prof.566 Posté(e) le 5 février 2020 Share Posté(e) le 5 février 2020 (modifié) Non, ca existe. Celà dit ce n'est qu'un petit sursis, certainement pas une excuse pour ne rien faire... Modifié le 5 février 2020 par prof.566 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 5 février 2020 Share Posté(e) le 5 février 2020 il y a 21 minutes, kalligator a dit : Intéressant cette histoire de cycle solaire, est-ce crédible ou cela vient-il d'un milieu climatonégasioniste ? Les cycles ont été établis depuis un moment déjà. En revanche, ils ne peuvent expliquer l'ensemble du changement climatique constaté... d'autant plus qu'il est possible de noter des évolutions différentes selon les couches de l'atmosphère. En le faisant très rapidement, les couches les plus basses (troposphère) sont les plus sensibles aux facteurs anthropiques. Les couches les plus hautes (au-delà de la mésopause) sont les plus sensibles aux variations imputables aux cycles solaires. A noter néanmoins que les influences anthropiques que l'on constate au niveau de la troposphère jouent à des altitudes plus hautes... mais pas forcément de la même manière. L'augmentation de la concentration en GES - et notamment en CO2 - qui participe au réchauffement de la troposphère contribue au refroidissement de la haute atmosphère. A ces altitudes, le CO2 réagit avec l'oxygène, résultant en un rayonnement vers l'espace... sans pour autant que le mécanisme d'effet de serre ne joue puisque les taux de CO2 étant insuffisants. C'est là que l'on a encore parfois du mal à dissocier quelle est la contribution des cycles solaires au refroidissement constaté sur la haute atmosphère et quelle est la contribution anthropique. Mais cela ne saurait invalider la thèse d'un changement climatique global d'origine essentiellement anthropique. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 5 février 2020 Share Posté(e) le 5 février 2020 Moi qui nous voyait foutu en 2030 on va peut être survivre un petit peu plus longtemps. Sûr que les gouvernement qui sont toujours aussi peu actif sur le sujet vont bondir sur ce prétexte pour ne rien faire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 6 février 2020 Share Posté(e) le 6 février 2020 Un article intéressant: https://www.aljazeera.com/ajimpact/eu-power-sector-emissions-drop-coal-collapses-europe-200205222402274.html Avec la source: https://sandbag.org.uk/wp-content/uploads/2020/02/Sandbag-European-Power-Sector-Review-2019.pdf Des choses intéressantes: Baisse des émissions alors que le PIB augmente Très forte baisse de la génération d’électricité charbon en 2019 Baisse des prix du MWh Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 6 février 2020 Share Posté(e) le 6 février 2020 6 hours ago, seb24 said: Un article intéressant: https://www.aljazeera.com/ajimpact/eu-power-sector-emissions-drop-coal-collapses-europe-200205222402274.html Avec la source: https://sandbag.org.uk/wp-content/uploads/2020/02/Sandbag-European-Power-Sector-Review-2019.pdf Des choses intéressantes: Baisse des émissions alors que le PIB augmente Très forte baisse de la génération d’électricité charbon en 2019 Baisse des prix du MWh Le document ne s'intéresse qu'a la production d'électricité ... même chose concernant les émissions. L'explication pour le charbon le prix du aux taxes spécifique ... Quote changes were "triggered by the carbon pricing of the European emissions trading system [ETS]". Quote "Coal power is now more expensive than [power from] other sources," Podewils told Et la réponse c'est une croissance importante de la conso de gaz pour produire de l'électricité ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 6 février 2020 Share Posté(e) le 6 février 2020 il y a 13 minutes, g4lly a dit : Le document ne s'intéresse qu'a la production d'électricité ... même chose concernant les émissions. Oui c'est le sujet de l'étude. il y a 15 minutes, g4lly a dit : Et la réponse c'est une croissance importante de la conso de gaz pour produire de l'électricité ... Page 28: Citation Fuel