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Nos soldats en Afghanistan


Philippe Top-Force

Messages recommandés

En esperant que les commentaires depasseront les traditionnels quolibets sur la taille des tartes des Chasseurs...avec l'eternel rappel du fait que les Alpins furent les premiers militaires au monde a porter le beret...

gibbs

apparemment ,les british font rire les GI's  :rolleyes:

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=0R3BtXQcYAE

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Avec le Walisien de 1,95 m bien tradi qui depasse de trois tetes les p'tits gars bien de cheu nous....

gibbs

vaut mieux pas le traité de kaitai (pour l'orthographe je le fais en phonetique ) le wallisien :lol: :lol:

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j'ai une question sûrement très bête mais si le système de direction d'une tourelle téléopéres est ce que un gars peut le reprendre manuellement ou pas? ? ? ?

Oui oui c'est débrayable et utilisable manuellement.

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Oui oui c'est débrayable et utilisable manuellement.

en sortant et en se placant sur le toit du blindé of course, donc avec une enorme paire de baloches au cul quand ça canarde de tout les coins, car c'est encore moins protégé que le tourelleau 12,7 classique ....

Je crois que Shuggart avait des photos d'entrainement "en manuel" sur des Arrows 300 montés sur les Dingo II belges.

Clairon

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http://www.leparisien.fr/international/l-adjudant-francais-miracule-est-reparti-en-afghanistan-09-05-2009-506273.php

L’adjudant français miraculé est reparti en Afghanistan

Sébastien, adjudant de 34 ans, a reçu une balle en pleine tête. C’était en novembre 2007, dans la province de Kapisa, en Afghanistan. Une embuscade avait surpris son convoi.Miraculé, et après une longue période de reconstruction, Sébastien a pourtant décidé de repartir là-bas.

Lorsque Sébastien parle, c’est sans fioritures, droit dans les yeux. Avec son accent du Sud, où il est né, il choisit ses mots, précis, soucieux de rendre au plus vrai les méandres de sa vie. Bien loin de cet adolescent « hyper-réactif et sanguin » qu’il se souvient avoir été. Cet adjudant de 34 ans s’est engagé il y a quatorze ans dans la légion étrangère.

Aujourd’hui, avec une équipe du 2e régiment étranger du génie basé à Apt (Vaucluse), il passe son deuxième séjour de six mois en Afghanistan, au sein des OMLT (Operational Mentoring and Liaison Team), où il participe à la formation d’un bataillon de l’armée afghane. Pourtant, il aurait pu ne jamais y retourner. Le 10 novembre 2007, dans la province de Kapisa, une embuscade a failli lui coûter la vie.

Par délicatesse envers ses camarades, par humilité aussi, lorsqu’on lui demande d’évoquer l’épisode, il préfère s’isoler un peu. « Nous formions un convoi avec des militaires américains et afghans, pour aller intercepter des responsables talibans. Lorsque nous sommes arrivés sur place, on a vu qu’ils nous attendaient. C’est parti dans tous les sens. » Sébastien détaille : la pluie d’acier, la mitraille… Deux militaires américains trouvent la mort. Quatre autres sont grièvement blessés, les corps mutilés. Sébastien et son équipe, dans trois véhicules différents, tiennent bon. « L’embuscade a duré une bonne partie de l’après-midi, la pénombre commençait d’ailleurs à tomber. Je voyais même la fin du dispositif ennemi. Mais, tandis que je tirais d’un côté, un insurgé a envoyé une rafale en direction de notre véhicule, depuis un angle mort. Une balle a traversé mon casque. » Sébastien se retrouve alors avec le côté droit du crâne « transformé en chou-fleur », mais encore conscient. « Je me suis dit qu’il fallait absolument que je reste calme, pour surtout éviter de perdre trop de sang. »

« Elles m’ont surnommé Million Dollars Wounded »

Les secours mettront quatre heures avant d’évacuer Sébastien. Lorsqu’il arrive enfin, à bord d’un hélicoptère Blackhawk, à l’hôpital de la base américaine de Bagram, les infirmières américaines le prennent en charge : « Elles étaient tellement contentes que, parmi les blessés, l’un survive et ne semble pas trop amoché, lance Sébastien. Elles m’ont surnommé Million Dollars Wounded, le Blessé qui valait un million de dollars ! » Dix jours plus tard, lui qui avait refusé que quiconque, à sa place, annonce à sa famille ce qui lui était arrivé, retrouve son Lubéron.

