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[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive


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Piur ispahan, il suffit d'attaquer la centrale avant le chargement du combustible, comme les israéliens l'ont fait pour Osirak.

Un renseignement qui ne doit pas être trop compliqué à obtenir.

l'usine de retraitement d'Ispahan fonction déjà. Il stock quelque dizaine de tonnes de Yellow cake et autre déchet des centrales nucléaire de recherche

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Piur ispahan, il suffit d'attaquer la centrale avant le chargement du combustible, comme les israéliens l'ont fait pour Osirak.

Un renseignement qui ne doit pas être trop compliqué à obtenir.

grillé par tomcat-2000  :'(

tu y trouves divers produits chimiques voire radioactifs aptes à provoquer une catastrophe industrielle majeure ( style bophat )

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Soyons plus créatifs  ;) Tapons ou cela fait mal, au porte monnaie de la Nomenklatura Iranienne  8)

Le gvt Iranien essaie de trouver des moyens de contourner les sanctions économiques en créant de nouvelles sociétés dont la banque ci dessous :

http://www.geopolitique.com/enquetes-analyses/leihbank-nouveau-cheval-de-troie-de-teheran-891.html

Peut on réellement vider les comptes ou du moins mettre la pagaille dans ce type d'entreprise ou les hackers ne sont pas encore au point ?

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TUNIS (AFP) - Libyan leader Moamer Kadhafi on Tuesday warned "arrogant" Iran that it faces military humiliation on the scale of Iraq for its refusal to respond to western powers over a nuclear impasse.

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"What Iran is doing stems simply from arrogance," Kadhafi said during a visit to Tunisia after Tehran ignored another western deadline to accept an incentives package in exchange for full transparency on its nuclear drive.

Negotiators from Britain, China, France, Germany, Russia and the United States -- who suspect Iran is seeking to build nuclear weapons capability -- have scheduled a conference call for Wednesday as the crisis deepens.

"In the event of a decision against Iran, this country will suffer the same outcome as Iraq... Iran is not any stronger than Iraq and won't have the means to resist (a military attack) on its own," Kadhafi said.

"The challenges are greater and exceed Iran's ability to reply," he added, speaking on the third day of his visit.

Like Iran and Iraq before it, Libya was for years pressured by the west over its nuclear and chemical weapons ambitions and capabilities before finding common ground in 2003.

Tehran has steadfastly refused to suspend its uranium enrichment activities, which it says are aimed only at producing fuel for nuclear power production.

The United States and its allies fear the program is a cover for developing nuclear weapons.

Kadhafi warns 'arrogant' Iran of military humiliation

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Soyons plus créatifs  ;) Tapons ou cela fait mal, au porte monnaie de la Nomenklatura Iranienne  8)

Le gvt Iranien essaie de trouver des moyens de contourner les sanctions économiques en créant de nouvelles sociétés dont la banque ci dessous :

http://www.geopolitique.com/enquetes-analyses/leihbank-nouveau-cheval-de-troie-de-teheran-891.html

Peut on réellement vider les comptes ou du moins mettre la pagaille dans ce type d'entreprise ou les hackers ne sont pas encore au point ?

Economie mondiale l'Iran désinvestit ses fonds de l’ Union Européenne

Ecrit par Anne Chartier mardi, 15 juillet 2008 19:59

http://prix-immo.com/actualite-du-marche-immobilier/4-economie/306-economie-mondiale-liran-desinvestit-ses-fonds-de-lunion-europeenne

Face aux menaces prononcées par l’Union Européenne, l’Iran, soupçonné de développer une activité nucléaire risquée, a décidé de désinvestir les fonds qu’il avait placés dans l’UE. Une décision soudaine qui ne manque pas de souligner les tensions diplomatiques qu’il existe entre les pays occidentaux et l’Iran.

Ce communiqué de presse, issu de l’agence chinoise Xinhua, atteste que le Vice Ministre iranien des Affaires Etrangères – Mahdi Safari – aurait affirmé qu’il retirerait ses fonds de l’UE pour les réinvestir dans d’autres régions du monde, plus « amies » avec l’Iran. Cette annonce fait suite à de multiples menaces de la communauté internationale, dont l’UE et les US sont les « chefs de garde », face au développement d’armes de destruction massive en Iran. Mahdi Safari a poursuivi son discours en menaçant à son tour l’Union Européenne, qui serait confrontée à des graves problèmes de liquidité, si la décision de retirer ces 100 milliards de dollars était réellement effective. Or, si les banques européennes vont mal, c’est toute l’économie européenne et mondiale qui en subira les conséquences.

