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Amérique latine : l'armée en guerre contre les cartels de drogue
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
N'est pas constructeur de sous-marin qui veut. La marine colombienne a arraisonné un semi submersible en détresse : «Une fois le semi-submersible localisé, les militaires ont trouvé deux personnes en mauvaise santé à l'extérieur du navire. Apparemment, il y a eu un accident à l'intérieur du sous-marin en raison de la génération de gaz toxiques», précise le communiqué. En effet, à l’intérieur du bâtiment presque rempli d’eau et donc proche de couler, se trouvaient deux corps sans vie, en cours d'identification. '' https://www.parismatch.com/actu/international/un-sous-marin-plein-de-coke-deux-cadavres-et-deux-survivants-223128- 635 réponses
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Inde : politique intérieure et internationale
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Début d'un article annonçant une accord technologique entre l'Inde et les États-Unis pour contrer la Chine : https://www.revueconflits.com/guerre-technologique-laccord-technologique-entre-les-etats-unis-et-linde-pour-nuire-a-la-chine/? L’accord technologique entre les États-Unis et l’Inde pour nuire à la Chine par South China Morning Post Un nouveau pacte américano-indien sur le développement des semi-conducteurs, de l’intelligence artificielle et des télécommunications a touché une corde sensible à Pékin. Alors que l’Inde est apparue comme un bénéficiaire du réalignement de la chaîne d’approvisionnement mondiale, les bureaucraties pourraient limiter l’efficacité de son accord avec Washington. Un article de Ben Jiang pour le South China Morning Post. Selon les analystes, un nouveau partenariat entre les États-Unis et l’Inde – visant notamment les semi-conducteurs, l’intelligence artificielle et les télécommunications – pourrait accélérer le réalignement des chaînes d’approvisionnement mondiales au détriment des intérêts de la Chine. Les détails de l’initiative américano-indienne sur les technologies critiques et émergentes (iCET), publiés mardi dernier, incluent également une coopération prévue dans l’informatique quantique et la défense. Bien que la Chine ne soit pas mentionnée dans le document, l’accord entre Washington et New Delhi est considéré comme faisant.... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
@Banzinou La vidéo de la collision depuis mon portable me fait penser à une animation 3d. -
@Patrick Les prévisions de la flotte finale changent à chaque arbitrage budgétaire : En effet, l’USAF prévoyait auparavant d'achever l'achat cette année pour une flotte totale de 80 avions, ce qui a suscité l'ire du Congrès en tronquant une taille de flotte initiale de 144. Donc un dernier lot prévu pour le budget 2025 actuellement.
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Budget 2024 pour l'USAF, de quoi faire des jaloux : https://www.avianews.ch/post/le-budget-2024-de-l-us-air-force demande pour : * 48 F-35A * 24 F-15EX (seulement 104 prévu) * 15 KC-46 * 1 E-11C * 7 hélicoptères MH-139 * Des B-21 en nombre non spécifiée
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Espace, actualités et divers
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Engins spatiaux, Espace...
Un cratère de plus sur la Lune. Les futurs stations habitées sur notre satellite devront être enterrés profondément : -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Déjà une illustration faite par ordinateur sur The Avionist https://theaviationist.com/2023/03/14/russian-su-27-flanker-collides-with-u-s-mq-9/ -
Les A-400M et le Hercules au dessus de Port La Nouvelle dans l'Aude le 14h30 le samedi 25 février 2023. Ils repartent direction la Méditerranée a 15h15 en survolant de nouveau la ville. https://www.facebook.com/100044356252985/videos/722881402633262/
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Russie et dépendances.
