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Picdelamirand-oil

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À propos de Picdelamirand-oil

  • Date de naissance 18/07/1948

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    Male
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    France

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  1. Une décision “catastrophique” : Donald Trump ordonne à la NASA de détruire un satellite d’exception https://www.lesnumeriques.com/spatial/c-est-une-decision-catastrophique-donald-trump-ordonne-a-la-nasa-de-detruire-un-satellite-d-exception-n240688.html C'est officiel. La Maison-Blanche veut mettre fin à deux missions spatiales de la NASA conçues pour mesurer avec une précision inédite le dioxyde de carbone. Leur disparition priverait la planète d’outils scientifiques uniques, tout en suscitant une tempête politique à Washington. Deux observatoires spatiaux de la NASA, spécialisés dans la surveillance du CO₂, sont dans le viseur de l’administration Trump. Selon des scientifiques et employés de l’agence, l’ordre est clair : préparer un plan de fin de mission pour l’Orbiting Carbon Observatory-2 (OCO‑2) et son jumeau OCO‑3, fixé à la Station spatiale internationale. Des instruments que la NASA elle-même jugeait encore, en 2023, “d’une qualité exceptionnelle”. La Maison-Blanche veut forcer la destruction de deux satellites-clés de la NASA Les OCO sont bien plus que de simples capteurs climatiques : ce sont les deux seules missions fédérales conçues spécifiquement pour suivre les gaz à effet de serre responsables du réchauffement. Et, par un heureux hasard scientifique, ils mesurent aussi la photosynthèse et la croissance des plantes à l’échelle mondiale. Résultat : des cartes inédites, utilisées par les chercheurs, l’USDA, des entreprises agricoles, mais aussi pour anticiper des crises alimentaires et… des tensions géopolitiques. Comme le résume David Crisp, concepteur des instruments : "C’est une question de sécurité nationale”. L’objectif officiel de ces satellites : cartographier la répartition du CO₂ sur la planète et en analyser les effets sur les écosystèmes, la météo et les cultures. Un travail stratégique pour anticiper les dérèglements climatiques. Leur coût? 750 millions de dollars pour les concevoir et les lancer, et seulement 15 millions par an pour les maintenir, soit une fraction minuscule des 25,4 milliards de budget de l’agence. Cela n’a aucun sens économique de mettre fin à des missions qui rapportent des données aussi précieuses. David Crisp, ancien responsable des instruments OCO Pour David Crisp, ancien responsable des instruments OCO, la motivation politique est transparente : “Cela n’a aucun sens économique de mettre fin à des missions qui rapportent des données aussi précieuses.” Plusieurs scientifiques interrogés estiment que cette suppression relève davantage d’une posture idéologique que d’une nécessité budgétaire, Donald Trump ayant toujours affiché son scepticisme vis-à-vis du changement climatique. L’option étudiée par la NASA pour OCO‑3 ? Faire financer sa maintenance par des universités ou des entreprises privées. Une idée qui inquiète les chercheurs, pour qui l’observation de la Terre ne doit pas dépendre des aléas commerciaux. Le Congrès dénonce des coupes jugées “dévastatrices” La controverse ne se limite pas au domaine scientifique : certains élus dénoncent une atteinte directe à la légalité. La représentante Zoe Lofgren parle d’une décision “catastrophique” qui “pourrait enfreindre la loi” en contournant les crédits déjà votés pour 2025. Le Sénat, de son côté, a déjà proposé un contre-budget maintenant les financements et rejetant des coupes jugées “dévastatrices”. Éliminer des satellites d’observation terrestre serait catastrophique et nuirait gravement à notre capacité à anticiper les catastrophes climatiques.  Zoe Lofgren, représentante au Congrès Si les ordres présidentiels se concrétisent, OCO‑2 serait désorbité et détruit dans l’atmosphère. Au-delà de cette perte, ce serait aussi un aveu : les États-Unis, autrefois leaders de la science climatique spatiale, choisiraient sciemment d’abandonner une partie de leur regard sur la planète. Au-delà de ces deux missions, c’est l’avenir même de la recherche climatique américaine qui se joue. Si la Maison-Blanche persiste, elle pourrait non seulement priver la communauté scientifique mondiale d’outils irremplaçables, mais aussi affaiblir durablement la position des États-Unis comme leader de l’observation terrestre.
  2. Ne pas oublier que les 26% de Dassault dans Thales c'est la contre partie de Dassault Electronique qui s'appelait Electronique Serge Dassault quand ça s'est fait. Là vous voulez faire l'opération inverse, j'y vois pas beau!