« L’UE subira des pertes si elle participe à des sanctions contre l’Iran car l’Iran a des ressources de gaz et de pétrole que tout le monde veut acheter » s’est exulté M. Safari. Par ailleurs, il a exposé le rapprochement actuel de l’Asie et de l’Iran dans leurs relations commerciales, en guise d’illustration de la zone géographique où pourraient être réinvestis les fonds auparavant dédiés à l’UE. En 2005, 2006 et 2007, les transactions commerciales de l’Iran avec l’Asie ont dépassé les 85 milliards de dollars, alors même que celles avec l’Occident ont été plafonnées à 60 milliards de dollars. Une volonté iranienne déjà bien réfléchie de « bouder » l’Union Européenne ces dernières années.

Malgré les menaces de l’Iran à l’encontre de l’Union Européenne, le conseil des ministres a renouvelé ses sanctions et les a même fait entrer en rigueur mardi dernier. Cela aura pour effet de geler les actifs des institutions financières de l’Iran et de prohiber les voyages des hauts experts engagés dans le programme nucléaire iranien.

L’Iran a fermement condamné ces décisions, même si elle laisse encore la possibilité à certains pays occidentaux – à l’image des Etats-Unis – de négocier avec l’Iran sur la problématique de « la lutte contre le terrorisme, le crime organisé et d’une résolution de la question du nucléaire ».

Anne Chartier

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Avec les pétro dollars du golfe Arabique Golfe persique, cela compense largement le retrait Iranien  8)

En manque des arguments ne déforme pas la réalité géographique et historique

Non les monarchies pétrodollars du Golfe Persique vont investi chez leur maître (USA) qui pour instant a besoin plus de tout le monde des $

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Pour instant il y a que 2 options contre Iran

1. une seul attaque sur le central du Boucher (le plus facile et moins dangereux), en détruisant ce central encore non achever (date d’entrée prévu le début d'octobre 2008), ils vont priver aux Iraniens la seul motive valable pour continuer ses enrichissement d’uranium (pas de central, pas de raison d’enrichir d’uranium),

Problème, ce central stock 82 tonnes d’uranium déjà enrichi, en plus ce central est exclu dans toutes résolutions CS-ONU contre Iran, sa nature civil est bien prouvé et les russes (qui ne sont pas parti en vacances !) sont présente sur le site.

2. en renforcement les embargos, ils vont créer un atmosphère d’insécurité social parmi les iraniens, favorable d’un coup d’état type 1953 (l’option moins dangereux et presque sans frais), à mon avis les USA & Co travaillent sur cette éventualité, mais la question que je me pose ; qui ils vont mettre en place, les iraniens n’ont pas très bonne souvenir de coup d’état 1953 et la présence des américains sur leur sol ?

Les autres hypothèses sont presque exclues pour l’instant, l’occident n’a pas la finance nécessaire pour une guerre contre Iran, même si les monarchies pétrodollars (en particulière Arabie Saoudite) l’aide.         

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L'option intelligente vis à vis de l Iran

Par Zbigniew Brzezinski et William Odom,

Washington Post publié le 29 mai 2008

article original : "A Sensible Path on Iran" (27/05/08 ; Page A13)

La politique actuelle des Etats-Unis vis-à-vis du régime iranien à Téhéran aura presque certainement pour conséquence un Iran doté d'armes nucléaires. La combinaison apparemment astucieuse d'utiliser la "carotte" et le "bâton", incluant la référence officielle fréquente à une option militaire américaine qui "reste sur la table", intensifie tout simplement le désir de l'Iran d'avoir son propre arsenal nucléaire. Hélas, une telle politique autoritaire de la "carotte" et du "bâton" peut marcher avec les ânes, mais pas avec les pays sérieux. Les Etats-Unis auraient une meilleure chance de réussite si la Maison-Blanche abandonnait ses menaces d'action militaire et laissait tomber ses appels à un changement de régime.

