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La France accusée de nouveau dans l'affaire d'USTICA
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Histoire militaire
La, c'est tout de même fort de café : Mario Naldini et Ivo Nutarelli, 2 des 3 pilotes italiens ayant participé à l’interception du MIG-23, sont décédés au cours d’une collision lors d’une fête aérienne sur la base de Ramstein en Allemagne. Pour de nombreux conspirationnistes, ces morts en série ne peuvent être le fait du hasard. :P -
Les USA continue coûte que coûte le projet ORION
collectionneur a répondu à un(e) sujet de stormshadow dans Uchronies
Faut voir si on fait démarré l'engin sur Terre ou en orbite. Si tout va bien, on pourrait avec des sondes explorant chaque planête de notre système des les années 80. -
[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Bill dans Actualités marines
Bonne question, le wiki english dit qu'ils ont reçus des hydravions Beriev Be-12 à la dissolution de l'URSS mais sont ils en état de vol ? -
Les archives déclassifiées et révélations historiques
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Histoire militaire
Sur le wiki, certains on fait un article assez bien sur l' Histoire du programme nucléaire militaire de la France avec les apports US ;) http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_programme_nucl%C3%A9aire_militaire_de_la_France Morceaux choisit : Collaboration avec les États-Unis Alors qu'à la suite de la seconde guerre mondiale, les États-Unis cherchent à empêcher la prolifération nucléaire, ils infléchissent leur politique et vont favoriser le développement du programme nucléaire militaire français bien que l'Atomic Energy Act interdise le transfert de technologies atomiques. Cet appui va se faire, avec différents niveaux de développement, dans 4 domaines : Visite du champ de tir atomique du Nevada Dès mai 1955, le colonel Pierre Marie Gallois fait une visite au Site d'essais d'armes atomique du Nevada. En avril 1957, le général Charles Ailleret (commandant interarmées des armes spéciales) y effectuera une autre visite. Cela permis de comprendre l'organisation de tels essais et de valider l'organisation envisagée pour le site d'essais du Sahara. Appareils de mesure ultra-rapide En 1958, grâce aux bonnes relations entre Félix Gaillard (président du Conseil) et Eisenhower, le général Ailleret, le colonel Buchalet et le professeur Yves Rocard (CEA) se rendent aux États-Unis dans le cadre de la mission Aurore. Une bonne partie de la mission fut consacrée à des réunions qui cherchaient apparemment à dissuader la France de construire une bombe atomique. Toutefois, des réunions techniques permirent à la délégation française d'en apprendre plus sur les appareils de diagnostic de l'explosion. Et au final, des appareils d'électronique ultra-rapide furent ramenés en France, où ils faisaient défaut. Uranium enrichi Un protocole conclut entre les ministères des finances et de la défense le 30 novembre 1956 prévoyait la construction par le CEA d'une usine d'enrichissement de l'uranium. La programmation de cette usine fut officialisé en juillet 1957, par le vote par le parlement du second plan quinquennal de l'énergie atomique. Les travaux débutèrent à Pierrelatte en 1960 et le premier lingot d'uranium faiblement enrichi fut obtenu en janvier 19601. Le 25 décembre 1957, Pierre Guillaumat (administrateur général du CEA) rencontra l'amiral Elliott B. Strauss (en) au sujet de la fourniture d'uranium enrichi pour construire un réacteur nucléaire de sous-marin. Les États-Unis fournirent bien de l'uranium enrichi, ce qui permit au prototype de réacteur nucléaire de sous-marin, construit au Centre de Cadarache, de diverger en août 1964. Mais les États-Unis ne s'engagèrent pas à fournir de l'uranium enrichi pour le moteur de sous-marin lui-même. De plus, l'amiral Strauss chercha à dissuader le CEA de construire sa propre usine d'enrichissement de l'uranium. La coopération dans ce domaine fut donc très limitée1. Information ouverte. Le rapport Smyth, publié le 16 août 1945 par le gouvernement américain, fut une bonne source d'information pour les Français. Ce rapport montrait comment les Américains avaient fait pour réussir à construire leurs bombes atomiques1. Les « conférences des Nations Unies sur les utilisations pacifistes de l'énergie atomique »13 apportèrent aussi des informations utilisables. La première conférence (août 1955) s'accompagna, coté américain, de la déclassification de nombreux documents fournissant des informations plutôt théoriques. La seconde conférence (septembre 1958) fournit