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Bon on fait une remise a plat :

A partir de ses infos quels sont les scenarios que l'on pourrait predire :

1) La situation se calme les russes restent la ou ils sont et on negocie avec ce qu'il convient de dire et faire.

2) LA situation reste tendue , les russes continuent a pilonner mais restent la ou ils sont jusqu'a qu'une solution bonne a leurs yeux apparaisse.

3) La situation vire au cauchemard les russes rentrent en gerorgie pour une invassion pure et simple. Avec soit mesure internationales contre les russes ou intervention armée de l'otan...

bref , c'est pas demain qu'on ira visiter Moscou..

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Bon on fait une remise a plat :

A partir de ses infos quels sont les scenarios que l'on pourrait predire :

1) La situation se calme les russes restent la ou ils sont et on negocie avec ce qu'il convient de dire et faire.

2) LA situation reste tendue , les russes continuent a pilonner mais restent dans la ou ils sont jusqu'a qu'une solution bonne a leurs yeux apparaisse.

3) La situation vire au cauchemard les russes rentrent en gerorgie pour une invassion pure et simple. Avec soit mesure internationales contre les russes ou intervention armée de l'otan...

bref , c'est pas demain qu'on ira visiter Moscou..

Il y a encore une 4e possibilité :

La situation se calme, l'ONU envoie une mission internationale avec création d'une zone tampon (dont il est déjà certain que les russes n'en feront pas partie). Quand à eux, les russes retournent à leurs position.

Bref scénario libanais

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Pour la partie 1 de ta phrase oui, les russes ont refuser....

Ensuite, c'est confirmer :

Les forces russes occupent la ville géorgienne de Gori

>La Russie confirme qu'elle est entrée en territoire géorgien.

>Le gouvernement géorgien annonce que ses forces se replient sur Tbilissi pour défendre la capitale.

>Le président géorgien accuse la Russie de vouloir occuper tout le territoire géorgien.

>L'aviation géorgienne bombarderait Tskhinvali, la capitale de l'Ossétie du Sud, selon la Russie.

Pour la première fois depuis le début du conflit russo-géorgien en cours depuis quatre jours, des forces armées russes sont entrées en territoire géorgien, lundi 11 août. Elles occupaient lundi soir Gori, la plus grande ville géorgienne près de l'Ossétie du Sud, a annoncé à l'AFP le secrétaire du Conseil de sécurité géorgien, Alexandre Lomaïa. Le gouvernement géorgien a ajouté que ses forces se repliaient sur Tbilissi pour défendre la capitale.

La Russie n'a pas confirmé cette information.

Le ministère russe de la Défense, cité par les agences russes, a en revanche confirmé que les troupes russes se trouvaient près de la ville de Senaki. Cette opération a pour but d'empêcher de nouvelles attaques géorgiennes contre l'Ossétie du Sud, a-t-il ajouté. Une information qu'un porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur a confirmée.

La Russie veut occuper tout le territoire géorgien, a accusé le président géorgien Mikheïl Saakashvili dans une discours à la nation diffusé à la télévision.

La Russie a par ailleurs annoncé qu'elle écartait les propositions de paix soutenues par L'UE et portées par le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, qui est en mission de médiation en Géorgie. Le président géorgien Mikheïl Saakashvili a pour sa part signé plus tôt lundi le document contenant les propositions européennes.

Bernard Kouchner a annoncé que les Français et les Européens bloqués en Géorgie allaient être rapatriés alors que le CICR parle de situation humanitaire "très grave".

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La désinformation à ce niveau d'organisation commence à ressembler à de la guerre psychologique. Peut importe ce qu'il se passe sur le terrain avant la fin des hostilités, faut faire passer le message que les russes sont complètement tarés et agressifs. Tester aussi la réactivité du public "occidental" en vue d'une future confrontation directe ou indirecte avec la Russie.

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Autre info :

L'armée russe ouvre un second front en Géorgie

AP | 11.08.2008 | 19:15

En pleine effervescence diplomatique pour convaincre Moscou d'accepter un cessez-le-feu dans le conflit en Ossétie du Sud, l'armée russe a ouvert lundi un second front en Géorgie par l'Abkhazie, s'emparant notamment de la base militaire de Senaki, selon les autorités géorgiennes, qui ont aussi annoncé la chute de Gori, bombardée ce week-end.