Songez aux pays qui seraient devenus rapidement des Etats nucléarisés s'ils avaient été traités de façon similaire ! Le Brésil, l'Argentine et l'Afrique du Sud avaient des programmes d'armement nucléaire mais ils les ont abandonnés, chacun pour des raisons différentes. Si les Etats-Unis avaient menacé de changer leurs régimes au cas où ils n'auraient pas abandonné [leurs programmes d'armement nucléaire], il est probable qu'aucun d'eux n'eut obtempéré. Mais lorsque la "carotte" et le "bâton" ont échoué à empêcher l'Inde et le Pakistan d'acquérir des armes nucléaires, les Etats-Unis se sont rapidement arrangés avec les deux, préférant avoir de bonnes relations que des relations hostiles. Qu'est-ce que cela suggère aux dirigeants en Iran ?

Abordons cette question dans un autre sens ! Imaginez que la Chine, signataire du Traité de Non-Prolifération nucléaire [TNP], pays qui, délibérément, ne s'est pas engagé dans une course aux armements avec la Russie ou les Etats-Unis, ait menacé de changer le régime américain si ce dernier n'avait pas commencé une destruction graduelle de son arsenal nucléaire. Cette menace aurait été une base légale discutable, parce que tous les signataires de ce traité ont promis depuis longtemps de réduire, en fin de compte à zéro, leurs arsenaux. La réaction américaine aurait évidemment été une opposition publique explosive vis-à-vis d'une telle exigence. Les dirigeants américains auraient peut-être même singé la rhétorique fantaisiste du Président iranien Mahmoud Ahmadinejad concernant l'utilisation des armes nucléaires.

Une approche efficace vis-à-vis de l'Iran doit concilier ses intérêts et les nôtres en matière de sécurité. Ni une attaque aérienne des Etats-Unis contre les installations nucléaires iraniennes, ni une attaque israélienne qui serait moins efficace, ne pourraient faire plus que simplement retarder le programme nucléaire iranien. Dans tous les cas, les Etats-Unis seraient tenus pour responsables et devraient payer le prix résultant des réactions probables de l'Iran. Celles-ci impliqueraient presque certainement la déstabilisation du Proche-Orient, ainsi que de l'Afghanistan, et des efforts sérieux d'interrompre le flux du pétrole, générant au strict minimum une augmentation massive de son cours déjà très élevé. Le désarroi au Proche-Orient qui résulterait d'une attaque préventive contre l'Iran nuirait à l'Amérique et en fin de compte aussi à Israël.

Etant donnés les objectifs déclarés de l'Iran — une capacité nucléaire civile mais pas d'armes nucléaires, de même qu'un présumé désir de discuter des questions de sécurité plus larges des Etats-Unis et de l'Iran — une politique réaliste exploiterait cette ouverture pour voir ce que cela pourrait produire. Les Etats-Unis pourraient indiquer qu'ils sont prêts à négocier, soit sur la base d'aucune condition préalable de la part des deux camps (tout en se réservant le droit de mettre fin aux négociations si l'Iran reste inflexible et commence à enrichir l'uranium à des niveaux dépassant ce qui est autorisé par le TNP), ou négocier sur la base de la bonne volonté de l'Iran de suspendre l'enrichissement en échange d'une suspension simultanée par les Etats-Unis des principales sanctions économiques et financières.

Une telle approche plus large et plus flexible accroîtrait la perspective d'un règlement international qui serait conçu pour concilier le désir de l'Iran d'avoir un programme d'énergie nucléaire autonome, tout en minimisant la possibilité qu'il puisse rapidement le transformer en un programme d'armement nucléaire. De plus, il n'y a aucune raison crédible de supposer que la politique traditionnelle de dissuasion stratégique, qui a fonctionné si bien dans les relations entre les Etats-Unis et l'Union Soviétique, ainsi qu'avec la Chine, qui a aidé à stabiliser l'hostilité indo-pakistanaise, ne marcherait pas dans le cas de l'Iran. La notion largement répandue d'un Iran suicidaire faisant exploser sa première arme nucléaire sur Israël est plus le produit de la paranoïa ou de la démagogie que celui d'un calcul stratégique sérieux. Cela ne peut pas être la base de la politique des Etats-Unis et ne devrait pas non plus être celle d'Israël.

