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[Union Européenne] nos projets, son futur


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Qui a fait remonté l'euro !!!

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20100518trib000510387/qui-fait-remonter-l-euro-au-dessus-de-126-dollar-.html

La devise européenne amplifie sa hausse ce vendredi matin après son plongeon de mardi soir face au dollar qui avait suivi l'annonce de l'interdiction des ventes à découvert en Allemagne. Interventions des banques centrales, peut-être de Suisse voire de la Chine ? Les rumeurs les plus folles agitent les marchés.

C'est le paradoxe du moment. Alors que la zone euro est en pleine cacophonie et inquiétude contradictoires sur la croissance et les déficits, l'euro repart fortement de l'avant. Il le confirme ce vendredi matin en passant la barre de 1,26 dollar et en s'étant même approché de 1,27. Il est remonté depuis la mi-journée de mercredi mais le mouvement s'amplifie depuis quelques heures. D'où les rumeurs les plus folles sur les marchés : intervention de la bansue centrale suisse, chinoise - Pékin dont la monnaie, le yuan/renminbi, étant arrimé au dollar, s'inquiétant d'une perte de compétitivité liée à la chute de la monnaie européenne face au billet vert - ou de la Banque centrale européenne, la BCE... La Banque du Japon a, elle, démenti intervenir malgré ses craintes sur la parité entre le yen et l'euro.

Mardi soir, la devise européenne était tombée sous la barre de 1,22 dollar pour un euro, pour la première fois depuis avril 2006. Elle a chuté jusqu'à 1,12161 dollar après l'annonce de l'interdiction des ventes à découvert en Allemagne non suelement sur les titres des établissements fiannciers (Deutsche Bank, Commerzbank, Allianz, Munich Re, Hannover Re...) mais aussi sur les instruments financiers liés aux dettes souveraines dans la zone euro comme les CDS (credit default swap, assurance contre le défaut d'un emprunteur).

L'euro s'échangeait encore contre 1,2394 dollar lundi soir, après avoir touché en début de journée 1,2235 dollar, ce qui constituait son plus bas niveau en quatre ans face au billet vert. Ce mercredi matin, la monnaie unique ne  valait plus que 1,2167 dollar. (retrouver le cours de l'euro/dollar en temps réel).

La devise européenne était d'abord repartie à la hausse, profitant de l'annonce d'un remboursement par la Grèce de 8,5 milliards d'euros de prêts grâce au versement de l'aide européenne de 14,5 milliards. L'euro était même repassé un temps mardi au dessus de la barre de 1,24 dollar. Le repli de la monnaie unique a par la suite repris, notamment conforté par l'annonce de l'interdiction partielle des ventes à découvert en Allemagne.

Ce repli a fait en tout cas le bonheur des entreprises européennes, qui semblent avoir profité de la faiblesse de l'euro en mars. Pour ce mois, la zone euro a enregistré un excédent commercial de 4,5 milliards d'euros, en forte hausse par rapport aux 2,4 milliards d'euros affichés en février et comparé au montant dégagé en mars 2009 (1,6 milliard d'euros), selon les premières estimations du bureau des statistiques européennes, Eurostat.

Les exportations ont augmenté de 22% sur un an alors que les importations n'ont progressé que de 20%. En données ajustées des variations saisonnières, l'excédent commercial s'inscrit à 600 millions d'euros, contre 3,4 milliards d' euros en février. Les exportations ont crû de 7,5% sur un mois et les importations de 10,3%.

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On peut glousser sur les difficultés de l’UE et de l’euro mais la livre sterling a chutée plus vite encore et les conséquences dans les pays non membres de la zone euro sont plus catastrophiques.

A chaque crise, l’europe se renforce, ajuste ses outils, procédures et moyens et le constat politique est à chaque fois le même : il faut encore plus d’europe, encore plus d’intégration.

Zapatero, Merkel, Sarkozy, Cameron… tous tirent de la crise la même conclusion, on ne peut plus se passer de l’europe pour s’en sortir, l’union est indispensable face aux agressions extérieures et pour retrouver la croissance. On est en plein au cœur d’une guerre économique mondiale et dans une guerre on a besoin d’une alliance solide, le « chacun pour soi » ne marche pas.

