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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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:P Il n'y a pas de dette Européenne  :P

Il y a des dettes des pays européens qui n'ont pas communalisés leurs économies / budgets.

Sinon, il n'y aurait aucun problème en Europe, d'ailleurs ...

La BCE à force de racheter des obligations grecques, italiennes..etc, on peut commencer à parler d'une dette européenne en train de se constituer, qui vient s'ajouter aux dettes individuelles des membres de la zone EUR.

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:P Il n'y a pas de dette Européenne  :P

Il y a des dettes des pays européens qui n'ont pas communalisés leurs économies / budgets.

Sinon, il n'y aurait aucun problème en Europe, d'ailleurs ...

Ben l'idée c'est mutualisé les dettes

Chacun sa part mais c'est l'europe qui se porte garant

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Ben l'idée c'est mutualisé les dettes

Chacun sa part mais c'est l'europe qui se porte garant

Oui, merci ...  :P

(c'est surtout l'Allemagne qui est garante et qui permettrait d'emprunter quasiment à son taux)

Mais ce n'est pour l'instant qu'une idée. Donc la dette européenne, hormis les quelques 100 milliards d'obligations rachetés par la BCE, il n'y a pas de dette Européenne (pour l'instant ...)

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Ben l'idée c'est mutualisé les dettes

Chacun sa part mais c'est l'europe qui se porte garant

Les pretteurs se manifestent vers chaque pays selon un taux différent au regard de la crédibilité de chaque pays. Pour le moments, l'Allemagne joue à part.

Pour la mutualisation, c'est non. Il ne faudrait jamais faire cela. Maintenant, on pourrait immaginer un courtier européen qui achette pour chque pays au nom de l'Europe. Un gouvernement se tourne cers ce courtier et lui demande un emprunt. Le courtier se porte sur le marché au nom de l'Europe et non du dit pays. Ce dernier est inconnu aux yeux des pretteurs.

Je ne sais pas si cela peut faire chuter les taux pour les pays en difficulté. Pourquoi pas?

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Les pretteurs se manifestent vers chaque pays selon un taux différent au regard de la crédibilité de chaque pays. Pour le moments, l'Allemagne joue à part.

Pour la mutualisation, c'est non. Il ne faudrait jamais faire cela. Maintenant, on pourrait immaginer un courtier européen qui achette pour chque pays au nom de l'Europe. Un gouvernement se tourne cers ce courtier et lui demande un emprunt. Le courtier se porte sur le marché au nom de l'Europe et non du dit pays. Ce dernier est inconnu aux yeux des pretteurs.

Je ne sais pas si cela peut faire chuter les taux pour les pays en difficulté. Pourquoi pas?

En fait la VRAI solution, c'est d'avoir la BCE émettrice de la monnaie et préteur directe aux pays.

Pour éviter une inflation galopante, dans ce cas de figure, la BCE devrait limiter les prêts au regards des PIB des pays.

Le taux d'emprunt serait alors de 0%. (pourquoi arroser ton courtier ou tout autre intermédiaire, ce n'est pas noël ...)

Cette solution est impensable pour les saxons de toute façon, mais elle solutionnerait les problèmes.

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Cette solution est impensable pour les saxons de toute façon, mais elle solutionnerait les problèmes.

Elle permettrait de parer au plus pressé ... mais ne résoudrait pas le fond. Le problème de gouvernance de l'europe, au moins sur le volet économique et budgétaire. Le probleme de faible convergence dans l'eurozone. Ni notre difficile adaptation a un économie de croissance modeste.

Ce que résoudrait un rachat massif de créance par la BCE, comme le font les banque centrale US et UK par exemple, c'est amener de la liquidité dans les budget des état, liquidité qui  permettrait d'entretenir la dette ET de développer des plan de relance. Tout ca de maniere a maintenir une croissance un minimum a flot.

Le petit souci ce sont les contrepartie. Si les états font comme a leur habitude, claquer l'argent qu'il n'ont pas dans des dépenses courantes c'est pas la peine, ça servira juste a acheter des plasma chinois, et des tshirt de malaisie. Et ce contrôle direct sur les compte et les budgets on ne l'a pas ... et le peu qu'on a tout le monde s'assoit dessus. Il suffit de voir l'impossibilité qu'il y a en Grece et en Espagne malgré la menace de défaut de paiement de faire passer la moindre mesure d'économie ou de renflouement des caisses de l'état. Seul l'Espagne a réussi tant bien que mal a limiter la casse en donnant le change au marché, mais pour combien de temps, vu l'état de leur système bancaire.

Donc en gros une BCE qui fait du quantitative easing pourquoi pas ... mais pas pour gaver les banquiers, ni pour permettre au gouvernement de bruler le pognon n'importe comment en mesure électoraliste a la mord moi le noeud.

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L'intérêt d'une banque centrale est de récupérer le pouvoir politique sur la monnaie, i.e. l’intérêt général, au lieu de laisser les marchés diriger. Marchés qui ne sont que la somme, contradictoire et à courte vue, d’intérêts particuliers (et encore en disant somme je suis gentil) Le vrai problème est la constitution (la possibilité) d’un vrai pouvoir politique capable de vision stratégique… Mais je crains que nous ayons des nains politiques aux commandes ; des nains englués dans une vision (idéologique) complètement déphasée…

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Ca s'appelle la planche à billets.

