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Picdelamirand-oil

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  1. Et chat GPT dit: "Lors de ma visite officielle en France, j’ai visité l’entreprise Dassault, le fabricant des 12 avions de combat multirôles Rafale que le VladaRH a acquis dans le cadre d’un achat historique pour moderniser l’Armée de l’Air croate. Nous avons discuté de la coopération concernant leur armement et leur modernisation futurs, ainsi que des possibilités d’investissement de l’entreprise française en Croatie."
  2. Moi j'arrive à ça avec DeepL en disant que c'est du Slovène: Lors d'un voyage d'affaires, j'ai rendu visite à l'entreprise Dassault, le fabricant des 12 avions de combat haute performance Rafale que l'armée de l'air croate a achetés pour la modernisation de l'aviation nationale croate. Nous avons discuté de la construction liée à l'utilisation future de ces avions et de la capacité de l'armée de l'air croate à les utiliser.
  3. Concrètement, que peuvent faire les Européens face à Trump ? Chacun s’accorde à dire que le contexte actuel contraint les Européens à se mobiliser face à ce qui s’apparente à la fin de l’alliance transatlantique. Mais concrètement, quelles mesures devraient être prises, et par qui exactement ? Est-il possible d’agir conjointement dans le cadre d’une UE à 27 dont les dirigeants ne sont pas nécessairement d’accord sur tout ? Chacun s’attendait à un Donald Trump plus dur lors de son second mandat que lors du premier, mais personne n’avait anticipé un tel alignement sur Vladimir Poutine. Le président des États-Unis a en effet cédé à son homologue russe l’essentiel de ce que celui-ci pouvait espérer – la conservation des territoires conquis par la Russie et l’assurance de la non-entrée de l’Ukraine dans l’OTAN – avant même l’ouverture de négociations, tout en humiliant publiquement Volodymyr Zelensky et en suspendant l’aide militaire à Kiev (avant de la rétablir quand l’Ukraine a donné son assentiment à la proposition de trêve avancée par Washington à Djeddah le 11 mars dernier). Dans un tel contexte, que peuvent faire Ukrainiens et Européens ? Dans l’immédiat, pas grand-chose. Ils sont en effet très dépendants des équipements militaires états-uniens, qu’il s’agisse des missiles sol-air Patriot ou des munitions pour la défense antiaérienne, des F16 ou encore du renseignement spatial. C’est ce qui explique le profil bas maintenu à l’égard des États-Unis tant par Zelensky, malgré les humiliations qu’il a subies, que par les Européens qui cherchent à éviter de rompre avec le président américain. Chacun espère encore éviter la capitulation totale de l’Ukraine en infléchissant la position des États-Unis, ce qui semble s’être amorcé à Djeddah. L’OTAN n’existe plus de facto S’il reste difficile d’anticiper précisément l’évolution de la guerre en Ukraine, les leçons à tirer des débuts de la seconde présidence Trump sont, elles, d’ores et déjà très claires. La garantie de sécurité offerte à l’Europe par les États-Unis dans le cadre de l’OTAN n’existe plus de facto. Chacun sait désormais que l’achat de matériel militaire à ces derniers représente une menace potentielle pour la sécurité des pays qui y ont recours parce que les États-Unis continuent d’en contrôler l’emploi. Et tout le monde a compris que Donald Trump entend démanteler le multilatéralisme et le droit international bâti après la Seconde Guerre mondiale. La plupart des responsables européens ont pris la mesure de ce changement d’ère. Y compris les plus fervents atlantistes comme la haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Kaja Kallas, qui estimait le 28 février dernier qu’« il est devenu clair que le monde libre a besoin d’un nouveau leader », ou encore Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, toujours très attentive jusqu’ici à ne jamais fâcher Washington. C’est le cas également du futur chancelier allemand Friedrich Merz qui a affirmé que sa « priorité absolue sera de renforcer l’Europe le plus rapidement possible pour obtenir peu à peu une véritable indépendance vis-à-vis des États-Unis ». C’est le cas, enfin, de Donald Tusk, le premier ministre polonais, qui cherche désormais lui aussi une alternative au parapluie nucléaire américain disparu. L’Union européenne peut-elle faire ce qu’il faut ? Il y a lieu d’en douter Que doivent faire les Européens ? Reconstruire