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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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Relance: 10,5 mds d'investissements publics supplémentaires

4 décembre 2008

Agence France Presse

Le plan de relance de l'économie prévoit 10,5 milliards d'euros d'investissements supplémentaires de l'Etat, des grandes entreprises publiques et des collectivités locales pour accélérer divers programmes d'équipement, a annoncé jeudi le président Nicolas Sarkozy.

"Cette accélération sans précédent permettra de gagner plusieurs années", a-t-il promis en présentant à Douai son plan de relance.

Le plan prévoit 4 Mds d'euros d'investissements publics, 4 Mds pour les entreprises publiques (EDF, La Poste, etc.) et 2,5 Mds pour les collectivités locales.

Le chef de l'Etat a cité notamment les contrats de plan Etat-région, qui "ont pris un retard considérable", la loi de programmation militaire, "l'entretien et la mise en valeur du patrimoine", les hôpitaux, la rénovation des tribunaux, les moyens de la gendarmerie et de la police, et les infrastructures routières, ferroviaires et fluviales.

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EQUIPEMENTS DE DEFENSE ET DE SECURITE

Le plan de relance propose de consacrer 1,4 milliard d'euros de crédits d'investissement supplémentaires à l'accélération de la mise en oeuvre des programmes d'armement français et 100 millions d'euros supplémentaires à la modernisation de l'équipement de la police et de la gendarmerie. (Reuters)

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Je continue :

Relance: les programmes d'armement seront accélérés

4 décembre 2008

Agence France Presse

Le président Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi une "accélération" des programmes d'armement dans le cadre de l'effort d'investissement public faisant partie du plan de relance.

"L'État va accélérer les investissements publics programmés pour les années à venir (...). Je pense à l'accélération des investissements prévus dans la loi de programmation militaire", a-t-il indiqué dans son discours prononcé à Douai.

La loi de programmation militaire doit traduire en 2009 les orientations du Livre blanc sur la défense, qui prônait une redéfinition du modèle de l'armée française.

Selon un document transmis par l'Elysée, l'Etat consacrerait aux programmes d'armement 1,4 milliard d'euros de crédits d'investissement supplémentaires, soit plus du tiers des 4 Mds EUR affectés dans le plan de relance à l'effort exceptionnel d'investissement de l'Etat.

Le chef de l'Etat a indiqué par ailleurs que l'État paierait ses factures en retard aux PME industrielles du secteur de la défense, qui s'élèvent à 500 millions d'euros.

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Turquie : Ergenekon source d'inquiétudes pour l'économie

             

Dans le contexte de la crise politique en cours en Turquie, l’affaire « Ergenekon » fait non seulement trembler les milieux politiques turcs, mais elles inquiètent aussi de plus en plus les observateurs économiques.

En effet, on évoque désormais sérieusement les conséquences que ces turbulences politiques pourraient avoir sur les investissements étrangers en Turquie et sur la production nationale. Car, il n’est jamais inutile de souligner à quel point économie et stabilité politique sont liées, surtout dans un contexte de mondialisation des échanges commerciaux. C’est dans une déclaration à la presse que le ministre turc de l’Economie, Mehmet Simsek (photo) met en garde contre le danger que représentent des rebondissements politiques permanents, sources d’incertitudes et d’instabilités. Si l’économie turque souffre déjà de la montée des prix de l’énergie, d’une compression des liquidités et d’une crise des subprimes, c’est l’incertitude politique qui fait le plus de dégâts actuellement, semble-t-il, même si la stratégie de l’AKP n’a pas changé, visant toujours à engager des réformes structurelles afin d’atteindre un potentiel de croissance dans les moyen et long termes.