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Animation sur l'histoire de l'URSS par une équipe arménienne sur l'air de Tout va très bien Madame la Marquise -
Salvador
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Politique etrangère / Relations internationales
@clem200 Certes, mais a part l'Asie du Nord Est (Japon, Corée du Sud, Taiwan), l'Europe occidentale reste malgré tout le sous continent le plus policé du monde. Pour l'Amérique centrale, c'est un chiffre beaucoup moins mauvais que d'habitude. -
Chine
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
@Wallaby Est ce sérieux de mettre le Royaume-Uni en 3e place et la Russie et la France entre autres en queue de peloton devancé par... l'Australie ? -
Suède
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Quand la Suède à failli ne plus neutre durant la Seconde Guerre mondiale Article de 1957. C'est sérieux ? : La Suède avait l'intention en 1945 de libérer le Danemark et la Norvège révèle le ministère de la défense de Stockholm https://www.lemonde.fr/archives/article/1957/04/22/la-suede-avait-l-intention-en-1945-de-liberer-le-danemark-et-la-norvege-revele-le-ministere-de-la-defense-de-stockholm_2343675_1819218.html Stockholm, 20 avril 1957 - Envahir par surprise la Norvège et le Danemark et mettre hors d'état de nuire les troupes allemandes d'occupation, tels furent à partir de 1945 les plans de l'état-major suédois désignés sous les initiales R.N.R.D. (Radda Norge, sauver la Norvège ; Rassa Danemark, sauver le Danemark). Tous les détails viennent d'en être révélés par le chef des services historiques de la défense suédoise, le colonel Furtenbach, avec l'autorisation du ministère de la défense et sous le contrôle de deux anciens généraux en chef ainsi que des ministres de la défense, des affaires étrangères et des communications de l'époque Ces précisions jettent une lumière définitive sur un épisode curieux qui provoqua en Europe du Word de très vives controverses. C'est à la suite des démarches répétées du gouvernement norvégien libre et du conseil de la résistance danoise de février à fin avril 1945 que l'état-major suédois a mis au point les plans des deux opérations, et ce contrairement à certaines allégations, en plein accord avec le gouvernement. On craignait à Londres que l'Allemagne écrasée à l'est et à l'ouest ne poursuive la lutte dans certains réduits tels que la Norvège et le Danemark, où elle possédait encore des troupes intactes. La Suède avait au contraire la certitude sur la foi des rapports de ses services secrets et des résistants eux-mêmes que les troupes allemandes capituleraient sans effusion inutile de sang danois ou norvégien. Les préparatifs de l'opération sur la Norvège... Ici un chapitre reste obscur : le ministre norvégien des affaires étrangères en exil M. Trygve Lie, s'est plaint amèrement le 23 avril 1945 de la réponse négative du gouvernement suédois à ses demandes d'intervention. Or au même moment le dispositif suédois était prêt à fonctionner avec, notamment, l'appui de la résistance en Norvège même. Que M. Trygve Lie n'ait pas été informé par ses compatriotes reste aussi inexplicable que la sorte de double jeu de la Suède. Dès 1940 la Suède avait envisagé l'éventualité d'une agression allemande. L'état-major avait inclus dans son plan défensif certaines contre-attaques de diversion en Norvège. Au fur et à mesure du recul allemand en Russie ces plans prirent un caractère plus offensif. L'opération R.N. les a parachevés. Les renseignements sur les effectifs des troupes allemandes étaient remarquablement exacts sauf en ce qui concerne ceux de la marine et du corps de D.C.A. Stockholm avait groupé 245 000 hommes sur la frontière norvégienne, auxquels se seraient joints les 15 000 policiers norvégiens entraînés en Suède. Avec l'aide de la résistance norvégienne, les troupes suédoises devaient franchir la frontière par des chemins détournés, encercler par surprise le gros des forces... -
Salvador
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Politique etrangère / Relations internationales
Si les chiffres annoncés par le gvt du Salvador sont vrais, le taux d'homicides en 2022 malgré le week-end extrêmement meurtrier de fin mars qui a poussé à déclaré l'état d'urgence est le plus bas depuis des décennies dans ce pays : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-salvador-enregistre-le-taux-d-homicides-le-plus-bas-de-son-histoire-en-2022-20230105 En 2022, 495 homicides ont ainsi été recensés (7,8 pour 100.000 habitants), contre 1.147 en 2021 (18,1 cas pour 100.000 habitants). En 2019, 38 pour 100.000. En 2017 , l'ONU déclaré que le taux d'homicides était le plus élevé au monde avec 82,8 meurtres pour 100 000 habitants -
Géorgie
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
@Teenytoon La, vu que le gouvernement s'oppose à la présidence, toute résistance militaire serait désorganisé. Cela tournerait à une guerrilla au pire -
Amérique latine : l'armée en guerre contre les cartels de drogue
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Après l'enlèvement de 4 citoyens américains et la mort de deux d'entre eux, un cartel livre cinq de ses membres pour éviter d'éventuelles représailles de Washington ! Mais comment pourrait il être jugés dans ces conditions ? https://www.courrierinternational.com/article/criminalite-americains-assassines-au-mexique-cinq-suspects-livres-ligotes-a-la-police?- 635 réponses
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
@Ciders Oui. Il y a même un musée : http://bunkermuseum.at/ Et n'oublions pas les casemates suisses camouflés en chalets de montagne Fin du HS -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je fais également un HS concernant les fortifications, mais les Pays-Bas a partir de 1951 ont construit une ligne de défense avec entre autres des tourelles de chars Shermans et Ram canadiens. En service jusqu'en 1964 : https://nl.wikipedia.org/wiki/IJssellinie -
Mitsubishi Regional Jet
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Aviation de ligne, d'affaire...
