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Tout ce qui a été posté par B52
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Ca ne se ressent pas sur le cours de bourse de DA....
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Va pas falloir que le panier se prenne dans une hélice si mauvaise approche.... https://www.navalnews.com/naval-news/2020/12/french-e-2d-advanced-hawkeyes-to-feature-aerial-refueling-capability/
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T'es dur. Airbus n'est pas Boeing quand même. ca me rappelle une histoire courte : - Un fils demande a son père : "Papa, comment on épelle nouille ?" - Le père : " N, o, u, i, l, l, e .... pourquoi ? " - Le fils : "Oh rien, c'est juste pour écrire Nouille York "
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Tu dates ca de 1918 ? J'aurais dit 1945. Mais bon, c'est dans cette tranche du siècle. Et industriellement c'est pareil. Je travail pour des anglais, entre autre, et si ce sont des requins commercialement (je dirais même fourbes certains jours...), industriellement ils sont devenus ignares. Dire que la révolution industrielle a commencée là...
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
B52 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il y a quelques années je m'étais interrogé (sans me trouver de réponse... LOL) sur le possible remplacement de la très dispendieuse flotte de SNLE au profit de +/- 100 missiles sol/sol mono tête, mobiles (style érecteur sur un camion banalisé au format routier 44T) qu'on déplacerait de temps à autre de bases militaires en bases militaires, ou champs de manœuvre. Mono tête afin que la charge utile soit réduite de manière à ce que le vecteur puisse l'emmener loin. Je me suis dit que si cette option n'avait pas été retenue c'est qu'elle offrait trop d'inconvénient. L'un d'entre eux étant de priver l'industrie nucléaire de 4 réacteurs. -
La gestion de l'industrialisation du Rafale a été faite peut être pas au plus juste, mais sans grand gras (se rappeler qu'à l'époque beaucoup y compris des politiques de 1er plan tiraient à boulet rouge sur ce "désastre national"...). Aller au delà des 33/an (j'ai vu que certains avaient proposés des organisations exotiques pour l'aéro pour aller un peu au delà) nécessiterait de dupliquer de nombreux équipements. Chez DA et chez des sous traitants et fournisseurs. C'est pas forcément le plus cher, mais ca prend du temps, et si c'est pour juste passer une bosse de commande, je doute que le pas soit franchi. Que DA aille déjà à cadence 3, et ca sera déjà le témoignage d'une exceptionnelle réussite (pas technique, ca c'est acquis, mais commerciale).
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Décidément, les anglais ont une longue tradition des coupes budgétaires sévères... 1969. Une bonne année pourtant
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c'est acté la config 3 hélices du PANG?
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Du personnel, probablement (après petite mise à jour, et encore.). Pour l'outillage, je doute qu'il y ait des doublons, donc à reconstruire. Site? Il i y un très très grand hall a Toulouse qui va se libérer (A380...)
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Pauvre chat !
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C'est voulu.
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Je vois là un des arguments N°1 pour une victoire en Suisse : Le Rafale a démontré qu'il évoluait conformément a son plan de marche (le célèbre "dans les temps, dans les specs, dans le budget" de DA) et les suisses ont pu le vérifier entre l'avion testé lors de l'évaluation N°1 (avec un PESA et un AESA à venir) et les derniers essais. Pendant ce temps là l'eurofighter qui devait avoir un AESA en 2015, juré promis, ne l'a toujours pas en 2020. Il faut aussi se rappeler que les suisses avaient préféré le FA18 au M2000-5 car ils craignaient un manque de maturité du système d'arme et de devoir essuyer les plâtres. Voilà une inquiétude qu'ils n'auront (n'auraient) pas avec le Rafale.
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le LCA semble (je suis très prudent) manquer d'autorité en tangage et manquer d'une vitesse d'atterrissage faible (les 2 sont liées) pour un usage confort sur PA, et plus encore en écolage. C'était quasi cuit d'avance.
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Ca a mal tourné pour elles..... Titanic, Bismark.....
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Pourquoi dans les config à 3 arbres d'hélices que tu proposes, l'arbre du milieu a le moins de puissance ?
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Tout a fait. Et l'autre coup de maitre a été les 321 XL et XLR, qui créent un marché que seul Airbus peut aujourd'hui capter. oui, quand les clients viennent les enlever.... et covid oblige ca ne se bouscule pas il me semble. J'ai lu par exemple qu'Airbus n'avait pas livré un seul avion en novembre.... Boeing doit être dans la même panade.
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Il y a déjà le Su-33 KUB....
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Et bien tu as du oublier de noter que ma phrase était ponctuée d'un "?". Et à 55 balais, les petites menaces me passent loin au dessus de la tête. Je te salue bien cordialement, cher membre VIP.
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Chacun son tour. Airbus n'a pas été inspiré lors du développement des A340 (des 2 générations) : ils n'ont pas cru, à la différence de Boeing, que les gros biréacteurs pourraient autant se dérouter grâce aux ETOPS, et c'est le 777 qui a pris le lead. Airbus a fait un pari peu gagnant avec l'A380. Par contre Airbus, et je ne sais si c'est volontaire, a frappé un grand coup avec ses A320 MAX et surtout les 321 XL et XLR. Les stratéges de Boeing doivent se gratter la tête grave là. La seule consolation momentanée pour Boeing c'est le covid, qui paralyse les court et moyen courriers d'Airbus, mais ca ne durera pas.
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oups. Désolé. Et puis à me relire j'ai un peu enfoncé les portes ouvertes : nouveau (ben oui, sinon pas besoin de se présenter) et passionné d'aviation (ne serais pas là sinon).