switching from coal to gas took place extensively and was triggered by rising prices for CO₂ emis-sion allowances in the EU ETS (see the next chapter). Wind, solar and biomass increased their generation by 65 TWh, such that roughly half of the reduction in lignite and hard coal generation was offset by renewables and the other half by gas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 7 février 2020 Share Posté(e) le 7 février 2020 Un article très intéressant : "Reduced European aerosol emissions suppress winter extremes over northern Eurasia" Citation Résumé traduit automatiquement : Les événements météorologiques hivernaux extrêmes retiennent l'attention du public en raison de leurs graves répercussions, mais les facteurs dominants régulant leurs tendances interdécennales n'ont pas été clairement établis. Ici, nous montrons que le forçage radiatif dû aux aérosols anthropiques redistribués géospatialement a principalement déterminé les variations spatiales des conditions météorologiques hivernales extrêmes dans l'hémisphère Nord au cours de la période 1970-2005, une période de transition unique pour le forçage mondial des aérosols. Au cours de cette période, l'activité locale des vagues de Rossby et les événements extrêmes (les 10% supérieurs en amplitude des vagues) ont affiché des tendances à la baisse marquées aux hautes latitudes, principalement dans le nord de l'Eurasie. La combinaison de données d'observation à long terme et d'un modèle climatique de pointe a révélé la signature sans ambiguïté des aérosols anthropiques sur le jet stream d'hiver, l'activité des vagues planétaires et la variabilité de la température de surface sur des échelles de temps interdécennales. En particulier, le réchauffement dû aux réductions des aérosols en Europe a accru le gradient de température méridional sur le flanc du pôle du jet et renforcé le vent zonal, entraînant une suppression significative des événements extrêmes sur le nord de l'Eurasie. Ces résultats illustrent comment le forçage des aérosols peut avoir un impact sur la dynamique atmosphérique extratropicale à grande échelle, et illustrent l'importance des aérosols anthropiques et leur variabilité spatio-temporelle dans l'évaluation des facteurs météorologiques extrêmes dans le climat historique et futur. https://www.nature.com/articles/s41558-020-0693-4 (sci-hub pour les curieux) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 10 février 2020 Share Posté(e) le 10 février 2020 (modifié) La vraie affaire des Verts Août 2019 UN CADRE POUR PARVENIR À UNE ÉCONOMIE PROFONDÉMENT DÉCARBONISÉE INITIATIVE SUR L'AVENIR ÉNERGÉTIQUE Les menaces que le changement climatique fait peser sur le monde, notre nation et notre mode de vie constituent un défi sans précédent et urgent. Les entités infranationales ont adopté des objectifs ambitieux de réduction des émissions de carbone et le soutien du public à l'action en faveur du climat s'accroît aux États-Unis. Dans ce contexte, il est nécessaire de mettre en place une coalition et une stratégie pragmatique - qui minimise les coûts, maximise les opportunités économiques, accélère les solutions et promeut l'équité sociale - pour traduire les ambitions d'atténuation du climat en actions. Voici le Green Real Deal - un cadre pour parvenir à une économie profondément décarbonisée.La crise climatique et le soutien à l'action se développent Nous nous alignons de plus en plus sur les impératifs moraux, sociaux, environnementaux et économiques de la lutte contre le changement climatique. Un sondage Gallup réalisé en début d'année a montré que 44 % des adultes américains ont déclaré se préoccuper "beaucoup" du changement climatique, contre 25 % en 2011. Soixante-neuf pour cent sont "quelque peu inquiets" selon un sondage Yale/George Mason de 2019. Un récent sondage de Luntz Global Partners a montré que les jeunes sont très majoritairement engagés dans l'action pour le climat, au-delà des divisions politiques, et qu'ils appellent à la responsabilité politique. Il n'est pas