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Messages posté(e)s par Banzinou
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Fighterbomber indique également la perte de l'A-100
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il y a 28 minutes, Wallaby a dit :
J'y crois parce que des tas de gens beaucoup plus compétents que moi y croient. Par exemple l'ancien directeur de la CIA Robert Gates :
Faire accepter par Gorbachev une Allemagne unifiée membre de l'OTAN a été un succès considérable. Mais agir aussi rapidement après l'effondrement de l'Union Soviétique pour incorporer autant de ses États qu'elle maintenait sous son joug a été une erreur. Inclure rapidement les États baltes, la Pologne, la Tchécoslovaquie et la Hongrie était une bonne chose, mais je pense que la procédure aurait dû ensuite ralentir. Tenter de faire entrer la Géorgie et l'Ukraine dans l'OTAN était vraiment aller trop loin. Les racines de l'empire russe peuvent être retracées à Kiev au 9e siècle, donc cela a constitué une énorme provocation. Les Européens, et encore moins les Américains, étaient-ils prêts à envoyer leurs fils et filles pour défendre l'Ukraine et la Géorgie ? C'est difficile à dire... L'élargissement de l'OTAN fut un acte politique et non un engagement militaire prudemment évalué, qui finalement sape la raison d'être de l'alliance et ignore témérairement ce que les Russes considèrent comme étant leur intéret national. (Duty: Memoirs of a Secretary at War - janvier 2014) (cité par https://nationalinterest.org/feature/understanding—-misunderstanding—nato’s-role-the-ukraine-10375 ,6 mai 2014)
Le même Robert Gates qui se felicitait et se réjouissait d'un gouvernement ukrainien pro-UE et pro-OTAN ? Juste pour savoir...
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
il y a 18 minutes, Wallaby a dit :L'exemple n'est pas pertinent parce que la France n'avait pas d'alliés, n'était pas le proxy d'une puissance extérieure. Ce n'est pas contre l'Ukraine tout court que la Russie fait la guerre, mais contre "L'Ukraine-alliée-de-l'OTAN" en un seul bloc. On dit souvent que la Russie a envahi 20% de l'Ukraine, mais c'est quelques dixièmes de pour cent de la surface Ukraine+OTAN qui contient toute l'Europe, tous les USA avec l'Alaska, Hawaii et tout le Canada.
Tu y crois vraiment ce que tu racontes ?
Franchement assumez votre biais poutinophile au lieu de faire les pseudos paix-friendly, ça rendra service à tout le monde et le débat sera plus intéressant.
Je crois que même les trolls senegalais pro-russes de Twitter ne sont pas allés aussi loin.
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L'Ukraine a frappé un A-60
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il y a 1 minute, ksimodo a dit :
Le sait il lui même et agit il en conséquence ? Pas sûr.
Il y a aussi une question de fierté personnelle, et l'histoire qui va gratter les fonds de chiottes. Au plus tôt une alternance est ouverte ( surtout à vif aprés 100 jours ou 300 jours post plan de paix ) au plus il se retrouve dans la tourmente des pots de vin. Il y a qq jours, il ré accorder sa confiance à son bras droit à la présidence, dans un contexte ou ce dernier devient de plus en plus délicat à défendre ( bon, il faut dire que depuis sa boite de prod audio, ce doit être le dernier restant à ce stade.......).
Au fond de lui, que VZ se sente juste parmi les justes ou bien pourri parmi les pourris, il y a une évidente question d'auto analyse en biais fort. Ce qui concerne TOUS les dirigeants en période dure. S'il n'en est plus question à l'avenir, c'est lui qui signera un plan de paix ( comme Vlad le fera aussi, sans préjugé de l'avenir à 10 ans ).
Ah je me disais bien qu'il y avait une raison sur la fixette Zelensky...
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Citation
Tout ce petit monde s'accorde AUSSI à ce qu'aprés guerre, VZ ou Poro ou les autres, et bien........qu'ils aillent se rhabiller, le futur c'est sans eux.
Absolument tout le monde est d'accord là dessus, même le principal intéressé
CitationQue les élections soient dans 100 jours ou 300 jours, on pourrait bien avoir un type ( ou une typesse si vous voulez ), complètement sorti du chapeau et qui a peut 8 lignes actuellement dans Wikipédia ( voir même aucune ).
Non ce n'est pas la question du candidat, c'est la question de tenue d’élections dans des conditions à peu près correctes, avec des perspectives meilleures avec un horizon crédible et surtout pas "à chaud" 100 jours après.
Vous faites (sans surprise) une fixette et une obsession sur Zelensky alors qu'il n'en sera de toute façon plus question à l'avenir.
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il y a 15 minutes, nemo a dit :
Et quel exemple! Le résultat c'est une tentative de révolution et l'un des pires massacres de civils de l'histoire de France!