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le squat ? tu peux préciser?
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peace and love mec.
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tu penses au Canada? Je me suis permis de copier 90% de l'article (histoire de ne pas faire un pur copié collé) "Indonesia needs new fighter aircraft, that much is clear, but its traditional appetite for buying both Russian and US hardware may have been suppressed by fears of Washington’s policy whims, potentially opening the door to France and the Dassault Rafale. Indeed, in early December it emerged in the French media that Jakarta is in discussions to obtain 48 Rafales, with France’s defence minister Florence Parly saying that the deal is “very well advanced”. Within days, the Rafale bombshell was followed by a report in the Nikkei Asian Review that Jakarta had been cleared for both of Boeing’s fighter offerings: the F-15E and F/A-18E/F Super Hornet. Curiously, the report, which had cited a government source in Indonesia, was subsequently taken down. The two Boeing jets were supposedly discussed during a visit to Indonesia by acting defense secretary Christopher Miller. There was no mention of fighters in the US Department of Defense’s routine communique from the meeting, and there is no Foreign Military Sales case for the two aircraft – although if Nikkei was right, one may yet be forthcoming. The latest reports add to years of news flow related to Indonesia’s fighter requirements, including several notable stories in 2020. In September it emerged that Jakarta is still squabbling with Seoul about development costs related to the Korea Aerospace Industries’ KF-X/IF-X programme, in which it is a junior partner. Two months earlier Jakarta had expressed interest in buying Austria’s used Eurofighters. And in 2019 there was talk of ordering 24 Lockheed Martin F-16Vs, a more concrete proposal than the years of rumoured interest in the Lockheed F-35. And, finally, there is Jakarta’s endlessly delayed acquisition of 11 Sukhoi Su-35s. This deal was apparently abandoned – although not cancelled outright – owing to fears of incurring sanctions related to the US government’s Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act (CAATSA). The legislation is intended to punish countries who do business with Washington’s rivals such as Iran, North Korea, and Russia. .... Indonesia’s need for new fighters is driven by broader geopolitical concerns. The relatively benign environment of the 1990s and 2000s has given way to a new era of great power rivalry, particularly in the South China Sea. In 2019, Jakarta formally protested the presence of Chinese vessels in its territorial waters near its Natuna Islands chain. “China has certainly stoked Jakarta’s anxiety about maritime vulnerability around the Natuna Islands with even more maritime incursions into Indonesia’s [exclusive economic zone] since December last year,” says Natalie Sambhi, an expert on Indonesian military affairs, as well as founder and executive director of Verve Research. Cirium fleets data indicates that Indonesia’s combat aircraft inventory comprises just 48 in-service aircraft from two manufacturers, Lockheed and Sukhoi: 32 F-16s (nine F-16A/Bs, 23 F-16C/Ds), five Su-27s (two Su-27SKs, three SU-27SKMs), and 11 Su-30MK2s. The F-16A/B fleet is currently undergoing Lockheed’s Falcon Star upgrade, which is being implemented by local contractor Indonesian Aerospace (also known as PTDI). The work will extend aircraft life to 8,000h from 4,000h, and update the avionics and radar. Although relations between Jakarta and Washington have been good in recent years, from 1999-2005 the US imposed an arms embargo on the country because of human rights violations in East Timor, effectively grounding the F-16A/B fleet. Memories of this episode – and the spectre of CAATSA sanctions should the Su-35 purchase be concluded – could influence Jakarta’s thinking regarding future equipment purchases. .... “That said, a policy of supplier diversification comes with its own challenges; the Ministry of Defence will have to support the training of maintenance staff and engineers, not to mention buy spare parts, for several combat aircraft, which can be inefficient and costly.” Acquiring one modern type, in the form of the Dassault Rafale, would eliminate such issues arising from a mixed fleet. It would also prevent headaches brought on by the whims of US politicians. For Dassault, a 48-unit Rafale order from Indonesia would be another export sale – after Egypt, Greece, India and Qatar – and would secure the type’s first Southeast Asian customer. If consummated, it would also make the Indonesian air force the second largest operator of the type after France. From a technical perspective, the multi-role Rafale is effective across the full spectrum of air-to-air and air-to-surface missions. It is likely that Paris will offer significant offsets related to any Rafale buy, which would appeal to Indonesia’s ambitions to develop its aerospace sector. Indonesia is already a major market for Airbus Defence & Space, and has production capabilities for the CN235 and C295 tactical transports. One obstacle to any acquisition, however, could be the state of Indonesia’s economy, which has been hard hit by the coronavirus pandemic. But, Sambhi argues that there could be another, more personal, motivation for getting a fighter deal done. This revolves around the known political ambitions of defence minister Prabowo Subianto, who unsuccessfully ran for president in 2014. “A successful deal that procures 50 to 100 aircraft could back up Prabowo’s claims when he ran for president that he would protect Indonesian sovereignty,” she says. “This would nicely bolster his credentials for any 2024 presidential run or political positions in future.” Selecting the Rafale instead would side-step both those risks. Should the French-made jet stay locked on target in Indonesia, US politicians can expect a ‘Thank You’ card from Dassault."
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Peut être juste une vue de principe pour illustrer le sujet, sachant que le "vrai" Su57K est en assemblage ? Ca s'est déjà souvent vu.
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C'est le dernier auquel je crois. Perso je vois bien la Suisse, mais pas la Finlande. on n'y a jamais place d'avions là bas, ca n'aide pas. Mais je souhaite toute réussite aux VRP de Dassault.