rasi

kor4116 est Coréen semble t'il. Il ne connait peu étre pas l'historique des relations entre la France est l'Algérie, il voulait simplement un avis je pense.

Au mois de novembre le même site internet parlait de la même façon d'un potentiel contrat Algérien pour des Su-75 Russe... https://atalayar.com/fr/content/axe-russie-algerie-un-contrat-militaire-de-12-milliards-en-cours-de-negociation

Le Brésil envisagerait de couler le porte avion São Paulo. Après les péripéties du départ pour les chantiers de démantèlement en Turquie ou pour des raisons environnementales il fut refusé (cela me rappelle un peu quelque chose). Un remorqueur l'a ramené au large du Brésil ou ils attendent depuis quelques temps. Le Brésil ne c'était pas engagé à le faire démantelé dans une filière agrée? Je suppose que cela va faire quelques vagues en France. https://www.infodefensa.com/texto-diario/mostrar/4157099/brasil-hundira-portaaviones-sao-paulo La décision, prise au sein du gouvernement brésilien, a généré des frictions entre le ministère de la Défense et le ministère de l'Environnement La marine brésilienne a perdu patience avec ce qui était autrefois son navire amiral et a décidé de couler l'ancien porte-avions São Paulo de manière contrôlée, en plaçant et en faisant exploser des explosifs pour ouvrir des fissures dans la coque du navire, converti pendant des mois dans un navire fantôme attendant, à 20 milles au large des côtes brésiliennes, une décision sur sa destination finale. ... Déposer le porte-avions sur le fond marin au plus vite était considéré comme une alternative viable compte tenu du degré de dégradation avancé du navire de 266 mètres de long, un fait vérifié le 13 janvier, lors d'une inspection technique qui a détecté une nouvelle déchirure dans le navire. , un niveau d'engorgement et de corrosion plus élevé par rapport à l'examen réalisé quatre mois plus tôt. ...Le gouvernement brésilien est pressé de prendre une décision car, selon les rapports des militaires participant à l'opération, il y a un changement dans l'alignement de la coque par rapport à la ligne de flottaison "d'un côté à bâbord", ce qui compromet sa flottabilité et augmente le risque d'effondrement structurel dans un délai pouvant aller jusqu'à quatre semaines. Selon les données recueillies par la médecine légale et divulguées à la presse brésilienne, d'août 2022 à aujourd'hui, 2 787 litres d'eau sont entrés (la limite pour une navigation sûre serait de 3 500 litres). D'ici octobre 2022, dix compartiments connaîtraient un certain degré d'inondation. En janvier, après la prise en charge de l'opération par la Marine, 23 compartiments ont été identifiés comme compromis par l'eau de mer, rendant impossible le retour de la coque dans un état sûr pour la navigation et l'accès à terre.

L'article date d'hier. Tu es dubitatif? Et un tweet de ce matin du gouvernement Irakien ca te parait plus sérieux ? Le premier ministre Irakien a discuté de Rafale avec Dassault. Il a aussi rencontré des représentants de Thales et Airbus (pour des hélicoptères)

https://www.alnaeem-news.iq/archives/164350 L'Irak a l'intention d'acheter des chasseurs français Rafale. Un conseiller du Premier ministre , Hussein Allawi, a révélé que l'Irak est en train d'acheter des chasseurs français Rafale pour développer la flotte aérienne irakienne Hussein Allawi a déclaré, dans un communiqué de presse, suivi de "Al-Naeem News", que "le Premier ministre Muhammad Shia' al-Sudani a l'intention" de développer la flotte aérienne irakienne en faisant appel à des avions Rafale avancés, compte tenu de l'évolution des capacités financières de l'Irak, et le besoin militaire de ces avions pour poursuivre les restes du groupe terroriste ISIS dans les zones ouvertes et agricoles. Hussein Allawi c'est le conseiller du Premier ministre irakien pour la réforme du secteur de la sécurité. A ma connaissance c'est la première fois qu'un officiel du gouvernement actuel de l'Irak aurait annoncé cela.

TotalEnergies, Rafale, métro de Bagdad : l'agenda chargé de la visite de Mohammed al-Sudani à Paris => Inutile d'ouvrir le lien vous n'en serez pas plus pour le Rafale, tout est dans le titre. https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2023/01/24/totalenergies-rafale-metro-de-bagdad--l-agenda-charge-de-la-visite-de-mohammed-al-sudani-a-paris,109904711-art Dans un article qui à trois semaines Cabirol écrivait concernant l'Irak "Une fenêtre pourrait éventuellement s'ouvrir en 2024 pour l'acquisition d'une vingtaine de Rafale". Il ne faut donc pas rêver d'un contrat cette semaine. The Bangladesh Defence Analyst Defseca.com => C'est au moins la troisième fois en deux ans qu'ils disent que le rafale à une chance au Bangladesh. La crédibilité de ce site est au mieux douteuse.