On s’inquiète également d’une possible baisse du taux de croissance, au second trimestre, alors qu’il avait encore atteint 6.6%, au premier trimestre. Les effets « d’Ergenekon » sur l’économie et la finance turques s’observent sur les taux d’intérêt, les investissements étrangers, le capital boursier… Les taux d’intérêts ont déjà augmenté de 5.5 points jusqu’à atteindre 22.5 % depuis l’ouverture du dossier contre l’AKP, en mars dernier. S’adressant à l’Agence de presse anatolienne, hier, le Ministre de l’Economie, Mehmet Simsek, a commenté ainsi la situation : « l’incertitude politique, associée à une augmentation des primes de risque et des taux d’intérêts ont causé une charge supplémentaire de 20 milliards de YTL pour le Trésor. La Turquie ne mérite pas cette crise. ». La contraction de la consommation et le ralentissement des investissements étrangers font écho à une perte des entreprises cotées à la Bourse d’Istanbul (IMKB) et estimée à plus de 80 millions de dollars, toujours selon le ministre. L’indice IMKB-100 de la Bourse a chuté de 4.3% la semaine dernière, c’est la cinquième chute enregistrée sur une base périodique.

L’autre crainte majeure est l’effet que la crise politique peut avoir sur l’étalon de mesure turc. L’agence de notation Standard & Poor’s explique qu’« augmenter le prix de l’énergie, en période de resserrement du crédit mondial fait se réduire les investissements étrangers dont la Turquie a besoin pour financer son déficit commercial. La Livre turque a ainsi chuté de 12.5% face à l’Euro, cette année, en matière financière, ce qui est inquiétant sachant que le pays se base sur l’emprunt pour réduire son déficit ; une stratégie qui présente risques considérables.

Le bras de fer opposant l’AKP à « l’establishment laïque » risque donc de faire des dégâts collatéraux dans les domaines de l’économie et de la finance turques. « L’establishment laïque » comme l’AKP devraient prendre ces données sérieusement en compte. La Turquie traverse déjà une crise politique depuis un an, a-t-elle vraiment besoin de l’accompagner d’une crise économique ? Comme le souligne très justement Nurettin Özgenç, le président des PME turques (KÖBIDER), « la première des priorités de la Turquie c’est l’économie, et l’économie ne peut fleurir que là où il y a de la stabilité. La démocratie s’étend aux masses seulement dans des pays économiquement développés ». Il faut espérer que les élites au pouvoir sauront méditer cet axiome.

Les dirigeants turcs soulignent volontiers que le système bancaire résiste bien au choc mondial. Mais, selon la plupart des analystes, l’économie turque montre d’inquiétants signes de faiblesse et risque, à trop tarder, de perdre son "avantage compétitif". Un prêt de 20 milliards de dollars donnerait un peu d’air. Le représentant de la Banque mondiale en Turquie, Ulrich Zachau a souligné, la nécessité de réduire l’endettement. Le déficit de la balance des paiements devrait atteindre 50 milliards de dollars en 2008 : la conséquence d’un retrait important des capitaux étrangers, moteurs de la bonne santé de l’économie turque depuis 2003.

Le gouverneur de la banque centrale, Durgun Yilmaz, a annoncé une baisse de 5,5 % de la production industrielle pour le mois de septembre, le plus fort recul depuis 2002. Des milliers d’emplois disparaissent déjà dans le textile ou l’automobile, avertissent les entreprises. Et les prévisions de croissance officielles pour l’année 2009 (+ 4 %) semblent intenables : une croissance nulle, voire négative, est attendue pour la fin d’année. Dans ces conditions, une aide du FMI "n’est pas nécessaire mais serait bénéfique à l’économie turque", a déclaré M. Yilmaz.

En Turquie, le patronat et les investisseurs s'inquiètent d'un risque de déstabilisation de l'économie

Guillaume Perrier

             

Les acteurs économiques turcs ne cachent plus leur inquiétude. Les indicateurs nationaux montraient déjà quelques signes d’essoufflement depuis le début de l’année 2007. Mais la nouvelle crise politique et les accusations qui visent le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan fragilisent un peu plus l’économie turque, s’alarme Arzuhan Dogan Yalçindag, la présidente de la Tüsiad, l’influente organisation patronale.