La Géorgie accuse la Russie de vouloir affaiblir le gouvernement pro-occidental de l'ex-république soviétique, soutenue par les Etats-Unis et qui souhaite intégrer l'Alliance atlantique. "Tout cela porte sur l'indépendance et de la démocratie de la Géorgie", avait accusé plus tôt Mikhaïl Saakachvili lors d'une conférence de presse.

Trois jours après le lancement de l'offensive géorgienne pour reprendre le contrôle de la région séparatiste d'Ossétie du Sud, le président géorgien a signé lundi matin la promesse de cessez-le-feu proposée par le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner et son homologue finlandais Alexander Stubb. Selon le président géorgien, les deux émissaires européens comptaient se rendre à Moscou pour tenter de convaincre les autorités russes d'accepter l'accord.

Nicolas Sarkozy, qui préside l'Union européenne, devrait également faire la navette entre Tbilissi et Moscou, d'après l'ambassadeur de Géorgie en France, Mamouka Koudava, qui affirmait lundi que le chef d'Etat français se rendrait mardi dans la capitale géorgienne avant de gagner la Russie. L'Elysée avait seulement fait savoir qu'il se rendrait à Moscou "dans les prochains jours".

Selon des responsables à Washington, les pays du G7, le groupe des pays les plus industralisés, ont exhorté la Russie à accepter un cessez-le-feu immédiat avec la Géorgie et une médiation internationale.

Mais la crise tourne plutôt à la confrontation entre Moscou et Washington. Interrogé sur NBC Sports depuis Pékin, le président américain George W. Bush a ainsi dénoncé la "réponse disproportionnée" de l'armée russe à l'offensive géorgienne en Ossétie du Sud et condamné les bombardements russes en territoire géorgien en dehors de l'Ossétie du Sud.

Le Premier ministre russe et ancien président Vladimir Poutine a lui vivement reproché aux Etats-Unis d'avoir prêté leurs avions à l'évacuation des soldats géorgiens en Irak, au risque d'aggraver la situation en Ossétie du Sud. Et il a fustigé le "cynisme" des Occidentaux, accusés de soutenir des dirigeants responsables d'atrocités dans la province séparatiste.

Ce bras de fer aux accents de Guerre froide avait dominé la quatrième réunion en quatre jours du Conseil de sécurité des Nations unies sur l'Ossétie du Sud, marquée par de violents échanges entre les ambassadeurs américain et russe et toujours pas d'accord.

Si le président russe Dimitri Medvedev a affirmé lundi que la Russie avait achevé "une grande partie des efforts pour contraindre les autorités géorgiennes à la paix en Ossétie du Sud", l'aviation russe a encore bombardé le territoire géorgien lundi. D'après les autorités géorgiennes, ses appareils ont frappé lundi un radar à la périphérie de la capitale Tbilissi, pilonné un terrain d'aviation et visé également le port de Poti, sur la mer Noire, sans faire de victimes.

En fin de journée, le chef du Conseil de sécurité géorgien Alexandre Lomaïa a affirmé que les troupes russse s'étaient emparées de la ville stratégique de Gori, située sur le principal axe est-ouest, entre l'Ossétie du Sud et la capitale géorgienne Tbilissi.

Bernard Kouchner s'était rendu quelques heures plus tôt dans cette ville, où un raid russe avait fait plus de 20 morts samedi, pour mesurer l'étendue des destructions, avant d'être rejoint par le président géorgien. Alors qu'il parlait à la presse après le départ du ministre français, ce dernier a été projeté au sol par ses gardes du corps qui redoutaient une attaque.

Alors que le gros des troupes géorgiennes est positionné autour de l'Ossétie du Sud, après avoir été repoussées dimanche de la capitale Tskhinvali sous le feu russe, l'armée russe a également pénétré lundi en territoire géorgien depuis l'autre province séparatiste d'Abkhazie.

Selon Alexandre Lomaïa, des véhicules blindés de transport de troupes russes ont pénétré dans la base militaire de Senaki, une ville de l'ouest de la Géorgie, à l'intérieur des terres à une trentaine de kilomètres du port de Poti, sur la Mer Noire.

Les forces russes ont aussi pénétré dans la ville de Zougdidi, toute proche de l'Abkhazie, s'emparant de plusieurs commissariats, selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur Chota Outiachvili. Les forces abkhazes ont pris le contrôle du village voisin de Kourga, a-t-il ajouté.