une industrie de défense qui permettrait aux armées européennes de se passer des équipements américains ; rebâtir une architecture de sécurité qui ne fasse plus appel aux États-Unis ; et, enfin, trouver de nouveaux alliés pour préserver le multilatéralisme et le droit international. Mais l’UE peut-elle mener à bien des chantiers aussi colossaux ? Il y a de nombreuses raisons d’en douter. Il faudra probablement en passer surtout par des formats ad hoc en dehors des institutions de l’Union. A priori, la tâche n’a pourtant rien d’insurmontable. En 2023, le PIB de l’UE était huit fois plus important que celui de la Russie. Les dépenses militaires cumulées des pays de l’UE, 326 milliards d’euros en 2024, sont 2,5 fois supérieures aux dépenses militaires russes, malgré la mobilisation totale du pays pour la guerre contre l’Ukraine. Mais la règle de l’unanimité, toujours en place dans ce domaine, rend le cadre de l’Union largement inutilisable en matière de sécurité et de défense. L’Union européenne vient certes d’adopter, le 6 mars dernier, le plan ReArm Europe, proposé par Ursula von der Leyen. Le montant global annoncé – 800 milliards d’euros – est impressionnant, supérieur aux 750 milliards d’euros mobilisés en 2020 avec Next Generation EU face à la pandémie de Covid-19. Mais quand on y regarde de plus près, on se rend compte qu’aucun argent nouveau supplémentaire n’est en réalité mis sur la table à l’échelle de l’Union. L’exclusion des dépenses militaires des règles du Pacte de stabilité marque bien sûr une évolution positive des politiques européennes. Mais la hausse des budgets militaires que cette réforme devrait faciliter restera gérée à un niveau purement national et continuera de peser sur les finances publiques des États. Le changement des règles pour permettre à la Banque européenne d’investissement (BEI) de financer des projets de défense était certes attendu, mais il ne s’accompagne pas d’une augmentation du capital de la banque. Cet effort restera donc limité. La réorientation de 150 milliards d’euros de prêts prévus dans le cadre de Next Generation EU vers le financement de projets communs de défense se fera aux dépens des transitions énergétique et numérique. Quant à la réorientation des fonds de cohésion, elle se fera, elle, aux dépens de la lutte contre les inégalités territoriales. Il manque une nouvelle dette commune et la saisie des avoirs russes Il manque à ce plan deux volets qui auraient marqué un véritable sursaut européen : un nouvel endettement commun et la saisie des quelque 235 milliards d’euros d’avoirs russes gelés en Europe, et plus seulement des intérêts qu’ils dégagent. Mais pour l’instant, les divisions ont empêché l’UE de s’engager dans cette voie. La Hongrie de Viktor Orban n’est cette fois pas la seule à s’opposer à une telle saisie ; c’est le cas également, pour l’instant, des gouvernements français et allemand, qui craignent que l’Europe y perde sa capacité à accueillir des capitaux étrangers. On verra si les choses bougent dans les prochains mois sur ce plan au fur et à mesure que les Européens prendront toute la mesure de la gravité de la situation. Là où l’UE peut néanmoins déjà jouer un rôle, c’est en matière de renforcement de l’industrie de défense, domaine dans lequel elle dispose d’outils et de moyens significatifs. La tâche est énorme parce que cette industrie a été très affaiblie après la chute du mur de Berlin dans tous les domaines traditionnels. De plus, alors que les Européens avaient une position solide dans le spatial, ils ont perdu pied ces dernières années. L’aviation militaire européenne reste extrêmement dépendante des États-Unis et si les ventes de Rafale ont augmenté ces dernières années, c’est surtout en dehors de l’Union. L’industrie des drones européenne reste balbutiante… La tâche est aussi très délicate sur le plan politique. La plupart des projets européens d’équipements militaires, et notamment les projets franco-allemands, ont été des fiascos jusqu’ici, chacune des armées cherchant à préserver ses spécificités et à favoriser ses propres fournisseurs. Le projet de char du futur franco-allemand n’arrête pas de prendre du retard tandis que le développement de l’Airbus de transport militaire A400 M a été un véritable calvaire. Inciter les industriels à coopérer et à fusionner Le nouveau contexte géopolitique va-t-il permettre d’enfin surmonter