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L'action de l'Etat en mer, Douane, Police, Gendarmerie, Aff. Mar. et aussi... MN


pascal

Messages recommandés

citation : Plus "design" que les deux nouveaux patrouilleurs des douanes ("Jacques edouard Fromentin" et l'autre j'sais plus), et pour remplacer les P400, j'aime beaucoup le modèle "Vigilant 400CL52" (longueur 52,5m, largeur 9m, vitesse max 30 nds, autonomie 3000 nm) proposé par les "Constructions Mécaniques de Normandie" :

Sur la grande terrasse avant surélevée on pourrait très bien mettre un affût "Narwhal" 30mm.

Faudrait pas faire dériver le sujet. Mais, suis pas sur que cela corresponde au concept des P400... Il me semble que les Vigilant 500 / 600 en sont plus proches... Et en plus, tu veux enlever mes 40mm Bofors, pour mettre des trucs qui coûtent les yeux de la tête... :lol:

Ils sont très bien les 40mm  =D

Bon, alors pour te faire plaisir une vue imprenable sur le Bofors 40mm du patrouilleur "Glaive" de la gendarmerie maritime de Cherbourg (l'un des deux encore en service de la série des 4 patrouilleurs rapides "Trident" construits en 1975 http://www.netmarine.net/f/bat/trident/index.htm ; il sera désarmé en 2009) :

Image IPB

Par contre pascal qui estime la mitrailleuse de 12,7mm suffisante pour les missions des bateaux dédiés à "l'action de l'Etat en mer" va râler ; ah comme c'est dur de contenter tout le monde ! ;)

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Coopération franco américaine renforcée alors que dans le même temps on enregistre deux nouvelles saisies de coke dans la zone

Portail ses sous marins

Le vendredi 27 juin 2008, le contre-amiral Philippe Combes, commandant des forces armées des Antilles, et le Rear admiral Nimmich, directeur de la Joint Interagency Task Force South (JIATF/S), ont signé l’acte de création du TG 4.6, groupe tactique français, sous les ordres du COMSUP, regroupant tous les moyens de surface français et alliés pour l'Est des Caraïbes et l'ouvert de l'Atlantique.

La JIATF/S, localisée à Key West en Floride, fédère autour des différentes administrations américaines, participant à la lutte contre le narco trafic, les moyens de renseignement et d'action en mer de nombreux Etats. La France y est représentée par un officier de liaison et les forces armées des Antilles y sont associées depuis quelques années. L'efficacité des opérations de lutte contre le narco-trafic " Carib Royale " menées par les FAA a conduit la JIATF/S à confier au COMSUP Fort-de-France, le rôle de coordonnateur des moyens alliés dans l'Est de la Caraïbe et l'ouvert de l'Atlantique, sous l’appellation de CTG 4.6 (Commander of Task Group 4.6).

Ce rôle majeur permettra l’intégration de bâtiments alliés américains, néerlandais, britanniques ainsi que le partage et la circulation de l’information, indispensables dans la lutte contre le narco-trafic.

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Présentation faite réemment a profit de MAM et de Dati

"A 40 noeuds partis des côtes marocaines les GF peuvent atteindre une plage française en 24 heures. Sauf s'ils croisent un hélicoptère de la marine et son tireur d'élite.

Lui seul, dans le cadre d'une opération lourde comprenant aussi un avion, une frégate et des commandos de marine, peut intercepter ces "go-fast" qui bondissent de vague en vague, souvent de nuit, avec deux tonnes de cannabis à bord.

"Ils naviguent à plus de 40 noeuds, c'est-à-dire 80 km/heure: partis des côtes nord du Maroc, ils sont en France le lendemain", explique, à bord de la frégate Montcalm au large de Collioure, son commandant, le capitaine de vaisseau Luc-Marie Lefebvre.

Clôturant dix jours de manoeuvres, il a organisé, pour la presse et les ministres de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et de la Justice Rachida Dati, la démonstration d'une interception en mer.

Le go-fast est d'abord repéré puis pisté par l'avion des douanes qui survole les côtes espagnole et française. Le dispositif est mis en place: un tireur d'élite, armé d'un fusil de gros calibre (12,7 mm), prend place à bord d'un hélicoptère Lynx. Dix membres des commandos de marine prennent la mer, à bord d'un Zodiac propulsé par 400 chevaux.

Après autorisation donnée par radio par le préfet maritime, qui supervise l'opération, l'hélicoptère reçoit l'ordre de "rompre la discrétion" et de s'approcher de la cible.

Il tourne autour comme un bourdon, porte ouverte, fusil pointé. Sur le flanc, un panneau: "French Navy - Stop - VHF canal 16".

"Go-fast confirmé. Quatre ballots et quatre personnes à bord. Pas d'arme visible" indique par radio le pilote.