Le 14 mars, le procureur de la Cour de cassation a saisi les juges constitutionnels et réclamé l’interdiction du parti au pouvoir (AKP), l’accusant de mener des activités antilaïques. Si la Cour constitutionnelle décide d’ouvrir une enquête, la Turquie entrera pour plusieurs mois dans des turbulences à l’issue incertaine, avertissent les milieux d’affaires.

Mardi 18 mars, l’association des investisseurs internationaux (Yased) a souligné, dans un rapport, que plus de la moitié des investisseurs étrangers s’inquiétaient de la crise politique turque et que leurs projets pourraient s’en trouver compromis. Déjà en 2007, avec une année électorale chargée, le ralentissement avait été sensible. "Une longue période d’instabilité politique affectera tous les plans d’investissements", a prévenu Tahir Uysal, président de Yased. Or ce sont les investissements directs étrangers (IDE) qui ont jusqu’ici soutenu la croissance de l’économie turque et évité un choc monétaire, en injectant près de 20 milliards de dollars par an.

Le flux pourrait se ralentir en cas de crise plus profonde ou de rupture des négociations avec l’Union européenne. "Pour les investisseurs étrangers, les négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne sont essentielles", note Seyfettin Gürsel, professeur d’économie, qui craint une rupture si le parti au pouvoir est interdit.

Inflation et faible croissance

Dans le même temps, la Turquie subit le contrecoup de la crise financière mondiale et de la hausse des prix du pétrole. L’indice principal de la Bourse d’Istanbul a ainsi perdu plus de 25 % depuis le début de l’année, après il est vrai une année 2007 record. L’annonce du procureur de la Cour de cassation a fait plonger l’indice phare de la place turque de 7 %, lundi 17 mars.

Déjà en janvier, la Tüsiad s’était inquiétée de la persistance d’une inflation forte, environ 9,1 % sur les douze derniers mois, bien au-delà des prévisions de 4 % affichées par le gouvernement. Une détérioration des indicateurs qui avait fait prédire une année 2008 "médiocre" à la dirigeante du patronat.

"La banque centrale est obligée de maintenir des taux élevés et, malgré cela, la monnaie s’est fortement appréciée, ce qui pénalise la croissance", explique M. Gürsel. Le taux de croissance reste relativement élevé, mais devrait rester inférieur aux 5 % prévus pour 2008. Et la croissance faible de l’Europe, vers laquelle la Turquie réalise 60 % de ses exportations, ne va pas améliorer la situation.

"Sans croissance, l’équilibre budgétaire va vite poser problème, estime Eser Karakas, professeur de finances publiques à l’université Bahçesehir d’Istanbul. Avec une crise mondiale, plus une crise politique, les déficits des comptes courants vont se creuser." Or l’endettement est déjà le point faible de l’économie turque.

C’est pourquoi le ministre de l’économie, Mehmet Simesk, poursuit des discussions avec le Fonds monétaire international (FMI) pour obtenir le déblocage d’1 milliard de dollars, bien qu’il ait affirmé que la Turquie pouvait se passer de cette nouvelle tranche du crédit stand-by de 10 milliards de dollars accordé en 2001.

Source : Le Monde

Barbaros, tous le monde t'avait prevenut que la Turquie n'aurait pas une croissance de + 9% jusqu'en 2010 comme tu nous le disais....  Et voila les premiers signes de faiblaise et de ralentisement économique sont deja la...

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Turquie : malgré les discours rassurants des autorités turques, l'économie turque souffre d'un net ralentissement

lundi 10 novembre 2008

           

C’est l’automobile qui a tiré la sonnette d’alarme. Véritable locomotive de l’industrie et du commerce extérieur turc, le secteur est le premier à souffrir du ralentissement de l’économie.

En septembre, l’usine Toyota d’Adapazari, à l’est d’Istanbul, a annoncé avoir suspendu sa production pendant deux semaines et mis des ouvriers au chômage technique, en raison d’un net infléchissement de la demande. Même décision chez Tofas, le fabriquant turc des véhicules Fiat, qui a revu ses prévisions de production à la baisse. Ford, premier constructeur en Turquie, doit faire de même la semaine prochaine.

