TMor Posté(e) le 21 août 2009 Share Posté(e) le 21 août 2009 Qu'est-ce que je disais ? =) Je viens de voir un article dans Bable Fish, apparemment, la FAB va remettre son rapport courant Septembre, ce qui veut dire que Sarko n'ira là-bas que pour la fête, par pour ce contrat. Faut encore attendre. http://www.alide.com.br/joomla/index.php/component/content/article/36-noticias/510-conclusao-de-relatorio-sobre-cacas-e-adiada-para-setembro J'en ai marre d'avoir toujours raison. =( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 21 août 2009 Share Posté(e) le 21 août 2009 François qui craque, TMor qui pense avoir raison, :lol: en fait, ces marchés (aux pluriel) car il y a bien plusieurs contrats d'armements, de défense, de sécurité et de matériels de guerre/civil/dual en perspective. PRESSE: Défense: accords en discussion entre France et Brésil PARIS (Dow Jones)--La visite de Nicolas Sarkozy au Brésil, le 7 septembre, pourrait être l'occasion d'officialiser un accord de coopération entre la France et ce pays pour la protection des frontières terrestres de l'Amazonie, qui pourrait faire intervenir Thales SA (HO.FR) ou European Aeronautic Defence & Space Co. NV (EAD.FR), rapporte mardi Les Echos, sans préciser ses sources. Le développement d'une version locale de la tenue de fantassin Félin produite par Sagem, branche de Safran SA (SAF.FR), est également "possible", selon le quotidien économique, qui ajoute que "le grand sujet reste celui des avions de combat", avec la remise prochaine du rapport de l'armée de l'air brésilienne sur les trois appareils en lice, le F-18 de Boeing Co. (BA), le Gripen de nouvelle génération de Saab (SAAB-B.SK), et le Rafale de Dassault Aviation SA (AM.FR). Site Internet: http://www.lesechos.fr Donc entre, la signature et le financement par un crédit de la BNP Paribas pour la vente des 4 Scorpène des missiles/torpilles et du SNA plus les prestations de services, formations, infrastructures et de transferts de technologies. Entre, les perspectives de ventes de 36 à 100 avions de combat, ceux de 12 hélicoptères de combat (Tigre/Mi35/Mi28/Apache), celles des bâtiments de surface, il va y avoir du sport, des pressions, des annonces et des fausses annonces, des propagations de fausses rumeurs, tous les coups seront permis. Donc il va falloir être serein pour sortir de ces spéculations, les bonnes informations. Et parmi les bonnes nouvelles, il y a celles-ci http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/08/21/01011-20090821FILWWW00222-petrole-trouve-au-large-de-l-etat-de-rio.php AFP 21/08/2009 | Mise à jour : 09:26 La compagnie pétrolière nationale brésilienne Petrobras a annoncé aujourd'hui une nouvelle découverte de pétrole léger dans une zone off shore au sud-est du pays et dont le volume pourrait atteindre 280 millions de barils. Selon Petrobras, cette découverte s'est faite dans une zone dont elle possède l'exclusivité, à quelque 120 km des côtes de l'Etat de Rio de Janeiro, à environ 3.000 m de profondeur sous des eaux d'une profondeur de 976 m. Petrobras est un spécialiste des gisements offshore à grande profondeur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 24 août 2009 Share Posté(e) le 24 août 2009 http://www.lesechos.fr/info/aero/020110298253-dassault-a-deux-semaines-de-la-visite-de-nicolas-sarkozy-.htm [ 24/08/09 ] DASSAULT. A deux semaines de la visite de Nicolas Sarkozy au Brésil, Jean-Marc Merialdo, le représentant local de l'avionneur, a indiqué à l'AFP qu'il faudrait encore un certain temps avant que le vainqueur de la compétition l'opposant à Boeing et Saab pour la fourniture de 36 avions de combat soit connu (« Les Echos » du 11 août). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paulo Ricardo Posté(e) le 24 août 2009 Share Posté(e) le 24 août 2009 Fin du jeu, comme j'ai parlé avant, la décision avait déjà été prise le 13 juillet 2009. Le reste entier est a déjà effet de cacher la cavité de la décision. :lol: :lol: :lol: Rafale: Keep those Champagne bottles corked By Stephen Trimble on August 21, 2009 12:56 PM It appears French President Nicolas Sarkozy won't just waltz [ED: er, make that samba] into Brasilia next month and pick up a $4 billion check for 36 Rafale fighters, after all. Brazil's media previously reported that the F-X2 contract winner was scheduled to be announced on September 7, independence