"Drop! Drop! Drop!": cela signifie que les trafiquants, se sachant repérés, jettent à l'eau leur cargaison, des sacs étanches d'une trentaine de kilos.

A la radio et en anglais, sur le canal 16, le pilote ordonne: "Arrêtez l'embarcation. Nous allons tirer si vous ne le faites pas !"

Puis, à l'adresse du capitaine Lefebvre: "Montcalm de Lynx: premier warning effectué. Pas de réaction".

Réponse: "Lynx de Montcalm: effectuez tir de semonce". Le tireur d'élite envoie plusieurs projectiles près du hors-bord. "Montcalm de Lynx: effectué. Pas de réaction".

Suivent trois "tirs d'arrêt", des coups de semonce plus proches de l'étrave du hors-bord. S'il n'y a toujours pas de réaction, feu vert est donné aux "tirs de neutralisation", directement dans les moteurs, qui ne peuvent résister à un tel calibre.

"Chaque phase doit être précisément autorisée. A aucun moment il n'est possible de tirer sur les hommes à bord", assure le procureur de Marseille Marc Cimamonti, qui assiste à l'opération.

A bord du zodiac de l'armée, qui joue le rôle des trafiquants, on lève les mains en l'air. Les commandos de marine, cagoulés sous leurs casques, l'accostent. "Client sécurisé". Très vite, ils sont rejoints par des douaniers, chargés des perquisitions.

Depuis juin 2006, seize "go-fast" ont été interceptés de la sorte, neuf tonnes de cannabis saisies et une soixantaine de trafiquants.

  L'Internaute 

   

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  • 2 weeks later...

Pour appuyer la "nécessité" de sonar sur les navire de surveillance.

Les deux premiers articles sont récents, le troisième date de l'année dernière. L'usage de submersible se "démocratise" pour transporter des marchandise interdite...

http://www.corlobe.tk/article9838.html

Le mini-submersible arraisonné par la marine mexicaine n’était pas bricolé : il a été construit dans un chantier naval

Image IPB

Le mini-submersible qui a été intercepté par la marine mexicaine à 200 km de ses côtes “n’a pas été bricolé, il a été construit dans un chantier naval”, ont confirmé des sources navales qui ont ajouté que, pour le moment, il était impossible de préciser l’origine du sous-marin, tant qu’il n’était pas arrivé au port de Salina Cruz.

Le mini-submersible, intercepté par les forces spéciales après avoir été repéré par satellite, mesure 12 m de long pour 3 de large.

Bien qu’il soit possible que le sous-marin soit de construction russe, il ne sera possible de s’en assurer que lorsqu’il sera arrivé au port.

Selon des sources officielles, il aurait une capacité de 10 tonnes, pourrait naviguer à une immersion de 5 m. Il ne s’agit pas d’un sous-marin improvisé.

source: http://www.elporvenir.com.mx/notas.asp?nota_id=234041


http://www.corlobe.tk/article9836.html

Le Mexique devra-t-il se doter d’une force sous-marine ?

Image IPB

Les trafiquants de drogue colombiens utilisent de plus en plus de petits sous-marins pour essayer de faire passer la drogue vers le nord, principalement les Etats-Unis.

Selon le capitaine Jose Luis Vergara, porte-parole de la marine mexicaine, le submersible est "très bien construit". Il permet de transporter de grandes cargaisons, probablement plusieurs tonnes.

Le gouvernement mexicain, qui doit déjà faire face aux trafiquants sur terre et dans les airs, voit maintenant s’ouvrir un nouveau front sous les mers.

Les responsables américains indiquent que ces mini-submersibles sont de plus en plus utilisés parce qu’ils sont plus difficiles à détecter au radar. Les saisies ne représentent qu’une partie des quelques 40 sous-marins qui ont été détectés depuis 2007.

"Lorsqu’ils pensent qu’ils vont être arrêtés, les équipages essayent de les saborder," explique Jose Ruiz, porte-parole de l’US Navy.

"Le Mexique n’est pas préparé à ça," indique Guillermo Garduño, spécialiste de la sécurité nationale de l’Autonomous Metropolitan University à Mexico. "Le Mexique va devoir restructurer ou modifier ses forces navales."

Contrairement à de nombreux autres pays de l’Amérique Latine, le Mexique ne dispose pas de force sous-marine, qui était jusqu’à présent jugé couteux et inutile.

Mais l’augmentation de l’utilisation de ces mini-submersible pourrait contraindre le Mexique à y réfléchier à nouveau : de tels sous-marins pourraient aussi être utilisés par des terroristes contre les plateformes pétrolières dans le golfe du Mexique, ajoute Garduño.