ces blocages ? Pour que l’UE puisse inciter efficacement les industriels de l’armement à collaborer bien davantage voire à fusionner, il faudra qu’elle ait suffisamment d’argent à mettre sur la table, ce qui rejoint le point évoqué précédemment. Par ailleurs, à court terme, l’industrie européenne de l’armement n’aura pas la capacité suffisante pour fournir aux armées du continent matériels et munitions au niveau qu’implique désormais la menace. Si l’on veut pouvoir se passer des équipements américains, il faudra acheter d’autres équipements non européens, turcs ou coréens notamment. Et accepter que des fonds européens puissent aider les États de l’Union à en acquérir. Dans le domaine militaire au sens strict ainsi que dans celui du renseignement, il reste en revanche improbable qu’on parvienne à progresser significativement à 27. Il faudra compter avant tout sur des coalitions de pays volontaires hors du cadre formel de l’UE, d’autant qu’il faudra nécessairement y associer des pays non membres comme le Royaume-Uni, la Norvège, la Turquie voire le Canada ou l’Australie. C’est déjà le cas, par exemple, pour le projet consistant à assurer une protection aérienne à l’Ukraine, pour le déploiement d’une éventuelle force d’interposition en cas de cessez-le-feu ou encore pour construire un bouclier antimissile européen. Au-delà, devrait se poser rapidement la question d’une alliance de sécurité pérenne capable de se substituer à une OTAN désormais dépassée. Ce sera nécessaire en particulier pour formaliser l’extension éventuelle de la protection nucléaire française et britannique à d’autres pays européens, comme le souhaitent la Pologne et l’Allemagne. Là aussi, cette nouvelle architecture collective de sécurité européenne, qui devra prendre le relais de l’OTAN en préservant son savoir-faire, devra probablement démarrer en dehors du cadre formel de l’UE. Se rapprocher des autres alliés des États-Unis et se tourner vers le Sud global Enfin, l’UE et les autres États européens doivent d’urgence agir pour protéger le multilatéralisme et le droit international face à Donald Trump. Pour cela, il leur faut d’abord resserrer leurs liens avec les pays du G6 (le G7 moins les États-Unis, à savoir le Japon et le Canada), mais aussi avec la Corée du Sud ou encore l’Australie – pour coordonner leurs réponses aux agressions du président des États-Unis. Parallèlement, l’UE doit se tourner (enfin) bien davantage vers les pays du « Sud global » – l’Indonésie, l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud… – pour moderniser avec eux le cadre multilatéral existant, en leur y donnant plus de place, ce qui contribuera à faire barrage à la volonté de Donald Trump de détruire le droit international. Il sera essentiel, en particulier, de sauver l’accord de Paris et la lutte contre le changement climatique, en coopérant étroitement sur ce dossier avec la Chine pour contrer les États-Unis. Bref, les Européens ont a priori les moyens de contrer Donald Trump et Vladimir Poutine ; mais leur principale difficulté consiste à parvenir à mobiliser ces moyens efficacement. Il restera sans doute souvent difficile d’y parvenir dans le cadre de l’UE et il faudra probablement recourir, dans beaucoup de dossiers, à d’autres formats.
  4. « Nous avons entendu l’appel du président » : Dassault envisage de livrer jusqu’à cinq Rafale par mois dans les années à venir « Nous prévoyons d’atteindre trois Rafale livrés par mois l’année prochaine, et quatre à partir de 2028-29 », a annoncé le PDG du groupe ce dimanche, disant avoir « entendu l’appel » d’Emmanuel Macron qui avait affiché sa volonté « d’accroître et accélérer les commandes de Rafale » au vu du contexte géopolitique Dassault Aviation envisage de monter rapidement en cadence et « étudie la possibilité » de livrer jusqu’à cinq Rafale par mois comme demandé par Emmanuel Macron face aux turbulences géopolitiques, a déclaré son PDG Éric Trappier dans une interview au JDD. Le président français a annoncé mardi que l’État allait « accroître et accélérer les commandes de Rafale » au bénéfice de l'armée de l'air dans le cadre de nouveaux investissements de défense décidés face à la « bascule » géopolitique. « Nous avons entendu l’appel du président » « En 2020, nous livrions moins d’un Rafale par mois. Aujourd’hui, nous en sommes à plus de deux par mois et nous allons encore augmenter le rythme […] Nous prévoyons d’atteindre trois Rafale livrés par mois l’année prochaine, et quatre à partir de 2028-29, a déclaré le PDG du groupe français. « Nous avons entendu l’appel du président et étudions la possibilité de passer à cinq Rafale par mois. Il n’y a pas encore de commandes concrètes, mais nous souhaitons anticiper. Avons-nous suffisamment de surface ? Faut-il recruter ? Les sous-traitants pourront-ils suivre ? Les motoristes seront-ils capables de répondre à la demande ? Nous avons lancé l’étude », a-t-il ajouté. Il a confirmé les volumes dont a besoin l’armée française évoqués par le ministre des Armées, à savoir une vingtaine de Rafale pour l'armée de l'air et une dizaine pour la Marine nationale. Interrogé pour savoir si le Rafale a une carte à jouer face à l’imprévisibilité de Donald Trump alors que des commandes de F-35 américain sont suspendues, Eric Trappier a dit que Dassault était « prêt à fournir » ses services. Proposer son avion au Portugal Dassault souhaite notamment « proposer » son avion au Portugal. « C’est un pays de l'Union européenne et de l’Otan. Il disposerait des mêmes capacités d’interopérabilité que nous dans le cadre de l’Alliance, donc cela semble logique », a ajouté Eric Trappier. Il a dit avoir « confiance » concernant la livraison de Rafale en Inde, un contrat en préparation depuis longtemps. « Pour nous, c’est aussi une opportunité d’étendre nos chaînes de production en installant une ligne sur place, destinée aux besoins indiens, mais qui pourrait également servir dans notre montée en puissance. » « J’ai connu la période où le Rafale était décrié. Aujourd’hui, il est devenu l’alpha et l’oméga car il sait tout faire et il est 100 % français », a-t-il dit, en critiquant au passage le modèle d’Airbus, géant de l’aéronautique européen « si grand qu’il ne sait plus ce qu’il fait » et inapproprié, selon lui, pour l’Europe de la défense.
  5. Il est clair que c'est le Rafale F5 qui porte l'ASN4G mais l'UCAV est censé lui ouvrir la voie. Dans un premier temps la priorité de F5 c'est de remplir la mission nucléaire.
  6. Picdelamirand-oil

    Luftwaffe

    Le second mandat Trump est un véritable changement de régime plutôt qu’un simple changement d’administration. L’argument central est que le mouvement MAGA ne serait pas une simple réaction populiste, mais un projet idéologique structuré visant à démanteler les institutions démocratiques et le multilatéralisme. Un régime postlibéral Le trumpisme ne se limiterait plus à des discours anti-establishment, mais reposerait sur un projet idéologique cohérent, articulé autour d’un rejet du libéralisme et d’un monde basé sur des valeurs démocratiques. L’Europe, bastion de ces valeurs, deviendrait un obstacle, voire une cible. Une alliance entre postlibéraux et libertariens Deux courants domineraient le MAGA : Les postlibéraux, représentés par J.D. Vance, qui voudraient remplacer le libéralisme par un ordre autoritaire. Les libertariens de la tech, comme Elon Musk, qui s’opposeraient aux États régulateurs et aux institutions démocratiques. Ces deux groupes seraient unis par une haine commune du libéralisme et des contre-pouvoirs. La politique étrangère mêlerait isolationnisme et expansionnisme : retrait des engagements inutiles, mais affirmation brutale de l’hégémonie américaine sur les Amériques et le Grand Nord. L’Europe pourrait être perçue comme un ennemi idéologique, contrairement à la Russie et la Chine, qui sont des rivaux géopolitiques mais pas des adversaires "civilisationnels". L’OTAN et les alliances traditionnelles deviendraient secondaires. Une politique économique punitive Trump utiliserait l’économie comme un outil de coercition pour distinguer alliés et vassaux des ennemis. Fin du multilatéralisme, place à des relations purement transactionnelles basées sur la force. Un affrontement entre "Internationale libérale" et "Internationale illibérale" L’Europe serait un champ de bataille politique entre ces forces. Si cette vision est exacte, on pourrait s’attendre à une rupture entre les États-Unis et l’Europe sous Trump 2, avec une hostilité ouverte envers l’UE. L’OTAN pourrait être fragilisée, et les pays européens pousser à renforcer leur autonomie stratégique. Les alliances américaines pourraient se redessiner, avec un rapprochement assumé avec des régimes autoritaires partageant les valeurs "illibérales" du mouvement MAGA.