Résultat direct d'ailleurs des élections expéditives réalisées... 1 mois avant sur demande de l'adversaire ! Comme quoi...
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il y a 6 minutes, Wallaby a dit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Élections_législatives_françaises_de_1871
Les élections législatives de 1871 ont eu lieu le 8 février. Elles ont élu l'Assemblée nationale, chambre unique du parlement français, en application de la convention d'armistice signée entre la France et l'Allemagne le 28 janvier.
L'article 3 du décret du 29 janvier 1871 prévoit un scrutin « conformément à la loi du 15 mars 1849 [archive] »[1],[2], qui prévoyait un scrutin plurinominal majoritaire à deux tours, exercé dans le cadre départemental.
Le Gouvernement de la Défense nationale, républicain, décida d'organiser les élections au chef-lieu de canton et non dans la commune pour tenter de maximiser l'abstention dans les espaces ruraux marqués par une surreprésentation du vote conservateur[3].
Les candidatures multiples sont autorisées : un même candidat peut se présenter dans plusieurs départements différents[4].
Ce scrutin donne une majorité conservatrice à l'assemblée nationale avec les orléanistes, qui détiennent 214 sièges, et les légitimistes, qui détiennent 182 sièges. L'alliance entre ces deux partis donne une majorité royaliste de 396 députés sur 638, qui débouche sur un projet de restauration de la monarchie avec le comte de Chambord sur le trône. En attendant l'acceptation du projet par le prétendant, les républicains modérés forment un gouvernement provisoire avec les conservateurs, présidé par Jules Dufaure.
Contexte historique
L'armée française ayant été battue à la suite de la bataille de Sedan, le pays est occupé par les troupes du nouvel Empire allemand, proclamé en janvier 1871. Les élections sont organisées à sa demande alors que 43 départements étaient occupés par l'armée allemande, qui y interdisait les réunions ; 372 000 soldats français étaient encore retenus en détention en Allemagne et que plusieurs milliers de réfugiés français n'avaient pas encore pu regagner leur domicile[5]. Même en zone non occupée, l'état de siège prévaut dans de nombreux départements et rend possible la suspension de la liberté de la presse et de la liberté de réunion[6]. Aux élections de 1876, quatre départements sont toujours sous état de siège[6]. La campagne oppose principalement deux camps, les républicains d'une part et les monarchistes d'autre part.
Différents partis en présence
Les républicains, s'ils sont d'accord sur la question de l'instauration d'un nouveau régime de démocratie représentative, sont en revanche profondément divisés quant à l'attitude à adopter vis-à-vis de l'ennemi allemand. Le principal enjeu de ces élections n'est plus en effet la nature institutionnelle du régime mais bien l'acceptation ou le rejet de la paix avec l'Allemagne.
Les républicains modérés, avec parmi eux le très influent Adolphe Thiers, sont favorables à la paix avec l’Allemagne, mais les républicains radicaux, rassemblés autour de Léon Gambetta, souhaitent poursuivre la guerre.
Les monarchistes sont divisés entre bonapartistes, alors marginalisés par la chute du Second Empire, et royalistes, eux-mêmes divisés entre légitimistes et orléanistes. Les légitimistes sont les plus conservateurs : partisans du comte de Chambord, ils sont pour la restauration de la branche aînée et sont à ce titre symboliquement attachés au drapeau blanc. Les orléanistes, favorables au comte de Paris, descendant du roi Louis-Philippe, sont plus modérés : acquis à la cause du parlementarisme, ils souhaitent l'instauration d'une monarchie constitutionnelle libérale dans laquelle le roi conserverait un rôle politique déterminant, acceptent les principes issus de la Révolution française et reconnaissent à ce titre le drapeau tricolore[7]. Malgré cette division, les monarchistes « s'organisèrent efficacement » en constituant de larges listes unis « sur le thème de la paix, l’hostilité à Gambetta et la préservation des libertés »[3].
Aucune campagne électorale
Bismarck ne donne que trois semaines pour organiser les élections. Faute de temps, il n'y a donc presque pas de véritable campagne électorale excepté à Paris, où les comités électoraux restent très actifs. Les républicains les plus modérés, franchement hostiles à Gambetta, rejoignent parfois les listes monarchistes à la composition pourtant déjà assez confuse. Les listes républicaines sont souvent plusieurs par département, le clivage entre républicains radicaux et modérés s'avérant être souvent insurmontable. Les élections furent donc transformées en une sorte de référendum « pour ou contre la paix », et les résultats s'en ressentent clairement[8].