Démolition du premier des six (ou 7 ayant volé ?) prototypes sur l'aéroport de Moses Lake dans l'état de Washington ce mercredi 8 mars 2023: https://www.air-journal.fr/2023-03-10-repose-en-paix-spacejet-photos-5247049.html -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Transfert sur le fil suivant des messages sur la Géorgie : -
Salvador
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Politique etrangère / Relations internationales
@pascal Voici la vidéo en question du transfert, les types avec juste un caleçon cranes rasées s’alignant en rang d'oignons... On se croirait dans un camp chinois du temps de Mao ou soviétique - Il n'y a pas que l'Allemagne à avoir eu ce type d'installations - : -
Salvador
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Politique etrangère / Relations internationales
Le Centre de confinement du terrorisme (Centro de Confinamiento del Terrorismo, Cecot), la plus grande prison des Amériques, est ouverte depuis le 2 février 2023 avec quelques mois de retard : https://www.la-croix.com/Monde/Salvador-prison-hors-norme-inquiete-ONG-2023-02-02-1201253473 https://www.ouest-france.fr/monde/el-salvador/le-salvador-ouvre-une-mega-prison-dans-le-cadre-de-sa-guerre-contre-le-crime-857c914e-b830-11ed-a6d8-fca93d3c5f9b Les 2 000 premiers prisonniers ont été transférés vendredi 24 février 2023 dans la « plus grande méga prison des Amériques », conçue pour accueillir 40 000 détenus. Un transfert qui a été scénarisé, filmé avec des drones, puis monté en un clip haletant de près de 3 minutes, digne d’une série hollywoodienne.... -
Vidéo de 2019 d'Irving sur ce système nommé Rapid Rigging De-Rigging Airdrop System (RRDAS).