Les Echos : http://www.lesechos.fr/info/inter/reuters_00253336.htm?xtor=RSS-2053

Les premières mesures étudiées :

http://www.europarl.europa.eu/news/public/focus_page/008-74291-127-05-19-901-20100507FCS74267-07-05-2010-2010/default_p001c017_fr.htm

Les prédictions apocalyptiques des europhobes enragés sur l’éclatement politique de l’UE font encore un flop. Qui voudrait réellement retrouver le yoyo monétaire et les dévaluations à répétitions d'avant l'euro ?   

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Le "yoyo", ça s'appelle l'adaptation, et l'Italie en aurait eu besoin depuis quelques années au lieu d'avoir une monnaie inadaptée à son économie. Ta "stabilité" tant vantée, c'est l'euro fort, à savoir une économie de Suisse géante faite pour les acteurs financiers (sûr qu'eux apprécient une UE plus intégrée: ils en sont les premiers militants. Ca fait quoi d'être leur idiot utile?). Le grand supermarché débile où 1/3 de la population seulement bénéficiera d'industries et de services de pointe faits avant tout pour l'exportation.

Essaie un peu de comprendre ce dont tu parles au lieu de nous balancer continuellement les slogans superficiels genre "il faut plus d'Europe", "l'Europe se renforce toujours plus" (ça veut dire quoi "se renforce"? Chaque fois que je lis les statistiques, je constate le contraire).... Renseignes-toi un peu sur ce qu'est l'euro et quels intérêts ça sert, à quelle vision économique ça correspond et ce que ça implique en terme d'impact sur les différentes économies qui le composent. Mais la colonisation économique allemande (donc la tutelle américaine pour le reste), la pensée monétariste/libre-échangiste en dépit du bon sens et la mainmise de gros acteurs financiers sur les politiques monétaires et budgétaires ont l'air de te convenir.

Les prédictions apocalyptiques des europhobes enragés sur l’éclatement politique de l’UE font encore un flop

Non, c'est à peu près ce que tous voient venir depuis un bail. Ils attendent juste de voir l'inévitable effet boomerang. Mais c'est vrai, j'oubliais que tout ce qui n'est pas d'accord avec toi est europhobe enragé.

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Le "yoyo" c'est pas de l'adaptation c'est la soumission des politiques industrielles et commerciales aux effets de change et l'impossibilité des entreprises de se constituer un marché stable ou de mener une politique économique sur le long terme. Abandonner l'Euro c'est se soumettre au dollars roi.

L’euro a pour fonction d’apporter à travers une monnaie unique une cohésion des politiques économiques des membres de l’Union européenne et de favoriser les échanges intracommunautaires. De ce fait, l’euro est aussi un outil politique de l’intégration européenne et quand je parle de l'europe qui se renforce, c'est que l'intégration européenne augmente traité après traité depuis 50 ans, et que 8 nouveaux pays veulent entrer dans la zone euro entre 2011 et 2017.   

La zone euro c'est 400 millions de clients potentiels disposant d'une monnaie stable avec une inflation quasi inexistante. La politique des acteurs financiers c'est pas la stabilité que nous connaissons mais au contraire le chaos monétaire qu'ils veulent générer pour profiter de la spéculation. 

On peut critiquer l'euro fort mais tout autant l'euro faible. Bref, le même débat qu'avec le Franc qui n'était jamais à sa "bonne valeur". Je constate juste que les responsables monétaires et politiques des 16 pays de la zone euro n'ont visiblement pas le même avis que toi sur l'euro.

Dans les faits l'euro est la deuxième monnaie au monde pour les transactions derrière le dollar américain, et depuis décembre 2006 la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation.

Sa parité avec le dollar sert d'indicateur par tous les milieux économiques.

Et sur wipédia : "L'euro est la deuxième monnaie de réserve dans le monde, loin derrière le dollar américain; cependant, petit à petit, l'euro commence à augmenter comme monnaie de réserve dans le monde, passant de 17,9 % en 1999 à 26,4 % en 2008."

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Waaaaaouh! Si Wikipedia le dit, putain c'est l'évangile  :P....

Désolé, mais tant que tu t'en tiendras à aligner des commentaires café du commerce, j'aurais vraiment beaucoup de mal à croire que tu comprends même un peu les sujets dont tu entends parler, surtout si c'est pour avoir des posts si univoques, qui évoquent plus une béatitude fanatique qu'un avis fondé en raison.

Je constate juste que les responsables monétaires et politiques des 16 pays de la zone euro n'ont visiblement pas le même avis que toi sur l'euro.