Dans les régions occupées, les réunions publiques sont interdites, et c'est l'occupant qui se charge de l'organisation des élections. En province non occupée, les préfets soutiennent les listes favorables à la capitulation. À Paris le vote est républicain. C'est Louis Blanc qui y arrive en tête, suivi de Victor Hugo, Léon Gambetta, Giuseppe Garibaldi et, en 27e position, le jeune Clemenceau. Les deux négociateurs de la paix, Adolphe Thiers et Jules Favre, n'arrivent respectivement qu'en 20e et 34e position. 37 élus du département de la Seine s'opposent au traité de paix négocié avec la Prusse, contre 6 qui le soutiennent[9].
Analyse des résultats
Sur les 768 sièges à pourvoir, seuls 675 furent pourvus, en raison d'élections dans plusieurs départements du même candidat (principe des candidatures multiples). C'est une très nette victoire pour les royalistes, qui emportent une large majorité de sièges. Cent quatre-vingt légitimistes, très souvent des nobles de province auxquels il faut adjoindre plusieurs bourgeois, sont élus (dont une cinquantaine de « chevau-légers », héritiers des ultra-royalistes de la Seconde Restauration)[10], en même temps que 214 orléanistes.
Côté républicain, c'est une défaite, en particulier pour le camp radical : l'Union républicaine (radicaux) de Gambetta, élu dans 8 départements, n'emporte qu'une petite quarantaine de sièges (Victor Hugo, Louis Blanc, Edgar Quinet, Giuseppe Garibaldi, Clemenceau, etc.), tandis que la Gauche républicaine (modérés) (menés par Jules Favre, Jules Ferry, Jules Grévy et Jules Simon) dépassent largement le cap des 100 élus. Restent enfin entre 70 et 80 « Libéraux », formant un centre gauche qui se convertit progressivement aux idéaux républicains, parmi lesquels on retrouve Adolphe Thiers, élu dans pas moins de 26 départements. Les bonapartistes sauvent une vingtaine de sièges dans leurs fiefs des Charentes et de la Corse, mais quatre candidats seulement s'étaient présentés sous cette étiquette[7].
Les campagnes, abritant encore une large majorité de la population, ont massivement voté monarchiste, tandis que les villes étaient plus favorables au camp républicain. L'âge moyen est de 53 ans et la plupart des élus sont de nouveaux venus en politique (175 seulement ont déjà été élus dans des assemblées), principalement des notables ruraux. Un tiers des nouveaux parlementaires sont des nobles : cette assemblée est la plus aristocratique que la France n'ait jamais élue. On dénombre aussi 250 gros propriétaires fonciers, méfiants à l'égard de l'autorité parisienne[7].
L'assemblée se réunit le 13 février à Bordeaux. Jules Grévy, républicain modéré est élu président de l'Assemblée. Le 17 février, Thiers est nommé chef du pouvoir exécutif de la République française et le 21, Thiers et Favre entament les négociations de paix avec Otto von Bismarck.
Outre l'exemple vieux de 150 ans, merci de confirmer que c'est un bordel sans nom
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- C’est un message populaire.
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il y a 38 minutes, Yorys a dit :Par contre ce qui a disparu des radars, sauf erreur de ma part, c'est l'engagement à procéder à des élections dans les 100 jours !
On se demande bien pourquoi...
Parce que c'est infaisable en l'état, avec plus de 6,5 millions de réfugiés ukrainiens dans le monde, des infrastructures détruites... rien que le temps de faire campagnes et de la mise en place d’élections etc... ça ne se fait pas en 3 mois.
Le pire dans tous ça, c'est que vous allez être les premiers à gueuler pour cause d’irrégularités (enfin seulement dans un sens comme toujours)
"Pile je gagne, face tu perds"
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Le 02/10/2025 à 02:23, HK a dit :
L’escorte minimale d’un BPC c’est une frégate, idéalement avec capacités ASM et de défense de zone (FDI ou FREMM DA).
Alors en effet pourquoi pas faire la même chose pour un PA léger en transit temps de paix ou en zone de menaces faibles… c’est d’ailleurs ce que les Italiens font avec le Cavour.
Mais avec ça faut pas compter se frotter à une marine ou aviation à terre un peu compétente, ou même aux Houthis en mer Rouge. Bref faut prévoir des compléments d’escorte en fonction des menaces… navires alliés ou frégates supplémentaires, SNA etc.
Les anglais semblent le faire aussi avec les leurs, cf l'escale de leur PA a Gibraltar accompagné d'une Type 45
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il y a 25 minutes, ksimodo a dit :
Un plan rédigé par le E3, pas par l'UE. Déjà le point 14, il faudrait le faire avaler......
Donc c'est pas une contre-proposition, c'est......rien. Et donc la guerre, encore.
Comme pour l'autre proposition, chacun place ses exigences pour négocier ensuite
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Marine Britannique
dans Europe
Escale à Gibraltar pour le HMS Prince of Wales
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il y a 47 minutes, Ciders a dit :
Le jour où ça arrivera, j'espère que tu auras fait des stocks de PQ.