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Un petit témoignage intimiste d'une veuve de Collioure , dans les Pyrénées Orientales, qui s'est fiancé un parachutiste 15 jours avant qu'il ne parte pour la Corée en octobre 1950. Il y sera enterré en 2015 :
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Guerre nucléaire entre Inde et Pakistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Mani dans Conflits probables
Seconde partie : Une paix vaine Le 8 juin, le plus haut gradé encore en vie de l’autorité de commandement national pakistanais, l’Amiral Abdul Aziz Mirza demande l’arrêt des hostilités et souhaite capituler à la seule condition que les troupes indiennes se retirent pour mettre fin au massacre. En Inde, le Premier ministre Atal Bihari Vajpayee qui a survécu au bombardement nucléaire de New Delhi exige en échange, le démantèlement de toutes les armes de destruction massive de l’arsenal pakistanais et la neutralisation de ses moyens offensifs. Le 10 juin l’Amiral Mirza donne son accord, depuis Téhéran en Iran où il a trouvé refuge tout comme 12 millions de Pakistanais. Le 11 juin, les forces indiennes commencent à regagner leurs frontières. Alors que les nuages de cendre et de poussière, en partie irradiés, ne sont pas encore retombés, des flammes rougeoyantes dévorent les épis de bois des milliers de buchés qui ont été allumés, principalement sur les rives du Gange. En effet, les Indiens, majoritairement hindouistes, on pour tradition de bruler leurs morts sur bûchers à ciels à ouvert. D’après l’astronaute américaine Peggy Whitson, les milliers de buchés sont visibles depuis l’espace via des caméras infrarouges, malgré la quantité encore élevée de poussières et de cendre encombrant le ciel du sous-continent indien. Couverture et pollution qui risque de s’aggraver alors que des buchés sont allumés depuis des jours et risques de lettre encore pendant des semaines si ce n’est des mois. Sans compter que les centaines de kilos de bois nécessaire à la constitution d’un bûcher risquent de créer un manque dans les mois à venir et lors de l’hiver quand il s’agira du seul moyen de se chauffer ou de cuisiner tant que les infrastructures ne sont pas en état. Alors que 17 millions de personnes ont été tuées entre le 6 et le 7 juin dans les échanges nucléaires, 7 millions de personnes sont en train de mourir de leurs blessures ou d’irradiation dans des zones totalement ravagées ou aucun secours n’est disponible. Dans les jours suivants l’échange nucléaire, le Pakistan et le nord de l’Inde sont touchés par les retombées, on estime alors que le nombre de contaminé va tripler. Surtout que les vents dominants du moment souffle vert l’est et vont contaminer une grande partie de la moitié nord l’Inde et du Bangladesh avant d’être arrêté par les contreforts de l’Himalaya à la frontière avec le Myanmar. De plus, les violences communautaires se poursuivent. Surtout au Pakistan qui plonge dans l’anarchie et la guerre civile alors que les leaders pakistanais et indiens doivent encore théoriquement négocier et signer un armistice et un traité de paix. En attendant, la seule certitude c’est que les dizaines de millions de réfugiés pakistanais qui se déversent sur l’Iran et l’Afghanistan vont certainement déclencher de nouvelles tensions dans les mois et années à venir. Alors que le Pakistan va mettre des années à (éventuellement) se relever, l’Inde, durement touchée, est toujours debout. Dans les pays musulmans les plus extrémistes, des manifestations anti-indiennes se multiplient et sont de plus en plus violentes. Dans certaines monarchies du golfe ou travailleur pakistanais et Indiens se côtoient, l’armée est contrainte d’imposer les lois martiales pour contenir les violences. Évidemment la communauté internationale se mobilise pour venir aider les populations civiles. Déjà, des avions américains, chinois et russes larguent des colis d’aide médicale et alimentaire alors que les zones rurales du Pakistan se transforment en camps de réfugiés géants. Tout ça pour rien Ce n’est que le 7 septembre que les porte-paroles de l'US Air force et de la NASA annoncent avec une certitude absolue que l’explosion atmosphérique du 6 juin est due à la désintégration d’un petit astéroïde, « Cette explosion de 15 kilotonnes dans la haute atmosphère n’a rien de nucléaire et n’est même pas