Dans un communiqué, la marine explique que ses forces ont agi grâce à des renseignements américains qui avaient détecté le sous-marin par satellite.

source: http://www.latimes.com/news/printedition/asection/la-fg-sub18-2008jul18,0,6814744.story


http://www.latimes.com/news/printedition/asection/la-fg-narcosub6nov06,0,3494529.story

Drug traffickers use submersibles to ferry narcotics

Some in U.S. fear the tactic may inspire terrorists.

Image IPB

November 6, 2007

CALI, COLOMBIA — It was on a routine patrol that the Colombian coast guard stumbled upon an eerie outpost amid the mangroves: a mini-shipyard where suspected drug traffickers were building submarines.

Perched on a makeshift wooden dry dock late last month were two 55-foot-long fiberglass vessels, one ready for launch, the other about 70% complete. Each was outfitted with a 350-horsepower Cummins diesel engine and enough fuel capacity to reach the coast of Central America or Mexico, hundreds of miles to the north.

The vessels had cargo space that could fit 5 tons of cocaine, a senior officer with the Colombian coast guard's Pacific command said in an interview.

The design featured tubing for air, crude conning towers and cramped bunk space for a crew of four, he added.

Over the last two years, Colombian authorities and the U.S. Coast Guard and Navy have seized 13 submarine-like vessels outfitted for drug running. The five seized by American authorities were en route to Mexico or Central America, each loaded with 3 to 5 tons of cocaine.

The seizures point to a security threat that goes beyond drug trafficking. Many law enforcement officials are concerned that U.S. ports and shorelines could be vulnerable to terrorist attacks using such crudely built submarines.

"There could be 5 tons of anything on board these things," said a senior U.S. military official involved in the war on drugs.

Added a senior official with the U.S. Drug Enforcement Administration in Colombia: "Any viable method to covertly transport large quantities of illicit drugs over long distances such as these [vessels] could conceivably be employed to transport other prohibited materials."

The boats have become increasingly sophisticated, evolving from huge tubes built to be towed by fishing or cargo boats to self-propelled vessels with ballast systems and communications equipment that leave no wake or radar profile as they glide just below the ocean surface.

The recent discovery in the Pacific Coast estuary about 25 miles south of the port city of Buenaventura reflects drug traffickers' growing use of such boats in the face of stepped-up operations by Colombian and U.S. anti-drug forces, experts here say.

The subs were probably commissioned by the Revolutionary Armed Forces of Colombia, or FARC, in whose zone of influence the shipyard was situated, according to the officer, who asked not to be identified for security reasons. The FARC is thought to be Colombia's most powerful drug-trafficking organization.

Military officials here and in the United States say the war on drugs, financed by billions of dollars in U.S. aid, is forcing drug runners to undertake ever more ingenious methods of transporting cocaine from Colombia, which produces about 90% of the drug consumed in the United States.

Proponents insist that the campaign is producing concrete results. They cite a 24% increase in cocaine street prices this year as reported by the White House Office of National Drug Control Policy.

The price bump was caused by the "disruption of cocaine flow," the office's director, John P. Walters, wrote in a letter to Rep. J. Dennis Hastert (R-Ill.).

Improved surveillance and intelligence have led to spectacular busts this year, including the seizure last Tuesday in Manzanillo, Mexico, of 23 tons of cocaine hidden in a freight container aboard a Hong Kong-flagged vessel that had stopped in Buenaventura.

The bust "is going to have even more serious impact on cocaine price and purity levels here in the United States," a senior U.S. congressional aide said Friday.

Meanwhile, critics of the war on drugs warn that the price increase, as in past instances, may prove only temporary.

John Walsh of the Washington Office on Latin America, a watchdog organization, said a 45% price increase in early 2002 was quickly reversed as suppliers adjusted.

Walsh and others say counter-narcotics efforts in Colombia should focus less on interdiction and more on economic alternatives for coca farmers and others caught up in the industry.

In any event, the ever-changing tactics of Colombian drug traffickers targeting the lucrative U.S. market reflect a constant cat-and-mouse game.

"When we adjust to them, they adjust to us," said Rear Adm. Joseph Nimmich, commander of the Key West, Fla.-based Joint Interagency Task Force South, a multinational force set up to interdict oceangoing drug shipments.

"Their reaction to our greater surveillance and increased interdictions has been these self-propelled submersibles."

Are drug cartels resorting to submarines out of "desperation or just diversification? It's a combination of the two, with the greater emphasis on the former," said Assistant U.S. Atty. Joseph Ruddy, who heads Operation Panama Express, a Tampa, Fla.-based task force. The task force's interdictions have resulted in more than 1,100 drug traffickers being convicted since 2000.

The boats seized Oct. 28 are submarine-like, but officials here say a more accurate description is "self-propelled semi-submersible" craft because they do not dive and resurface like a true submarine.