day, when Sarkozy just happened -- very coincidentally, wink-wink -- to have scheduled a state visit. Alas, it now appears the contract award has been delayed to October "at the earliest", which leads us to this wonderfully stereotypical quote by Dassault's top sales man in Brasilia: "Let's uncork the champagne once it's signed," Jean-Marc Merialdo told the AFP wire service. Indeed. Although the Rafale proposal rides the momentum of expanded political, industrial and military ties between Brasilia and Paris, the other two finalists -- Saab JAS-39C Gripen and Boeing F/A-18E/F Super Hornet -- are still fighting for the one of the world's most prized fighter awards. Jim Albaugh, head of Boeing Integrated Defense Systems, visited Sao Paolo last week to assure skeptical Brazilian reporters that the US would allow an "unprecedented" level of technology sharing for the deal. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 25 août 2009 Share Posté(e) le 25 août 2009 Ils vont vraiment nous porter le chat noir ceux là .Rien n'est fait tant que c'est pas officiel . Mais c'est vrai que ça serait un sacré poids en moins . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 25 août 2009 Share Posté(e) le 25 août 2009 A observer de prés, les dernières initiatives US dans ce marché et jusqu'ou ils iront pour essayer de gagner. Je me demande toujours si dans cet acharnement il y a juste une volonté de faire du business ou plutot une action stratégique genre faire capoter une vente qui maintiendrait debout une capacité industrielle concurrente en aréonautique de défense dans un futur proche (francaise bien sur). Aprés certains diront que c'est de la parano. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 25 août 2009 Auteur Share Posté(e) le 25 août 2009 C'est pire que ça pour eux puisque le but avoué des Brésiliens c'est bien d'avoir leur propre industrie dans le domaine à terme. Déjà que les Français leur grattent le c*l depuis des années, ile est hors de question pour eux qu'un autre acteur apparaisse directement "sur leurs terres". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 25 août 2009 Share Posté(e) le 25 août 2009 C'est pire que ça pour eux puisque le but avoué des Brésiliens c'est bien d'avoir leur propre industrie dans le domaine à terme. Déjà que les Français leur grattent le c*l depuis des années, ile est hors de question pour eux qu'un autre acteur apparaisse directement "sur leurs terres". N'exagéront rien, le Brésil ne seras pas un adversaire avant .... longtemps (dans le cas où le Brésil y arrive). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 25 août 2009 Share Posté(e) le 25 août 2009 http://www.lesechos.fr/info/aero/020111043158-avions-de-combat-paris-attend-le-choix-de-brasilia-avec-serenite.htm Selon les derniers échos, le Brésil reporterait au-delà de la visite de Nicolas Sarkozy, le 7 septembre prochain, l'annonce du résultat de son appel d'offres portant sur 36 appareils militaires. Trois modèles sont en concurrence : le Rafale de Dassault , le F18 de Boeing et le Gripen de Saab . Annoncera, annoncera pas ? A deux semaines du déplacement de Nicolas Sarkozy à Brasilia, à l'occasion de la célébration de la fête nationale, le camp français attend avec impatience de savoir qui de Dassault, Boeing ou Saab, le président Lula va choisir pour moderniser l'aviation de chasse du pays. L'enjeu : 36 appareils dans un premier temps, pour plusieurs milliards d'euros. Les deux hommes - qui entretiennent d'excellentes relations et dont les deux pays sont liés par un partenariat stratégique de défense - aborderont au minimum le sujet lors de leurs entretiens privés. Et au maximum ? Ces dernières heures, le sentiment, des deux côtés de l'Atlantique, allait plutôt en faveur d'un report au-delà du 7 septembre, pour ménager les susceptibilités. D'autant que les trois constructeurs doivent encore répondre à une série de questions très pointues. Après, tout dépendra de la durée du report, si report il y a : plus le temps passe et plus la pression politique américaine se fera pressante. En attendant, dans le camp Rafale, on reste optimiste. Comme c'est l'usage en matière militaire, l'appel d'offres impose un niveau élevé d'« offset », c'est-à-dire d'investissements industriels sur place. De ce point de vue, on peut supposer que Boeing a dû dérouler le tapis rouge auprès