  7. Comment on fait la mission nucléaire à partir du porte avion?
  8. A new U.S. Air Force analysis recommends continuing the development of NGAD, as well as terminating the NGAS stealth tanker program which was supposed to support the next gen fighter in contested airspace. Une nouvelle analyse de l'armée de l'air américaine recommande de poursuivre le développement du NGAD et de mettre fin au programme de ravitailleur furtif NGAS, qui était censé soutenir l'avion de combat de nouvelle génération dans l'espace aérien contesté.
  9. Stratégie pour préserver l’indépendance de Dassault Ne jamais intégrer directement MADL dans le Rafale Intégrer MADL signifierait donner accès aux États-Unis aux systèmes internes du Rafale, ce que Dassault veut éviter à tout prix. Même avec une licence canadienne, cela nécessiterait une validation américaine et risquerait de compromettre l’autonomie française. Développer une solution de "passerelle intermédiaire" Une plateforme tierce (AWACS, MRTT, drone relais) recevrait les données MADL des F-35 et les convertirait vers un protocole que le Rafale peut utiliser (ex: une version modifiée du Link 16 ou liaison intra-patrouille F5). Cela permettrait au Rafale de recevoir des informations de la bulle MADL sans jamais être directement intégré au réseau F-35. Exploiter les capacités de Spectra et des radios logicielles du Rafale F5 Le Rafale F5 va déjà intégrer des radios logicielles adaptables, ce qui signifie qu’il pourrait potentiellement dialoguer avec un système hybride basé sur une liaison adaptée au MADL. Spectra pourrait également être utilisé pour analyser les émissions MADL et en tirer des informations utiles, même sans connexion directe. Le Canada comme "tampon technique" Le Canada, en tant qu’acheteur du F-35 et du Rafale, pourrait développer une interface sans nécessiter que Dassault cède son code source. Il pourrait s’agir d’une solution canadienne indépendante qui servirait uniquement à assurer l’interopérabilité entre les deux flottes. Conclusion L’idée d’une passerelle indépendante permettrait au Rafale de fonctionner efficacement avec les F-35 canadiens sans compromettre l’autonomie stratégique française. Ce serait une solution pragmatique pour permettre au Canada de sortir (partiellement) du piège ITAR tout en maintenant une cohérence dans sa défense aérienne.
  10. Un petit pas pour Donald, un grand pas pour l'humanité.
  11. C'est parce que tu fait des hypothèses à la con: qui t'a dit que la connectivité et la capacité à travailler avec un pseudo NeuroN exigeraient la version 5? pourquoi pas 4.3? en fait l'impossibilité de passer en version 5 c'est uniquement les antennes multifonctions autours de l'avion, mais on peut s'en passer. Et Dassault a bien dit que les versions 4 continueraient d'évoluer. En plus dans un air fan un DGA avait dit que la limitation pour passer en F5 ne concernait que des Rafale Français parce qu'aucun des Rafale exportés n'était concerné. Tu crois que Dassault ne sait pas prendre des mesures conservatoires quand on lui fait part des nouveaux besoins opérationnels?
  12. Attend que la guerre de l'Alaska se déclenche:
  13. L'évolution du Rafale a été la plus intelligente que j'ai jamais vue pour un chasseur et @Patrick la conteste !
  14. Lockheed “Scrambles” To Save F-35 Deal With Canada! Rafales Back In The Hunt As Carney Visits France For 1st Trip? Lockheed « se démène » pour sauver l'accord sur les F-35 avec le Canada ! Les Rafales de nouveau à l'ordre du jour alors que Carney se rend en France pour son premier voyage ? Lockheed Martin, le fabricant de l'avion de combat furtif F-35 Lighting II, qui se trouve actuellement dans l'œil du cyclone politique, fait des tentatives concertées pour sauver l'accord canadien de l'effondrement. Le géant américain de l'aérospatiale aurait fait une nouvelle offre à Ottawa. Citant des sources, la publication canadienne The Globe and Mail a rapporté le 20 mars que Lockheed Martin, le fabricant de l'avion furtif de cinquième génération F-35 Lightning II, a promis au Canada de créer plus d'emplois dans le pays s'il reste engagé à acheter les 88 chasseurs F-35A. EurAsian Times n'a pas pu vérifier ces affirmations et a contacté Lockheed Martin pour obtenir des commentaires. Toutefois, si elles sont vraies, il pourrait s'agir d'une tentative de Lockheed d'exploiter une politique canadienne clé pour sauver l'accord sur les F-35. La stratégie d'acquisition de défense du Canada appelle à « tirer parti des acquisitions de défense