des informations plus pratiques, en particulier sur la notion de masse critique. L'appui des États-Unis dans les années 1970 Généralités Les relations franco-américaines étaient au plus bas en 1966, lorsque le président de Gaulle retira la France de la structure militaire de l'OTAN. L'amélioration des relations avec la France fut un des objectifs de la politique étrangère du président Richard Nixon. L'administration Nixon inversa ainsi la politique américaine d'opposition au programme nucléaire français28. En conséquence, au début des années 1970, les États-Unis prirent l'initiative de discussion avec la France sur le nucléaire militaire. Les discussions des années 1970 étaient aussi un moyen pour les Américains d'en apprendre plus sur l'arsenal nucléaire français. De plus, l'amélioration de la force nucléaire française renforcerait la position stratégique des États-Unis face à l'Union soviétique28. En plus d'être censées gardées secrètes au niveau international, ces discussions, puis l'aide apportée, se firent sans en informer ni le Congrès américain, ni le Département d'État. En effet, l'Atomic Energy Act interdisait le transfert de technologies des armes nucléaires. Toutefois, les Américains tinrent informés les Anglais des développements faits en France. Au final, cette aide, bien que limitée, permit des économies de temps et d'argent au programme nucléaire militaire français. Elle se poursuivit sous l'administration Ford. Elle resta inconnue du public jusqu'en 1989, lorsque Richard Ullman publia son article « The Covert French Connection » dans la revue « Foreign Policy ». Déroulement La visite de Georges Pompidou à Washington en février 197029,30 fut l'occasion du redémarrage des relations franco-américaines. Pompidou avoua la faiblesse stratégique de la France et la possibilité que les missiles nucléaires français ne soient pas capable d'atteindre leurs cibles. Si Pompidou ne demanda pas directement d'aide américaine, il fit remarquer que le “comité franco-américain pour les échanges technologiques“ était au point mort. Nixon reconnu que la « question nucléaire » pourrait faire le sujet de discussions sur la coopération. À la suite, le Secrétaire de la Défense Melvin Laird suggéra de fournir à la France des informations sur l'amélioration de la sûreté des missiles et sur les matériaux pour la phase de rentrée atmosphérique. Il était plus circonspect sur le transfert de la technologie de navigation astronomique28. En juin 1970, l'Assistant Secretary of Defense for Research and Engineering John S. Foster, Jr. effectua un voyage à Paris pour y rencontrer le délégué général pour l'armement au ministère des armées Jean Blancard. Une liste des demandes françaises fut soumise. Elle portait sur le développement de missiles terrestres et sous-marins, tel que les techniques de fabrication, la fiabilité des moteurs à propergol solide ou les matériaux résistants aux effets atomiques pour les véhicules de rentrée atmosphérique. Foster fit clairement savoir qu'il n'y aurait pas d'aide sur la technologie de navigation astronomique, mais que cela pouvait être possible sur le guidage inertiel des missiles sous-marins28. La Maison-Blanche pris presque une année pour statuer sur la demande française car elle souhaitait tout d'abord passer en revue la politique d'aide militaire à la France. La réponse ne pouvait pas être négative car c'était les États-Unis qui avaient pris l'initiative des pourparlers sur les missiles de 1970. Aussi, en mars 1971, Nixon approuva un programme d'aide minimum : les États-Unis assisteraient la France pour l'amélioration des systèmes existants mais pas pour le développement de nouveaux systèmes. Cette réponse fut transmise par le Département d'État et le Ministère de la Défense en avril 1971. Une délégation menée par Foster fit une seconde visite en France en juin 1971. Les discussions portèrent sur les moyens pour Washington d'aider le programme de missiles nucléaire français. Les Français demandèrent de l'assistance sur l'amélioration de la sureté et de l'opérationnalité au travers d'un appui sur des problèmes techniques allant de la propulsion aux connecteurs électriques. Une règle de fonctionnement fut arrêtée : les Français feraient parvenir des descriptions de leurs problèmes techniques et les Américains les conseilleraient. La délégation américaine fut conduite à Bordeaux pour visiter les installations de production de missiles et voir les missiles eux-mêmes. Les Français étaient apparemment satisfaits des échanges techniques autorisés par Nixon en 1971. En juillet 1972, le ministre de la Défense Michel