le fait de l’Homme. » Malheureusement, entre-temps le Pakistan a été touché par 84 explosions nucléaires et l’Inde par 62. Au 7 septembre la guerre et les massacres ont déjà fait au moins 21 millions de morts. Seules des estimations du nombre de victimes peuvent être données. Mais ce que l’on sait, c’est qu’à la fin de l’année 2002, 47 millions de personnes ont été tuées à la suite des explosions nucléaires, des retombés, des combats et des massacres. Il faudra un mois aux Nations Unies pour déployer un semblant d’effort coordonné pour établir des camps de réfugiés et fournir massivement des traitements médicaux, de la nourriture et de l’eau. Pendant ce temps, des réfugiés irradiés se sont répandu dans toute la région. Quelques-uns en Afghanistan et au Népal, plusieurs centaines en Iran, même si la situation y est restée sous contrôle. Malheureusement pour le Bangladesh, pourtant situé « loin » de la zone de guerre, les retombés radioactives on atteint le Gange. Ici, l’ONU et les autorités locales on réagit, mais pas avant que 20 millions de Bangladais soient contaminés à des degrés divers. Sans compter l’impact à long terme sur le bétail, l’agriculture et les nappes phréatiques. Mais le pire est à venir. Alors que des centaines de millions de personnes sont devenues des réfugiés, toute forme d’autorité étatique pakistanaise s’est effondrée. Il n’y a aucun service de secours ou médical à proprement parler, des aliments non contaminés deviennent rares, tout comme l’eau potable et les médicaments. Non seulement 150 millions de personnes vont décéder des suites de maladies dues aux radiations causées par les retombées et à la contamination, mais 100 millions de personnes supplémentaires risquent de mourir de faim ou de maladie. La peste, le choléra, le typhus et le botulisme font leurs grands retours dans les zones touchées par le chaos. Chaque maladie est devenue mortelle, en particulier avec tous les cadavres en décomposition, mais aussi la contamination des cheptels et des sources d’eau. Au moment où nous écrivons ces lignes, le Pakistan – en tant qu’état nation — a tout simplement cessé d’exister et il est difficile de spéculer sur son avenir ou celui de ses habitants. L’Inde du Sud et de l’Est même affaiblie tient toujours. Mais, tout comme le Bangladesh, elle a besoin de l’aide internationale pour se reconstruire et assainir les zones contaminées. Cela va certainement prendre des décennies. Pour le monde entier, ce cauchemar a rappelé que la guerre nucléaire était à éviter par tous les moyens et que comme le disait Fénelon : « Toutes les guerres sont civiles, car c’est toujours l’homme contre l’homme qui répand son propre sang. » Pourtant déjà de nouvelles inquiétudes surgissent depuis trois jours puisque sous couvert d’opération humanitaire l’Armée populaire de Libération chinoise est entrée en masse au Cachemire et dans l’Arunachal Pradesh malgré les avertissements répétés des autorités indiennes bien impuissantes. Reste à savoir comment vont réagir les populations locales ainsi que la communauté internationale, alors que le président Jiang Zemin se défend de toute volonté d’annexion, disant que la Chine intervient pour éviter qu’un flot de réfugiés contaminés ne se déverse sur son territoire. Il est utile de rappeler que la Chine à des revendications territoriales de longue date dans ces deux zones du territoire indien. -
Guerre nucléaire entre Inde et Pakistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Mani dans Conflits probables
J'indique cette courte uchronie de Thomas Diana ou un bolide pénétrant dans l'atmosphère au dessus du Cachemire au lieu de la Méditerranée comme dans la réalité déclenche des tirs indo pakistanais. Résultat le Pakistan est en ruines, l'Inde sévèrement touché, les pertes humaines se comptent en dizaines de millions et la Chine en profite pour ''protéger ses frontières'' des réfugiés irradiés en avançant dans l'Himalaya - Si vous aimez, n'hésitez pas allez commentez et cliqué sur son site - : Première partie https://auborddelabime.com/2022/11/01/bolide/ Extrait de « Comprendre la guerre nucléaire indo-pakistanaise de 2002 » par Marie-Hélène Lambert pour Paxartis.com, 9 octobre 2002. Nous sommes en juin 2002. Depuis le mois de décembre précédent un conflit militaire fait rage entre l’Inde et le Pakistan. La guerre n’est pas