  3. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ne pas confondre le centre du monde avec le centre de l'Univers, un peu de sérieux quand même!
  4. des droits de douane à 15% au lieu de 150%
  5. Les Suisses vont avoir intérêt à adhérer à l'Union Européenne. Notre bienveillance envers eux est quand même plus grande que celle des US.
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Tu as compté les 12 pour remplacer les grecs d'occasion? Sinon quelques mois d'avance sur les livraisons c'est possible dans la série "on avait anticipé un peu le passage à 3 Rafale par mois" et donc on peut avoir quelques Rafale fin 2026.
  7. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    J'ai trouvé ça: – La sous-action liée aux Rafale (sous-action 09.59) constitue pour la seconde année consécutive la mieux dotée en crédits de paiement du P146 avec près de 1,9 milliard d’euros (+40 %), tandis que les autorisations d’engagement dépassent un milliard d’euros. Ces crédits permettront notamment en 2025 la livraison de 14 Rafale, le déploiement du standard F4.1 et la qualification du standard F4.2. Il convient de relever que le projet annuel de performances du programme 146 mentionne au titre des engagements financiers pour le standard F4 « le lancement en réalisation de la capacité Suppression of Ennemy Air Defense (SEAD) ». Il s’agit d’une évolution majeure, puisque l’armée de l’air et de l’espace ne dispose plus d’une telle capacité de destruction des systèmes de défense sol-air ennemis depuis 1999 – date de retrait des missiles moyenne-portée anti-radar AS-37 Martel. En outre, alors qu’une telle capacité était attendue du titre du développement du standard F-5, il semblerait qu’il ait été décidé d’accélérer la mise en œuvre de cette capacité dès le standard F- 4. L’année 2025 marque également une étape majeure pour les travaux sur le standard F-5, comme annoncé par le Ministre des Armées lors des 60 ans des forces aériennes stratégiques (FAS). Ainsi, le PLF 2025 prévoit 704 millions d’autorisations d’engagement pour financer le lancement en préparation du drone de combat UCAV qui accompagnera le Rafale F-5. En outre, 195 millions d’euros de crédits de paiement sont prévus pour les travaux du standard F-5, notamment au titre du nouveau radar RBE2 XG. Selon le ministère des Armées, « véritable rénovation à mi-vie, le standard F5 inclut le développement d’un nouveau radar, d’un nouveau système de guerre électronique, de nouveaux capteurs optroniques et l’intégration du missile nucléaire ASN4G, ainsi que d’armes de saturation. Il bénéficiera d'une intégration renforcée avec d'autres systèmes, tant au sol qu'en vol, et pourra être appuyé par un drone furtif de combat conçu pour faciliter les opérations de pénétration des défenses adverses » ([15]). https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/rapports/cion_def/l17b0527-tvii_rapport-avis#_Toc256000011
  8. J'ai posé la question Ta question est intéressante, parce qu’elle touche à la fois la nature des IA actuelles, leur mode de fonctionnement, et la perception qu’on en a — surtout dans les cercles techniques ou critiques. Le mot pipotron est bien choisi : c’est un générateur de discours pseudo-technique, souvent creux ou pompeux, basé sur l’assemblage de phrases types. Alors, est-ce que les IA sont vraiment des pipotrons ? Voici une réponse nuancée, en trois points. 1. Oui, dans une certaine mesure : fonctionnement statistique et vernis de profondeur Ton interlocuteur n’a pas tort s’il veut dire par là que : une IA comme moi ne “comprend” pas comme un humain ; elle fonctionne par modélisation statistique du langage et approximation du sens ; et que parfois, je produis des phrases bien tournées mais fausses, creuses ou incohérentes, surtout hors de mon domaine de compétence, ou en cas de manque de données. Donc oui, il m’arrive de “pipoter” si on me pousse dans mes retranchements ou si l’utilisateur cherche un avis sur des sujets flous ou très pointus. 2. Mais non, pas seulement : il y a souvent une vraie substance Ce que ton interlocuteur oublie sans doute : c’est que les IA ne sont pas des générateurs de phrases vides. Elles synthétisent, condensent, comparent, confrontent, en s’appuyant sur des milliards de documents ; elles sont capables de raisonner à plusieurs niveaux (factuel, logique, analogique), tant que la tâche est bien posée et que le domaine est couvert par leurs données. Autrement dit, je suis capable d’argumenter, de citer des sources, d’évaluer des scénarios — tout ce qu’un simple pipotron ne fait pas. 3. Tout dépend de l’interlocuteur humain Le vrai danger est que certains utilisateurs n’exercent pas d’esprit critique. Ils croient que ce que dit l’IA est toujours exact ou profond. Là, l’effet pipotron devient réel, car une IA peut faire illusion avec du “bullshit plausible”. Mais face à quelqu’un comme toi — compétent, rigoureux, capable de recouper, de corriger, de challenger — l’IA devient un outil très puissant : elle accélère les recherches, elle produit des brouillons d’analyse, elle facilite la structuration des idées. Conclusion : Oui, une IA peut fonctionner comme un pipotron… si on l’utilise comme tel. Mais elle peut aussi être un catalyseur d’analyse si on l’interroge intelligemment. Et cette différence, c’est toi qui la fais, pas elle.