Submarines are not new to drug trafficking, only more numerous, if the increase in seizures is any indication.

In what was the most spectacular bust involving a narco-submarine, police in September 2000 raided a warehouse near Bogota, the capital, and found a 100-foot-long submarine that was being built according to Russian plans.

The sub was thought to be a joint venture by Colombian and Russian drug mafias and would have been capable of carrying 10 tons of cocaine per trip had it been completed. Annual Colombian cocaine production is now estimated at 500 to 800 tons.

In 1995, police broke up a deal in which Colombia's Cali cartel had planned to buy a Russian submarine.

The know-how to build crude "submersibles" is readily available on the Internet and in back issues of Popular Mechanics magazine.

Hobbyists in the United States have formed the Personal Submersibles Organization; they conduct chats on the group's website, psubs.org, and hold annual meetings.

But the vessels found on Colombia's Pacific shores last week were built for anything but recreation and certainly not by hobbyists.

The Colombian coast guard official said crew members of a submersible detained this year after their 55-foot vessel sank off the coast of Tumaco, Colombia, told police that they viewed the craft as a death trap but were lured by the $2,000 payment the drug magnates promised to pay them to guide the vessel to Central America.

Asked to describe the men detained, the coast guard official merely said: "Crazy."

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Les satellites sont-ils efficaces pour détecter des go-fast? On voit ici qu'ils l'ont été pour détecter un sous-marin (va pas vite, pas beaucoup d'autonomie sous l'eau), et ils sont efficaces contre la pêche illicite, dans les Kerguelen: http://www.taaf.fr/rubriques/peche/pecheIllicite/pecheIllicite.htm

http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/astronautique/d/le-radar-denvisat-veille-sur-un-poisson-prehistorique_7622/

http://www.esa.int/esaCP/SEM3M4ULWFE_France_2.html

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Les satellites sont-ils efficaces pour détecter des go-fast? On voit ici qu'ils l'ont été pour détecter un sous-marin (va pas vite, pas beaucoup d'autonomie sous l'eau), et ils sont efficaces contre la pêche illicite, dans les Kerguelen: http://www.taaf.fr/rubriques/peche/pecheIllicite/pecheIllicite.htm

http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/astronautique/d/le-radar-denvisat-veille-sur-un-poisson-prehistorique_7622/

http://www.esa.int/esaCP/SEM3M4ULWFE_France_2.html

Les satellite sont capable de detecter aussi bien les sous marin que les navire de surface ... si tu les pointe dessus :) tout le probleme de l'imagerie satellite - IR OE EM - et le champ qui est assez étroit si tu veux une bonne résolution, le pointage - les satellite sont soumis au loin de la mecanique celeste ... et donc ne peuvent pointer longtemps une zone -, et le traitement.

En gros pour des petit objet de forme assez commune si tu sais ce que tu cherche et ou tu le cherche ... c'est assez facile de trouver ... sinon ca risque d'etre plus du hasard qu'autre chose.

A noter que l'imagerie radar permet selon la puissance et la longueur d'onde d'observer le sous-sol et le sous-marin jusqu'a environ 300m, c'est la raison pour laquelle on se fait chier a faire plonger les sous-marin plus profond ...

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http://www.france-info.com/spip.php?article162805&theme=69&sous_theme=69

Un "cargo de la drogue" coulé par la Marine Nationale au large de la Martinique

19/07/2008-[23:28] - AFP

FORT-DE-FRANCE, 19 juil 2008 (AFP) - Le Master Endeavour, un "cargo de la drogue" saisi en 2006 par la Marine Nationale, a été coulé samedi au large des côtes martiniquaises, a-t-on appris auprès de la préfecture.

"Le Master Endeavour a été immergé samedi matin par l’emploi d’explosifs à 15 nautiques dans l’ouest de la Martinique par des fonds d’environ 2.700 mètres", a indiqué le commissaire Ronan Boilot, responsable de l’action de l’Etat en mer pour la préfecture, lors d’un point de presse samedi en début d’après-midi, sur le port de Fort-de-France. Fin février 2006, la Marine avait saisi près de 2 tonnes de cocaïne sur ce cargo de 97 mètres battant pavillon panaméen avec 14 hommes à bord, à environ 1.300 km à l’ouest de Dakar (Sénégal). Remorqué à Fort-de-France, le "Master Endeavour" était depuis immobilisé dans le port dans "un très mauvais état général". Samedi matin, le cargo a été remorqué sur zone par un bateau de la Marine Nationale. Une soixantaine de kilos d’explosifs placés dans les structures du navire a été nécessaire pour l’immerger. Selon le commissaire Boilot, la décision de faire couler le bateau a été prise par le préfet de Martinique Ange Mancini dans la mesure où il constituait un "danger" et compte tenu de la saison cyclonique aux Antilles. "Plutôt que de prendre le risque de le voir s’échouer comme cela avait été le cas lors du cyclone Dean (août 2007) ou tout simplement coulé dans le port de Fort-de-France, on a préféré aller le couler au loin pour que cela ne soit pas un danger pour les installations portuaires ni pour l’environnement dans la baie de Fort-de-France", a-t-il expliqué. Avant d’être coulé, le cargo avait été dépollué. Une dépollution qui a été "attestée par la délivrance d’un passeport vert", a précisé le responsable de l’action de l’Etat en mer.

