Frégate
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Ce n'est pas sûr. Outre-Manche les lords de l'amirautés cherchent un AEW si possible en version drone à aile fixe avec le système de lancement qui va avec. Corée du Sud, Inde, Brésil, voir japon seraient surement intéressés par ce genre de bidule. Bon la catapulte pour un AWACS réduit parce que sans équipage ne pourrait pas lancer le successeur du Rafale M et de ce côté là le problème reste entier.
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En fait le concept du Frappeur prend forme dans le tir de l'USV Ranger de l'US Navy. René Loire pensait à une soute à munition navigante low cost. Le Ranger est juste plus petit et avec encore moins d'équipage que ce qu'il avait imaginé. https://www.youtube.com/watch?v=0uSqDM0cW4M
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Frégate a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ou 50% plus gros. La tendance chez nous c'est de diminuer l'enrichissement. D'ailleurs l'enrichissement n'est pas homogène dans un coeur. Le centre est plus enrichi que la périphérie. -
Ce 155 mm me fait penser à la tourelle de 127 mm mark 30 de l'US navy
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Ce n'est pas un vrai Polaris, c'est juste une maquette tirée pour essais, mais c'est bien le vénérable Garibaldi (mise en service 1936) en 1963. Mis en réserve en 1969.
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Très pointus, les articles de ce blog ont parfois des lacunes comme là : "cette expérimentation (chenille en caoutchouc) restera sans lendemain dans l'armée française qui limitera l'usage de cet équipement sur les auto-mitrailleuses de type P16, P28, P104, ainsi que l'AMR (Auto Mitrailleuse de Reconnaissance) P103 présentée en en 1935 pour remplacer l'AMR P28. Il faut attendre les années 70 pour retrouver des chenilles caoutchouc sur des véhicules utilitaires civils et le début des années 90 pour que ces chenilles commencent à équiper des engins blindés" Et les half track alors ! Après 50 ans dans la terre normande, on voit bien que l'acier n'est pas l'essentiel
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Il semble que les britanniques aient touché du doigt les limites de la voilure tournante habité : l'autonomie est assez faible, garder un hélico en l'air tout le temps oblige à une rotation importante d'hélicoptère et - surtout- une fatigue excessive des opérateurs. Garder un maximum de chose à bord et un minimum en l'air semble être leur idéal
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La Royal Navy lance un concours pour trouver un remplaçant aux Crowsnest Competition to enhance Royal Navy early warning capabilities (ukdefencejournal.org.uk) By 2030 the Royal Navy plan to have moved carrier based ‘Airborne Early Warning’ capability from Merlin helicopters to ‘Vixen’ fixed wing drones. However, a notice issued by the Ministry of Defence is asking for viable alternatives.
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Cela me rappelle ce que m'avait dit le chef art à mon embarquement sur le Duquesne. Au milieu de la Méditerranée, le bateau contrôle tout le bassin occidental. Un vingtaine d'année plus tard, l'amiral Forissier, lors d'une de ses tournées des ports nous a sorti le même argument sur la frégate Horizon. Sauf qu'entre temps j'avais été opérateur conduite de tir lors d'un exercice avec la FATAC nous attaquant en basse altitude. On était pas super, super entraîné, mais la solution de tir, et bien, elle ne justifiait vraiment pas la porté du Masurca. Alors contrôler la zone, oui, pour les avions de lignes, mais pour des avions de guerre avec des pilotes qui connaissent leur métier, Non. La terre est ronde ! D'où la nécessité de l'Awkeyes ou de tout autre AEW. (aerien early warning)
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Maintenant qu'il n'est plus en service, on peut le dire : le missile Masurca des Suffren Duquesne (les frégates à boule, pas les SNA) et du Colbert se séparait de son étage à 6000 m et l'étage n'avait pas de gouverne, juste des plans fixes. Jusqu'à la séparation, trajectoire balistique uniquement. Bon il y avait une logique. La porté utile en AA du 100 mm est (ou était) estimée à 6000 m. Mais et c'est le deuxième point et le plus important. On oublie un paramètre là, c'est l'altitude de l'assaillant comparé à l'horizon radar. A quelle distance un assaillant volant à basse altitude (missile, ou même avion) sera détecté par le radar de veille - de tir ? A mon humble avis 90% de ces assaillants sont sous la portée de l'Aster 15 dans la solution de tir (où l'on rajoute le temps que met le missile pour atteinte sa cible et donc la distance que parcours l'assaillant pendant que le missile le rattrape). L'Aster 30 ne sert qu'a faire "baisser la tête" à l'assaillant. C'est à dire l'obliger à attaquer à basse altitude... et à pouvoir potentiellement, traiter une menace balistique. Donc personnellement je verrais plutôt plus de missile courte portée à bord.