Début octobre, l’association des fabricants de pièces détachées automobiles (Taysad) a estimé à environ 30 % la baisse des commandes pour les fournisseurs et les sous-traitants. Des milliers d’emplois pourraient être menacés, dans la région de la mer de Marmara.

L’industrie automobile turque, qui exporte 70 % de sa production vers les pays de l’Union européenne (UE), pâtit déjà de la baisse des ventes en Europe. Une mauvaise nouvelle aussi pour la balance commerciale, dont le déficit se creuse un peu plus chaque mois. Plus de 50 % des produits turcs sont exportés vers l’UE.

Plus inquiétant, la production industrielle dans son ensemble a baissé de 4 %, en août, a annoncé l’institut national de statistiques la semaine dernière. Une orientation "très inhabituelle en Turquie, selon l’économiste Seyfettin Gürsel, professeur à l’université de Bahçesehir. Cela risque de plomber fortement la croissance, qui devrait être proche de zéro au quatrième trimestre et début 2009. L’économie turque va prendre de plein fouet cette baisse de la demande sur les marchés européens".

UN HAVRE DE SÉCURITÉ

Pour M. Gürsel, cette panne de croissance annoncée, alors que le gouvernement prévoit toujours une hausse de 4 % pour 2009, pourrait faire remonter le chômage, officiellement inférieur à 10 %. "Avec la forte croissance de la population active turque, cela peut augmenter très vite s’il n’y a plus de créations d’emplois", estime-t-il.

En revanche, le secteur bancaire devrait être relativement épargné par la crise financière mondiale. Comme l’a rappelé le directeur du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’ancien ministre turc de l’économie Kemal Dervis, les réformes mises en place après la banqueroute de 2001 ont assaini le système financier. Mais le "secteur réel" souffre de la baisse des investissements étrangers.

Les milieux d’affaires turcs ont mis en garde le gouvernement contre le danger d’une récession. "Il est temps d’agir de façon concertée et d’écouter les conseils", a lancé, inquiète Arzuhan Dogan-Yalçindag, la présidente de la Tüsiad, la principale association patronale. Elle a aussi pressé le premier ministre Erdogan de signer au plus vite un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un nouveau prêt. Depuis mai, le gouvernement tergiverse et assure que la Turquie n’en a pas besoin. "La Turquie est un havre de sécurité, a assuré le ministre des finances, Kemal Unakitan, dimanche, sans convaincre. Quand les économies riches souffrent d’une pneumonie, la Turquie est touchée par un rhume."

D’après le gouvernement, les règles drastiques imposées par le FMI pourraient réduire la marge de manoeuvre face à une crise économique plus profonde. Une délégation de l’institution financière mondiale, présente en Turquie ces derniers jours, a rappelé qu’elle était prête à signer un nouvel accord-cadre.

Guillaume Perrier

Source : Le Monde 

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Invité barbaros pacha

mais la crise économique, l'endetement de la Turquie, ainsi que les besoins de pret de l'économie Turque sont toujours la... Ergenekon n'est qu'une des causes...

L'endettement? L'endettement de la Turquie est une des plus faible d'Europe qu'avec 38% du Budget...en dessous des 3% du PIB....3.9% du PIB pour la France avec le plan de relance....

Le seul problème, c'est la balance commercial...

Oui il y a une crise en Turquie, mais elle est pas aussi conséquente qu'en Europe ou au Etats-unis, par rapport aux Etats-unis, le système bancaire Turc ne souffre pas de cette crise....

On peut juste parlé d'un ralentissement dû a une crise économique mondiale, sa vaut pour tous le monde...

La récession? J'ai juste des spéculations des parti de l'opposition, ils veulent que leur vote augmente parce qu'il y a des élections en mars 2009...mais sa ne marche pas...