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C'est sur ce genre d'objectif que les chiens de détection stups sont utiles...

A rapprocher d'un fil de discussion de Secret Défense sur la prise en compte de petit chiens par les unités de commandos marine.

Quoique que, tout le monde a sauté sur les Commando Marine. Mais, il me semble que l'info disait que c'est le GFM Toulon qui conduit l'expérimentation....

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MEA MAXIMA CULPA AMIGO

Fumaco... Commandos Marines.... ....

Pas sur la tête stp

:lol: :lol: Pas grave, c'est les mêmes... Mais il faut être précis  =D

NB Je preferais quand les Commandos s'appellaient GROUFUMACO (Groupement Fusiliers Marins Commando)

C'était plus exact du point de vue historique puisque les Kieffer c'était 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commando et que les Commandos modernes sont issus de la compagnie Merlet d'Indochine (aujourd'hui Jaubert) Compagnie Merlet qu'était officiellement la 1ere Compagnie de Réconnaissance des Fusiliers Marins... D'ailleurs ,à l'époque du Grouco d'Algérie celui-ci comprennait une compagnie de Fusiliers en plus des Coys. 

Mais bon, tout ça a changé au  passage de la forme bataillon (Groufumaco) à l'organisation actuelle plus tournée vers les FS ...

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  • 3 months later...

Pour illustrer que la Marine n'a pas l'exclusivité des patrouilles "long range" alors que les 2.6.2 partent à la retraîte bientôt.

Collaboration avec les marins

Le mardi 11 novembre 2008 en fin de matinée, un avion F 406 de la BSAM de Mérignac a observé à 150 nautiques (270 km) à l'Ouest de Bordeaux, dans la zone économique exclusive, une pollution par hydrocarbures de 18 kilomètres de long sur 50 mètres de large dans la sillage du navire libérien VALENTIA (port d'attache Monrovia).

Ce navire roulier de 89 mètres était en provenance de Santander (Espagne) et faisait route vers le port du Havre avec une cargaison de véhicules automobiles.

La pollution a cessé à partir du moment où le navire a été survolé par l'avion de la douane.

Après examen, par l'expert pollution, des photos et des éléments recueillis par l'équipage et après audition du commandant de bord de l'aéronef par la gendarmerie maritime à Brest, le procureur de la République à Brest, territorialement compétent, a ordonné le déroutement du navire.

L'ordre de déroutement du navire vers Brest a été signifié au commandant du navire le 11 novembre 2009 à 17 H 30 par l'équipage du F 406 de la BSAM de Mérignac.

Le navire a ensuite été accompagné par le bâtiment-école de la Marine nationale LION qui était en opération en mer d'Iroise au titre de l'alerte VIGIMER.

Le procureur de la République à Brest a demandé la mise en place d'une consignation de 300.000 €.

C'est le troisième navire libérien observé en infraction par la douane sur la façade Atlantique depuis le début de cette année.

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Sauvegarde maritime

La sauvegarde maritime participe à la fonction protection et aux missions d’action de l’Etat en mer.

Elle s’appuie sur un ensemble de moyens armés par la marine et par la gendarmerie maritime.

Huit bâtiments de soutien et d’assistance hauturiers (BSAH) remplaceront à partir de 2014 la flotte actuelle, leur caractère dual permettant d’envisager un contrat de partenariat avec l’Etat.

SPATIONAV, qui fédère et redistribue les informations des senseurs, est en cours de déploiement sur l’ensemble des façades maritimes métropolitaines ainsi qu’aux Antilles-Guyane. La version suivante, mise en service à partir de 2011, intégrera de nouveaux capteurs et sera interconnectable avec les systèmes équivalents européens.

La plupart des moyens de surveillance et d’intervention maritime devant être retirés du service dans les années à venir, la capacité sera maintenue grâce à la conversion en patrouilleurs hauturiers des 9 avisos A69 à partir de 2009 et à la conversion en avions de surveillance maritime de 4 Atlantique 2 et des 4 Falcon 50 retirés de la flotte à usage gouvernemental.

A plus longue échéance, de nouveaux patrouilleurs hauturiers seront livrés à partir de 2017. Le renouvellement des capacités aériennes de surveillance et d’intervention maritime est prévu à partir de 2018.