d'Embraer. Transfert de technologies Mais, plus important, le Brésil, qui souhaite pouvoir construire un avion de chasse, a fait du transfert de technologies un critère clef de son choix. Paris a dit banco à 100 % ou presque. Le Rafale étant dépourvu de composants américains, les autorités françaises restent libres d'en dévoiler les secrets de fabrication à qui elles le souhaitent. Ce qui n'est pas le cas du Gripen de Saab de nouvelle génération, qui n'existe que sur le papier pour l'instant et dont nombre d'éléments nécessitent l'accord de Washington à l'export. En ce qui concerne Boeing, c'est plus flou. En principe, tout transfert de technologie clef nécessite l'approbation du Congrès, par nature très hostile. Mais pour sauver un champion industriel, les Etats-Unis savent être très pragmatiques, rappelle un bon connaisseur du dossier. Un choix politique Un autre facteur peut jouer en faveur du Rafale. Même si l'acquisition des avions de chasse concerne uniquement l'armée de l'air, les Brésiliens n'ont pas oublié qu'ils disposent d'un porte-avions. Bien connu en France, puisqu'il s'agit de l'ex-« Foch », rebaptisé « São Paulo ». Or l'avion français existe aussi en version « navalisée », ce qui ne pourra pas être le cas du Gripen NG. Ni de la version du F18 proposée par Boeing, car beaucoup trop lourde. Mais, in fine, au-delà des aspects opérationnels, industriels ou technologiques, le choix sera éminemment politique. De Barack Obama, Fredrik Reinfeldt - le Premier ministre suédois - ou Nicolas Sarkozy, à qui le président Lula voudra-t-il faire le plus plaisir ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paulo Ricardo Posté(e) le 25 août 2009 Share Posté(e) le 25 août 2009 Les adversaires ont toujours de l'information prématurée des décisions, les USA savaient qu'ils avaient perdu, dans ce contexte, elle donne pour comprendre parce qu'ils ont fait des offres et promettent déjà après la fin de la période pour le BAFO.Les USA essaient tout pour revenir la décision occupée, mais aucun a annoncé. C'est nécessaire de comprendre que les USA possèdent des influences fortes parmi l'armée de FAB.[]´s Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
c seven Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 Petit encart plutôt optimiste dans air&couscous.Pour eux, je site: "On murmure toutefois que les carottes sont cuites à la sauce française et que la prochaine visite du PR au Brésil accompagné de la patrouille de France serait plus un chant de gloire qu'une plaidoirie. Encore qq semaines de patience..."Bon, on va pas ouvrir le champagne tout de suite: c'est trop chiant à remmètre un bouchon de champagne... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 Tu parles d'optimisme... Chez A&C, on dirait qu'ils ont tous eu droit à une bouteille de champagne individuelle, qu'ils ont tous consommé jusqu'à la dernière goutte, et qu'ils sont retournés à la rédaction juste après ! :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 A Saint-Cloud on sabrera le Champagne quand tout sera "locké" et tamponné "bon à livrer" :lol: car quand tu vois ce qui se passent dans la presse brésilienne durant ces derniers jours avec la vente des sous-marins et les contre-communiqués offiels de la marine brésilienne pour rectifier les conneries énoncées par certains journalistes à la solde de ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 29 août 2009 Share Posté(e) le 29 août 2009 Tin ils me mettent la pression ces salauds , mais c'est une bonne pression 8). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 3 septembre 2009 Share Posté(e) le 3 septembre 2009 Tu parles d'optimisme... Chez A&C, on dirait qu'ils ont tous eu droit à une bouteille de champagne individuelle, qu'ils ont tous consommé jusqu'à la dernière goutte, et qu'ils sont retournés à la rédaction juste après ! :lol: Lula préfère l'avion français Rafale AFP 03/09/2009 | Mise à jour : 14:31 Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a laissé poindre sa préférence pour l'avion français Rafale en vue de renouveler la chasse brésilienne, en raison de la disposition de la France à un transfert de technologie total, dans une interview à l'AFP. Le Rafale de Dassault est engagé dans une lutte acharnée avec le Gripen du suédois Saab et le F/A18 Super Hornet de l'américain Boeing, pour remporter un contrat portant