Debré effectua une visite officielle aux États-Unis. Alors que la presse spécula sur l'éventualité de discussions sur la coopération nucléaire, Debré nia ce point et, à l'époque, aucune information sur ces discussions ne parut dans la presse. Lors d'une réunion avec Henry Kissinger, Debré demanda la fourniture de renseignements sur les missiles antibalistiques de l'URSS. Kissinger y était favorable, mais considérant que l'Administration pourrait s'y opposer, suggéra que l'ambassadeur français ne formule pas de demande officielle. Les fonctionnaires du Département d'État avaient été tenus à l'écart des discussion de Debré avec la Maison-Blanche et le Pentagone. Ils apprirent cependant qu'une nouvelle liste de demandes avait été transmise à Foster et que ces demandes portaient sur des sujets très sensibles (miniaturisation des têtes nucléaires, mode d'utilisation des sous-marins nucléaires lanceur d'engins, etc.). Après la visite de Debré, les Français continuèrent à demander plus d'informations. En mars 1973, suivant les conseils de Melvin Laird, Richard Nixon autorisa le transfert d'informations sur : * les simulateurs des effets nucléaires (et la vente de petits simulateurs) ; * les techniques de durcissement des missiles et des véhicules de rentrée ; * les missiles antibalistiques soviétiques. Foster suggéra de fournir aussi des informations sur les systèmes d'alerte précoce afin de renforcer le caractère dissuasif de la force nucléaire française. À la fin mai 1973, lors d'une rencontre en Islande entre Kissinger, Nixon et Pompidou, ce dernier demanda à ce que les discussions, jusqu'alors limitées à la technologie des missiles, soient étendues aux technologies des armes nucléaires. En conséquence, le nouveau ministre des Armées Robert Galley se rendit aux États-Unis pour des discussions secrètes avec Kissinger et le nouveau Secrétaire de la Défense James Schlesinger. Galley expliqua à Kissinger que la France souhaitait des informations sur : * la pénétration des missiles, incluant le durcissement des véhicules de rentrée, l'aide à la pénétration et les missiles à ogives multiples pour les sous-marins; * la taille et la masse des détonateurs accélérés ; * la réalisation d'essais souterrains aux États-Unis. Il s'agissait pour les Français de développer une nouvelle génération de missiles28. Afin d'éviter d'avoir à demander l'autorisation du Congrès américain (et ainsi contourner l'Atomic Energy Act (en)), Kissinger et Galley s'accordèrent pour que les États-Unis s'en tiennent à du « conseil par la négative» (sans que l'on sache qui proposa ce type d'accord), c'est-à-dire que les Américains se contenteront de critiquer les idées soumises par les Français. Ces discussions se poursuivirent pendant 4 ans. Elles devaient rester secrètes afin de ne pas compliquer les relations entre les États-Unis et ses autres alliés qui auraient alors pu demander le même traitement. Ni le Département d'État, ni le Congrès, n'en eurent connaissance28. Les têtes multiples d'un missile américain Minuteman Un missile balistique peut porter plusieurs ogives permettant de frapper des objectifs différents dans une même zone. Si Kissinger était conscient des limites du programme français et de l'intérêt que la France pouvait jouer en termes de dissuasion, Il décida cependant de modérer le transfert des informations afin de donner l'impression aux Français que les discussions avec Galley avait fait un pas en avant. Toutefois, au début de l'année 1975, les Français s'inquiétèrent de la lenteur du retour d'informations. Les Américains répondirent qu'il n'y avait rien d'anormal et que c'était simplement dû à l'analyse détaillée de leurs demandes. Certaines demandes étaient de toutes façons difficile à satisfaire, telle l'utilisation du site du Nevada pour des essais souterrains. Sur ce point, à la mi-1975, le président Ford demanda tout de même d'étudier les possibilités d'aider les Français à conduire des tests souterrains. Il autorisa aussi un programme d'assistance qui incluait : * l'amélioration de la sécurité, de l'opérationnalité et de la diminution de la vulnérabilité nucléaire des missiles stratégiques ; * le durcissement des missiles et des véhicules de rentrées ; * les véhicules de rentrées à têtes multiples (à condition qu'ils visent une même cible) ; * les connaissances fondamentales sur le comportement des matériaux liés à la conception des armes nucléaires. Ford interdit la fourniture d'informations sensibles et l'utilisation du site du Nevada pour y exposer les matériaux des véhicules de rentrée. Le flux d'informations continua à rester