Ses actions ont précédé une mise en garde de la Russie, qui avait prévenu les forces géorgiennes dans la zone-tampon à l'ouest de l'Abkhazie qu'elles s'exposaient à une action militaire russe si elles ne déposaient pas les armes. Mais Senaki n'en est pas moins à 50km environ à l'est du fleuve Ingouri, qui sépare l'Abkhazie du reste de la Géorgie, et bien au-delà de la zone-tampon.

A Moscou, un porte-parole du gouvernement qui a requis l'anonymat a confirmé que l'armée russe était entrée dans Senaki. Quelques heures plus tôt, le chef d'état-major adjoint de l'armée russe, le général Anatoli Nogovitsine avait pourtant assuré que Moscou ne préparait pas d'offensive terrestre en Géorgie au-delà du territoire des régions séparatistes. AP

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Pour la partie 1 de ta phrase oui, les russes ont refuser....

Ensuite, c'est confirmer :

la tournure de l'article est trompeuse. Pour le moment seul un officiel géorgien parle de prise de Gori. Je pense qu'il faut attendre la confirmation des nombreux journalistes occidentaux qui se trouvaient à Gori...

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En effet, Reuters vient de contredire les dires des géorgiens

TBILISSI (Reuters) - Un haut responsable la sécurité géorgienne annonce que les forces russes s'étaient emparées de la ville géorgienne de Gori, située à 60 km de la capitale, Tbilissi.

Mais un journaliste de Reuters présent à Gori a déclaré n'avoir vu aucun soldat russe dans les rues. "Nous sommes en train de traverser en voiture Gori et je n'aperçois aucun signe de soldats ou de véhicules militaires. Tout est complètement désert".

"Ils (Les Russes) ont pris la ville de Gori", a pourtant assuré à Reuters le secrétaire du Conseil de sécurité géorgien, Kakha Lomaia.

Auparavant, ce responsable avait déclaré être en possession d'"informations dignes de foi selon lesquelles les Russes ont décidé de marcher sur Gori".

Autre information, les géorgiens ont demandés une nouvelle réunion du Conseil de Sécurité

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Bon on fait une remise a plat :

A partir de ses infos quels sont les scenarios que l'on pourrait predire :

1) La situation se calme les russes restent la ou ils sont et on negocie avec ce qu'il convient de dire et faire.

2) LA situation reste tendue , les russes continuent a pilonner mais restent la ou ils sont jusqu'a qu'une solution bonne a leurs yeux apparaisse.

3) La situation vire au cauchemard les russes rentrent en gerorgie pour une invassion pure et simple. Avec soit mesure internationales contre les russes ou intervention armée de l'otan...

bref , c'est pas demain qu'on ira visiter Moscou..

4) La Russie se rend.

5) Il se passe en Ukraine la même chose qu'en Géorgie (aïe, ...)

6) La Turquie envahie la Géorgie avant la Russie.

7) Le président géorgien démissionne.

8) La France gagne une médaille d'or aux JO.

9) Sarkozy en visite en Géorgie est porté au pouvoir par le peuple et devient président de Géorgie, un pays à sa taille ...  :lol:

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le NY Times a pour le moment produit des articles plus complets et equilibrés que ses homologues américains (ne parlons pas de la presse francaise tres anti-russe)

http://www.nytimes.com/2008/08/12/world/europe/12georgia.html?em

intéressant juste pour la photo de Saakachvili a plat ventre à Gori  :O

La presse française (et la politique française) ont toujours considéré que le faible était dans son droit et le fort dans une utilisation non légitime de la force.

Je ne dis pas que les russes sont des anges, mais les choses sont plus complexes et surtout beaucoup plus nuancées. Le pire est l'influence de la presse sur le français qui va croire que la Russie est en train d'envahir la Georgie pour reformer l'URSS.

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SIPRI says to Sweden's TV4 that they believe this is a Russian SS-21 (OTR-21) missile believed to have been used to deploy cluster munitions by the way the missile now looks. Likely shot from abkhazia into the port city P'ot'i.

Image IPB

ça dit quelque chose aux amateurs de matos russe?

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D'après ce que j'ai entendu dans un reportage sur cet incident, il était dit que c'était un hélicoptère inconnu.