Un autre bénéfice à plus long-terme d'une approche si spectaculairement différente est que cela pourrait aider l'Iran à reprendre son rôle traditionnel de coopération stratégique avec les Etats-Unis pour stabiliser la région du Golfe. En fin de compte, l'Iran pourrait même retourner à sa politique d'avant 1979, depuis longtemps géopolitiquement naturelle, de relations coopératives avec Israël. On devrait aussi remarquer à ce sujet l'hostilité iranienne envers al-Qaïda, récemment intensifiée par la campagne internet d'al-Qaïda incitant à une guerre entre les Etats-Unis et l'Iran, qui pourrait à la fois affaiblir ce qu'al-Qaïda considère comme le régime chiite apostat de l'Iran et enliser l'Amérique dans un conflit régional prolongé.

Enfin et surtout, considérez que les sanctions américaines ont délibérément entravé les efforts de l'Iran d'accroître sa production de pétrole et de gaz naturel ! Cela a contribué à la montée des coûts de l'énergie. Une conciliation à long-terme entre les Etats-Unis et l'Iran accroîtrait de façon significative le débit le l'énergie iranienne vers le marché mondial. Il ne fait aucun doute que les Américains préfèreraient payer moins cher pour remplir leurs réservoirs d'essence que d'avoir à payer beaucoup plus pour financer un conflit élargi au Golfe Persique.

Zbigniew Brzezinski était conseiller à la sûreté nationale dans l'administration Carter et il a écrit tout récemment "Second Chance". William Odom, général de corps d'armée à la retraite, est un ancien directeur de l'Agence à la Sûreté Nationale. Tous deux sont membres du Center for Strategic and International Studies.

Traduction [JFG-QuestionsCritiques]

http://questionscritiques.free.fr/edito/WP/Iran_nucleaire_Zbigniew_Brzezinski_William_Odom_280508.htm

«Mes chers amis, le nucléaire, c’est l’énergie du futur. La France vous dit que sa technologie, qui est des plus sûres au monde, elle est décidée à la mettre au service du développement de vos économies. Parce que sans énergie, vous ne connaîtrez pas la croissance. Sans croissance, vous n’aurez pas de développement, vous aurez la misère, le sous-développement et le chômage, et donc le terrorisme, parce que tout est lié.»

Le 29 avril dernier, à Tunis, la France était là, devant 500 chefs d’entreprises de Tunisie : le président français Nicolas Sarkozy

Mais le problème avec l’Iran c’est que le nucléaire n’est pas français, il est iranien et le nucléaire iranien, il n’est pas bon, il ne rapporte ni aux Français ni aux Américains

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Piur ispahan, il suffit d'attaquer la centrale avant le chargement du combustible, comme les israéliens l'ont fait pour Osirak.

Un renseignement qui ne doit pas être trop compliqué à obtenir.

Pour ton info en Ispahan il y a une très forte communauté juive, je crois après Téhéran   
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Vous êtes sérieux avec votre derniére phrase ? LE NUCLEAIRE ''CIVIL'' IRANIEN EST RUSSE, pas Iranien  :P

Les russes avec beaucoup retard construit le central Boucher, les restes sont iraniens, sinon il suffisait de demander aux russes de couper le pont 
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Invité barbaros pacha

Cheney a failli provoquer une guerre contre l'Iran



Image IPB



Lors de la conférence Think Progress en juillet, le journaliste d’investigation américain Seymour Hersh, connu pour ses positions courageuses contre les néo-conservateurs américains, a révélé l’un des scénarios envisagé par Dick Cheney pour provoquer une guerre contre l’Iran.

Le scénario prévoyait tout simplement de déguiser des commandos de la marine américaine en Iraniens qui, à bord de vedettes copiées sur les iraniennes, se seraient précipitées sur les bateaux de guerre américains, qui, ripostant, auraient fini par entrer en guerre contre l’Iran.

Hersh a dévoilé que ce scénario fut discuté lors d’une réunion au bureau de Dick Cheney après qu’un incident, lorsqu’une des navettes iraniennes avait heurté un bâtiment de guerre américain, fut monté en épingle. Une dizaine de scénarios furent discutés dans le bureau de Dick Cheney sur comment provoquer une guerre. Au final, le scénario fut écarté car il impliquait trop de morts américains.

Le New Yorker a refusé d’inclure ces informations dans l’article de Hersh sous prétexte que de toutes façons cette option ne fut pas choisie.