sur la vente de 36 appareils pour un montant de plusieurs milliards de dollars. "Un pays de l'importance du Brésil ne peut acheter un produit d'un autre pays sans transfert de technologie", a dit Lula dans un entretien exclusif accordé hier à l'AFP. La France est apparue comme "le pays le plus flexible pour le transfert de technologie et, évidemment, cela est un avantage comparatif exceptionnel", a souligné le président brésilien. Lula s'est refusé à dire quel était son favori mais il a indiqué qu'il pourrait parler au téléphone avec le président français Nicolas Sarkozy après une réunion avec le ministre de la Défense et le commandant de l'armée de l'air Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rafale56 Posté(e) le 3 septembre 2009 Share Posté(e) le 3 septembre 2009 Peut-être un nouveau développement le 7 septembre prochain... O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Peace_eagle Posté(e) le 3 septembre 2009 Share Posté(e) le 3 septembre 2009 Ceci dit , il semble que la france soit le seul désireux d'offrir un transfert de techno intégrale ( quid du radar ?? ), le gripen ne peux pas ( motorisation, armes US ) et les ricains c'est pas dans leurs habitudes de transférer quoi que soit !alors si avec tout ca , la France n'arrive pas refourguer quelques RAFi aux brésiliens, c'est a ne plus rien y comprendre !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 3 septembre 2009 Share Posté(e) le 3 septembre 2009 Si le Rafale est choisi par le Brésil ce sera un choix d'indépendance majeur à l'image du programme SNA ...Cà signifie que le Brésil entend jouer son rôle avec à la clé une forte indépendance (ou une dépendance minimum) technologique vis à vis des Etats-Unis.Lula ne fait pas un choix technique mais un choix politique. Celui d'engager son pays dans une stratégie de leadership régional.Chavez est un pantin, les brésiliens eux veulent acquérir une réelle latitude d'action Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 On est plus souple et concilliant dans les transferts aussi, c'est visiblement cela qui pourrait faire la différence à en juger cet article du Point. http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2009-09-03/exportation-le-bresil-s-interesse-au-rafale/920/0/374182 Fleuron de l'armée de l'air et de la marine françaises, le Rafale, produit par Dassault Aviation, n'a pas encore été vendu à l'export. Ces prochains mois, plusieurs appels d'offre sont susceptibles de se concrétiser, lancés par les Emirats, la Lybie, la Suisse, l'Inde, etc. Dès la semaine prochaine, à l'occasion de la visite officielle de Nicolas Sarkozy, le Brésil pourrait rendre son verdict sur une première commande de 36 Rafale mono et biplaces, un contrat de l'ordre de quatre milliards d'euros. Pour bien marquer l'importance de l'événement, la Patrouille de France sera présente en vol à Brasilia, lundi jour de la fête nationale. Mais le Rafale n'est pas le seul sur les rangs. Si l'Eurofighter et le Sukhoï ont été écartés, restent comme concurrents en lice le F/A 18 Super Hornet de Boeing et le Gripen de Saab. Le Brésil a clairement spécifié à plusieurs reprises que le contrat devrait garantir de réels transferts de technologie. Un point sur lequel les États-Unis sont assez frileux. Aussi la proposition américaine ne répond-elle pas directement à cette demande. Elle fait état d'aides dans le domaine du nucléaire civil, d'un partenariat technique et commercial entre l'avionneur brésilien Embraer et Boeing pour le futur avion de transport militaire KC 390. Des achats d'avions d'entraînement Super Tucano d'Embraer sont évoqués, susceptibles d'être engagés dans la lutte antiguérilla en Afghanistan. Pour le Suédois Saab AB (société différente de "Saab automobile AB" détenue par General Motors), ce contrat s'avère vital. Sans commande, la chaîne du chasseur JAS 39 Gripen NG et l'activité aéronautique militaire s'arrêtent après celle des avions civils terminée avec l'avion régional Saab 2000. L'avionneur scandinave propose donc d'associer le Brésil à la future commercialisation du Gripen, mais les transferts technologiques restent relativement limités. Commande ultérieure de plus de cent appareils Cette première commande brésilienne doit être prolongée à terme par une autre d'une centaine d'appareils. La Força Aérea Brasileira souhaite, en effet, remplacer toute sa