Commence une longue période, douloureuse, de reconstruction : « Il m’a fallu rester deux mois au repos le plus total, pour que l’oedème cérébral se résorbe, et trois autres pour recommencer à marcher droit. » Mais le chemin le plus dur, c’est mentalement que Sébastien a dû le parcourir. « J’avais perdu tous mes repères, quelque chose m’avait abandonné. Le sentiment d’invincibilité, la confiance en moi. » Tout seul, grâce à la lecture d’un ouvrage de psychologie, il se retrouve peu à peu. « On m’a demandé si je voulais à nouveau préparer un groupe et repartir en Afghanistan. J’ai tout de suite dit oui. Il fallait que j’y retourne, pour boucler la boucle. Dans ce processus de reconstruction, il me fallait leur dire qu’ils n’avaient pas gagné, qu’ils ne m’avaient pas vaincu. Je ne suis pas une victime. »

Basé en Uruzgan, cette fois, dans le centre du pays, Sébastien prépare chaque patrouille comme si c’était la première. « La veille au soir, je cogite, ça tourne dans ma tête, j’essaie de tout anticiper. » Malgré son amour pour son métier, l’an prochain, Sébastien ne reconduira pourtant pas son contrat avec la légion étrangère. Il nourrit de nouveaux projets. Reprendre ses études et réaliser l’un de ses rêves : ouvrir un gîte équestre à l’étranger, avec son petit frère.

Passer outre, aussi, quelques aigreurs. Si une association, les Gueules cassées, ne lui avait proposé de financer les trois prothèses dentaires dont il a eu besoin après avoir perdu des dents dans l’embuscade, il aurait dû emprunter de l’argent : « Les services de santé français m’ont dit qu’ils ne les prendraient pas en charge, qu’il s’agissait de chirurgie esthétique. » Il évoque le sujet sans se plaindre, mais on ressent une pointe de dépit. « Les Américains m’ont invité à des commémorations, ils m’ont intégré dans leur famille, je suis un de leurs frères d’armes, désormais. Je ne l’oublierai jamais. » Les Etats-Unis lui ont décerné l’équivalent de la médaille de la valeur militaire. La distinction française, il l’espère encore.

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encore heureux que l'on a pas trop de blessé ,vue comment on chipote pour des dents (pour manger s'est quand même pratique),et lui on lui sort que s'est d'ordre esthétique  >:( ,comme si il avait demandé de se faire tirer les rides comme le font de vieille peaux en mal de jeunesse plein de tunes .s'est vraiment pitoyable  >:(. enfin jolie pied de nez son retour en afghanistan sans renouvellement de contrat à l'issus ,même si dans se cadre sa lui permet de fermer la boucle pour lui même .

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et c'est les américains qui lui donne une médaille c'est a pleurer...  ne suis pas du tout contre cela je suis même content

on est tellement radin qu'on ne donne même plus une rondelle de métal et une poignée de mains a un type qui a failli mourir " pour la France " O0

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encore heureux que l'on a pas trop de blessé ,vue comment on chipote pour des dents (pour manger s'est quand même pratique),et lui on lui sort que s'est d'ordre esthétique  >:( ,comme si il avait demandé de se faire tirer les rides comme le font de vieille peaux en mal de jeunesse plein de tunes .s'est vraiment pitoyable  >:(. enfin jolie pied de nez son retour en afghanistan sans renouvellement de contrat à l'issus ,même si dans se cadre sa lui permet de fermer la boucle pour lui même .

Tout dépend des dents perdus. C'est le même cas de figure il me semble pour tout à chacun. Seul certaine sont jugées essentiel(dent arrière :-\) et donnent droit à leur prise en charge par la SS. Les autres sont considérées comme de la chirurgie esthétique.

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Devant me faire posé une couronne à la fin du mois, je sais à quel point c'est mal remboursé par la Sécurité Sociale, mais franchement, les assurances et mutuelles militaire ne couvrent pas cela ? La mutuelle pro que m'a ''imposé'' mon patron coute relativement mais me rembourse convenablement  :rolleyes:.

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Tout dépend des dents perdus. C'est le même cas de figure il me semble pour tout à chacun. Seul certaine sont jugées essentiel(dent arrière :-\) et donnent droit à leur prise en charge par la SS. Les autres sont considérées comme de la chirurgie esthétique.

Ce qui est étonnant c'est qu'il n'y ai pas une assurance au niveau de l'armée pour ce genre de prise en charge ... m'enfin. A priori c'est pas a la sécu de payer les dommage de guerre :lol:

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Bravo à Sébastien pour son courage car il doit en falloir une bonne dose. pour ce qui est de ses dents, rien d'étonnant, après Dien Bien Phu l'intendance avait  retenues, sur soldes, les primes d'alimentation aux pauvres bougres squelettiques qui avaient survécus au régime alimentaire et au manque  de soins subit dans les camps viet.

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