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Alberas

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  1. C'est plutôt l'inverse : le choc palpable et le moment de vérité serait le départ d'Europe des GI's.
  2. J'ai compté 20 questions avec un ? A laquelle faut il répondre ?
  3. Tout ça, c'est bidon. Israël n'a jamais signé la convention OCDE. Mais on peut les comprendre ..."Nécessité fait absence de loi"
  4. Mais pourquoi l'Etat devrait il dilapider son trésor alors qu'il lui suffit d'augmenter les taxes et impots .... comme d'habitude !
  5. Alberas

    Le successeur du CdG

    Le "Maximilien de Robespierre" pour son coté maximus et son design révolutionnaire. PS Et, en plus, la gauche ne pourra pas s'y opposer
  6. Si tu penses à Thales Raytheon Systems, c'était surtout une alliance commerciale spécialisée sur les marchés OTAN
  7. De l'ordre de 25 à 30 Meur https://www.forum-militaire.fr/la-france-brille-encore-a-linternational-avec-une-nouvelle-vente-du-rafale-des-radars-dans-ce-pays-du-sud-ouest-asiatique/ La France brille encore à l’international avec une nouvelle vente du « Rafale » des radars dans ce pays du sud-ouest asiatique Publié le 09/07/2025 •Guillaume Aigron Radars français en Malaisie : ce que Thales ne dit pas sur ses yeux de guerre longue portée. Ils scrutent le ciel, détectent un moustique à 500 kilomètres, et peuvent … Radars français en Malaisie : ce que Thales ne dit pas sur ses yeux de guerre longue portée. Ils scrutent le ciel, détectent un moustique à 500 kilomètres, et peuvent changer l’issue d’un conflit avant même qu’un tir ne parte. Deux radars français, tout juste commandés par la Malaisie, incarnent bien plus qu’un simple contrat. Derrière cette acquisition, c’est tout un jeu d’influence, de souveraineté et d’anticipation qui se déploie dans l’ombre d’un partenariat militaire stratégique. La Malaisie veut rejoindre le club prestigieux des propriétaires du radar GM400α Le 7 juillet 2025, dans le cadre solennel d’une visite d’État en France du Premier ministre malaisien Anwar bin Ibrahim, ce dernier a signé un nouveau contrat qui porte à quatre le nombre total de radars de ce type opérés par la Malaisie, qui devient ainsi le premier client mondial du système Ground Master 400. C’est une véritable marque de confiance, renouvelée au moment où les tensions aériennes en Asie du Sud-Est exigent une réactivité extrême, et également aussi une vitrine : en affichant ce partenariat, Kuala Lumpur renforce sa position de force vis-à-vis de ses voisins, tout en s’alignant discrètement sur les standards occidentaux. Une sentinelle électronique d’un demi-millier de kilomètres Le Ground Master 400 alpha est une merveille technologique. Sa portée atteint 515 kilomètres. Il peut repérer un avion de chasse, un hélicoptère, un missile, ou même un drone à basse altitude dissimulé dans la végétation. Sa particularité ? Il ne se contente pas de voir loin. Il voit tout, simultanément, et dans toutes les conditions. Il repose sur la technologie GaN (nitrure de gallium), qui améliore la précision tout en augmentant la résistance aux brouillages. Sa conception modulaire lui permet d’être déplacé en quelques heures, intégré à n’importe quel théâtre d’opérations, et mis à jour rapidement, ce qui en fait quelque part un équivalent de notre fierté nationale le « Rafale » dans le domaine des radars. C’est un outil de supériorité aérienne… Avant même que le combat ne commence. Voici une fiche technique résumée du radar GM400α : CaractéristiqueValeur Portée515 kilomètres Cibles détectéesAvions, missiles, drones, hélicoptères TechnologieGaN (nitrure de gallium) DéploiementUltra-mobile, montage rapide MarchésDéjà vendu dans plus de 20 pays Un partenariat sur mesure avec l’industrie locale Derrière cette livraison se cache un second enjeu : le renforcement de l’écosystème militaire malaisien. Thales ne livre pas simplement du matériel ; il transfère du savoir-faire. Le déploiement sera réalisé avec l’aide du groupe local Weststar, spécialiste du soutien militaire sur le terrain. L’objectif est double : adapter l’installation aux réalités topographiques de la Malaisie, et former une nouvelle génération d’experts radar locaux. Dans les faits, Thales accompagnera la Royal Malaysian Air Force (RMAF) tout au long du cycle de vie des radars, assurant la maintenance et l’évolution logicielle. Cette politique d’accompagnement est autant une promesse de qualité qu’une manière d’ancrer durablement la présence française dans un marché hautement concurrentiel. Une menace multiple, en mutation constante Dans la région, la nature des menaces évolue vite. Infiltrations de drones, vols d’observation non identifiés, trajectoires erratiques d’appareils militaires : les incidents aériens se multiplient entre les puissances riveraines. La mer de Chine méridionale est devenue un théâtre de tensions permanentes, où l’information peut décider de la première frappe. Le GM400α apporte une réponse adaptée : une image tactique actualisée en continu, des alertes précoces, une interopérabilité totale avec les autres systèmes existants. Il s’intègre directement aux chaînes de commandement sans nécessiter de lourdes infrastructures. Voici les capacités de détection simultanée du GM400α : Avions de chasse à haute altitude Drones tactiques volant à très basse altitude Missiles supersoniques en approche rapide Hélicoptères stationnaires camouflés Un succès commercial discret, mais mondial La famille Ground Master s’impose aujourd’hui comme un standard international. Plus de 270 unités ont été vendues dans le monde, toutes éprouvées sur le terrain. Le modèle GM400α, dernière évolution de la gamme, est déjà déployé dans plus de vingt pays. Son secret ? Un équilibre rare entre portée, mobilité, robustesse et simplicité d’exploitation. Thales, avec ce contrat malaisien, confirme son avance dans un domaine hyper-sensible : la maîtrise de l’espace aérien. À l’heure où les puissances montantes investissent dans des systèmes radar maison, la France continue de défendre une offre technologique crédible, interopérable et prouvée en opération. Une opération à plusieurs dizaines de millions d’euros Le montant exact du contrat n’a pas été rendu public. Toutefois, les précédentes ventes du radar GM400α à d’autres pays permettent une estimation crédible. À l’unité, ce type de radar longue portée est évalué entre 18 et 25 millions d’euros, selon le niveau d’intégration, le soutien logistique et les options choisies (transfert de technologie, formation, maintenance sur plusieurs années). Pour deux radars, la facture pourrait donc osciller entre 36 et 50 millions d’euros. En y ajoutant les programmes de formation, l’intégration locale avec Weststar et le soutien à long terme, le contrat total pourrait avoisiner 60 millions d’euros. Une somme conséquente, mais cohérente avec les standards internationaux pour ce type d’équipement à haute valeur stratégique. Un radar, des ambitions qui dépassent l’atmosphère Au-delà de l’armement, cette vente s’inscrit dans une stratégie globale. Le gouvernement français pousse pour renforcer ses coopérations dans les domaines de l’intelligence artificielle, de l’espace et de la cybersécurité. En dotant la Malaisie d’un radar de cette envergure, Thales exporte aussi une vision : celle d’une sécurité construite sur la technologie, la transparence et la coopération industrielle. À terme, ce type de partenariat pourrait ouvrir la voie à d’autres collaborations, sur les satellites, les communications sécurisées ou encore les systèmes anti-drone. L’expertise radar devient alors le point d’entrée d’une influence stratégique plus large dans l’Indo-Pacifique. Les propriétaires de GM400α dans le monde PaysStatut / Nombre de systèmes GM400αRemarques principales Malaisie4 radars GM400α (2 commandés en 2023, 2 supplémentaires en 2025)Premier acheteur en 2009, renforcement récent de la flotte GM400α Estonie2 radars GM400α commandés en 2023, livraison prévue en 2025Escadre de surveillance aérienne Bulgarie7 radars GM400 commandés en juin 2025Commande récente Albanie1 radar GM400α commandé en juin 2025, livraison sous 14 moisCommande récente FrancePlusieurs systèmes GM400 (GM406, GM403), GM400α non spécifié explicitementOpérationnels depuis 2012, modernisation en cours
  8. Alberas