Tu constates rien du tout, tu ne connais pas leur avis, seulement les compromis politiques auxquels ils parviennent, qu'ils les jugent bons ou non.

On peut critiquer l'euro fort mais tout autant l'euro faible

Waouh! Depuis le "oui.... Mais" de VGE, on n'a pas fait mieux. Quelle opinion. Si tu faisais attention à ce que disent les autres, tu noterais que la polémique euro fort contre euro faible n'est absolument pas ce dont j'ai parlé. De même pour les économies par rapport à leurs monnaies: à un type d'économie correspond une politique monétaire. Et l'euro n'est pas adapté à la majorité des économies de sa "zone".

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L'austérité mene au desastre ...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/05/22/joseph-stiglitz-l-austerite-mene-au-desastre_1361520_3234.html

Joseph Stiglitz, 67 ans, Prix Nobel d'économie en 2001, ex-conseiller économique du président Bill Clinton (1995-1997) et ex-chef économiste de la Banque mondiale (1997-2000), est connu pour ses positions critiques sur les grandes institutions financières internationales, la pensée unique sur la mondialisation et le monétarisme. Il livre au Monde son analyse de la crise de l'euro.

Vous avez récemment dit que l'euro n'avait pas d'avenir sans réforme majeure. Qu'entendez-vous par là ?

L'Europe va dans la mauvaise direction. En adoptant la monnaie unique, les pays membres de la zone euro ont renoncé à deux instruments de politique économique : le taux de change et les taux d'intérêt. Il fallait donc trouver autre chose qui leur permette de s'adapter à la conjoncture si nécessaire. D'autant que Bruxelles n'a pas été assez loin en matière de régulation des marchés, jugeant que ces derniers étaient omnipotents. Mais l'Union européenne (UE) n'a rien prévu dans ce sens.

Et aujourd'hui, elle veut un plan coordonné d'austérité. Si elle continue dans cette voie-là, elle court au désastre. Nous savons, depuis la Grande Dépression des années 1930, que ce n'est pas ce qu'il faut faire.

Que devrait faire l'Europe ?

Il y a plusieurs possibilités. Elle pourrait par exemple créer un fonds de solidarité pour la stabilité, comme elle a créé un fonds de solidarité pour les nouveaux entrants. Ce fonds, qui serait alimenté dans des temps économiques plus cléments, permettrait d'aider les pays qui ont des problèmes quand ceux-ci surgissent.

L'Europe a besoin de solidarité, d'empathie. Pas d'une austérité qui va faire bondir le chômage et amener la dépression. Aux Etats-Unis, quand un Etat est en difficulté, tous les autres se sentent concernés. Nous sommes tous dans le même bateau. C'est d'abord et avant tout le manque de solidarité qui menace la viabilité du projet européen.

Vous prônez une sorte de fédéralisme ?

Oui. De cohésion. Le problème, c'est que les Etats membres de l'UE n'ont pas tous les mêmes croyances en termes de théorie économique. Nicolas Sarkozy a eu raison de faire pression sur (la chancelière allemande) Angela Merkel pour la forcer à payer pour la Grèce. Nombreux sont ceux qui, en Allemagne, s'en remettent totalement aux marchés. Dans leur logique, les pays qui vont mal sont responsables et doivent donc se débrouiller.

Ce n'est pas le cas ?

Non. Le déficit structurel grec est inférieur à 4 %. Bien sûr, le gouvernement précédent, aidé par Goldman Sachs, a sa part de responsabilité. Mais c'est d'abord et avant tout la crise mondiale, la conjoncture, qui a provoqué cette situation.

Quant à l'Espagne, elle était excédentaire avant la crise et ne peut être accusée d'avoir manqué de discipline. Bien sûr, l'Espagne aurait dû être plus prudente et empêcher la formation de la bulle immobilière. Mais, en quelque sorte, c'est l'euro qui a permis ça, en lui procurant des taux d'intérêt plus bas que ceux auxquels Madrid aurait eu accès sans la monnaie unique. Aujourd'hui, ces pays ne s'en sortiront que si la croissance européenne revient. C'est pour cela qu'il faut soutenir l'économie en investissant et non en la bridant par des plans de rigueur.

La baisse de l'euro serait donc une bonne chose ?