Nein Nein Nein! Gross katastrof!

Non pas du tout.

Si la BCE est organe préteur sans intérêt et à hauteur max de la richesse produite d'un état, il n'y a aucune variation de valeur de la monnaie.

Donc cela n'a absolument rien à voir avec faire tourner la planche à billet qui implique une perte de valeur de la monnaie.

Elle permettrait de parer au plus pressé ... mais ne résoudrait pas le fond. Le problème de gouvernance de l'europe, au moins sur le volet économique et budgétaire. Le probleme de faible convergence dans l'eurozone. Ni notre difficile adaptation a un économie de croissance modeste.

La politique monétaire n'est effectivement pas la politique économique.

Mais ce que j'ai exposé, permettrait à terme, de ne plus payer 50 milliards d'intérêts par an et incite à la rigueur budgétaire les états, vu qu'ils ne pourraient emprunt plus que la richesse qu'ils produiraient.

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Non pas du tout.

Si la BCE est organe préteur sans intérêt et à hauteur max de la richesse produite d'un état, il n'y a aucune variation de valeur de la monnaie.

Donc cela n'a absolument rien à voir avec faire tourner la planche à billet qui implique une perte de valeur de la monnaie.

Sauf que tu fais quoi du passif existant?

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Ce que résoudrait un rachat massif de créance par la BCE, comme le font les banque centrale US et UK par exemple, c'est amener de la liquidité dans les budget des état, liquidité qui  permettrait d'entretenir la dette ET de développer des plan de relance. Tout ca de maniere a maintenir une croissance un minimum a flot.

Donc en gros une BCE qui fait du quantitative easing pourquoi pas ... mais pas pour gaver les banquiers, ni pour permettre au gouvernement de bruler le pognon n'importe comment en mesure électoraliste a la mord moi le noeud.

Je pense qu'il ne parlait pas de rachat de créances existantes mais d'achat direct d'emprunts emis par les Etats. Ce n'est pas la même chose car là on court-circuite complétement les marchés financiers. Et je pense que c'est pour ça que cette solution est tellement dénigrée aujourd'hui.

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Sauf que tu fais quoi du passif existant?

Pour le passif existant et dans le cas que j'ai énoncé, il y a deux possibilités :

- la base prise en compte est celle du dernier exercice et l'inflation permet de résorber au fur et à mesure la dette. C'est une solution très rigoureuse car elle implique aucun déficit par rapport au précédent exercice et donc d'être excédentaire par rapport à l'encours ce que l'on arrive pas à faire. Donc au début c'est très dur car les 50 milliards de dette pèsent encore à plein.

- la BCE prend pour elle et réduit son poids par dévaluation, là c'est la planche à billet.

Je pense qu'il ne parlait pas de rachat de créances existantes mais d'achat direct d'emprunts emis par les Etats. Ce n'est pas la même chose car là on court-circuite complétement les marchés financiers. Et je pense que c'est pour ça que cette solution est tellement dénigrée aujourd'hui.

Cette solution n'est pas dénigrée vue qu'elle n'est pas considérée ou associée au retour au franc  :P

Mais effectivement la finance en serait pour ses frais, c'est pour cela que j'ai dit que ça ne se fera pas, les saxons l'empêcheront.

Note : ce n'est pas un retour à la situation pré-1973 vu que l'on limite la capacité de prêt à la richesse produite.

Cette limite vertueuse n'était pas présente par le passé et a conduit à des catastrophes : inflation galopante et dévaluations en séries.

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Cette solution n'est pas dénigrée vue qu'elle n'est pas considérée ou associée au retour au franc  :P

Mais effectivement la finance en serait pour ses frais, c'est pour cela que j'ai dit que ça ne se fera pas, les saxons l'empêcheront.

Note : ce n'est pas un retour à la situation pré-1973 vu que l'on limite la capacité de prêt à la richesse produite.

Cette limite vertueuse n'était pas présente par le passé et a conduit à des catastrophes : inflation galopante et dévaluations en séries.

On ne sait pas si cette solution est dénigrée ou pas parce que personne n'en parle. Sans doute à juste titre puisque la seule manière d'appliquer ton idée est de sortir de l'euro.

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On ne sait pas si cette solution est dénigrée ou pas parce que personne n'en parle. Sans doute à juste titre puisque la seule manière d'appliquer ton idée est de sortir de l'euro.

Non, là je ne pas d'accord.

ça peut parfaitement être appliqué dans l'Euro.

ça serait même mieux, car dans l'euro, la BCE ou un éventuel conseil économique européen supervisera le budget français pour qu'il ne sorte pas des clous. Alors que si on revient au franc, le gouvernement est son propre maître et on a vu ce que ça a pu donner ...

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ça serait même mieux, car dans l'euro, la BCE ou un éventuel conseil économique européen supervisera le budget français pour qu'il ne sorte pas des clous. Alors que si on revient au franc, le gouvernement est son propre maître et on a vu ce que ça a pu donner ...

Et ca a donné quoi de si terrible ?

Je ne comprends pas cette idée que la gouvernance supranationale serait forcement meilleure que la notre. Ce sont des humains comme nous.

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