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  • 2 months later...

MER ET MARINE

La Douane et la Marine nationale ont intercepté, vendredi dernier, pas moins de 3 tonnes de drogue sur une embarcation rapide qui tentait de traverser la Méditerranée. Selon la Préfecture maritime de la Méditerranée, il s'agit d'une « saisie record ». Les quatre narcotrafiquants ainsi que la cargaison transportée sur le « go-fast » ont été remis au service de la police judiciaire de Marseille. Ces opérations s'inscrivent dans le cadre de la lutte contre les trafics illicites conduite depuis 2006 par le Préfet maritime de la Méditerranée. Elles se poursuivent en coordination étroite avec la douane, les services de la police nationale, notamment le Centre de coordination de lutte antidrogue de la Méditerranée (CeCLAD-M) ouvert à Toulon le 1er décembre 2008, le SRPJ de Marseille et l'office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS) ainsi que les procureurs de Toulon et de Marseille, siège de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS).

L'an dernier, les services français ont intercepté 8 « go-fast » et 36 trafiquants, qui ont été remis aux autorités judiciaires. Selon la « Premar », 7 tonnes de cannabis ont ainsi été saisies et on peut estimer à 14 tonnes la quantité de drogue que les trafiquants ont jetée à la mer.

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Les Douanes Françaises étudient la possibilité de rénover leur parc d'avions de patrouille maritime et de liaison.

A priori:

les "réflexions" sur le renouvellement de la flotte aérienne aéronavale sont + que bien avancées... Les Cessna 406 ne resteront + qu'à 2 ex. à la Division Aéro Terrestre. Les autres seront revendus . En lieu et place, achat de Beech (Mod.350 selon les sources internes) ; avions + gros, beaucoup + d'autonomie (6 à 8 heures), pressurisés ... Bref, mieux en tous points. Le nbre va forcémment baisser : 6 + 2 = 8 (fort, hein ?) avions a priori, répartis en Métropole sur Lann-Bihoué (ou Mérignac) et Hyères. Outre mer : Martinique. 2 zincs/base.

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  • 4 weeks later...

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-400-victimes-en-mer-c-est-trop-pour-le-sauveteur-P-_8619-842431_actu.Htm

400 victimes en mer, c'est trop, pour le sauveteur

La Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) organise un grand forum, à Paris, le 3 mars, sur la sécurité.

Son président veut rendre la navigation encore plus sûre.

Amiral Yves Lagane,

président de la SNSM.

La SNSM organise un forum « Mer en sécurité » à la Villette, mardi. Peut-on encore réduire le nombre des victimes en mer ?

400 décès par an, c'est encore trop. Sur une évaluation de 2006, nous observons, par exemple, que les sports nautiques (82 décès) ou le motonautisme (60) font autant de victimes que la pêche (60). La voile (8) est, par contre, beaucoup plus sûre. Le développement d'activités (tourisme, énergies nouvelles, etc) qui devront maintenant cohabiter toute l'année, à moyenne distance du littoral, interpelle également en matière d'organisation de la sécurité.

À La Villette, nous invitons donc des institutionnels, des professionnels, des sauveteurs et des skippers de la course au large qui peuvent témoigner, pour réfléchir à la façon d'améliorer les choses. Il y aura même des industriels fabricants d'équipements.

Les nouvelles balises individuelles par exemple ?

À Audierne et à Etaples, nous participons à des essais d'équipements des pêcheurs en balises donnant l'alerte en cas de chute à la mer. Les dispositifs actuels ne conviennent pas parce que trop fragiles ou encombrants. Et pour en abaisser le coût par des grandes séries, il faudrait en adapter l'usage à un public plus nombreux, comme les plaisanciers. Nous nous interrogeons aussi sur la protection contre les traumatismes, les hypothermies.

Et les moyens de la SNSM ?

La flotte de nos 240 stations a été considérablement modernisée. En métropole, cela va bien grâce au plan de financement (État, régions, départements). Nous allons maintenant nous pencher sur la conception d'un nouveau type de canot tous types de temps. Il ne devra pas seulement être un excellent bateau, mais aussi une véritable ambulance marine.

Nos efforts concerneront aussi nos 7 000 bénévoles, dont 4 000 membres d'équipage. Les conditions modernes d'intervention nécessitent des compétences quasi-professionnelles. J'imagine un système de formation permanente dans différents domaines (secourisme, navigation, etc). Il faut sécuriser le secours aux victimes, comme les conditions d'intervention de nos hommes. Enfin, un seul pépin, à une époque où les sinistres sont très vite judiciarisés, pourrait être désastreux pour notre recrutement. Les sauveteurs doivent prendre la mer l'esprit tranquille.