surprenant que le soutien à l'action pour le changement climatique augmente : ses impacts sont de plus en plus visibles, comme le montrent les températures record de Paris (108,7°F), Londres (101°F) et Anchorage (90°F) en juillet 2019 ; les températures à Anchorage en juillet dernier étaient de 15 à 20 degrés au-dessus de la moyenne. Le rapport du sommet de l'ONU sur l'action climatique de 2019 a noté que "les quatre dernières années ont été les quatre plus chaudes jamais enregistrées, et les températures hivernales dans l'Arctique ont augmenté de 3°C depuis 1990" (figure 1). En septembre 2018, le volume de la glace de mer arctique a diminué de 75 % par rapport à 1979. Les climatologues ont également exprimé des inquiétudes croissantes concernant les "points de basculement" du climat - des changements irréversibles du système climatique dont les déclencheurs sont incertains - après le record des émissions mondiales en 2018. LA CRISE CLIMATIQUE : DE L'AMBITION À L'ACTION INITIATIVE SUR L'AVENIR ÉNERGÉTIQUE L'intensité et la fréquence croissantes des inondations, des ouragans et des sécheresses dans le pays et dans le monde ont mis en évidence la férocité et les coûts du changement climatique. Les récents incendies de forêt en Californie en sont un bon exemple : 12 des 15 plus grands incendies de forêt de l'État se sont produits depuis 2000 et les estimations des coûts d'un seul incendie - le feu de camp de 2018 - s'élèvent à 16,5 milliards de dollars. Si la Terre a connu des variations climatiques majeures au cours de son histoire, le rythme du changement aujourd'hui est bien supérieur à celui qui est attribuable aux phénomènes naturels et est déterminé par l'activité humaine, en particulier par l'énergie. Ces tendances sont conformes à des décennies de prévisions et de pronostics. Une mise en garde sur les coûts d'une inaction prolongée figure dans la quatrième évaluation nationale du climat, à laquelle ont contribué des représentants de onze agences ministérielles, de la NASA, de l'USAID et de la Fondation nationale des sciences. Cette évaluation souligne les coûts extrêmement élevés de l'inaction en matière de changement climatique pour l'économie américaine. La hausse des températures, l'élévation du niveau de la mer et les changements dans les événements extrêmes devraient perturber et endommager de plus en plus les infrastructures et les biens essentiels, la productivité du travail et la vitalité de nos communautés. Les économies et les industries régionales qui dépendent des ressources naturelles et de conditions climatiques favorables, comme l'agriculture, le tourisme et la pêche, sont vulnérables aux impacts croissants du changement climatique...suite le réchauffement... sans une réduction substantielle et soutenue des émissions mondiales de gaz à effet de serre devrait causer des dommages nets importants à l'économie américaine tout au long de ce siècle... les pertes annuelles dans certains secteurs économiques devraient atteindre des centaines de milliards de dollars d'ici la fin du siècle, soit plus que le produit intérieur brut (PIB) actuel de nombreux États américains. L'évaluation souligne indirectement la dimension d'équité sociale du changement climatique : les coûts élevés de l'inaction sont supportés de manière disproportionnée par ceux qui peuvent le moins se le permettre. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) C'est le début d'un rapport US que je souhaite traduire par morceaux Modifié le 10 février 2020 par Picdelamirand-oil 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 10 février 2020 Share Posté(e) le 10 février 2020 J'avais fait une mise à jour assez importante (en quantité de traduction) et j'ai tout perdu, c'est assez déprimant! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 11 février 2020 Share Posté(e) le 11 février 2020 Il y a 9 heures, Picdelamirand-oil a dit : J'avais fait une mise à jour assez importante (en quantité de traduction) et j'ai tout perdu, c'est assez déprimant! Les longs messages construits je les écris toujours avec un logiciel de traitement de texte maintenant pour éviter ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 11 février 2020 Share Posté(e) le 11 février 2020 Il y a 9 heures, Picdelamirand-oil a dit : J'avais fait une mise à jour assez importante (en quantité de traduction) et j'ai tout perdu, c'est assez déprimant! Que c'est-il passé ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 février 2020 Share Posté(e) le 11 février 2020 il y a 54 minutes, seb24 a dit : Que c'est-il passé ? J'ai édité le post "la vraie affaire des verts", lorsque que j'ai dégrossi un paquet de traduction j'ai fait "Envoyer la réponse" pour voir le résultat et corriger les "petites erreurs", le post s'est mis à jour mais tout vide, j'ai pensé qu'il y avait besoin de temps pour la mise à jour et je suis allé faire autre chose. Quand je suis revenu c'en était au même point, j'ai mis à jour ma page parce que parfois le site a été mis à jour mais ma page n'est pas actualisé, j'ai retrouvé l'ancien post, j'ai rouvert l'éditeur parce que ce type de fonctionnement m'est déjà arrivé et en ouvrant de nouveau l'éditeur je retrouve le texte que j'ai préparé, mais cette fois rien. il y a une heure, Patrick a dit : Les longs messages construits je les écris toujours avec un logiciel de traitement de texte maintenant pour éviter ça. J'avais préparé la version anglaise dans un traitement de texte car le PDF du net nécessite de supprimer des retours à la ligne pour que cela se traduise bien. Alors j'ai eu la flemme d'ouvrir un deuxième traitement de texte. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 février 2020 Share Posté(e) le 11 février 2020 Finalement on peut télécharger le document là: https://energyfuturesinitiative.org/efi-reports 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hilariovespasio Posté(e) le 11 février 2020 Share Posté(e) le 11 février 2020 Le 06/02/2020 à 11:10, seb24 a dit : Baisse des émissions alors que le PIB augmente Un lien avec l'augmentation de la dette peut-être? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 11 février 2020 Share Posté(e) le 11 février 2020 Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit : J'ai édité le post "la vraie affaire des verts", lorsque que j'ai dégrossi un paquet de traduction j'ai fait "Envoyer la réponse" pour voir le résultat et corriger les "petites erreurs", le post s'est mis à jour mais tout vide, j'ai pensé qu'il y avait besoin de temps pour la mise à jour et je suis allé faire autre chose. Quand je suis revenu c'en était au même point, j'ai mis à jour ma page parce que parfois le site a été mis à jour mais ma page n'est pas actualisé, j'ai retrouvé l'ancien post, j'ai rouvert l'éditeur parce que ce type de fonctionnement m'est déjà arrivé et en ouvrant de nouveau l'éditeur je retrouve le texte que j'ai préparé, mais cette fois rien. J'avais préparé la version anglaise dans un traitement de texte car le PDF du net nécessite de supprimer des retours à la ligne pour que cela se traduise bien. Alors j'ai eu la flemme d'ouvrir un deuxième traitement de texte. Le forum fait ça avec les très longs messages oui. Très ennuyeux. Et si tu postes à la suite, ça fusionne quand même tes messsages en un gros message unique... Mais tu ne peux plus l'éditer car vu qu'il est désormais trop gros tu perds tes modifications quand tu veux faire un changement! Une chose qui serait vraiment utile c'est de savoir au bout de combien de caractères les messages deviennent "trop gros". Seule solution attendre 15 minutes entre chaque message pour que le nouveau pavé de texte s'affiche à part. Comme quoi il ne faut pas t'embêter, et traduire petits morceaux par petits morceaux en postant un message court à chaque fois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 25 février 2020 Share Posté(e) le 25 février 2020 (modifié) Scientific Breakthrough: MIT Solves Two Huge Energy Problems Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Percée scientifique : Le MIT résout deux