C'est la meilleure chose qui puisse arriver à l'Europe. C'est à la France, et plus encore à l'Allemagne qu'elle profitera le plus. Mais la Grèce et l'Espagne, pour qui le tourisme est une source de revenus importante, en seront également bénéficiaires.

Mme Merkel, pourtant, sait que la solidarité peut être importante. Sans cela, il n'y aurait pas eu de réunification allemande.

Oui. Mais, justement, il a fallu plus de dix ans à l'Allemagne pour absorber la réunification. Et d'une certaine manière, je pense que les ex-Allemands de l'Ouest estiment qu'ils ont déjà payé un prix élevé pour la solidarité européenne.

Pensez-vous que la viabilité de l'euro soit menacée ?

J'espère que non. Il est tout à fait possible d'éviter que la monnaie unique ne périclite. Mais si on continue comme ça, rien n'est exclu. Même si je pense que le scénario le plus probable est celui du défaut de paiement. Le taux de chômage des jeunes en Grèce s'approche de 30 %. En Espagne, il dépasse 44 %. Imaginez les émeutes s'il monte à 50 % ou 60 %. Il y a un moment où Athènes, Madrid ou Lisbonne se posera sérieusement la question de savoir s'il a intérêt à poursuivre le plan que lui ont imposé le Fonds monétaire international (FMI) et Bruxelles. Et s'il n'a pas intérêt à redevenir maître de sa politique monétaire.

Rappelez-vous ce qui s'est passé en Argentine. Le peso était attaché au dollar par un taux de change fixe. On pensait que Buenos Aires ne romprait pas le lien, que le coût en serait trop important. Les Argentins l'ont fait, ils ont dévalué, ça a été le chaos comme prévu. Mais, en fin de compte, ils en ont largement profité. Depuis six ans, l'Argentine croît à un rythme de 8,5 % par an. Et aujourd'hui, nombreux sont ceux qui pensent qu'elle a eu raison.

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Et s'il n'a pas intérêt à redevenir maître de sa politique monétaire.

Rappelez-vous ce qui s'est passé en Argentine. Le peso était attaché au dollar par un taux de change fixe. On pensait que Buenos Aires ne romprait pas le lien, que le coût en serait trop important. Les Argentins l'ont fait, ils ont dévalué, ça a été le chaos comme prévu. Mais, en fin de compte, ils en ont largement profité. Depuis six ans, l'Argentine croît à un rythme de 8,5 % par an. Et aujourd'hui, nombreux sont ceux qui pensent qu'elle a eu raison.

:lol: :lol: :lol:. Stiglitz a beau avoir une opinion tranchée, ça n'en reste pas moins un expert, qui plus est non engagé dans un mouvement, donc non contraint.

Une monnaie doit être adaptée à une économie, pas l'inverse. Et l'UE, mais plus largement les élites européennes, nient ce fait au nom d'un dogme, et sans doute encore plus de pressions aussi idéologiques que purement matérielles. Ils vont pousser ça jusqu'à l'absurde, jusqu'à ce que ça ne passe plus.

La position allemande est emblématique: outre l'évolution de leur économie vers celle d'un pays émergent tourné entièrement vers l'exportation et au niveau de vie en chute, ils restent obsédés par une conception monétaire datant des 30 glorieuses et de leur modèle économique d'alors, dans un cadre de changes fixes et de parité or. Leur discipline budgétaire est louable et leur volonté de maintenir la stabilité et la force de l'euro n'est pas sans raison, mais sont-elles adaptées à tous les modèles économiques de la zone? Evidemment non. Sont-elles mêmes encore réellement adaptées au leur tel qu'il évolue? Pas sûr. Surtout avec le vieillissement de leur population.

Quoiqu'en disent les Allemands, la force de l'euro est au moins autant due à l'assise sur toute la zone euro qu'à la discipline plus ou moins tenue de ses membres, Allemagne en tête. Ils peuvent agiter la propagande de "l'Allemagne vertueuse contre les économies club Med" tant qu'ils veulent, c'est surtout pour leur population dont la majorité morfle et ne voit pas l'effet retour ses sacrifices, tout connement parce que le modèle économique choisi est trop limité aux exportations de quelques secteurs dont le seul avantage est un différentiel qualitatif qui ne fera que s'éroder.

Que reste t-il comme moyens à l'UE? Question commercial, tout est ouvert au libre-échangisme dogmatique, et on est le fils d'Hitler si on le remet en cause. Question budgétaire et monétaire, c'est tout aussi dogmatique et inadapté. Et en politique économique, ben.....