La Turquie veut profiter de la crise économique mondiale pour attirer de l'argent chaud, ils viennent de votez une loi vers ce sens, le ministre de l'économie avait dit: "Peu importe d'ou vient l'argent, tant qu'il rentre en Turquie"

Dit moi a tu déjà entendu une banque Turc qui a déposer un dépôt de bilan ou déclarer faillite?

Aucune...les bases sont solides, mais il peut avoir des pertubations a cause d'une crise économique mondiale...

En claire: Il n'y a pas de crise en Turquie aussi important qu'en Europe ou Etats-unis...

Tous les membres de l'ergenekon sont devant la justice...l'opposition laique veut déstabiliser le pouvoir islamique par des calomnies, etc...

Et voila, la vente de voiture de luxe a augmenter de 32% et 41% pour les autres véhicules en Turquie pour les 11 premier mois de l'année 2008:

http://www.cnnturk.com/2008/ekonomi/genel/12/04/ekonomik.kriz.luks.arac.alimini.durdurmadi/503521.0/index.html

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Turquie : malgré les discours rassurants des autorités turques, l'économie turque souffre d'un net ralentissement

lundi 10 novembre 2008

           

[u]C’est l’automobile qui a tiré la sonnette d’alarme. Véritable locomotive de l’industrie et du commerce extérieur turc, le secteur est le premier à souffrir du ralentissement de l’économie.

En septembre, l’usine Toyota d’Adapazari, à l’est d’Istanbul, a annoncé avoir suspendu sa production pendant deux semaines et mis des ouvriers au chômage technique, en raison d’un net infléchissement de la demande. Même décision chez Tofas, le fabriquant turc des véhicules Fiat, qui a revu ses prévisions de production à la baisse. Ford, premier constructeur en Turquie, doit faire de même la semaine prochaine.

Début octobre, l’association des fabricants de pièces détachées automobiles (Taysad) a estimé à environ 30 % la baisse des commandes pour les fournisseurs et les sous-traitants. Des milliers d’emplois pourraient être menacés, dans la région de la mer de Marmara.

L’industrie automobile turque, qui exporte 70 % de sa production vers les pays de l’Union européenne (UE), pâtit déjà de la baisse des ventes en Europe. Une mauvaise nouvelle aussi pour la balance commerciale, dont le déficit se creuse un peu plus chaque mois. Plus de 50 % des produits turcs sont exportés vers l’UE.

Plus inquiétant, la production industrielle dans son ensemble a baissé de 4 %, en août, a annoncé l’institut national de statistiques la semaine dernière. Une orientation "très inhabituelle en Turquie, selon l’économiste Seyfettin Gürsel, professeur à l’université de Bahçesehir. Cela risque de plomber fortement la croissance, qui devrait être proche de zéro au quatrième trimestre et début 2009. L’économie turque va prendre de plein fouet cette baisse de la demande sur les marchés européens".

UN HAVRE DE SÉCURITÉ

Pour M. Gürsel, cette panne de croissance annoncée, alors que le gouvernement prévoit toujours une hausse de 4 % pour 2009, pourrait faire remonter le chômage, officiellement inférieur à 10 %. "Avec la forte croissance de la population active turque, cela peut augmenter très vite s’il n’y a plus de créations d’emplois", estime-t-il.

En revanche, le secteur bancaire devrait être relativement épargné par la crise financière mondiale. Comme l’a rappelé le directeur du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’ancien ministre turc de l’économie Kemal Dervis, les réformes mises en place après la banqueroute de 2001 ont assaini le système financier. Mais le "secteur réel" souffre de la baisse des investissements étrangers.