officiellement déclarée, mais elle n’est pas loin. Des accrochages ont lieu quotidiennement au Cachemire et aussi tout au long de la frontière. Tout a commencé le matin du 13 décembre 2001 quand un groupe armé de cinq hommes a attaqué le parlement indien en profitant d’une brèche dans le cordon de sécurité au niveau de la porte 12. Les assaillants sont parvenus à tuer sept personnes avant d’être eux-mêmes abattus. Bien que le Président pakistanais Pervez Musharraf ait condamné l’attaque, le Premier ministre indien Atal Bihari Vajpayee n’est pas dupe et accuse immédiatement le Pakistan de faciliter les infiltrations des groupes armés islamistes. Il n’est donc pas surprenant que Vajpayee ordonne le déploiement de 600 000 soldats à la frontière pakistanaise au Cachemire. Les généraux indiens ont ensuite reçu un second ordre : préparer une éventuelle invasion du Pakistan lui-même. Bien que Musharraf n’ait pas eu connaissance du second ordre, le premier a été rendu public. Au début, Musharraf a hésité à réagir à cette action indienne, l’armée pakistanaise étant en partie déployée à la frontière afghane. Mais peu après, le Président pakistanais change d’avis et ordonne à 400 000 soldats pakistanais de faire face aux Indiens dans le Cachemire. Et c’est exactement ce que les Indiens espéraient, car ce déploiement ne laisse au Pakistanais que 200 000 hommes pour défendre le reste du territoire face à 700 000 Indiens supplémentaires. Ainsi des préparatifs commence discrètement dans le Pendjab indien ou, au fil des semaines, sont patiemment assemblées 3 Corps d’Armée avec leur appui et logistique soit environs 250 000 hommes. Une force un peu plus modeste constituée de 2 Corps d’Armée se prépare de manière bien plus visible pour une éventuelle invasion depuis le désert du Thar. Le plan d’invasion depuis le Pendjab est le suivant : atteindre Lahore à J+1, atteindre Islamabad à j+5 ou J+7. Ainsi le gros de l’armée pakistanaise se retrouvera coincé au Cachemire. Les généraux pakistanais, même s’ils ne sont pas conscients de tous les déploiements en cours, ne sont pas stupides. Disposant des mêmes cartes que leurs homologues indiens ils s’attendent au pire et déploient deux brigades pour couvrir le « front de Lahore », tout en étant bien conscients que cela serait insuffisant pour arrêter une offensive à grande échelle. Bien que le désert du Thar offre une autre route d’invasion du Pakistan depuis l’Inde, cette option reste considérée comme peu probable, car la valeur de ce territoire est considérée comme négligeable. C’est à ce moment que Musharraf décide que si le « front de Lahore » est attaqué, le Pakistan utilisera la bombe. En effet l’armée pakistanaise ne compte pas autant d’homme que l’armée indienne et le modeste territoire pakistanais n’offre aucune profondeur stratégique. Pendant ce temps les deux pays s’affrontent et se tiennent prêts à toute éventualité, y compris la pire : la guerre nucléaire. L’Inde a le plus impressionnant arsenal avec 140 têtes nucléaires d’une puissance de 20 à 60 kilotonnes et une dizaine de bombes à neutron, mais assure que l’usage de cet arsenal ce serait être que défensif. Le Pakistan dispose de 140 têtes nucléaires également, mais n’a pas de bombe à neutron. La puissance des bombes pakistanaises est estimée à 10 ou 15 kilotonnes. La grande faiblesse de l’arsenal pakistanais est ses moyens de lancement. En effet, la République islamique ne dispose pas de missiles balistiques officiellement opérationnels et seuls ses avions d’attaque Shenyang A-5C sont capables de larguer des bombes nucléaires. Pour cette raison, les escadrons No. 16 blacks Panthers et No. 26 black Spiders sont en état d’alerte permanente. L’Inde quant à elle dispose du modeste missile Prithvi d’une portée de 150 km alors que le déploiement par moyen aérien est assuré par des Mirages 2000H. Mais durant la nuit du 6 juin, un évènement imprévu précipite le cours de l’Histoire. Une explosion atmosphérique illumine le ciel au-dessus du Cachemire. Les deux belligérants pensent alors à un tir de démonstration de leur adversaire. Se pensant attaqués, les deux pays décident de riposter. Personne n’a rien vu venir, même les grandes puissances n’ont pas détecté de lancement. Trajectoire d’impact Les premiers à se lancer sont les Pakistanais avec leur Shenyang A-5C, mais les Mirages indiens décollent 