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En plus de veillir l'Allemagne n'est plus atractive ni pour le travailleur frontalier(plus de carrière à vie, plus de prime, plus de pouvoir d'achat supérieur lié au Mark) ni pour l'immigré en raison d'une politique familliale moins généreuse que la notre.

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La Pologne qui subit actuellement d'importante inondation a demander a l'union européen une aide pour les futur reconstruction.

Jerzy Buzek, actuel président du Parlement a promis une aide de l'UE

100 000 000 d'euro est un chiffre lâcher par un journaliste je ne sait pas d'où sort le chiffre. (j'ai peut être mal entendu)

Je ne trouve pas d'article dans la presse , j'ai c info de TVP la premier chaine polonaise.

Edit :j'ai trouver un article en polonais

http://wiadomosci.onet.pl/2173094,12,item.html

Et un en Français

http://fr.euronews.net/2010/05/22/le-bilan-des-inondations-en-pologne-s-alourdit-de-nouveau/

Question un membre de l'union a t'il un droit de veto pour s'opposer a une aide pour un pays qui subit les élément ?

Voila la traduction

Selon le président de la Buzek du Parlement européen Jerzy, qui se sont réunis avec le commissaire à la politique régionale, Johannes Hahn, il ny aura des problèmes avec l'obtention de fonds par la Pologne du Fonds de solidarité de l'UE pour aider les victimes des inondations.

- Dans ces moments dramatiques, lorsque le pays d'inondation le déluge, et les Polonais ont perdu la vie sous l'eau acquis, la Pologne peuvent et doivent s'attendre à mesurer l'aide financière de l'Union européenne. Garanties de la solidarité du Fonds européen de solidarité - a déclaré Buzek.

Buzek au cours de la fin de la session du PE à Strasbourg, il a rencontré Johannes Hahn. - Nous avons parlé des possibilités d'assistance aux Polonais. La question clé se déroulera pour le Fonds de solidarité de l'Union polonaise. Il a été créé comme un outil pour aider les États membres dans de telles situations juste - dit-il. Hahn a exprimé l'avis qu'il devrait y avoir aucun problème en cours d'exécution de ce fonds pour les Polonais.

Ceci est fait à la demande de la Commission européenne, l'aide doit encore accepter le Conseil de l'UE des ministres et au Parlement européen.

- En raison de la taille inhabituelle de l'inondation, qui hante la Pologne, la soutient et soutiendra les futures demandes du gouvernement polonais à l'aide de l'Union européenne. Le Parlement européen décidera conjointement avec le Conseil des subventions au titre du Fonds de solidarité - a ajouté Buzek.

En outre, la Conférence des présidents des groupes politiques, le jeudi, le Parlement européen a décidé que la prochaine session du Parlement (Juin 16) aura un débat sur la situation des inondations en Pologne. L'initiative sur cette question signalé PiS député Thomas Poreba

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Forcément, leurs patrons banquiers leur ont dit qu'il fallait être d'accord. Serrer la vis pendant une crise  :P.... Y'en a qui persistent à ne pas vouloir retenir les leçons de l'histoire.

bof faut croire que ça fait 30 ans qu'on est en crise vu que ça fait 30 ans qu'on est en déficit. Apparement ça a pas marché non plus..

Des fois quand le moteur a calé ça peut etre utile de pomper sur la batterie et remettre un coup de démarreur, mais pour ça faut pas que la batterie soit a plat et faut un moteur qui fonctionne.

Quand t'as rien de tout ça c'est le moment de mettre les mains dans le moteur quitte à se salir les mains.

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bof faut croire que ça fait 30 ans qu'on est en crise vu que ça fait 30 ans qu'on est en déficit. Apparement ça a pas marché non plus..

Des fois quand le moteur a calé ça peut etre utile de pomper sur la batterie et remettre un coup de démarreur, mais pour ça faut pas que la batterie soit a plat et faut un moteur qui fonctionne.

Quand t'as rien de tout ça c'est le moment de mettre les mains dans le moteur quitte à se salir les mains.