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Je ne sais pas si Wikipedia a bien saisi que les apprentis des écoles (mousses et arpettes) n'étaient pas tous destinés à être fusilier, en fait tous le sont devenus, mais au départ ce n'est pas pour cela qu'ils se sont engagés, du moins c'est ce que disait un article de Cols Bleus là dessus. A l'époque ces écoles étaient sur des vaisseaux réformés en Bretagne.
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Pas fusiliers En fait le gros des troupes étaient constitué par l'école des mousses et des apprentis mécaniciens. D'où le surnom de demoiselle : pompon rouge sur la coiffe, certes, mais pas beaucoup de poil au menton. 17-18 ans.
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Je confirme : Rédhibitoire ! Pour avoir plaisanté sur l'absence de beurre doux au petit déjeuner au carré d'Indret (dans les années ou il y avait encore un carré à Indret) je me suis bien rendu compte qu'Indret c'était encore la Bretagne et que ce genre de discours était malvenu.
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D'où la request for information pour un système de catapultage signalée par Alexis le 9 mars "Ainsi, le ministère britannique de la Défense [MoD] a demandé à l’industrie des « idées sur les futurs systèmes de lancement et de récupération » d’aéronefs qui pourraient être « installés au cours des cinq prochaines années ». Plus précisément, le document parle « d’évaluer la disponibilité des catapultes électromagnétiques et des brins d’arrêt ». Et de préciser que les solutions potentielles doivent être « suffisamment matures sur le plan technique pour être installées sur un navire approprié [un porte-avions, ndlr] à partir de 2023. » En outre, un tel système devra être capable de lancer un aéronef de près de 25 tonnes, ce qui, pour donner un ordre idée, correspond à la masse maximale au décollage d’un Rafale Marine [celle d’un F-35C étant de 32 tonnes] (...) Il est possible que cette demande soit en lien avec le Tempest, ce qui sous-entendrait que ce serait un avion relativement léger. Le journal britannique a émis l’hypothèse de la mise en œuvre de drones embarqués… Ce qui paraît peu probable dans des délais aussi contraints. À ce jours, seul le démonstrateur américain X-47B de Northrop Grumman a été en mesure d’être catapulté depuis un porte-avions et d’y apponter"
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Totalement d'accord. Comme tous les vieux schnocks, quand j'ai quitté la marine je trouvais que l'optimisation de la formation initiale - qui est une bonne chose en soi - portait le risque de ne pas favoriser une assimilation complète des fondamentaux de la sécurité. Ici, il y a clairement un doute sur l'adéquation des arlequins à la situation et sur leur mise en œuvre (l'arlequin un tableau de 6 case portant chacune un numéro et une couleur. Le numéro indique le stade d'étanchéité, la couleur, l'état de l'ouverture : vert peut rester ouvert, rouge toujours fermé, jaune ouverture forcément suivi d'une fermeture après passage). Ensuite si à bord la lutte contre le feu fait l'objet de nombreux exercices, celle contre les voies d'eau est plus timide. Pas sûr que tous les équipages soient au top dans ce cas de figure. Enfin, les bateaux que j'ai connu ce sont ceux de l'ancienne génération C70 A69 BCR, Foch, Jeanne d'arc, ... Les équipages étaient plus nombreux. La lacune de l'un pouvait être compensée par la présence d'esprit, la compétence, l'initiative de l'autre.