Sinon, le comportement du gouvernement géorgien est réellement ridicule. C'est fini pour eux, il faudrait qu'ils arrêtent de raconter des bobards en espérant une intervention internationale.

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Il est plausible que Gori soit tombé se soir car d'apres ce qu'on a pu voir dans un reportage oiu Kouchner et Sakhashvili se planquent au sol car un helico russe leur a frolé les narines ...

Peut être une reco avancée...

Peut etre, la derniere info parle de 2 journalistes Reuters qui n'ont pas vu de russes à Gori. http://www.reuters.com/article/topNews/idUSLB16164520080811

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la tournure de l'article est trompeuse. Pour le moment seul un officiel géorgien parle de prise de Gori. Je pense qu'il faut attendre la confirmation des nombreux journalistes occidentaux qui se trouvaient à Gori...

Un des journaliste de TF1 sur place, à Gori, dit qu'ils ont dû quitter la ville et partir à Tbilissi car les Russes étaient à 10Km de la ville. L'info lui avait était donné par l'armée Georgienne

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Les sources concernant la prise sont variés maintenant , on peu parler de desinformation mais quand la pluralité l'emporte je commence a douter.

Russians seize key city, open second Georgia front

AP

Russia Forces Move to Within 35 Miles of Tbilisi

Foxnews

Russia has denied claims that its forces have occupied the Georgian city of Gori but Georgian soldiers have told Sky News they are in full retreat against a Russian advance.

Skynews

Ossétie du Sud: des troupes russes entrent en Géorgie

AFP

TBILISI (Reuters) - Georgia appealed for international intervention on Monday and pulled its battered forces back to defend the capital,

 

Georgia claims Russians have cut country in half

AP

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En effet...

L'armée russe a coupé la Géorgie en deux, selon Mikhail Saakashvili

AP | 11.08.2008 | 20:04

Le président russe Mikhail Saakashvili a affirmé lundi soir que les troupes russes avaient dans les faits coupé la Géorgie en deux en s'emparant de la ville stratégique de Gori.

Mikhail Saakashvili s'exprimait lors d'une réunion du conseil national de sécurité, quelques heures après l'annonce de la prise de Gori, située sur le principal axe est-ouest, entre l'Ossétie du Sud et la capitale géorgienne Tbilissi.

L'agence de presse russe Interfax a de son côté cité un responsable du ministère de la Défense démentant la prise de Gori. Mais Givi Shugarov, diplomate à l'ambassade géorgienne à Moscou a, lui, affirmé que les troupes russes semblaient se diriger vers Tbilissi avec pour objectif "la liquidation complète" du gouvernement géorgien. AP

Géorgie: les forces russes s'emparent de Zougdidi, près de l'Abkhazie

AP | 11.08.2008 | 20:18

Des soldats russes sont entrés dans la ville géorgienne de Zougdidi, située près de l'Abkhazie, et se sont emparés de plusieurs commissariats de police, a constaté sur place un photographe de l'Associated Press.

Ce photographe a vu cinq à six soldats russes postés devant un bâtiment du ministère géorgien de l'Intérieur, alors que plusieurs chars et véhicules blindés avançaient dans la ville.

Les alliés d'Abkhazie avaient plus tôt pris le contrôle du village voisin de Kourga, et les autorités géorgiennes ont affirmé que les forces russes avaient pris le contrôle d'une base militaire près de Senaki, au sud-est de Zougdidi.

L'armée russe a ouvert lundi un second front dans l'ouest de la Géorgie, après celui engagé en Ossétie du Sud. AP

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Un des journaliste de TF1 sur place, à Gori, dit qu'ils ont dû quitter la ville et partir à Tbilissi car les Russes étaient à 10Km de la ville. L'info lui avait était donné par l'armée Georgienne

sachant que la distance entre Gori et la frontière ossète est de l'ordre de la dizaine ou vingtaine de kilometres ca ne veut pas dire grand chose.

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Les sources concernant la prise sont variés maintenant , on peu parler de desinformation mais quand la pluralité l'emporte je commence a douter.

m'enfin je ne vois pas comment les russes cacheraient au monde qu'ils entrent dans Gori, ils ont été les premiers a annoncer avoir capturé la base aerienne de Senaki pres de l'Abkhazie

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