vno

Bon, je viens de lire les contributions sur plusieurs pages. Il manque une option pas abordée, mais qui manifestement semble poussé par notre PR et d'autres Chefs d'état Européens discrètement par rapport à leurs opinions publiques qui consiste à envoyer des troupes. Pour refaire le coups de 56 avec nos mystère IV, peut importe le nombre d'avions livrés, un escadron suffit amplement, si une fois en vol, ils deviennent une centaine. D'ailleurs, à ce petit jeu de belligérants pas belligérants, c'est les Russes qui ont commencés en Corée. Alors d'accord, il faudrait plus de ravitailleurs et Awacs que l'armée de l'air n'a pas, mais elle en parle beaucoup ces derniers temps, on a même avancé des commandes sans les sous ? Ou vont d'ailleurs aller les E2C de la Marine bientôt disponibles ? Perso, je pense que l'armée de l'air n'a pas oublié le retrait anticipé des Jaguar rincés par la guerre du golf ainsi que les stocks de pièces en quelques mois. Et Dassault pourrait bien en fin de compte produire ces 100 appareils sous forme de pièces et avec nos sous, du moins ceux que nos militaires et industriels attendent depuis 2017.

D'après d'anciens col bleus d'époque, c'était plutôt 21 nœuds, mais a l'époque nous disposions du nombre de ravitailleurs nécessaires bien qu'incapable de suivre la vitesse de l'escadre et donc prépositionnés. Plus maintenant ! A 25 nœuds, les frégates ne suivent pas non plus. Quant aux SNA, ils ne peuvent plus éclairer et ne sont plus silencieux ( ils sont censés nettoyer les passages obligés des sous-marins ennemis avant l'arrivée de l'escadre ). L'ASMP reste une arme nucléaire dont l'emploi ne se justifie que par la certitude d'un conflit majeur en développement pour la protection du groupe aéronaval. Elle implique pour son utilisation l'éloignement de nos moyens de surveillance et la perte de contact avec l'escadre ennemie sans certitude de la retrouver avec un nombre d'unités furtive limité ou des satellites détruits. Pour les mines, si stock il y a, vu l'étendue du pacifique, il n'y en aura pas pour toutes les cibles vu nos investissements. Mais les cours de commandement à la mer entrainaient bien nos équipages à leur mouillage. Avec nos SNA NG on peut détecter les mines adverses d'après la pub. Avant, l'ennemi n'étant pas con, on pouvaient tomber sur une des siennes avant de mouiller les nôtres. L'histoire de notre sous-marinade au combat a plusieurs drames de ce genre à son historique !

Le cloud de combat qui passe par des satellites et ordinateurs américains aux Etats-Unis plus sur à 100%, voir coupé ?

La brigade fantôme retrouvée ? les hélicos remplacés par les drones, ils me rappellent l'entrainement de la force d'action rapide des années 80, capable de franchir 1000 km et d'engager le combat en autonomie !

C'est un vieux sondage demandé par Georges Marchais lors de la crise des Euro-missiles ?

J'espère que nos sous-marins ont quitté leur boite et que nous ne donnons plus leur secteur de patrouille ?

Je me demande si le réseau VLF a une vitesse suffisante pour informer nos commandants (notre) de sous-marins de tout les changements ?

Même s'il n'était pas pilote d'aéronavale, un marin qui a fini avec plein d'étoile et de notoriété, n'avait lui pas connaissance du roman "octobre rouge" et de l'histoire politique particulière de ce livre lorsqu'il commandait son premier SNA. Heureusement son patron du pont pas encore chargé de famille, le connaissait par cœur, ce qui a bien servi !

Etonnant ces portes étanches ouvertes au poste de combat ?

J'ai eu accès au début des années 90 au central opération d'un croiseur type Ticonderoga neuf. J'ai eu droit à un aperçu des possibilités de leur système de détection. Pour faire simple, ils récupéraient toutes les données des différents réseaux existants et pouvaient afficher et filtrer tout se qu'ils voulaient et pas que autour du bateau, mais bien au delà de l'Europe. Ayant visité notre Jean-Bart, j'ai pu voir notre retard sur un bâtiment neuf et manifestement déjà obsolète. Nous n'étions pas revenu dans l'Otan à l'époque. Je me suis dit qu'ils n'avaient étrangement aucune difficulté à rentrer dans nos réseaux balbutiant et d'autres, puisque j'ai eu droit à un coup de Loupe autour des bases du grand-Est dont les avions n'étaient pas équipés. J'ai visité vingt ans plus tard le contrôle aérien militaire du Grand-Est qui datait du début des années soixante ( effarant d'obsolescence et de système D forcément mal protégé ) et a depuis été remplacé. Ma visite c'est terminée brutalement suite à une question précise sur le nombre de sous-marins qu'ils pouvaient engager simultanément étant donné le nombre de consoles dédiées.

Pour l'armée de l'air, ceux endommagés en Espagne ont été remis en vol ?

Pour quoi faire autant laisser les boulets aux Russes, les ukrainiens risque de ne pas apprécier la destruction de leurs réseaux d'informateurs ! En plus même pour envahir une seule biélorusse j'avais une autorisation à demander, alors le pays entier je ne peux pas suivre ton conseil !

Quelle implication directe ? Les Biélorusses font pire non ?

La base chinoise à Djibouti est un pôle d'assistance et de ravitaillement pour soutenir deux frégates et leurs hélicoptères, pas vraiment une base de combat complète comme les américains, ni même une base de soutient toujours active pour une force militaire, aérienne et navale plus importante comme la France.

Les navigateurs officier système d'armes aussi s'entrainent aux procédures de survie pour travailler en place arrière non ? Beaucoup d'activité aérienne trés basse altitude ( même de nuit) à Nancy par rapport à une époque. Probablement la transformation sur les avions modernisés et les Retex de l'accident de 2019 dans le Jura ?