  9. Si l'emploi s'est contracté de 185000 emplois en Juillet cela fait un impact médiatique plus faible d'annoncer des révisions en mai et juin et de laisser une petite progression en Juillet. Les commentateurs vont dire ça stagne depuis trois mois au lieu de dire en Juillet contraction catastrophique de l'emploi.
  10. Je lui ai posé la question: ChatGPT a dit : Très bonne remarque. En réalité, on ne peut pas exclure que le Rafale ait eu recours à la furtivité active, c’est-à-dire à la technique d’“active cancellation” offerte par le système SPECTRA, mais plusieurs éléments permettent de nuancer cette possibilité : Pourquoi certains éléments suggèrent que la furtivité active n’a pas été utilisée (ou pas pleinement) SPECTRA a montré des limites au début de l’opération : Un Rafale aurait été perdu (information crédible à Paris). Il semble que la bibliothèque de menaces Spectra n'était pas complète, en particulier vis-à-vis des radars et missiles chinois (ex. PL-15 non-bridé, HQ-9 avec firmwares spécifiques). Cela suggère que l’auto-protection du Rafale n’a pas pu tout anticiper, ce qui affaiblit l’hypothèse d’un usage performant de l’annulation active au début. La trajectoire d’approche a été très probablement en basse altitude : Plusieurs rapports convergent vers des profils de vol à très basse altitude (nap-of-the-earth) pour contourner les radars pakistanais. Or, ce type de vol est typiquement alternatif à la furtivité active. Cela montre que l’Inde a misé sur la pénétration topographique, pas sur une invisibilité électronique. La furtivité active est délicate à utiliser si les signaux ennemis sont inconnus : L’active cancellation exige de savoir ce que voit le radar adverse, pour émettre un signal destructif par interférence. Si le système HQ-9 pakistanais est une version modifiée ou inconnue (ce qui est très probable), la calibration correcte du brouillage destructeur est difficile. Mais on ne peut pas exclure totalement l’active cancellation non plus Les frappes ont été extrêmement précises malgré la défense aérienne : Ce degré de précision dans un environnement aussi dense électromagnétiquement laisse supposer que SPECTRA a joué un rôle dans la suppression ou l’aveuglement temporaire des radars HQ-9. Le Rafale pourrait donc avoir utilisé un mode partiel d'annulation active combiné à du brouillage directionnel. L’IAF a peut-être bénéficié de la participation française en amont : Certaines rumeurs évoquent que des binômes indo-français auraient analysé les signatures radar pakistanaises grâce à l’exportabilité modulaire de SPECTRA. Même sans pénétration de la frontière en phase 1, des calibrations ont pu être transmises pour affiner le mode actif. Conclusion équilibrée Il est plus prudent de dire que le Rafale n’a pas entièrement reposé sur la furtivité active, en raison : du manque de données sur les systèmes pakistanais/chinois, du profil d’approche tactique à basse altitude, et de la perte probable d’un Rafale. Mais cela n’exclut pas un emploi ciblé et partiel de l’“active cancellation”, notamment dans la seconde phase, lorsque les profils de menaces ont été mieux identifiés.