L'appel d'offre pour 114 avions serait menacé (est ce une surprise?) mais l'article ne dit pas par quoi il serait remplacé. Le méga projet militaire d'acquisition de 114 chasseurs pour l'IAF est-il en danger ? https://www.financialexpress.com/defence/is-the-mega-military-project-to-acquire-114-fighters-for-the-iaf-in-jeopardynbsp/2953232/ Le méga programme d'avions de chasse multi-rôles (MRFA) de 20 milliards de dollars de l'IAF n'est nulle part en vue. De nombreux projets sont en cours dans l'écosystème aérospatial indien. Dans la pléthore de programmes autochtones aussi coûteux, le MRFA semble avoir perdu sa proposition après plus de deux décennies d'épreuves et de tribulations.

Pour le moment cela donnerait: 1er contrat 2022 (avec un crédit autorisé en 2021) : 6 avions pour 1.1 milliards 2e contrat 2023? (avec un crédit autorisé en 2022) : 12-18? avions pour 2.9 milliards 3e contrat 2024 - 2025?: 18 - 24? avions pour 4.1 milliards Total 8.1 milliards et 42 avions Ca c'est si le plan le déroule sans accroc.

Dans un tweet en date d'hier l'auteur de l'article dit que le dossier du F-15EX n'avance pas. Le souci est toujours le même, c'est le financement. Si cela ne se fait pas pour le F-15EX, ils auront plus de facilité pour acheter les Rafale et moins étaler les commandes. Et peut-être même qui sait d'en commander plus que 42.

SI les deux achats se font simultanément et que cela permet la mise en place d'une ligne d'assemblage en Inde et comme il y a quelques pièces du Rafale faites en Inde le gouvernement Indien expliquera que ca rentre dans l'initiative Make in India. Les discussions continuent encore entre Dassault et la Colombie "Le processus entre Dassault et le gouvernement colombien (concernant le RAFALE), se poursuit, avec une délégation française dans le pays."

https://www.elcolombiano.com/colombia/no-hay-plata-para-el-despegue-de-nuevos-cazas-en-colombia-EM19737322 L'entreprise devait initialement acquérir 16 combattants, mais le gouvernement a reconsidéré cette position et a abaissé les réclamations à quatre, c'est-à-dire ce qu'il pourrait payer avec l'argent du Conpes. Cela a obligé la société française à modifier certaines conditions de son offre, en matière de prix et de compléments, ce qui n'était pas possible, compte tenu de la pression du temps.

La Tribune est optimiste pour l'Indian Indian Navy. Pour la la confirmation il faudra attendre la visite de presidentielle en Inde au mois de mars. Inde : le Rafale Marine près d'embarquer sur le porte-avions INS Vikrant L'Inde pourrait annoncer en mars la sélection du Rafale Marine de Dassault Aviation lors de la visite d'Emmanuel Macron à New Delhi. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/inde-le-rafale-marine-pres-d-embarquer-sur-le-porte-avions-ins-vikrant-945736.html

Finalement pas de Caesar pour la Colombie. Officiellement car exter a augmenté le prix de 12% et pas la concurrence. https://www.infodefensa.com/texto-diario/mostrar/4126461/-colombia-da-marcha-atras-ultimo-minuto-opta-atmos-lugar-caesar

Le gouvernement de la Colombie à même proposé à SAAB de signer mais au vu des conditions ils auraient refusé. Dans le fil twitter il indique que le processus pourrait devoir recommencer à zéro en raison de règle OCDE. Cela interpelle sur le processus de sélection ou tu choisis un avion mais au dernier moment si le premier refuses les conditions tu proposes au deuxième et tout ca en très peu de temps.

La signature ne serait plus d'actualité à cours terme. @erichsaumeth Le ministre de la Défense révèle dans @6AMCaracol que les avions de combat ne vont plus être achetés. Le délai pour CONPES a expiré et pour cette raison il n'y aura pas d'affaires. Le président et le conseil des ministres doivent solliciter un nouveau CONPES dans l'année. Désolé j'arrive pas a mettre le lien Twitter.