énormes problèmes énergétiques Par Irina Slav - 25 novembre 2019, 15h00 CST Si le méthane a récemment commencé à attirer l'attention pour sa contribution au changement climatique, le dioxyde de carbone reste le principal coupable que les scientifiques pointent du doigt. En raison de son statut de méchant, il y a eu, à juste titre, de nombreuses tentatives de capture et de stockage, voire d'utilisation de ce CO2. Mais jusqu'à présent, aucune de ces tentatives n'a démontré un potentiel d'adoption à grande échelle. C'est-à-dire jusqu'à présent. Des scientifiques du Massachusetts Institute of Technology ont publié un article qui détaille le mécanisme d'un dispositif de batterie qui peut aspirer le dioxyde de carbone de l'air, le stocker, puis le libérer pour le séquestrer ou le stocker et le vendre ensuite : l'industrie du pétrole et du gaz utilise le CO2 pour améliorer le rendement des puits. Le principe de ce dispositif est ingénieusement simple : lorsque la batterie se charge, elle aspire le dioxyde de carbone. Lors de la décharge, le CO2 est libéré dans le sol. La batterie elle-même est composée de réseaux d'électrodes avec des espaces entre les réseaux pour que le gaz puisse entrer dans le dispositif. Chaque électrode est recouverte d'une couche de nanotubes de carbone qui permet une réaction électrochimique lorsque le dioxyde de carbone entre en contact avec la surface des électrodes. La garantie de ce contact est le fait que les électrodes ont une affinité naturelle pour le CO2, ce qui signifie qu'elles attirent les molécules de gaz lorsqu'elles pénètrent dans le dispositif. "Le plus grand avantage de cette technologie par rapport à la plupart des autres technologies de capture ou d'absorption du carbone est la nature binaire de l'affinité de l'adsorbant pour le dioxyde de carbone", explique l'un des auteurs, Sahag Voskian, cité par New Atlas. "Cette affinité binaire permet de capturer le dioxyde de carbone à partir de n'importe quelle concentration, y compris 400 parties par million (les niveaux dans l'atmosphère), et permet sa libération dans n'importe quel flux porteur, y compris 100 pour cent de CO2". Le processus s'appelle l'adsorption électro-swing et, selon les auteurs de l'article, le dispositif qui l'utilise pourrait être économiquement réalisable pour un coût de 50 à 100 dollars par tonne de dioxyde de carbone. De plus, selon Sahag Voskian et T. Alan Hatton, l'appareil est très facile à utiliser grâce à sa conception simple et à un minimum d'équipement supplémentaire, qui se limite à une source d'énergie pour la charge et à une destination pour l'électricité, un "puits". En rapport : Elon Musk présente le véhicule le plus fou de Tesla Si le dispositif d'oscillation électrique tient ses promesses, il permettra d'éviter le plus gros problème de la capture et du stockage du carbone : les coûts prohibitifs. La partie la plus coûteuse du processus est le piégeage. La Carbon Capture and Storage Association estime le coût de la capture des émissions de carbone provenant de la combustion de combustibles fossiles à environ 70-102 dollars par tonne. La même association prévoit que ce coût pourrait tomber à environ 40-57 dollars au cours des prochaines années, en espérant que la technologie de capture du carbone suivra la voie de la baisse des coûts des batteries lithium-ion. Bien qu'il soit loin d'être certain que cela fonctionne ainsi, des inventions telles que le dispositif d'oscillation du carbone offrent des solutions. Pour l'instant, sur la base des projections de coûts du CCLAT pour le captage du carbone, les créateurs de la batterie à oscillation électrique devront abaisser la limite supérieure de leur fourchette de coûts. Mais grâce à sa conception simple et à son caractère "plug-and-play", ce dispositif pourrait avoir un bel avenir dans le domaine du captage du carbone. Par Irina Slav pour Oilprice.com Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Two Innovations That Could Make CO2 Fuel A Reality Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Deux