Pour creuser le sujet : focus

http://www.alterinfo.net/Cheney-a-failli-provoquer-une-guerre-contre-l-Iran_a22456.html
http://thinkprogress.org/2008/07/31/cheney-proposal-for-iran-war/
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Le Pentagone a déjà à au moins deux reprise tirer les oreilles de l'administration concernant les magouilles sur le dossier Iranien. La première fois quand Bush déclarait devant la presse international que les armes utilisé en Irak était iranienne (démenti peu après par un port parole du Pentagone) et l'affaire du "message" qu'aurait envoyé une vedette iranienne démenti lui aussi.

J'ignore si c'est ce scénario que Cheney prévoyait mais pendant un certain temps on parler de faire couler la 5ème flotte, rien que ça :lol:

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Invité barbaros pacha

Le Pentagone a déjà à au moins deux reprise tirer les oreilles de l'administration concernant les magouilles sur le dossier Iranien. La première fois quand Bush déclarait devant la presse international que les armes utilisé en Irak était iranienne (démenti peu après par un port parole du Pentagone) et l'affaire du "message" qu'aurait envoyé une vedette iranienne démenti lui aussi.

J'ignore si c'est ce scénario que Cheney prévoyait mais pendant un certain temps on parler de faire couler la 5ème flotte, rien que ça :lol:

« Ça vous laisse avec l’impression que la Maison-Blanche est gérée comme un dortoir de campus, dit-il. Les gens s’appellent par leurs surnoms, et discutent d’aller en guerre comme s’ils parlaient d’un pari au football. Décrire ainsi fonctionnement de la Maison-Blanche, c’est carrément manquer le bateau... ».  :lol: :lol:

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Rétrécissement dramatique du champ des options

Comme il était prévisible, après les deux semaines qui lui ont été accordées, le régime des mollahs a refusé d’aller dans le sens attendu par les Six. Téhéran précise qu’il a déjà remis sa réponse accompagnée d’une contre-proposition iranienne à laquelle les Six se sont engagés à répondre.

Pour une fois il ne s’agit pas d’une interprétation biaisée : pour permettre la tenue de la réunion de Genève, les Six ont très officiellement accepté de répondre à cette contre-proposition dans une déclaration lue par Nicolas Sarkozy en marge du sommet du G8 à Toyako. Dans cette déclaration, on évoquait clairement une étude comparative des deux propositions. Aujourd’hui, Mottaki rappelle aux Six cet engagement en affirmant qu’à Genève aussi, ils ont exprimé le souhait de trouver les dénominateurs communs aux deux propositions.

Si Téhéran agit ainsi c’est parce que les mollahs ne craignent rien de grave en représailles à ce comportement. Les Six ont trop d’intérêts en Iran pour adopter de nouvelles sanctions susceptibles de nuire à ce régime. Tous cherchent à préserver ce régime qui leur vend du pétrole à prix bradé ou leur propose des secteurs entiers de l’économie iranienne. Les américains eux-mêmes qui sont à la recherche d’une entente stratégique majeure parlent de « conséquences diplomatiques » pour l’Iran, vague allusion à un improbable processus d’adoption d’une nouvelle résolution (évoquée par Rice, il y a une semaine).

En fait, les uns et les autres cherchent des moyens pour éviter toute escalade nuisible à ce régime utile, les sanctions sont diluées et l’option militaire que nous n’avons jamais prise au sérieux, est désormais officiellement abandonnée aussi bien par les européens que par les américains.

De plus, tous cherchent à rester opérationnels pour une entente ou encore pour augmenter leur présence en Iran. Ainsi on a assisté à un retour discret de Peugeot en Iran et l’on a aussi appris par des canaux israéliens la signature d’un contrat gazier de 100 millions d’euros entre le groupe allemand Steiner et les mollahs, contrat entériné par Merkel. On peut par euphémisme parler d’un rétrécissement dramatique du champ des options répressives contre les mollahs !

Il ne reste que deux options ; un changement de régime (que les Six et surtout les américains ne veulent pas) ou une entente. Les mollahs ont même désormais l’embarras du choix quant au partenaire pour cette entente. Les américains devront sans doute se montrer moins exigeants sur les termes de l’entente de peur de se faire souffler l’affaire par leurs alliés britanniques, européens ou encore leurs adversaires russes et chinois. Parce qu’ils ont un besoin vital de cette entente, ils se retrouvent pieds et poings liés et pour cacher ce manque d’option, ils font courir à nouveau des rumeurs de frappe.