et de sécurité pour créer des emplois hautement qualifiés et une croissance économique dans l'ensemble de l'économie canadienne ». L'annonce de cette nouvelle offre de Lockheed intervient dans un contexte de suspicion croissante à l'égard de la plateforme F-35 et des politiques hostiles de Donald Trump. Plus tôt, des experts allemands en sécurité ont suggéré d'examiner de près l'accord sur les chasseurs en raison de préoccupations concernant un prétendu « kill switch » (interrupteur d'arrêt). Le Portugal, quant à lui, a annoncé sa décision de ne pas acheter l'avion en raison de « circonstances géopolitiques ». Plus tard, le Canada a également déclaré qu'il chercherait des alternatives au F-35 et explorerait les jets européens. Craignant une chute des ventes, Lockheed Martin, ainsi que le Joint Program Office (JPO), ont récemment publié des déclarations rejetant les rumeurs d'un kill switch (supposé être un mécanisme logiciel pouvant perturber le fonctionnement de l'avion) sur le F-35. Si l'offre de Lockheed au Canada, telle qu'elle est citée dans le rapport de presse, est vraie, elle pourrait être le signe d'une tentative désespérée du fabricant pour apaiser Ottawa. Le Canada a commandé 88 chasseurs F-35A de cinquième génération aux États-Unis en 2023. La première tranche de 16 jets, qui a déjà été payée, devrait arriver dans le pays au début de l'année prochaine. Cependant, le gouvernement canadien reconsidère à présent l'achat du reste des chasseurs dans un contexte d'escalade des tensions diplomatiques avec l'administration Trump. L'accord n'a pas été annulé, mais le gouvernement a affirmé qu'il devait « s'assurer que le contrat dans sa forme actuelle est dans le meilleur intérêt des Canadiens et des Forces armées canadiennes », a déclaré plus tôt un porte-parole du ministère de la Défense. Le Canada a également indiqué que d'autres solutions étaient actuellement à l'étude. Le Premier ministre Mark Carney a déclaré : « Nous avons discuté des options du Canada, et le fait est que dans le cadre du contrat [F-35], comme vous le savez peut-être, il y a - après un certain nombre d'achats - des options sur des avions ultérieurs ». Les deux nations nord-américaines, qui sont traditionnellement de solides alliés, sont sur une trajectoire de collision depuis que Donald Trump est devenu président. Connu pour son penchant pour les controverses, Trump a appelé à plusieurs reprises le Canada à devenir le 51e État des États-Unis d'Amérique, menaçant même subtilement de l'annexer. Il a en outre imposé au pays des droits de douane sans précédent, une mesure qui peut avoir des répercussions négatives sur l'économie canadienne. Toutefois, la remise en question du Canada ne repose pas uniquement sur des différences circonstancielles avec les États-Unis. Le Canada (et d'autres pays) craint de plus en plus qu'en cas de désaccord ou de retombées politiques, l'administration Trump n'utilise le contrôle qu'elle exerce sur l'avion pour bloquer l'accès aux pièces détachées et aux mises à jour logicielles nécessaires pour que l'avion puisse continuer à voler et à être prêt au combat. La coercition de Trump à l'égard de l'Ukraine, qui a impliqué l'arrêt de l'aide militaire pour amener le pays en difficulté à mettre fin à la guerre, a suscité l'inquiétude et l'insécurité parmi les alliés des États-Unis. Le Canada craint de ne jamais pouvoir contrôler entièrement l'avion hautement automatisé. Lockheed Martin a toujours refusé de donner son « code source » complet à des clients étrangers, y compris à des alliés proches des États-Unis. Il convient de noter que l'opinion publique canadienne s'est retournée contre les États-Unis et l'accord sur le F-35. Depuis la signature de l'accord, celui-ci a suscité le mécontentement des Canadiens en raison du coût exorbitant de l'achat. Dans les jours qui ont précédé la signature du contrat, des militants ont protesté dans tout le pays contre la décision du Canada d'acheter des avions de combat américains. Plus tard, un rapport du Bureau parlementaire du budget (BPB) publié en novembre 2023 a également prédit une forte escalade des prix qui pourrait coûter au contribuable canadien des milliards de dollars de plus que ce qui avait été initialement convenu, ce qui a encore accentué la frénésie. C'est pourquoi, dans un contexte de détérioration des relations avec les États-Unis, les Canadiens se sont ralliés à l'idée d'annuler l'accord sur le F-35. Le Rafale peut-il revenir dans la balance ? Alors qu'il envisage de renoncer