Les milieux d’affaires turcs ont mis en garde le gouvernement contre le danger d’une récession. "Il est temps d’agir de façon concertée et d’écouter les conseils", a lancé, inquiète Arzuhan Dogan-Yalçindag, la présidente de la Tüsiad, la principale association patronale. Elle a aussi pressé le premier ministre Erdogan de signer au plus vite un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un nouveau prêt. Depuis mai, le gouvernement tergiverse et assure que la Turquie n’en a pas besoin. "La Turquie est un havre de sécurité, a assuré le ministre des finances, Kemal Unakitan, dimanche, sans convaincre. Quand les économies riches souffrent d’une pneumonie, la Turquie est touchée par un rhume."

D’après le gouvernement, les règles drastiques imposées par le FMI pourraient réduire la marge de manoeuvre face à une crise économique plus profonde. Une délégation de l’institution financière mondiale, présente en Turquie ces derniers jours, a rappelé qu’elle était prête à signer un nouvel accord-cadre.

Guillaume Perrier

Source : Le Monde 

A lire attentivement les paragraphe mis en gras, selon le MINISTRE TURQUE lui meme une récésion ou une croissance de 0% est à craindre pour 2009... Ont est donc tres loins de ta croissance à 9 % pour la Turquie que tu prometais jusqu en 2010.

Si la turquie souffre moins de la crise qu'en Europe, c'est comme mit dans le texte, pcq elle est bcp moins riche...

De plus la Turquie a besoin de s'endeter au FMI, pour poursuivre sa croissance...

Desoler mais ton liens en Turque sur les voitures de luxes ne veut pas dire grand chose...

Moi je veux prouver le ridicule des gens, qui pensent qu'ont peut faire des projections économique sur 40 ans comme tu le fais Barbaros... Une preuve que cella ne mene à rien, 1 an a passer et ont est deja tres loins des 9 % de croissance...

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Invité barbaros pacha

Pas la peine de mettre l'article deux fois...

Je pense que tu ment puisque le ministre dit:

Pour M. Gürsel, cette panne de croissance annoncée, alors que le gouvernement prévoit toujours une hausse de 4 % pour 2009, pourrait faire remonter le chômage, officiellement inférieur à 10 %. "Avec la forte croissance de la population active turque, cela peut augmenter très vite s’il n’y a plus de créations d’emplois", estime-t-il.

Le premier ministre vient de parlé à la télé, il n'y aura pas de récéssion...au contraire, ils attendent une croissance...

Attention, on a pas encore demander officiellement au FMI un crédit, il y a juste des négociations, si ils parviennent a un accord, le crédit peut être accordés...

Mais on a pas besoin de cette argent, cette argent est juste pour rassurer les investissements étrangers qui ramène de l'argent chaud...la banque centrale a assez d'argent...tous le monde le sait, l'argent chaud s'enfuit très vite...

Mes liens sur les voitures veut tous dire, les gens consomment beaucoup, et c'est sa l'essentiel...

Je le répète, il n'y aura pas de récession cette année...impossible...donne moi la définition du mot récession, stp....

Et tu verra que ce n'est pas une récession, la Turquie sera même cette année ou en 2009 la 16eme ou la 15 eme économie mondiale, la Turquie est aujourd'hui la 17eme économie mondiale...

A long terme, on n'est gagnant et très optimiste sur l'état de l'économie Turque...

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Invité barbaros pacha

=) Moi je crois en mes sources, qu'il y ai ou non recesion, tu peux voir mtn que faire des pronostiques sur la Turquie sur 40 ans de croissance à 9% est ridicule...

Pour M. Gürsel, cette panne de croissance annoncée, alors que le gouvernement prévoit toujours une hausse de 4 % pour 2009

Moi j'ai rien a craindre pour la Turquie, on avance, et rien ne peut nous stopper...

Laisse moi rire pour tes sources...un homme qui arrive a écrire un article sur l'état de l'économie turque de son bureau a Paris n'est pas une source...

Espagne : plus de 171.000 chômeurs supplémentaires en novembre

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20081202trib000316843/espagne-plus-de-171.000-chomeurs-supplementaires-en-novembre.html

Toi au lieu de d'occuper de l'état de l'économie turque, occupe de l'état de l'économie de l'espagne...