Le probleme c'est que l'Europe n'a plus de moteur de croissance viable a moyen terme ... Les moteurs de croissances qui ont fait surnagé les économie les moins matures, comme l'immobilier plus tourisme en Espagne, la finance au UK, les exports de bien d'équipements en Allemagne, sont des marchés peu pérenne. L'immobilier parce que ca repose sur une bulle de crédit bon marché souvent, la finance anglaise parce qu'elle repose sur des déréglementations pas forcément durable, et l'économie allemande compressant la conso, parce que les marchés émergeant avance a tres grand pas et qu'en plus de les inondé de produit bon marché il leur opposeront aussi une concurrence sur leur cœur de métier.

C'est tout le probleme des économies matures qui sont incapable de consommer local pour entretenir leur niveau de croissance. On a bien quelques clef a ce probleme mais on tarde a les utiliser.

Il y a l'emploi de service local... les classiques américains: ménage, linge, course, concierge, garde d'enfant, aide a domicile etc. qui sont tres peu développé. Il sont facilement "localement délocalisable" mais dans un premier temps il devrait rester local.

Il y a le développement durable opposé a la consommation étrangère. Isolation contre chauffage au gaz russe, transport en commun / électrique / hybride contre pétrole arabe, agriculture bio et/ou locale contre fruit d'argentine ...

Au dela, en plus compliqué, y a plus que l'innovation qui puisse garantir des produit locaux attrayant a l'export... Et pour ca il faut un niveau d'éducation élevé et des centre de recherche et de développement avec des sous et de l'ambition, des industriels avec des couilles, un marché local qui suit etc.

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bof faut croire que ça fait 30 ans qu'on est en crise vu que ça fait 30 ans qu'on est en déficit. Apparement ça a pas marché non plus..

Des fois quand le moteur a calé ça peut etre utile de pomper sur la batterie et remettre un coup de démarreur, mais pour ça faut pas que la batterie soit a plat et faut un moteur qui fonctionne.

Quand t'as rien de tout ça c'est le moment de mettre les mains dans le moteur quitte à se salir les mains.

J'ai pas dit que n'importe quel déficit était la solution, arrête les métaphores faciles s'il te plaît  ;). Mais faire de l'austérité pendant la crise, ça c'est une certitude de la prolonger.

Il est clair que le déficit à faire devrait être consacré à soutenir la demande, mais celle qui se répercute en priorité sur l'offre nationale, et en second lieu sur l'offre de nos principaux clients si possible. Réformer le "moteur" économique est un impératif. mais une partie de cette réforme est de toute façon soit impossible (politique monétaire hors de contrôle) soit très dur (réinstituer une bonne dose de protectionnisme dans l'UE pour reconquérir le marché intérieur et recréer une offre nationale/communautaire de plus grande échelle).

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Waaaaaouh! Si Wikipedia le dit, putain c'est l'évangile 

Il s'agit de données venant du FMI.... reprises sur Wikipédia.

http://www.imf.org/external/np/sta/cofer/eng/cofer.pdf

L'euro est la deuxième monnaie de réserve dans le monde.

Composition des réserves de change en 2008 :

US Dollar = 63,6 %

Euro = 26,4 %

Livre Sterling = 4,5 %

Yen = 3,3 %

Franc Suisse = 0,1 %

Autres = 2,1 %

Les propositions de la Commission Européenne pour renforcer la coordination des politiques économiques nationales :

http://ec.europa.eu/economy_finance/articles/euro/2010-05-12-reinforcing-economic-policy-coordination_fr.htm

De son coté le Parlement a voté la mise en place d'un organisme de surveillance du système financier, les eurodéputés (pour rappel élus démocratiquement) soutenant unanimement une supervision financière supranationale :

http://www.europarl.europa.eu/news/public/story_page/042-74270-127-05-19-907-20100507STO74256-2010-07-05-2010/default_fr.htm

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Je me moquais surtout de ta façon d'amener un constat simple comme si c'était une preuve de la validité d'une d'opinion politique, ce qui est au-delà de la capillotraction et plus que bancal. Surtout quand on parle d'une monnaie qui est censée être l'émanation d'autres choses, non un fait en soi. Et si on parle de cet autre chose, c'est là que ça devient plus épineux.

De son coté le Parlement a voté la mise en place d'un organisme de surveillance du système financier, les eurodéputés (pour rappel élus démocratiquement) soutenant unanimement une supervision financière supranationale

Si c'est voté de l'initiative du Parlement, c'est juste un joli nom pour du creux: pour ce genre de trucs, faut des moyens lourds, ce dont ne dispose pas le Parlement. Il n'a pas d'ailleurs non plus la moindre possibilité de conférer la moindre autorité à ce genre de dispositif, ni même de garantir son indépendance. Mais curieusement, la gesticulation politicienne, quand elle émane des instances européennes, semble être à tous les coups constitutives d'un nouveau "renforcement" de l'union, dans tes posts.