    [Rafale]

    Les offsets sont partout un problème.
  9. Alberas

    Le successeur du CdG

    Il fait son boulot.
  10. Ma question portait sur les solutions possibles pour SAAB de donner un successeur au Gripen
  11. Alberas

    [Rafale]

    Depuis longtemps avant le 1er contrat indien de 2015. les entreprises françaises recherchaient des sources industrielles en Inde. Quand DA asigné ce 1er contrat, on savait que les lois indiennes exigeaient des taux de compensation exorbitants. On est en 2025 et on commence à voir les réalisations de DA/Safran ou Thales en offsets. Du coté des EAU, les offsets étaient de la rigolade jusqu'en 2008. Mais, à partir de 2008, le refus français des nouvelles exigences EAU ont bloqué les contrats pendant des années. Le contrat Rafale ne date que de 2021. Ce n'est pas surprenant qu'on ne voit rein localement en terme d'offsets. Pour critiquer les entreprises, il faudrait connaitre le contrat et ses obligations d'offset avec leurs conditions d'exécution.
  12. OK, Saab n'est pas dupe... mais ils auront besoin de s'intégrer dans un groupe. Soit comme leader, soit comme partenaire. Avec qui ?
  13. Alberas

    [Rafale]

    De là à supposer qu'on abandonne le NGF avec Airbus pour faire ûn super Rafale avec les EAU et l'Inde, il n'y a qu'un pas
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