3 minutes après et les Prithvi sont en train d’être dispersés pour rester en capacité de seconde frappe. Sur les 18 attaquants pakistanais, seulement 5 parviennent à délivrer leurs charges nucléaires. Les cibles touchées sont la base navale d’Okha et les bases ariennes de Srinagar, Halwara et Bhuj ainsi que le commandement aérien de Ghandinagar. Pour cette dernière cible, bien que les installations de surface soient détruites, les survivants sont nombreux, car les installations vitales sont profondément enterrées. L’attaque indienne connait une meilleure réussite grâce des avions plus performants et mieux escortés. Malheureusement toutes les cibles militaires pakistanaises importantes sont à côté de grands centres urbains notamment dans la vallée de l’Indus. Ainsi 16 bombes nucléaires touchent la base navale de Karachi et la base aérienne voisine de Masroor, ainsi que les bases aériennes de Lahore, Chander, Islamambad, Chaklala, Kamra ainsi que les formations militaires aux abords du Cachemire. Le monde s’éveille à la vue des flashs d’information relatant les évènements alors que les chancelleries des grandes puissances appellent à cesser immédiatement les hostilités, mais la situation continue de se détériorer. Au Cachemire, 3 nouvelles bombes nucléaires pakistanaises détonnent en début de matinée et au même moment à travers l’Inde les cellules terroristes dormantes s’activent et pas moins de 17 attentats suicides ont lieu avant 10 h du matin. Cela déclenche des représailles au sein de la population ou les hindous s’attaquent en masse aux musulmans face à une police débordée et incapable de maintenir l’ordre. Pour tenter de décapiter les cellules terroristes supposément commandées par l’ISI, Islamabad est immédiatement ciblé et 3 bombes nucléaires détonnent autour du quartier d’Aabpara et deux autres près du QG des forces aériennes pakistanaises. Dans le Punjab, 4 autres bombes détonnent sur Rawalpindi et Chaklala pour détruire les deux principaux QG de l’armée. Sur le plan des combats conventionnels, les Pakistanais n’ont pas bougé, mais les Indiens s’apprêtent à entrer en masse au Punjab pour attaquer Lahore et au Sindh depuis le désert de Thar. La réplique pakistanaise ne se fait pas attendre puisque les forces aériennes mobilisent tous leurs moyens avec un seul but : détruire New Delhi. Entre 11 h 5 et 11 h 23, 55 têtes nucléaires détonnent sur l’axe du Pendjab, de l’Haryana et la Capitale indienne qui à elle seule est touchée par 11 bombes. À la grande surprise des Indiens, 11 missiles balistiques ont été tirés par les Pakistanais, il s’agit de Ghauri-I, encore en développement. Les Indiens ne sont pas en reste, car dès que l’attaque est détectée ils déclenchent leurs moyens de seconde frappe que constituent les Prithvi. C’est donc 30 missiles qui sont tirés en direction des grandes villes pakistanaises dont l’armée ne dispose d’aucun moyen d’interception. Dans le même temps, l’armée de l’air indienne fait décoller tous les appareillent encore en état pour bombarder toutes les positions et bases pakistanaises connues que ce soit avec des bombes nucléaires, à neutrons ou conventionnelles. Les deux brigades du « front de Lahore » sont transformées en « chaleur et poussière » pendant que 29 des 30 Prithvi atteignent leurs cibles. Les rares directs filmés depuis l’Inde sont interrompus par les explosions nucléaires touchant New Delhi, Lahore et Islamabad qui malmènent les infrastructures de communications. Alors que le public mondial ne dispose plus d’aucune information sur la situation, les grandes puissances utilisent les moyens satellitaires pour suivre les évènements. L’armée indienne entre au Pakistan ou elle est accueillie par une population hostile. Les soldats indiens ne se font pas prier pour riposter par un tir nourri au moindre jet de pierres. Dans certains cas, les tankistes fendent la foule hostile en lançant leurs chars T-72 Ayeva à pleine vitesse, ajoutant à l’horreur et au carnage. Au Pakistan, les hindous qui n’ont pas été tués par les bombardements nucléaires sont ciblés par les civiles, miliciens et militaires dont le pays vient d’être anéanti. En Inde, les forces de l’ordre ont bien du mal à s’interposer – quand elles en ont envie — et des milliers de musulmans meurent massacrés dans des pogroms ou dans des incendies visant leurs quartiers...