Pour ce qui est de la légitimité "démocratique" des députés européens, c'est un sujet déjà débattu et rebattu, et encore très remis en question même chez les européistes, mais apparemment, ça t'intéresse pas.

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J'ai pas dit que n'importe quel déficit était la solution, arrête les métaphores faciles s'il te plaît  ;). Mais faire de l'austérité pendant la crise, ça c'est une certitude de la prolonger.

Booster la consommation par le déficit ça peut servir qu'a passer une crise conjoncturelle. Mais notre crise n'est pas conjoncturelle, elle est structurelle. Sinon en 30 ans de déficit il y a longtemp que la crise serait dernière nous. C'est sur qu'actuellement on combine les deux: crise conjoncturelle par dessus une crise structurelle. On est dans la merdre parce qu'on se retrouve et avec un moteur qui marche mal et une batterie a plat.

Crise conjoncturelle ou pas, tu peux bien esayer de gratter de partout pour retarder l'échéance, ça sert a rien, il va falloir se resoudre a mettre les mains dans le cambouis et vite.

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Horst Köhler démissionne inopinément de la présidence allemande

31 mai 2010/REUTERS/Fabrizio Bensch © Reuters

BERLIN (Reuters) -

Horst Köhler a inopinément annoncé sa démission de la présidence allemande à la suite de remous provoqués par ses propos sur l'utilité de l'action militaire de son pays à l'étranger pour ses intérêts économiques

Sa démission est un casse-tête de plus pour la chancelière Angela Merkel, qui va devoir lui trouver un successeur, alors qu'elle est déjà confrontée à la crise de l'euro, une popularité déclinante et à un partenaire de coalition libéral peu accommodant.

Köhler, dont la présidence est principalement honorifique mais dont la signature est indispensable pour promulguer les lois, avait été désigné par un collège de grands électeurs en 2004 et réélu à son poste l'an dernier.

Agé de 67 ans, Köhler s'était rendu le 21 mai en Afghanistan - fait inhabituel pour un président sans grand pouvoir - pour soutenir le moral des soldats allemands, auxquels il a déclaré que leur mission était "difficile et dangereuse, mais importante et légitime".

L'Allemagne a déployé en Afghanistan le troisième contingent militaire étranger en effectifs, avec 4.300 militaires, et, bien qu'elle y ait perdu 43 hommes depuis 2002, elle a accepté sous la pression de Washington d'en porter le nombre à 5.350 soldats d'ici cet été.

Cet accroissement a été décidé par le gouvernement de Berlin à contre-courant de son opinion publique, mais, il y a une semaine, Köhler avait souligné, lors d'une interview à la radio qu'un pays comme l'Allemagne, dépendant fortement de son commerce extérieur, devait être consciente de l'importance de son action militaire à l'étranger

Elle est "nécessaire pour maintenir nos intérêts, comme par exemple libérer les routes commerciales ou prévenir des instabilités régionales qui pourraient avoir un impact négatif sur nos perspectives en termes de commerce, d'emplois et de revenus".

Köhler s'est dit surpris par les critiques suscitées par ses propos, qui sous-entendraient qu'il appuie des interventions militaires non autorisées par la constitution. "Ces critiques sont complètement injustifiées", a-t-il assuré, en ajoutant qu'elles portaient atteinte à sa fonction.

Cette controverse illustre le caractère toujours aussi sensible du débat sur l'action militaire extérieure de l'Allemagne, 65 ans après la chute du IIIe Reich.

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Cette affaire est très importante. Il me semble que c'est la première fois qu'une personnalité de ce rang ennonce officiellement que le rang de l'Allemagne ne peut être tenu par son seul soft-power mais doit avoir une part active dans des opérations militaires.

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Pour l'ex président allemand, en quoi ce qu'il dit, qu'est une vérité que connaissent toutes les nations, à t'il suscité un tel tollé ???

le problème est simple. Il y a un accord le gouvernement et la population sur l'envoie de troupes tant que cela concerne la "construction d'écoles". Le President a juste déclarer qu'un grand pays doit pouvoir aussi assumer un usage des armes.