flotte de F 5, AMX, Mirage 2000 par un seul type d'avion multi-rôle. C'est ce choix qu'a fait l'armée française en commandant à terme 294 Rafale en lieu et place de 400 appareils divers. Ce concept multi-rôle permet de réduire la flotte (et son coût) grâce à des avions polyvalents. Par exemple, pendant une même mission, il est possible d'effectuer de l'attaque au sol en larguant des bombes, puis d'assurer la défense aérienne en repoussant un ennemi avec des missiles. Le Rafale est même "plug and play" comme un ordinateur qui reconnaît une souris, une clé USB ou un appareil photo lors du branchement. Quand l'armurier installe sous l'avion un réservoir supplémentaire, un pod photo ou un missile, les systèmes d'armes et de navigation les identifient automatiquement et configurent le cockpit en conséquence. Cette deuxième vague de commandes devra permettre d'assembler, voire de construire au Brésil l'avion choisi. Une demande pour laquelle la France n'émet pas de réticence majeure, puisque la capacité nucléaire n'est pas demandée. "Un pays de l'importance du Brésil ne peut acheter un produit d'un autre pays sans transfert de technologie", a souligné Lula dans un entretien exclusif accordé mercredi à l'AFP. La France est apparue comme "le pays le plus flexible pour le transfert de technologie et, évidemment, cela est un avantage comparatif exceptionnel", a souligné le président brésilien, qui a toutefois refusé de dire quel avion était son favori. Décision rendue mi-octobre Cette collaboration est d'ailleurs déjà largement pratiquée dans le cadre de la commande brésilienne de quatre sous-marins de classe Scorpène, d'un autre nucléaire (sans fournir le réacteur), et de 50 hélicoptères de transport militaires EC-725 construits au Brésil chez Helibraz, une filiale d'Eurocopter. Dassault Aviation, comme Snecma pour le moteur ou Thales pour l'avionique, pratiquent largement ce partenariat. Dès les années 1960, la Suisse, l'Australie et la Belgique ont construit sous licence le Mirage III, sans parler des clones israéliens. L'Espagne et la Grèce ont largement été associées à la production du Mirage 2000. Le contrat brésilien sera-t-il rendu public lors de la rencontre des présidents Luis Inacio Lula da Silva et Nicolas Sarkozy au début de semaine prochaine ? Il semble toutefois que l'armée de l'air brésilienne n'ait pas fini de dépouiller l'important questionnaire technique demandé aux trois constructeurs. Pour respecter la forme, la décision serait rendue à la mi-octobre. Et, un mois plus tard, se tient le salon aéronautique de Dubaï, qui pourrait être l'occasion de révéler un autre très beau contrat à l'export pour le Rafale. En attendant, l'avion de chasse français vole sous tous les cieux. Deux Rafale monoplaces de l'escadron 1/7 Provence participaient mardi au défilé aérien à Tripoli, à l'occasion de la fête nationale libyenne. À la fin août, l'équipe de présentation de l'armée de l'air était présente, avec deux autres Rafale, au salon aéronautique de Moscou Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 Je répète ce que j'ai dis, si on perd ce marché, autant arrêter completement de le vendre cet avion .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jolie rouge Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 rien de nouveau mais pour se donner du courage ;) http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g7y_plQn31QkQ2XgOs60tz3crPww Brésil: le Rafale semble prendre l'avantage pour l'aviation de chasse De Claire DE OLIVEIRA (AFP) – il y a 1 heure RIO DE JANEIRO — A la veille d'une visite éclair du président français Nicolas Sarkozy à Brasilia, le Rafale semblait prendre l'avantage sur ses concurrents suédois et américain pour renouveler l'aviation de chasse brésilienne, un contrat de 4 milliards de dollars. A ce jour, Dassault n'a jamais réussi à vendre son chasseur multirôle hors de France. La décision finale sur l'appel d'offres où sont en lice, outre le Rafale, le Gripen du suédois Saab et le F/A18 Super Hornet de Boeing, ne devait être connue qu'en octobre, a dit à l'AFP l'expert militaire Nelson During, directeur de la revue Defesanet. "L'armée de l'air devrait envoyer son analyse des trois appareils au gouvernement le 23 octobre, Jour de l'Aviateur, et lui indiquer son choix. Ensuite, le Conseil national de Défense devrait ratifier ce choix assez