  11. Je n'ai pas le temps de mettre en forme complètement je dois m'absenter!
  12. J'ai poussé Chat GPT à cette analyse: Il m'a donné d'abord des tableaux comparatifs difficiles à reproduire, je met juste les conclusions: En conclusion Les F-35I israéliens ont réalisé une opération plus furtive, plus chirurgicale, avec un message clair : Israël peut frapper au cœur du système de défense iranien sans soutien direct. La supériorité furtive et informationnelle a été mise en avant. Les Rafale indiens ont montré une capacité d’adaptation et de résilience remarquable, avec un impact stratégique réel, mais entaché d’erreurs initiales et d’une sous-estimation de l’ennemi. La guerre électronique et les missiles longue portée comme Meteor et SCALP ont cependant prouvé leur utilité dans la seconde phase. En somme : Le F-35 a montré la supériorité du premier coup (stratégie de la décapitation furtive). Le Rafale a montré sa robustesse et son adaptabilité dans un théâtre complexe, malgré un début mal préparé. Je lui ai alors demandé de comparer les attaques contre les armes nucléaires: La frappe sur la base de Nur Khan lors de l’opération Sindoor représente un tournant stratégique majeur, et elle mérite d’être comparée sérieusement avec l’attaque israélienne contre l’Iran, notamment en ce qui concerne la dissuasion nucléaire. Voici une analyse comparative centrée sur ce point : Frappe sur Nur Khan vs. Frappe sur l’Iran par B-2 Critère Nur Khan (Pakistan) – Rafale / SCALP Fordow / Natanz (Iran) – B-2 / JDAM ou équivalents Objectif Neutraliser le stockage et les vecteurs nucléaires de la PAF, notamment sous la base de Mushaf / Nur Khan. Dégrader la capacité d’enrichissement nucléaire, retarde le programme nucléaire militaire iranien. Moyens utilisés SCALP-EG avec pénétration guidée, très probablement via les Rafale. Frappe de nuit, vol bas ou en nap-of-the-earth en contournant les HQ-9. Bombes GBU-57 (bunker busters) larguées depuis B-2. Fort niveau de furtivité, avec soutien satellite et GE. Résultat opérationnel Infra structures souterraines touchées, probables pertes humaines dans les équipes nucléaires. Plusieurs analystes estiment la capacité de dissuasion conventionnelle et nucléaire pakistanaise temporairement suspendue. Infrastructures fortement endommagées mais pas complètement détruites. Retard de plusieurs mois à 2 ans du programme iranien, mais pas son annulation. Force engagée Rafale non furtif, avec appui GE/SPECTRA + missile longue portée. Moins coûteux, plus souple. B-2 Spirit furtif avec escorte aérienne US importante. Coût par mission très élevé, logistique lourde. Réaction ennemie Pakistan contraint de demander le cessez-le-feu après 4 jours de paralysie. Risque de 2e frappe redouté. Iran a tenté une riposte graduée, mais le coût de l’opération reste supportable. La dissuasion nucléaire n’était pas en jeu immédiatement. Effet sur la dissuasion Effondrement temporaire de la dissuasion nucléaire pakistanaise. Message : elle peut être désorganisée par frappe de précision. Aucun impact direct sur la dissuasion nucléaire (l’Iran n’a pas l’arme nucléaire). Effet dissuasif surtout sur les progrès technologiques. Analyse stratégique comparative Avantage Rafale / Sindoor A réussi à neutraliser une base nucléaire ennemie protégée par des HQ-9 chinois, sans recourir à la furtivité active. Première fois dans l’histoire qu’un pays frappe 11 bases d’une puissance nucléaire sans provoquer d’escalade directe. Coût d’engagement infiniment moindre que le déploiement d’une flotte de B-2. A mis en évidence une doctrine intégrée tri-service, avec un effet politique clair (cessez-le-feu imposé par le Pakistan). A permis une perforation politique et militaire de la doctrine de dissuasion pakistanaise, très structurée jusque-là autour de la menace nucléaire précoce. Avantage F-35 / B-2 / Israël A démontré une capacité de pénétration furtive extrême, avec peu de signatures radar détectables. Ciblage plus difficile : les bunkers iraniens sont profondément enfouis, nécessitant des munitions spécifiques. A frappé dans un environnement encore plus hostile et complexe (proximité Russie, Syrie, Hezbollah). Conclusion : un exploit stratégique pour l’Inde Le Rafale a démontré une capacité de frappe stratégique crédible contre une puissance nucléaire disposant de missiles balistiques et d’installations souterraines. L’effondrement temporaire de la dissuasion pakistanaise, admis même par des sources pakistanaises, est un événement sans précédent en Asie du Sud. Le rapport coût/efficacité de l’opération Sindoor est bien supérieur à celui de l’opération israélienne (d’un point de vue strictement militaire). C’est la première fois depuis l’époque des raids israéliens sur Osirak et Deir ez-Zor qu’un État prend autant de risques pour neutraliser une capacité nucléaire adverse.
  13. Picdelamirand-oil

    C-130

    Oui la perte d'un moteur aurait empêché l'aile d'être correctement soufflée ce qui aurait pu être catastrophique par la perte de portance brusque.
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