Les pêcheurs ne vous manquent pas trop ?

Ils représentent toujours 15 à 20 % de nos effectifs. Et contrairement à ce qu'on avait craint un temps, dans des stations isolées comme Sein ou Molène, on ne manque pas d'équipages. Nous recrutons aussi beaucoup de gens motivés parmi les professionnels de la plaisance. Mais nous avons aussi parmi nos patrons de canot... un agriculteur normand.

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  • 2 weeks later...

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Sécurité en mer. Les marins sur le pont

400 décès par an, c'est encore trop, a déploré le président de la SNSM, la semaine dernière, lors du premier forum « Mer en sécurité ». D'où l'idée de repartir au combat sur la sécurité. Pêche, plaisance, commerce : tous les gens de mer sont sur le pont.

« 400 décès en mer par an, c'est inacceptable ! », s'insurge l'amiral Lagane, le patron de la SNSM. Pas question pour lui et ses troupes - près de 7.000 bénévoles dont 2.000 en Bretagne -, d'accepter cette fatalité. La SNSM a réussi son pari : organiser, à Paris, le premier Forum « Mer en sécurité ». Plaisance, pêche, commerce, la semaine dernière, ils étaient plus de 400 au rendez-vous.

Encore des têtes de lard
Dans le monde de la pêche, les professionnels peuvent mieux faire. « C'est vrai qu'il y a chez nous des têtes de lard ! », avoue Pierre-Georges Dachicourt, président du Comité national des pêches. Ils sont encore nombreux à faire de la résistance, à ne pas vouloir porter le vêtement à flottaison intégrée (VFI), qui pourrait les sauver, « parce que ça gêne... ». Exit l'image du navigateur en ciré jaune à la Tabarly. « Dans le monde de la course au large, un grand bond a été fait, souligne Vincent Riou, héros du Vendée Globe, dans le domaine des vêtements et autres combinaisons de protection contre le froid ou l'humidité ». Mais, déplore-t-il, « tout le monde n'en profite pas ». Le Breton, qui fréquente les quais de Loctudy, y croise ses camarades pêcheurs qui ont, dit-il, « du matériel bien archaïque ». « Il y a un marché, estime Vincent Riou, les équipementiers devraient pouvoir réaliser un vêtement avec lequel ils puissent travailler, et qui ne soit pas trop cher ».

Un outil de détresse commun aux marins
Même topo pour la balise individuelle de détresse, que le skipper juge peu efficace. « Il faut, avec les entreprises, trouver un nouvel outil qui soit commun aux marins de la pêche, de la plaisance, du commerce ». C'est tout le combat mené par Georges Tourret, le patron de l'Institut maritime de prévention (IMP), basé à Lorient.

« Portez du orange fluo »

« Si on ne flotte pas, on ne peut survivre dans l'eau », a souligné, quant à lui, Marc Gander, ex-commandant de la flottille 32 F de Lanvéoc-Poulmic. Il n'a jamais oublié son premier sauvetage. « Un coquillier qui sombrait dans la rade. 2 minutes 30 plus tard, le Super Frelon était sur zone. Trop tard. Le pêcheur avait coulé à pic. Les bottes, le ciré et les trois pulls de laine tricotés par la grand-mère : tout cela est à proscrire. Il faut donc porter systématiquement quelque chose qui permette de flotter ». Mais il faut aussi, en cas de pépin, pouvoir être repéré par les sauveteurs. Avec une veste de quart bleu marine, c'est difficile : « Portez de l'orange, portez de l'orange fluo », recommande l'expert en sauvetage.

Pratique Site internet de la SNSM : www.snsm.org

Catherine Magueur (photo Eugène Le Droff)


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http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=110275

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Et les sémaphores...

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http://www.premar-mediterranee.gouv.fr/actualite/dossiers/les-yeux-du-littoral.html

Quand on a été sensibilisé à  l'activité d'un sémaphore, on a du mal à comprendre comment il a été question  d'abandonner ces tours de guet de nos littoraux, il y a quelques années. On  comprend aussi pourquoi, aujourd'hui, on renforce en personnel militaire et en  matériels de pointe, la chaîne sémaphorique, qui compte pour la France 59  sémaphores. Son concept est unique dans le monde. Avec l'aide de la France, son  principe de fonctionnement est de plus en plus reproduit, notamment par les  pays riverains de la Méditerranée (Maroc, Tunisie, Liban,…).



Comme de véritables yeux sur la  mer, la totalité des 19 sémaphores de la Méditerranée assurera une veille  permanente sur le littoral de la grande bleue d'ici à 2011.