rapidement", a dit l'expert brésilien. Toutefois, la visite du président français Nicolas Sarkozy dimanche et lundi pourrait précipiter l'annonce du vainqueur de l'appel d'offres, pensent des sources informées. Dans une interview exclusive à l'AFP, le président Luiz Inacio Lula da Silva a affirmé que la France avait "un avantage comparatif exceptionnel" dans la compétition car elle "s'est montrée le pays le plus flexible pour le transfert de technologie". "Un pays de l'importance du Brésil ne peut acheter un produit d'un autre pays sans transfert de technologie", a ajouté le président qui s'est toutefois refusé à dire quel était son avion favori : "en tant que président, je ne le peux pas". "Le grand avantage de la France, c'est qu'elle ne met pas de restrictions à sa technologie ; elle passe tout", a renchéri l'expert militaire. L'objectif du Brésil est de se doter d'une industrie de défense de pointe à la hauteur de ses ambitions de grande puissance mondiale du XXIe siècle. Lula a expliqué que la modernisation des forces armées avait pour objectif de mieux protéger l'immense territoire amazonien et ses énormes richesses pétrolières en eaux très profondes récemment découvertes. Pour Nelson During, les critères essentiels dans le choix de l'avion sont : jusqu'où va le transfert de technologie ? Que va gagner l'industrie brésilienne ? Quels sont les intérêts du Brésil au niveau géopolitique ? "Nous avons déjà un accord avec la France, doit-on le renforcer ? Si nous négocions avec les Etats-Unis, faudra-t-il s'aligner sur leur politique ? Est-il avantageux de négocier avec la Suède ? Telles sont les interrogations du côté brésilien", commente M. During. Le prix d'achat - l'un des reproches fait au Rafale par rapport à ses concurrents - "n'est pas fondamental", a affirmé l'expert. "C'est le coût opérationnel qui compte, le prix de l'heure de vol, de l'entretien, de l'électronique. Nous sommes un pays pauvre et c'est ce qui pèsera pendant les trente prochaines années". "Le Rafale n'est pas le plus cher pour le coût opérationnel, c'est le F/A18", a précisé M. During. Le 7 septembre, fête nationale du Brésil, pendant la visite de Nicolas Sarkozy, deux accords militaires conclus en décembre dernier avec Lula seront signés. Ils concernent l'achat de 50 hélicoptères de transport EC-725 et la construction de quatre sous-marins conventionnels d'attaque Scorpène et d'un cinquième à propulsion nucléaire en coopération avec la France. Le Brésil construira seul le moteur nucléaire dont il maîtrise déjà la technologie. "Les sous-marins seront les boucliers de défense des gisements en eaux très profondes" dont les réserves de brut sont évaluées à 50 milliards de barils, a dit M. During. Un chantier naval sera construit dans la baie de Sepetiba, à Rio de Janeiro, pour la fabrication des sous-marins. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 Lula préfère l'avion français Rafale AFP 03/09/2009 | Mise à jour : 14:31 La bonne vieille tactique pour rendre jalouse la personne qu'on désire secrètement... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fool Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 pour compenser le pessimisme de Tmor , moi je penses que c'est plié ! O0 le rafale volera sous cocarde brésiliennes .... même moteurs coupés , porté par nos prières :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 La bonne vieille tactique pour rendre jalouse la personne qu'on désire secrètement... PfouOUOU ! Quel négatif ce TMor il est devenu timoré :lol: Désolé mais il fallait que je te dise. =) Mais au fait, à une époque tu aurais du prendre au sérieux mon courriel au sujet d'une proposition de job plaisant. O0 Tu as préféré l'éducation nationale, c'est ton choix mais quand je t'ai fait parvenir l'offre d'emploi qui pouvait te convenir et dont tu avais les compétences, tu aurais dû la prendre et là tu aurais pu voir ton avion préféré au plus près. Hélas, tu as choisi de râler et être défaitiste :lol: Pour ton autre plan de carrière c'est bien aussi. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 4 septembre 2009 Share Posté(e) le 4 septembre 2009 C'est presque trop beau, avec ce soleil, faites attention aux mirages sur vos 6 heures. ;) =)j'y croirais quand ca sera signé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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