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Barbaros,

penser que l'économie turque va passer la crise sans problème est un doux rêve et ce, pour une raison simple :

Comme la crise va toucher / touche l'Europe, ses échanges avec la Turquie vont obligatoirement diminuer.

Après, je ne connais dans le détail le détail de ses échanges, mais c'est évident qu'il ne sera pas possible à la Turquie de compenser cette baisse.

Sinon, une remarque générale : pourquoi est-ce que les discussions sont si souvent ramenées à la Turquie ? Ca devient ch..nt à force.

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Moi j'ai rien a craindre pour la Turquie, on avance, et rien ne peut nous stopper...

ont disait la meme chose de la Chine, ont voit le resultat...  =D

Laisse moi rire pour tes sources...un homme qui arrive a écrire un article sur l'état de l'économie turque de son bureau a Paris n'est pas une source...

Laisse moi rire des tiennes, comme dit dans mon article, qui cites des sources universitaire turques notament...

l'économie turque souffre d'un net ralentissement [malgré les discours rassurants des autorités turques,

C'est bien connut, un ministre locale va jamais dire que ca va pas bien, c'est comme sa dans tous les pays...

Toi au lieu de d'occuper de l'état de l'économie turque, occupe de l'état de l'économie de l'espagne...

La Turquie souffre aussi d'une monté du chomage, sauf que l Espagne est une petite puissance économique (8iem et prépare un projet de constrution d'une ville économique dans le desert andalous de plusieurs milliards d'euro) et la Turquie pas...

Tu reves trop, c'est sa ton probleme... Mais bon quand ont te disai que la Turquie allait pas faire du + 9% pendant 10 ans, tu rigolais aussi et mtn du coups c'est deja bcp moins marrant  =)

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Invité barbaros pacha

La situation de l'Espagne est encore plus critique par rapport a la Turquie, 176 000 chômeurs en plus en novembre et 192 000 en octobre, il n'y a pas autant de chômeurs en Turquie en un seul mois....

Le chômage en Turquie est de 9% (un peu comme la France), c'est pas mal pour un pays qui s'accroit chaque an de 1.43% (1 700 000 naissances), c'est pas mal du tout...

La Turquie avance, mais l'Espagne stagne...On est une puissance agricole et on a une autosufissance alimentaire, rare les pays qui sont indépendant de ce coté...

Désolé, mais je préfère écouter le ministre qu'un journaliste qui écrit un article sur l'état de l'économie turque a Paris...

Et que dire, la Turquie commence a sortir son propre pétrole, selon les estimations, on devrait indépendant en 2015 pour ceux qui est du pétrole....

La Turquie sera la 16 ou la 15eme puissance économique cette année ou en 2009...aujourd'hui on est 17eme...

L'Espagne paie les immigrants pour qu'ils rentrent chez eux, sa montre l'état catastrophique de l'économie Espagnole...

Et que dire de la crise immobilière:

http://www.lefigaro.fr/immobilier/2008/04/08/05002-20080408ARTFIG00261-les-espagnols-pris-a-la-gorge-par-la-crise-immobiliere-.php

Seseña, une ville nouvelle construite en 2003 au sud de Madrid, au milieu de la plaine castillane, incarne à merveille le désenchantement du secteur immobilier. Ce projet, le plus ambitieux d'Espagne avec 13 503 logements, est aujourd'hui une ville fantôme. Seules 750 personnes y résident. Sur quasiment l'ensemble des balcons flotte la même banderole : «A vendre». Symbole de la spéculation immobilière, Seseña a été achetée par des investisseurs désireux de toucher un pactole lors de la revente de leurs biens. Mais le ralentissement économique, la hausse des taux d'intérêts et la baisse des prix du logement ont coupé court à leurs rêves. Résultat, des centaines de petits propriétaires se retrouvent avec un appartement sur les bras et un crédit hypothécaire de plus en plus difficile à rembourser.

Tien l'état de ta ville.. :lol:

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Invité barbaros pacha

J'ai l'impression que quand un modo va passer sur cette discussion, ça va chauffer !!!