innovations qui pourraient faire du CO2 une réalité Par Irina Slav - 23 février 2020, 16h00 CST La technologie de capture du carbone a suscité de plus en plus d'attention en tant que moyen de résoudre le problème des émissions d'origine humaine dans le monde, mais les coûts restent un obstacle. Mais une autre technologie pourrait être utile : la transformation du CO2 en carburant. Deux inventions récentes donnent de l'espoir, et toutes deux concernent les nanocatalyseurs. Comme leur nom l'indique, il s'agit de catalyseurs microscopiques - des produits chimiques qui accélèrent une réaction chimique entre d'autres éléments - et ces catalyseurs peuvent être utilisés dans l'hydrogénation pour produire des gaz utiles. L'hydrogénation, pour faire simple, consiste à ajouter des atomes d'hydrogène à une molécule et donc à en retirer d'autres atomes. Avec le dioxyde de carbone, l'hydrogénation pourrait fonctionner en supprimant les atomes d'oxygène et en les remplaçant par de l'hydrogène, créant ainsi des hydrocarbures. Normalement, l'hydrogénation nécessite des températures extrêmement élevées pour se produire, ce qui rend le processus coûteux. Elle nécessite également un catalyseur, qui se présente généralement sous la forme de platine ou de palladium - deux métaux précieux très coûteux. Il semble qu'il existe deux alternatives à ce procédé. Une équipe de chercheurs de l'Université de Californie du Sud et du National Renewable Energy Lab a mis au point un nouveau type de catalyseur qui peut aider à convertir les déchets de CO2 en carburants et en précurseurs de produits chimiques. Dans un communiqué de presse, le National Renewable Energy Lab a déclaré que le nouveau catalyseur utilisait des nanoparticules de carbure de molybdène - un composé composé composé d'un métal et de carbone qui a une large gamme d'applications, parmi lesquelles la conversion du dioxyde de carbone en monoxyde de carbone, qui est utilisé dans la production de produits chimiques, et en hydrocarbures. Mais ce qui est peut-être plus important encore, c'est que le procédé mis au point par le NREL et l'USC implique des températures bien plus basses que les 1 100 degrés Celsius nécessaires pour transformer les carbures métalliques en catalyseurs. À ces températures plus basses, non seulement le procédé est moins cher, mais il permet également aux scientifiques de manipuler les propriétés des nanoparticules et d'améliorer le processus catalytique. Quel est le problème ? Le problème est que si la technologie progresse suffisamment pour fabriquer des quantités suffisantes de ces nanocatalyseurs - les chercheurs utilisent actuellement ce qu'ils appellent des réacteurs millifluidiques (lire miniature) - elle pourrait fournir un moyen moins coûteux d'utiliser le CO2 plutôt que de le laisser dans l'atmosphère. Une autre équipe s'attaque également à ce problème en utilisant, outre le molybdène, le nickel et le magnésium, tous deux beaucoup moins chers que les métaux du groupe du platine. "Nous avons entrepris de développer un catalyseur efficace qui peut convertir sans défaillance de grandes quantités de gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone et le méthane", a déclaré l'auteur principal de la deuxième étude, Cafer T. Yavuz, de l'Institut coréen avancé des sciences et technologies. Les scientifiques du KAIST ont utilisé une combinaison de nanoparticules de nickel-molybdène et d'oxyde de magnésium cristallin. Ils ont chauffé les nanoparticules et les ont ainsi forcées à se déplacer sur l'oxyde de magnésium, créant, selon le communiqué de presse, un catalyseur qui "a scellé ses propres sites actifs à haute énergie et a fixé de manière permanente l'emplacement des nanoparticules - ce qui signifie que le catalyseur à base de nickel n'aura pas d'accumulation de carbone, et que les particules de surface ne se lieront pas les unes aux autres". Ces deux méthodes semblent prometteuses pour l'utilisation du dioxyde de carbone, essentiellement pour son recyclage, mais d'où proviendra