
Alberas
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On doit s'approcher de la date de réunion du conseil de sécurité pour l'AON des 114 Rafale non?
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Y a plus qu'à
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Arrête de ressasser le passé.
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Le SCAF est un projet d'une dimension bien plus importante que ceux que tu cites. Et surtout, tu remarqueras que MBDA et Airbus sont des sociétés à capitaux pluri nationaux, que SAMP-T est un système gagnat/gagnant entre un missilier et un radariste, et que seul le programme FREMM a réuni 2 sociétés concurrentes ... et qui ont produit des navires largement différents. Et donc on en revient toujours au même enjeu ... l'indépendance de Dassault, petit dans le monde des géants de l'aéronautique et de la défense, et dont les succès font de l'ombre à Airbus.
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Un nouvel épisode du feuilleton péruvien. Pérou: la présidente Dina Boluarte destituée par le Parlement La présidente péruvienne Dina Boluarte a été destituée dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 octobre par un vote majoritaire du Parlement, à la suite de plusieurs motions en ce sens déposées au cours de la journée par les principales forces politiques de l'assemblée. Le président du Parlement, José Jeri, 38 ans, assume désormais la présidence du pays. Publié le : 10/10/2025 - 07:30Modifié le : 10/10/2025 - 09:23 « La destitution de la présidente a été approuvée », a annoncé le président du Parlement, José Jerí, à l'issue d'une courte session à laquelle Dina Boluarte ne s'est pas présentée, bien qu'elle ait été convoquée. Dina Boluarte pouvait assurer elle-même sa défense ou être représentée par un avocat, a indiqué le président du Parlement monocaméral péruvien. C'est désormais celui-ci qui assume la présidence du pays. Un « gouvernement de transition » « Aujourd'hui, a déclaré José Jeri, j'assume avec humilité la présidence de la République, par succession constitutionnelle, afin de mettre en place et diriger un gouvernement de transition », immédiatement après avoir prêté serment devant le Parlement. Le nouveau président intérimaire assumera ses fonctions jusqu'au 26 juillet 2026. Le Pérou organise des élections générales en avril. Pour déchoir Mme Boluarte de ses fonctions, au moins 87 des 122 députés ayant pris part au vote devaient se prononcer en faveur de sa destitution. Les principales forces politiques du Parlement monocaméral ont déposé au cours de la journée cinq motions de destitution. L'examen de quatre d'entre elles a été approuvé à la majorité par le Parlement. Le président du Parlement devrait assumer le pouvoir par intérim jusqu'aux élections générales d'avril 2026. Les motions invoquent une « incapacité morale permanente » de la présidente à exercer ses fonctions, selon les documents lus à l'ouverture de la session parlementaire. Dina Boluarte a déjà fait l'objet de plusieurs tentatives de destitution, sans qu'aucune n'aboutisse. Cette fois-ci la procédure est allé jusqu'à son terme, les partis de droite et d'extrême droite qui la soutenaient jusqu'à présent l'ayant lâchée. Destituée, Dina Boluarte perd de fait son immunité et se retrouve désormais exposée à d'éventuels procès susceptibles de la conduire en prison. Instabilité politique Le Pérou traverse la pire période d'instabilité politique de son histoire moderne, avec six présidents en près de neuf ans. Arrivée au pouvoir après la destitution du président Pedro Castillo, dans un contexte de manifestations violemment réprimées qui ont fait au moins 50 morts, Dina Boluarte connait une impopularité record. Son mandat est par ailleurs entaché par plusieurs affaires, dont le scandale du « Rolexgate », portant sur des montres et bijoux de luxe qu'elle n'aurait pas déclarés, et une rhinoplastie pratiquée en juillet 2023 gardée secrète alors que la loi l'obligeait à en informer le Parlement. Ces dernières semaines, les manifestations contre le gouvernement se sont multipliées à Lima face à la vague d'extorsions et de meurtres attribués au crime organisé.
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Dans ce jeu de roles, Trappier joue le sien. Celui de l'industriel spécialiste et autonome qui argumente sur la rationalité technologique et industrielle. Il ne veut ps collaborer pour faire plaisir aux politiques mais pour arriver au meilleur résultat technique et opérationnel.
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La genèse du projet c'est "l'Europe de la défense" et c'en est le projet phare. Qui plus est promu par Mme VDL. La guerre en Ukraine a renforcé cette ambition de défense commune, longtemps avec notre PR comme son chantre. Et désormais c'est l'Allemagne qui se veut la puissance militaire majeure de l'Europe. Trappier ne peut pas se permettre de critiquer le gvnt français en cherchant uvertement des partenaires extra européens, d'autant plus que DA et le Gvnt ont très efficacement collaboré pour exporter et développer le Rafale. Ca reste un jeu de roles oùu les paroles ne sont pas toujours conformes aux actes, et réciproquement.
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Quand je dis qu'il faut se méfier, en particulier dans cette période d'instabilité politique, ce n'est pas aux Allemands que je pense. Leurs industriels et leur gouvernement travaillent dans le même sens et avec persévérence, dans une stratégie de puissance. Ce qui m'inquiète c'est la position politique française qui n'apporte aucun soutien public à la position de Dassault
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Méfions nous quand même ...
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Et on a quoi de Français dans ce type d'équipements?
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Dixit le "club des juristes"
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J'ai une autre hypothèse. Les avions ne partant pas dans leur pays client aussitôt après les essais de réception, ils sont stockés sous douane à Istres. La base dispose de toutes ls infrastructures pour en assurer la sécurité, ce qui n'est pas la fonction de Dassault.
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En réalité le Parlement vote à travers l'adoption du budget. Et l'adoption de la loi LPM. En fait je parlais de politique étrangère. Mais il est vrai que c'est une chasse gardée du PR.
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Ce qui signifierait que la livraison se fait à Istres
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Tu ne veux pas me comprendre .... Le chancelier Adenauer avait proposé une fusion entre les 2 pays. C'était trop tôt et la France avait refusé. Cette idée a été abandonnée mais a été remplacée par la création de la Communauté européenne. On entend sans arrêt les critiques sur la CE "qui n'est qu'une puissance économique (ou plutôt une union sans puissance) incapable d'avoir une politique fiscale et sociale commune et encore moins une politique étrangère et de défense". Et la création d'une Union européenne "puissance politique" devait être envisagée, elle devrait commencer par une union plus limitée, telle FR/All. Revenons au SCAF... Sans parler des "petits" projets communs (MAWS, Tigre,...) qu'on n'arrive pas à mener à terme et à poursuivre dans le temps (idem Eurofighter!) le SCAF est si important dans ses aspects de poltique de défense et d'alliances stratégiques qu'il ne pourra pas se faire sans une union politique. Et c'est pour ça que les allemands veulent le limiter aux aspects technologiques et industriels ... puisqu'ils ne seront jamais disposés à se défaire du parapluie US. Je parlais du Parlement français. Je ne me souviens pas de débats sur les conséquences de cet accord (sauf les auditions de Trappier dans les commissions) Evidemment! Le Bundestag n'est intéressé qu'aux intérêts industriels des entreprises allemandes. Quant aux Espagnols, je ne sais pas qui les a fait rentrer. Mais c'est bon pour eux: ils augmentent leurs portefuille technologique et renforcent Airbus Espagne.