Pour rien de nouveau, pour les allemands, c'est la guerre d'où la levée de boucliers.

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Ah, j'avais plutôt entendu que c'était le fait qu'il parle de nécessité non par pour aider les pauvres nenfants afghans et fillettes en burkha mais pour les intérêts occidentaux qui avait fait pas mal grincer des dents... Ce "con" a osé dire tout haut ce qui est le cas car on est pas la bas pour aider les afghans mais pour nous et rien que pour nous, l'aide aux afghans c'est du collatéral fortuit qui aide à faire passer la pilule auprès du clampin qui regarde TF1/France 2, ceux qui y croient et bien tant mieux pour eux, je ne peux rien dire d'autre.

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Un article plutôt dur sur le président allemand :

"La saucisse vexée. L’expression allemande définit quelqu’un qui s’offense pour un rien telle une diva susceptible. Horst Köhler a jeté l’éponge estimant que les critiques suscitées par une interview dans laquelle il estimait que des interventions militaires pouvaient se justifier par des intérêts économiques nuisait à l’autorité de son poste. Mais les commentateurs estiment que c’est plutôt l’intéressé qui, en ne supportant pas les débats et en claquant la porte pour un motif finalement mineur, nuit à la fonction.

Horst Köhler, le président tiré de son chapeau par Angela Merkel, il y a six ans, un économiste en dernier lieu président du Fonds monétaire international n’a pas su s’imposer dans sa fonction. Il ne disposait pas de réseau dans le monde politique, il n’aura pas marqué son mandat par des gestes majeurs, il était resté très discret depuis le début de la crise économique et après les premiers pas chaotiques du gouvernement actuel."

http://www.rfi.fr/contenu/20100531-demission-surprise-president-allemand-horst-koehler

il semble très susceptible aussi !

"Avec 4.300 militaires en Afghanistan et, bien qu'elle y ait perdu 43 hommes depuis 2002, l'Allemagne a déployé sur place le troisième contingent militaire étranger. Sous la pression de Washington, Berlin a accepté d'en porter le nombre à 5.350 soldats d'ici cet été. Un accroissement décidé par le gouvernement, à contre-courant de l'opinion publique. Horst Köhler, plutôt apprécié des Allemands, a donc cherché à appuyer cette décision lors de son interwiew, assurant que la mission des soldats était "difficile et dangereuse, mais importante et légitime". Mais c'est un tollé qu'il a déclenché dans la classe politique. La gauche et les Verts se sont outrés de cette "diplomatie du canon". Horst Köhler a aussi été désavoué par le ministre de la Défense Karl-Theodor zu Guttenberg, qui est venu assurer à la chaine de télévision ARD que "les intérêts économiques ne constituent pas une justification au déploiement en Afghanistan".

Le président a bien essayé de s'expliquer et de calmer le jeu. "Ces critiques sont complètement injustifiées", avait-il répété la semaine passée. En vain. D'autres désaccords plus profonds avec le gouvernement pourraient l'avoir amené à prendre cette décision inopinée, car si les critiques ont été fortes dans le classe politique, le président conservait un fort appui populaire. Agé de 67 ans, Horst Köhler avait été désigné par un collège de grands électeurs en 2004 et réélu à son poste l'an dernier.

Sa démission montre en tout cas à quel point les questions militaires restent sensibles en Allemagne, plus de 60 ans après la chute du IIIe Reich."

http://www.lejdd.fr/International/Europe/Actualite/Demission-du-president-allemand-197138/

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http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/06/06/les-slovenes-aux-urnes-pour-se-prononcer-sur-un-differend-frontalier-avec-la-croatie_1368528_3214.html#xtor=RSS-3208

Les Slovènes aux urnes pour se prononcer sur un différend frontalier avec la Croatie

Quelque 1,7 million d'électeurs slovènes sont appelés à se prononcer dimanche 6 juin, sur une procédure d'arbitrage international afin de régler un différend frontalier avec la Croatie remontant à 1991, lors d'un référendum à l'issue incertaine, selon les derniers sondages.

http://www.lexpress.fr/actualites/2/le-oui-l-emporte-en-slovenie-la-croatie-soulagee_897489.html

Le "oui" l'emporte en Slovénie, la Croatie soulagée

Les Slovènes ont approuvé dimanche par référendum, de justesse, l'accord de délimitation de la frontière avec la Croatie, annonce la commission électorale.

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