le dioxyde de carbone ? Malgré tous les efforts déployés pour le captage du carbone dans l'espace, son coût reste, pour l'essentiel, prohibitif. Mais cela pourrait bien changer, du moins aux États-Unis. En début de semaine, l'IRS a publié de nouvelles règles pour les entreprises énergétiques impliquées dans le captage du carbone, qui expliquent comment elles peuvent demander des crédits d'impôt plus élevés pour leurs projets de captage du carbone. Le Congrès a adopté la loi qui double le crédit d'impôt que les entreprises peuvent réclamer pour leurs projets de capture du carbone, a rappelé James Osborne du Houston Chronicle dans un reportage, mais il a laissé à l'IRS le soin de dire exactement comment ces crédits pouvaient être réclamés. "Nous sommes toujours en train d'examiner activement les détails pour le moment. Cependant, nous sommes très heureux de voir que l'IRS a pris en compte les principales recommandations de la Coalition pour la capture du carbone", a déclaré le chef de la CCC, Brad Crabtree. "Néanmoins, ce travail a pris beaucoup trop de temps et a retardé des centaines de millions, voire des milliards de dollars d'investissements". Maintenant que les crédits d'impôt sont clairs, ces investissements pourraient se concrétiser et le captage du carbone pourrait enfin décoller. Les technologies catalytiques telles que celles développées par les équipes américaines et coréennes pourraient être d'une grande aide pour faire du captage et de la réutilisation du carbone une pratique courante à un moment donné dans l'avenir. Et le captage ? Le MIT a résolu ce problème : l'année dernière, un article a décrit en détail un dispositif qui pourrait aspirer le dioxyde de carbone de l'air, le stocker et le libérer si nécessaire pour le réutiliser dans d'autres produits chimiques. "Le plus grand avantage de cette technologie par rapport à la plupart des autres technologies de capture ou d'absorption du carbone est la nature binaire de l'affinité de l'adsorbant pour le dioxyde de carbone", expliquait à l'époque l'un des auteurs, Sahag Voskian. "Cette affinité binaire permet de capturer le dioxyde de carbone à partir de n'importe quelle concentration, y compris 400 parties par million (les niveaux dans l'atmosphère), et permet sa libération dans n'importe quel flux porteur, y compris 100 pour cent de CO2". Donc, nous avons la matière première, nous avons la technologie de capture, nous avons le catalyseur et maintenant nous avons aussi la législation qui rendra l'application de tout cela moins coûteuse pour ceux qui savent comment l'appliquer. Peut-être que le captage du carbone a un avenir, après tout. Par Irina Slav pour Oilprice.com Modifié le 25 février 2020 par Picdelamirand-oil 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 mars 2020 Share Posté(e) le 4 mars 2020 Jean-Marc Jancovici : "Fermer une centrale nucléaire au nom du climat : l'imposture du gouvernement" 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 4 mars 2020 Share Posté(e) le 4 mars 2020 il y a 18 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Jean-Marc Jancovici : "Fermer une centrale nucléaire au nom du climat : l'imposture du gouvernement" Est-ce au nom du climat que la centrale a été fermée ? Je ne trouve aucune trace de cela dans la presse. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 mars 2020 Share Posté(e) le 4 mars 2020 3 minutes ago, Skw said: Est-ce au nom du climat que la centrale a été fermée ? Je ne trouve aucune trace de cela dans la presse. C'est le titre qui est putassier ... il faut lire l'article pour comprendre l'argumentaire de Jancovici. La centrale est fermé ... au nom de l'écologie ... celle qui demande la fin du nucléaire et qui propose de le remplacer par des centaine d'hectare bétonné par des centrale solaire ... Techniquement les argument et les objectif de diversification ... de 50% ... sont sans objets ... c'est de la vile politique ... au mieux. En pratique c'est se tirer une balle dans le pied ... mais on a l'habitude. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 4 mars 2020 Share Posté(e) le 4 mars 2020 à l’instant, g4lly a dit : C'est le titre qui est putassier ... il faut lire l'article pour comprendre l'argumentaire de Jancovici. Est-on dans la putasserie ou dans la falsification pure et simple ? Car il y a bien l'usage de guillemets, laissant penser que c'est Jancovici qui aurait tenu ce propos. J'ai bien lu le restant de l'article et suis largement de son avis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 mars 2020 Share Posté(e) le 4 mars 2020 Just now, Skw said: Est-on dans la putasserie ou dans la falsification pure et simple ? Car il y a bien l'usage de guillemets, laissant penser que c'est Jancovici qui aurait tenu ce propos. J'ai bien lu le restant de l'article et suis largement de son avis. Pardon pour l'euphémisme ^_^ Oui c'est de la falsification ... mais bon tout le monde s'en branle ... les lecteurs de Marianne continueront a le lire parce que çà leur plaît ... et les autres ne liront pas. La presse "sérieuse" ça fait longtemps que c'est mort et enterré ... on et dans l'air du spectacle, et on peut bien mettre ce qu'on veut comme nom a la pièce qu'on joue. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 mars 2020 Share Posté(e) le 4 mars 2020 (modifié) il y a 16 minutes, Skw a dit : Est-on dans la putasserie ou dans la falsification pure et simple ? Car il y a bien l'usage de guillemets, laissant penser que c'est Jancovici qui aurait tenu ce propos. J'ai bien lu le restant de l'article et suis largement de son avis. L'argument de Jancovinci vient de là Citation Sa fermeture s’inscrit dans les objectifs énergétiques de la France Cet arrêt s’inscrit également dans un contexte de baisse des émissions de gaz à effet de serre issues de la production d’électricité, grâce à la fermeture progressive des centrales à charbon d’ici 2022. https://www.gouvernement.fr/arret-d-un-reacteur-a-fessenheim-une-premiere-etape-pour-reduire-la-part-de-l-energie-nucleaire C'est sur un site du gouvernement et c'est présenté de façon à faire croire à la majorité des lecteurs que l'arrêt de la centrale est l'un des multiples moyens de faire baisser les émissions de CO2, comme l'arrêt des centrales à charbon. Sur le même site il y a aussi ça: Citation Ce projet vise à faire du Haut-Rhin un territoire de référence à l’échelle européenne en matière d’économie bas carbone. Et là on ne voit pas bien comment la fermeture de la centrale participe à cet objectif. Modifié le 4 mars 2020 par Picdelamirand-oil 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 5 mars 2020 Share Posté(e) le 5 mars 2020 A ce propos l'interview d'Henri Prévot et de Loïch Le Floch-Prigent dans Atlantico https://www.atlantico.fr/decryptage/3587484/fermeture-de-fessenheim--vers-une-fragilisation-a-long-terme-des-competences-de-la-filiere-nucleaire-et-notamment-pour-la-construction-des-futurs-epr-energie-avenir-loich-le-floch-prigent-henri-prevot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 5 mars 2020 Share Posté(e) le 5 mars 2020 Je n'ai pas lu l'article mais vu les déboires du nuc français avec l'EPR je crois que les compétences sont déjà biens perdues Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 13 mars 2020 Share Posté(e) le 13 mars 2020 Un document "prophétique" : "En avril 1975, la Revue de défense nationale publiait un article traitant de l’impact des activités humaines sur le climat en constatant que le réchauffement était déjà une réalité perceptible avec l’effet de serre lié au dégagement de gaz carbonique. L’auteur soulignait également le rôle destructeur de la pollution avec des conséquences non négligeables pour les océans et les grandes aires urbaines devant des îlots de chaleur dévastateurs pour la qualité de vie de leurs habitants." « Influence climatique des activités humaines » (avril 1975), Bernard Campistron https://fr.calameo.com/read/00055811531ad4b69e30f 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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