à l'achat de F-35, le Canada se tourne vers l'Europe pour trouver une alternative. La priorité sera probablement donnée au Gripen-E de la société suédoise SAAB, qui a perdu le contrat au profit du F-35. À l'époque, la société SAAB, dépitée, avait accusé le Canada d'avoir joué un rôle déloyal. Si le Canada envisage sérieusement d'abandonner le contrat du F-35, SAAB pourrait renouveler son offre au Canada. Le site web de SAAB indique ce qui suit « Le Gripen, l'avion de combat le plus récent et le plus rapide proposé, a été conçu pour les conditions climatiques et les exigences stratégiques du Canada. Il possède le plus grand rayon d'action et le meilleur rendement énergétique. Mieux encore, le Gripen constitue une percée révolutionnaire dans la conception des avions de combat, qui permet des mises à jour technologiques rapides et faciles - une caractéristique essentielle pour un équipement militaire destiné à servir pendant des décennies ». Outre le Gripen, il existe deux autres alternatives européennes : l'Eurofighter Typhoon (développé par le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie) et le Dassault Rafale français. Toutefois, on craint que les États-Unis n'opposent leur veto à ces ventes, car ils fournissent des composants essentiels au Gripen, notamment ses moteurs. « La capacité des Américains à bloquer (une vente) serait la plus élevée avec le Gripen en raison du moteur », a déclaré l'analyste de la défense Martin Shadwick, qui a pris sa retraite après avoir enseigné les études stratégiques à l'université York de Toronto, cité par un média canadien. « C'est le Rafale qui aurait le moins de contenu américain », a-t-il ajouté. Lorsque le Canada s'est lancé dans l'achat d'avions de combat, il a présélectionné le Rafale, parmi d'autres concurrents. Toutefois, après avoir examiné le projet de demande de proposition, Dassault Aviation a conclu qu'il serait difficile de répondre aux exigences canadiennes, notamment en matière d'échange de données de renseignement et d'interopérabilité, en particulier avec les États-Unis. Dassault s'est retiré de la compétition en 2018. À l'époque, les experts ont noté que la protection de l'espace aérien nord-américain étant l'un des rôles principaux de la RCAF, les jets d'origine française ne faisaient pas l'affaire, car la RCAF collabore avec l'US Air Force par l'intermédiaire du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD). Comme l'a précédemment décrypté l'EurAsian Times, la principale pierre d'achoppement pour le Rafale était la trop grande quantité de matériel français incompatible avec la RCAF, notamment le radar et le système ECM SPECTRA fabriqués par Thales et les moteurs produits par Snecma. Il s'agit également de systèmes d'armes, qui pourraient constituer un défi de taille pour la RCAF. Il reste à voir si la France et le Canada peuvent élaborer un plan pour faciliter un achat potentiel à ce stade en procédant à des ajustements technologiques. Le président français Emmanuel Macron a déjà jeté son chapeau dans l'arène en appelant ses alliés et partenaires à acheter du matériel militaire français comme alternative aux armes américaines. « Ceux qui achètent des Patriot devraient se voir proposer le SAMP/T franco-italien de nouvelle génération. Ceux qui achètent le F-35 devraient se voir proposer le Rafale », a déclaré M. Macron aux médias français lors d'une récente interaction. Il est intéressant de noter qu'après avoir succédé à Justin Trudeau au poste de premier ministre canadien, M. Carney a choisi la France et le Royaume-Uni, deux puissances européennes clés, plutôt que les États-Unis, pour son premier voyage à l'étranger. À Paris, M. Carney a déclaré que son pays devait « renforcer ses liens avec des alliés fiables comme la France » alors que les relations avec les États-Unis s'effritent sous l'impulsion de Donald Trump. « Il est plus important que jamais pour le Canada de renforcer ses liens avec des alliés fiables comme la France », a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse conjointe avec le président français Emmanuel Macron au palais de l'Élysée, à l'occasion de son premier voyage à l'étranger depuis qu'il est devenu Premier ministre. « Je veux m'assurer que la France et toute l'Europe travaillent avec enthousiasme avec le Canada, le plus européen des pays non-européens, déterminé comme vous à maintenir les relations les plus positives possibles avec les États-Unis », a déclaré M. Carney.
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