Certains évènements majeurs  survenus au début des années 2000, tels que le naufrage de l'Erika ou  l'échouage de l'EAST SEA, ont démontré le rôle majeur de ces tours dans la  protection et la sauvegarde des approches maritimes. Leur importance est certes  reconnue à chaque nouvelle catastrophe ; mais n'oublions pas de mentionner  toutes celles qui sont évitées grâce à leur simple présence et action de  fonctionnement. En plus d'être des moyens d'information et d'action participant  à la sécurité maritime du littoral, les sémaphores représentent donc une force  de dissuasion pour d'éventuels navires ou usagers mal intentionnés.

Leur rôle n'est ainsi plus à  démontrer. De la surveillance générale  du littoral à des actions plus ciblées telles que la sauvegarde de la vie  humaine, le respect des règles de circulation  (la police du passage) dans les eaux territoriales, les  missions des sémaphores sont aussi variées que la lutte contre la pollution  accidentelle ou les trafics illicites en mer, l'information nautique et  météorologique et encore le concours aux autres administrations dans le cadre  des missions de l'AEM ou de la participation à la posture permanente de  sauvegarde maritime (PPSM) qu'ils mènent en collaboration avec les éléments  navals et aéronavals,…

Des outils informatiques centralisés  permettant la mise en réseau des informations collectées (SPATIONAV) complètent  désormais un régime de veille permanente assuré par des militaires.

Et ces guetteurs ont du mérite.  Ils se relaient tout au long de l'année, 24h/24 par tour de quart, pour repérer  les détails omis par l'électronique. Grâce aux jumelles, ils sont capables de  surveiller une bande littorale large de 3 km qui concentre 80% du trafic en  mer.

En tant qu'œil intelligent, la  présence de personnel humain est également indispensable pour traduire les  informations recueillies au prix d'une fouille visuelle optique, radar et d'une  écoute permanente des émissions radio VHF marine, VHF ASN,… Il les analyse et  les met en corrélation avec ses connaissances pointues du secteur, de la région  et des acteurs. Et surtout, il peut alerter les autorités et organismes  concernés, comme cela aurait été le cas lors de l'échouage de l'EAST SEA. 090518AAB
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http://www.3news.co.nz/News/InternationalNews/France-back-in-good-books-following-dramatic-warship-rescue/tabid/417/articleID/111028/cat/782/Default.aspx

The French military has had a chequered history in New Zealand, but they have more than redeemed themselves in the eye of one Auckland family.

The Bradfield family's yacht was crippled by a storm, as they sailed from Tonga to Auckland. When they sent out a mayday, it was a French patrol boat that came to save them.

Charles Bradfield, his partner Joy and their six children had spent a helpless night in two metre swells after their mast snapped and ropes got tangled in the rudder.

This morning, as the French Navy brought them home, it was hard to imagine the ocean so hostile.

Unless you were 13-year-old Tom, who was on watch when the mast snapped.

“I kind of thought we were going to sink instantly. I ran up, opened up the hatch and yelled ‘everybody up the mast had snapped’. Every body looked at me as if I was mad,” says Tom.

Just after that it became clear they had to abandon the vessel. But thankfully French Navy ship ‘La Glorieuse’ was only 80 nautical miles away. Within hours the captain spotted the ship from the bridge.

It was too dangerous to take the Bradfields on board that night, so the French circled the Kiwis until dawn. But the rescue still posed one problem.

“We couldn't leave the vessel. This is the other emotional thing. We couldn't leave the vessel just lying afloat, and a decision was made to scupper the vessel, that's the skipper's job - my job,” says Charles Bradfield.

At a time when the French were looking distinctly un- glorieuse, this has done more than any apology could for Kiwi-French relations.

The Bradfield family's yacht was crippled by a storm, as they sailed from Tonga to Auckland. When they sent out a mayday, it was a French patrol boat that came to save them.

Charles Bradfield, his partner Joy and their six children had spent a helpless night in two metre swells after their mast snapped and ropes got tangled in the rudder.

This morning, as the French Navy brought them home, it was hard to imagine the ocean so hostile.

Unless you were 13-year-old Tom, who was on watch when the mast snapped.

“I kind of thought we were going to sink instantly. I ran up, opened up the hatch and yelled ‘everybody up the mast had snapped’. Every body looked at me as if I was mad,” says Tom.

Just after that it became clear they had to abandon the vessel. But thankfully French Navy ship ‘La Glorieuse’ was only 80 nautical miles away. Within hours the captain spotted the ship from the bridge.

It was too dangerous to take the Bradfields on board that night, so the French circled the Kiwis until dawn. But the rescue still posed one problem.

“We couldn't leave the vessel. This is the other emotional thing. We couldn't leave the vessel just lying afloat, and a decision was made to scupper the vessel, that's the skipper's job - my job,” says Charles Bradfield.

At a time when the French were looking distinctly un- glorieuse, this has done more than any apology could for Kiwi-French relations.

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