Un nouveau clou dans le cercueil du "Trump ce génie instable mais en fait, il a un plan". Il faudrait que tout le monde se rende bien compte qu'il a publiquement changé d'avis au moins quatre fois en deux jours... sur un seul sujet.
D'ailleurs ça en est où la livraison des Tomahawk à Kiev annoncé la semaine dernière ?
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- C’est un message populaire.
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La Suisse pourrait réduire sa commande de F-35 à 30 avions pour respecter le budget
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Un rapport parlementaire plaide pour doter la Marine nationale de porte-drones
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il y a 12 minutes, emixam a dit :
Et il ferait quoi le PA sans avion de guet, sans Rafale avec une configuration Air-Sol ou Air-Mer, avec 20 appareils limité au Air-Air?
A ce compte autant pas avoir de PA du tout et acheter des Frégates et des sous-marins supplémentaires bien équipé.
J'ose espérer qu'avec la Chine en face, nous serions intégrés dans une coalition...
Par contre inutile d'être caricatural sur l'emport du Rafale, comment fait le Rafale actuellement sur le CdG ?
Même sur essais tremplin en Inde, il décolle avec 4 MICA, 1 Exocet et deux réservoirs de 2000L
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il y a 2 minutes, Asgard a dit :
Et puis bim! Le conflit HI dont la France aura à faire face ne sera pas la Russie envahissant l'Europe mais avec la Chine qui, en conflit sur Taiwan avec les US, menace la Nouvelle Calédonie et la Polynésie. On aura l'air bien con avec nos 4000chars et pas de PA.
J'exagère évidemment mais c'est jouer à un jeu dangereux que de ne pas lancer le PANG (qui ne se construit pas en 4 ou 5 ans hein, mais bien plus).
Mais avec la Chine qui attaque Taïwan pile pendant l'entretien du PA2, on aura l'air aussi bien con et on aurait eu l'air moins con avec un second PA, certes plus petit, mais disponible, même si il n'embarque "que" 20 Rafale.
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Citation
PADSX, à l'époque pensé comme PA2 (en plus du CdG donc) pour le RAFALE, pas le NGF et ses drones
Pas sûr que la classe Nimitz début 70's ait été pensée pour le F-35C ou le X-47B... pourtant ça se fait
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Citation
Depuis 25 ans, il n'a même pas été envisagé de créer une classe de PA de la taille du CdG (aucun projet; pas même une vue d'artiste).
Concept de DCNS 2010
"272 mètres de long pour 70 mètres de large, affichant un déplacement de 59.000 tonnes et capable de mettre en œuvre 40 aéronefs"
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Il y a 8 heures, rendbo a dit :
Vu que la paix et la concorde ne pouvaient revenir dans le Donbass que d'une seule façon, de la formation et de la livraison d'armes, ce n'est pas un peu ce que font certains pays depuis 2014 ?
La Russie avec les séparatistes ?
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- C’est un message populaire.
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il y a 3 minutes, Billion85 a dit :
Avec ce genre d'argument, pourquoi on se casse la tête avec le Rafale et le SCAF ? Suffit de moderniser nos M2000 ad vitam aeternam...
Il ne s'agit pas de ne pas embarquer de (nouvelles) technologies, il s'agit d'avoir des navires qui correspondent aux besoins.
Absolument rien n'est figé, on peut tout à fait en discuter, le CEMA lui même le mentionne.
On peut aussi regarder vers quoi s'oriente nos alliés, les autres pays etc... Par rapport à leurs besoins et finances, nous ne sommes pas détenteur de la vérité absolue, on croirait voir le débat chenilles/roues sur les VCI et compagnie... Faur croire que notre choix des roues n'étaient pas forcément toujours le plus pertinent...
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il y a 13 minutes, Asgard a dit :
Sauf à retarder la mise en chantier du seul bâtiment qui assure l'avenir de cette aéronavale... Ca fait déjà plus de 12ans qu'il est dans les cartons. Là on est au bord du précipice, il faut construire le pont.
Ah non mais il y a clairement un problème de calendrier, je suis bien d'accord, de même que les E-2D ont été commandés.
Mais on pourrait se dire que la carrière du CdG (actuelle) est à 90% pour frapper du terroristes au Moyen Orient, et une opération notable en Libye (mais bon était-ce bien utile ? Autre sujet) où pour le coup il démontre son intérêt.
Mais quelles missions n'auraient pas pu être effectué par des PA plus légers ?
Exemple du Giuseppe Garibaldi qui a opéré sur les mêmes opérations que le CdG, et où les Harrier n'avaient pas des performances moins catastrophiques que les SEM...
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Après je sais qu'on est assez conservateur là dessus en France et il n'est pas question de remettre en cause l'aéronavale, mais comme le dit le CEMA on peut aussi réfléchir à l'avenir et l'évolution de celle-ci.
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
dans Politique etrangère / Relations internationales
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