Confirmation de la commande de Caesar en 6X6: nombre inconnu pour montant de 101 millions de $. https://www.infodefensa.com/texto-diario/mostrar/4125251/colombia-colombia-adquiere-sistema-artilleria-auto-propulsada-caesar La Colombie est un bon client de la BITD en ce moment. Cela fait partie de tout un tas de signatures faite par le président Colombien ces derniers jours.

C'est justement à cette période que je pensais mais la guerre était finie alors que là les tensions resterons. Le gouvernement Russe essayera de décourager les futurs engagements dans la légion (genre classement comme agent de l'étranger au mieux) et coté Français on y réfléchira à deux fois avant de faire entrer trop de Russe dans la légion. Fin du HS pour moi.

Après la guerre il y aura certainement de nombreux anciens combattants Ukrainiens qui postuleront à la légion étrangère. Ce sera accentué par la situation économique en Ukraine qui ne sera pas réjouissante. Sinon psychologue en Ukraine c'est malheureusement un métier d'avenir que ce soit pour les militaires ou les civils.

Nada, nothing, nichts, bref que dalle. Sauf si signature dans la journée (avec le décalage horaire c'est le matin en Colombie) ca serait plutôt une signature en janvier 2023 ce qu'un ou deux journaux Colombiens avaient écris.

La Colombie a signé un contrat pour la maintenance des Kfir jusqu'au 31 décembre 2024. https://www.defensa.com/colombia/fuerza-aerea-colombiana-contrata-mantenimiento-flota-kfir-hasta

Cabirol parle de livraison de livraison qui pourrait ce faire dés 2023. Son article est cours et donne l'impression de se baser sur ce qu'écrivent les journaux Colombiens plutôt que sur ses sources Françaises. Mais des livraisons en 2023 sachant que le contrat n'est pas signé puis 4 mois (au moins) pour l'entrée en vigueur du contrat. Cela ferait une livraison 6 mois après l'entrée en vigueur, ce serait étonnant.

Avant l'élection d'un président de gauche Gustavo Petro en juin les chances du Rafale étaient faibles le F-16 étant (ultra?) favori. Pour le moment restons prudent ce n'est qu'une présélection. Pour l'anecdote Petro avait dit lorsqu'il était candidat être contre le remplacement des kfir. Pour une fois que ca nous arrange qu'un candidat ne tienne pas ses promesses

Selon des médias Colombiens le ministre de la défense Colombien aurait annoncé ce matin que le rafale était présélectionné. Un seul parle de quantité 3-5 pour le moment avec un objectif de 16 dans 10 ans mais c'est bien sur à prendre avec des pincettes. https://caracol.com.co/2022/12/21/mindefensa-los-aviones-de-combate-franceses-estan-encabezando-la-negociacion/ https://www.eltiempo.com/justicia/investigacion/colombia-preselecciono-aviones-franceses-para-cambiar-flotilla-de-kfir-727664 https://www.semana.com/nacion/articulo/ministro-de-defensa-ivan-velasquez-confirma-que-el-gobierno-opto-por-compra-de-aviones-de-combate-franceses/202248/

Selon l'article de la tribune du mois de juin c'était la demande de la Colombie mais la France aurait décliné pour de l'occasion. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/la-colombie-sera-t-elle-la-porte-d-entree-du-rafale-en-amerique-du-sud-918840.html