Vous ne pourriez pas arrêter avec vos attaques personnels et de pourrir les discussions ?

Il n'y jamais eu d'attaque personnel de ma part...

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Sa me fait surtout pleurer de rire  :lol:

Le pire c'est que Barbaros crois vraiment en tout ce qu'il dit... Enfin je ne vais meme pas prendre la peine de lui répondre (non pas que je sais pas, j'ai des liens qui lui donnerait tord à du 100%) mais pcq je suis fatiguer des debats stériles avec lui... Alors Barbaros oui tu as raison, la Turquie est la futur puissance dominante nucléaire mondiale, elle va avoir 9% de croissance no stop jusqu'en 2075, et elle va tout dominer sur tous les plans....

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Invité barbaros pacha

Sa me fait surtout pleurer de rire :lol:

Le pire c'est que Barbaros crois vraiment en tout ce qu'il dit... Enfin je ne vais meme pas prendre la peine de lui répondre (non pas que je sais pas, j'ai des liens qui lui donnerait tord à du 100%) mais pcq je suis fatiguer des debats stériles avec lui... Alors Barbaros oui tu as raison, la Turquie est la futur puissance dominante nucléaire mondiale, elle va avoir 9% de croissance no stop jusqu'en 2075, et elle va tout dominer sur tous les plans....

Je vais pas te répondre, puisque tu me donne une source qui te contredit...bref...moi j'ai rien a craindre, je connais la situation en Turquie, donc....toi occupe toi de l'Espagne...

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Invité barbaros pacha

Voici un classement de la balance des paiements par pays....

1 People's Republic of China 371,800 2007 est.

2 Germany 254,500 2007 est.

3 Japan 210,500 2007 est.

4 Saudi Arabia 86,720 2007 est.

5 Russia 78,310 2007 est.

6 Switzerland 67,890 2007 est.

7 Netherlands 59,280 2007 est.

8 Norway 55,820 2007 est.

9 Kuwait 51,490 2007 est.

10 Singapore 41,390 2007 est.

14 Algeria $ 32,050,000,000 2007 est.

18 Libya $ 26,380,000,000 2007 est

132 Tunisia $ -905,000,000 2007 est.

147 Morocco $ -1,834,000,000 2007 est

et les derniers:

157 France -35,940 2007 est.

158 Turkey -36,270 2007 est.

159 Greece -36,400 2007 est.

160 Australia -50,960 2007 est.

161 Italy -57,940 2007 est.

l'espagne est avant-derniere , juste avant les USA

187 Spain $ -145,300,000,000 2007 est. ca parait excessif non ?

188 United States $ -731,200,000,000 2007 est.

http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_countries_by_current_account_balance

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Rien que le fait que tu compares la capacité industrielles et economique espagnole à la Turque est à mourir de rire  =D  Mais bon, je ne rentre plus dans le piege du debat avec toi, ont ne sait rien en tirer de tte facon...  =D

Quand a tes liens qui vienent en fait de la CIA, sa a deja été démontrer 50 fois que c'est des chiffres totalement faux, un ptit comique a du bien s'amuser...

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Invité barbaros pacha

Rien que le fait que tu compares la capacité industrielles et economique espagnole à la Turque est à mourir de rire =D Mais bon, je ne rentre plus dans le piege du debat avec toi, ont ne sait rien en tirer de tte facon... =D

Quand a tes liens qui vienent en fait de la CIA, sa a deja été démontrer 50 fois que c'est des chiffres totalement faux, un ptit comique a du bien s'amuser...

Super les chiffres sont faux... :lol: tu avance bien...bon je vais pas polémiquer avec toi...on verra bien la capacité des deux économies dans 10 20 ans...et la on rigolera bien... :lol: :lol:

N'oublie pas, la Turquie sera un pays producteurs de pétrole en 2015 et exportateur en 2023, 40 milliards $ qui parte a l'étranger resteront en Turquie...

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