment employé à rassurer les électeurs au sujet des programmes sociaux, qu'il s'est engagé à poursuivre.

"Je ne sais pas si cela va fonctionner", avoue M. Leon au sujet des menaces de M. Chavez. "Mais il existe une partie des électeurs qui ne veut pas de conflit".

"Si Chavez les convainc qu'il y aura un conflit en cas de défaite, cela pourrait constituer un facteur important pour lui", explique l'analyste.

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Double deterrage de post, mais le titre est toujours exactement le bon :

http://french.ruvr.ru/2012_09_07/87512631/

Venezuela : un navire américain arrêté pour une contrebande d’armes

7.09.2012, 15:18

Les autorités vénézuéliennes ont arrêté le capitaine d'un navire battant pavillon des Etats-Unis après la découverte de trois fusils à bord, ont annoncé les médias américains.

Le capitaine a été accusé du trafic illégal d’armes.

Le bateau, l'Ocean Atlas, se trouve depuis la semaine dernière au port de Maracaibo, dans l'Ouest du Venezuela, et le capitaine a été arrêté « il y a quelques jours ».

Les 15 membres d'équipage qui se trouvent toujours à bord, sont aussi américains.

Ca sent l'embrouille...

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Il y a des dizaines de millers de morts par arme à feu au Vénézuela par an et des centaines de milliers d'armes de tous calibres qui circulent dans le pays, sans compter des milliers de kalashnikov que le régime distribue comme des petits pains aux "comités révolutionnaires de défense"... et les américains importeraient 3 fusils ?

:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

Les élections sont proches.... vite il faut faire peur aux masses avec le vilain méchant capitaliste !

Je m'étonne qu'ils n'aient pas accusés le capitaine du bateau d'avoir voulu faire un coup d'état avec ses 3 fusils !

:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

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Pour avoir souvent été au Vénézuela, sur de longues périodes, ce pays est loin de l'image qu'en véhicule Hugo Chavez et consort. Un simple élément clé, décelable dès que l'on entre dans son premier épicier du coin : Sur les 4 marques d'eau en bouteille distribuée un peu partout au Vénézuela (des montagnes jusqu'au plages), 3 sont sous la propriété de PepsiCola ou de CocaCola. Et une autre est distribué par un grand groupe Brésilien. En fait, la plupart des grandes sociétés américaines ou européennes sont fermement implantées sur le marché vénézuelien à tous les niveaux (voitures avec un grand nombre de vieille berline ou de voitures made in US, vêtements, nourriture ...) et le Vénézuela est un pays capitaliste à tout niveau, sauf dans la doctrine officielle de Chavez. D'ailleurs, la population paie pour les consultations de médecins ou pour les transports en communs, comme tout un chacun en France ou ailleurs.

Donc les américains n'ont rien à craindre du Vénézuela, puisqu'ils en contrôle déjà le marché économique intérieur. Si ils veulent vraiment faire pression, il leur suffit d'obliger les grandes multinationales implantées ou qui vendent là-bas à cesser toute production ou toute vente. Et là, même si le régime est largement apprécié de la population, celle-ci pousserait vers la sortie Hugo Chavez sans autre forme de procès, avec un sentiment Bolivarien (encré dans la culture et les idées des Vénézueliens) très exacerbé.

Je ne me déclare pas expert du Vénézuela ou de sa population, je n'en ai ni la prétention ni les capacités, je met juste par écrit des remarques que je pense pertinentes.

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  • 3 weeks later...

CARACAS (Reuters) - A une semaine de l'élection présidentielle du 7 octobre, deux responsables locaux de la coalition d'Henrique Capriles, adversaire d'Hugo Chavez, ont été tués par balles samedi lors d'un rassemblement électoral dans l'Etat de Barinas.

Dans un pays où les armes sont légion et la criminalité très élevée, des fusillades et des rixes entre "chavistas" - les partisans du président au pouvoir depuis 14 ans - et sympathisants de Capriles s'étaient déjà produites, mais aucun décès n'avait jusque-là été enregistré.

Selon des témoignages recueillis par Primero Justicia (Justice d'abord), le parti de Capriles, le ou les tireurs auraient opéré depuis une camionnette appartenant soit à la compagnie pétrolière publique PDVSA, soit à une administration locale.

Le gouvernement a confirmé les deux décès et promis de traduire en justice les auteurs de ces violences les plus graves depuis le début de la campagne présidentielle.

Le ministre de l'Intérieur, Tareck El Aissami (1), a précisé que les circonstances exactes de la mort des deux responsables politiques n'avaient pas encore été établies.

"Cette tragédie nous donne encore plus de force et de foi pour nous battre pour un Venezuela où régneront la justice et la non-violence", a réagi Primero Justicia dans un communiqué.

Une des deux victimes militait au sein du parti de Capriles, l'autre était un adhérent d'Accion Democratica (Action démocratique), qui soutient sa candidature.

Deux autres personnes ont été blessées, et six autres arrêtées, ajoute le parti dans un bilan que n'ont pas confirmé les autorités.

(1) Tarek El Aissami est un homme politique vénézuélien d'origine syrienne, il est le fils de Carlos El Aissami, chef de la section vénézuélienne du Parti Baas qui s’était décrit lors d'une conférence de presse comme étant un Taliban tout en décrivant Oussama ben Laden comme étant « le grand Moujahid, le Sheik Osama bin Laden ». Le grand-oncle de Tarek El Aissami, Shibli El Aissami, a été assistant du Secrétaire général de cette organisation politique à Bagdad durant la dictature de Saddam Hussein. Le 8 septembre 2008, sous la présidence d'Hugo Chávez, Tarek El Aissami, âgé de 28 ans, est nommé Ministre de l’Intérieur et la Justice. Avant cette fonction, il occupait le poste de Vice Ministre de la Sûreté Publique.

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