Justement Didier Jean-Dominique Merchet s’interroge sur la pertinence du Scaf (système de combat aérien du futur) qui rencontre de sérieuses difficultés qui retardent son avancée Scaf: l’avion de combat du futur a-t-il encore un avenir? Le Scaf, c’est le système de combat aérien du futur. Et le Scaf ce n’est pas l’Acf, l’avion de combat du futur. Si ça ne s’appelle pas de la même façon, c’est pour une bonne raison ; c’est que ce n’est pas du tout la même chose. Le Scaf n’est pas seulement un projet d’avion de combat. Qu’est-ce que c’est ? Le Scaf, comme son nom l’indique, c’est un système et un système ça englobe plusieurs éléments. Parmi ces éléments, il y a l’avion de combat du futur, le chasseur du futur ; le NGF, le New Generation Fighter. Et puis il y a autre chose ; il y a des drones, il y a des missiles, il y a un tas d’engins qui pourraient voler. Et puis surtout, il y a ce qui permet à tout cet ensemble de quincaillerie militaire si j’ose dire, de fonctionner en commun, c’est ce qu’on appelle, en bon français, le cloud de combat. Et ça, c’est un élément essentiel, autant que l’avion du futur. Donc c’est un système qui englobe des éléments et quelque chose pour relier tous ces éléments entre eux. Pourquoi ce projet rencontre-t-il autant de difficultés ? Le Scaf, à l’origine, c’est un projet franco-allemand qui est annoncé en 2017. Et puis les Espagnols vont rejoindre le couple franco-allemand dans ce projet. Donc aujourd’hui, il y a trois nations qui sont associées. Toute la difficulté est qu’il faut à la fois associer des nations, c’est-à-dire des armées, qui ont des besoins différents, à des dates différentes, pour faire des choses différentes. Et puis il faut aussi associer des industriels qui sont parfois concurrents dans d’autres domaines. Notamment, le grand problème, la grande difficulté a été de faire converger Dassault Aviation, le champion français des avions de combat depuis les années 50 et Airbus Défense, c’est-à-dire essentiellement Airbus en Allemagne et en Espagne. Faire converger les intérêts de ces groupes est et reste difficile. Alors il y a eu récemment un accord pour une étape du projet. Ce n’est qu’une étape, il y aura d’autres discussions, d’autres débats. Les armées européennes n’ont pas forcément le même besoin. Prenons un exemple simple : la France a besoin d’un avion qui soit à la fois pour son armée de l’air, c’est-à-dire qu’il décollera depuis des bases aériennes, et pour sa marine nationale, c’est-à-dire d’un avion qui décollera depuis le prochain porte-avions. Les Allemands, en revanche, n’ont pas de porte-avions et n’envisagent pas d’en avoir donc ils n’ont pas besoin d’un avion pouvant décoller d’un porte-avions. Or, un avion pouvant décoller d’un porte-avions a besoin de technologies différentes, d’un poids différent – peut-être légèrement plus léger – plus solide pour un certain nombre de pièces. Donc on voit bien que mettre tout ça ensemble, c’est une grosse difficulté, c’est un projet en cours, c’est un projet qui s'étend sur des décennies. Il a été lancé en 2017. Dans le meilleur des cas, le système de combat aérien du futur tel qu’on le pense aujourd’hui rentrerait en service opérationnel vers 2045, donc dans au moins 20 ans. Le premier démonstrateur de la partie volante de l’avion, si tout se passe bien, volera peut-être en 2029. Faut-il faire le Scaf tel qu’il a été conçu en 2017 ? Personnellement, j’ai des doutes parce que nous avons, en France, un avion de combat qui est le Rafale, qui est très loin d'être au terme de son potentiel d'évolution. Il serait sans doute plus raisonnable de continuer à faire évoluer le Rafale qui connaît des versions très différentes. Aujourd’hui on commence à parler de la version F4, puis il y aura une version F5 et ainsi de suite. Si on prend l’exemple des Américains : ils ont mis en service, dans les années 80, un avion, le F15, et un autre avion, le F16. Ces avions sont toujours en service et l’industrie américaine est toujours en train de développer de nouvelles versions de ces avions. La durée de vie d’un avion peut s'étaler sur plusieurs décennies. On parle aujourd’hui, par exemple pour le bombardier B-52 américain, d’une durée de vie qui pourrait être de l’ordre du siècle. Donc on voit qu’il n’y a pas d’urgence à développer un nouvel avion. Il y a, en revanche, urgence à développer des nouvelles technologies pour que ces avions soient toujours adaptés aux combats aériens du futur. Et puis, il faut penser à ce que sera l’aviation dans la deuxième partie du siècle. Là, on parle par exemple de vols à très haute altitude, dans des altitudes à la limite de l’espace, à 30, 40 kilomètres d’altitude peut-être, à des vitesses très élevées. Et ça, ça nécessite des techniques nouvelles. Peut-être que ce seront des avions qui n’auront plus de pilotes à bord, qui seront pilotés en partie avec de l’intelligence artificielle, en partie comme le sont déjà les drones avec des pilotes au sol. Donc toutes ces questions, y compris la furtivité – le fait que ces avions soient indétectables au radar – doivent évidemment être travaillées dès aujourd’hui. Ce qu’il faut également travailler, c’est la connectivité, la connexion entre tous ces éléments qui volent ensemble. Nous, les Européens, avons du retard là-dessus. Les Américains, eux, arrivent avec un système qu’ils imposent aux Européens, qui s’appelle le F-35, qui est non seulement un avion de combat mais lui aussi un système cloud intégré cohérent. Et donc il y a ceux qui sauront maîtriser ça et ceux qui ne sauront pas maîtriser ça. C’est là-dessus que ça se joue et donc il faut évidemment travailler sur cette technologie. Est-ce qu’il faut réellement poursuivre ce programme franco-allemand tel qu’il a été lancé en 2017 ? On peut se poser la question. Je crois même qu’on doit se poser la question.