Au départ, quand l’administration Bush avait du temps devant elle, elle l’évoquait elle-même en répétant : « toutes les options sont sur la table », puis elle a passé le flambeau à Israël, en entretenant le doute sur son assentiment. Désormais Israël reste dans ce mauvais rôle, mais sans le consentement de Washington.

Pour amplifier cette rumeur en perte de vitesse, Washington a mis à contribution les médias réputés insoupçonnables de sympathie envers l’administration Bush ! Ainsi l’inépuisable Seymour Hersh, le propagateur mondial de rumeurs militaires infondées, est désormais épaulé par Lyndon Larouche et Brzezinski, ennemis réunis le temps d’une rumeur estivale.

L'Option militaire est-il définitivement balayer de la table?  Ceci peut expliquer la mauvaise réaction des Russes et Chinois qui ne veulent pas voir un accorde entre l'Iran et l'Occident. L'Iran ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre et il me semble que le choix a été fait il y a bien longtemps....

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Israël menace cette fois-ci directement la Russie :

''Si la Russie fournit à l'Iran des missiles sol-air S-300, nous saurons répliquer'' a déclaré un haut responsable de la Défense israélien, précisant que Jérusalem ne manquerait pas alors de faire état de la ''vulnérabilité de l'espace aérien russe''.  (Guysen.International.News)

Par rapport au Liban (et c'est direcetement lié à l'Iran), les choses bougent aussi :

A l'issue de la réunion du cabinet restreint de sécurité qui s'est tenue mercredi dernier, des responsables israéliens de la Défense ont déclaré qu'à ce jour, ''Israël tenait pour responsable le Liban de toutes les attaques perpétrées sur le sol de l'Etat hébreu'', affirmant qu'il s'agissait là de ''vengeance de la part du Hezbollah, après la mort d'Imad Moughnieh''. (Guysen.International.News)

C'est la première fois qu'Israël ne fait pas de distinction entre le gouvernement libanais et la milice chiite.

Une attaque militaire a été envisagé par Israël si le Hezbollah installe des batteries sol/air.

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Israël menace cette fois-ci directement la Russie :

''Si la Russie fournit à l'Iran des missiles sol-air S-300, nous saurons répliquer'' a déclaré un haut responsable de la Défense israélien, précisant que Jérusalem ne manquerait pas alors de faire état de la ''vulnérabilité de l'espace aérien russe''.  (Guysen.International.News)

C'est à mourir de rire. La distance à vol de oiseau Tel Aviv-Moscou c'est 2639 kilomètres je ne parle même pas de la comité d'accueil qui les attendra.......Puis il ne faut pas oublier qu'Israël n'a pas de force de deuxième frappe.....

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Invité Tibere2

Lol !

=D

Les Israéliens ne parlent pas d'attaquer Moscou mais de fournir à qui le veut la technologie pour luter contre les S300.

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C'est à mourir de rire. La distance à vol de oiseau Tel Aviv-Moscou c'est 2639 kilomètres je ne parle même pas de la comité d'accueil qui les attendra.......Puis il ne faut pas oublier qu'Israël n'a pas de force de deuxième frappe.....

Pourquoi taper Moscou ?!!!! Israël a plein d'autre moyen de rétorsion comme les vente d'arme ou se faire une petite ballade au dessus d'un système S300 vendu a l'étranger pour démontrer que c'est une daube.

Fournir la Géorgie en Armement par exemple :lol:

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Lol !

=D

Les Israéliens ne parlent pas d'attaquer Moscou mais de fournir à qui le veut la technologie pour luter contre les S300.

D'un coté si cette technologie existe et que le S-300 est une daube pourquoi protester contre la vente de S-300 à l'Iran ? J'attends la réponse  :lol:

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Cela évite d'utiliser du matériel et permet de se consacrer à autre chose, c'est tout simple !

C'est bien ce que je disais.la technologie pour lutter contre le S-300 se résume au plein PC et une bonne prière  :lol:

g4lly, le sois disant responsable militaire souligne la "vulnérabilité de l'espace aérien russe"

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g4lly, le sois disant responsable militaire souligne la "vulnérabilité de l'espace aérien russe"

Sous entendu que leur matériel de defense anti aerien n'est pas au niveau des capacité d'attaque israelienne ... donc que les S300 S400 c'est de la merdre.

En gros il menace de vendre des systeme permettant de leurrer les S300 S400 a des ennemi de la Russie.

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