limité. Quelques mois plus tard, le président Valéry Giscard d'Estaing s'en inquiéta auprès de Ford et Kissinger. Kissinger l'expliqua par les réticences du Pentagone et le fait que le Congrès verrait d'un mauvais œil que la Maison-Blanche autorise l'exportation d'ordinateurs performants. Si la décision sur les ordinateurs dut attendre plusieurs mois, l'assistance fut effective sur les technologies de tests souterrains, les véhicules de rentrée à têtes multiples et la vulnérabilité des sous-marins. Depuis les années 1980 Les coopérations des années 1980 et 1990 restent très peu connues, tout comme le contenu de l'accord de coopération nucléaire entre la France et les États-Unis décidé par Jacques Chirac et Bill Clinton en 1996. -
Situation politique en Amérique Centrale et en Amérique du Sud
collectionneur a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Après le socialisme vénézuélien, voici le libéralisme hondurien :lol: Et le Honduras créa les villes privées http://www.lepoint.fr/monde/et-le-honduras-crea-les-villes-privees-06-09-2012-1503388_24.php ...Les trois "régions spéciales de développement" (RED) disposeront chacune de leurs propres lois, tribunaux, police, gouvernement, écoles et autres infrastructures médicales, tout en jouissant d'un système fiscal autonome de celui du reste du pays. Des exceptions à la Constitution approuvées par le gouvernement l'année dernière. Seules les règles qui régissent les relations extérieures subsisteront dans ces zones... On verra si cela tient sans aucun investissement public, ils vont bâtir leur propre centrale électrique ou quoi ? -
Guerre civile en Syrie
collectionneur a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
Je confirme pour les ''attardés'', j'ai eu des prises de bec sur certains films et documentaires avec des malades mentaux déclamant leur haine à longueur de post. J'ai est fait virer 3 de ces gus de Youtube ces dernières années, et fait supprimer plusieurs commentaires mais c'est une goutte d'eau dans un océan d'acide. -
Russie et dépendances.
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Et pendant ce temps, une députée russe de opposition se voit condamné à 8 ans de prison pour ''trafic de drogue''... -
Un bouclier antimissile russe pour le ciel arabe (Gazeta) !
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Mani dans Afrique / Proche Orient
Résultat des courses en 2012 ? Qui à acheté des armes russes dans en grosse quantité le coin depuis 2007 a part l'Algérie et la Syrie ? -
A la 35e seconde du film, je rêve ou les artilleurs sont armés de Kalash ? :O
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Cela n’empêcha pas Moscou de coup de pouce à la Junte militaire avec des renseignements.
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Obama va faire une annonce à la nation: Oussama est mort.
collectionneur a répondu à un(e) sujet de schweizerluftwaffe dans Politique etrangère / Relations internationales
On à parlé de 400 000 préventes, c'est beaucoup pour le marché littéraire nord américain ? -
Command: Modern Air/Naval Operations
collectionneur a répondu à un(e) sujet de fab947 dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Merci :) -
Post mit sur le fil concernant l'armée russe. Un russe à inventé le ''canon à merde'' ?!? http://french.ruvr.ru/2012_09_04/87210607/ Une arme, qui fonctionnerait avec des munitions fabriquées à partir des excréments des soldats d’un char pourrait être brevetée en Russie, rapporte ce mardi le quotidien The Guardian. Selon l'auteur du brevet, cette invention permettrait d'atteindre plusieurs objectifs à la fois. Tout d'abord, elle évite les mauvaises odeurs dans le char et réduit considérablement le moral de l'ennemi, qui sera frappé avec des obus contenant des selles. Cette arme inhabituelle a été inventée par un habitant de Saint-Pétersbourg Alexandre Semenov. En 2009, il a reçu un brevet en Russie pour son invention. Officiellement son arme est appelée « Système d’élimination des déchets biologiques du secteur habité d’un site militaire et procédé de son recyclage ». Les armes biologiques sont pourtant interdites depuis des années si je m'abuse ! ;)
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USA
collectionneur a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Chuck Norris a une boite de nuit a Moscou ou il a reçu le politicien ultranationaliste Jirinovsky et il se déclare contre le ''socialisme'' :P -
Les forces armées terrestres russes
collectionneur a répondu à un(e) sujet de S-37 Berkut dans Asie / Océanie
Un soldat russe à inventé le ''canon à merde'' ?!? :O http://french.ruvr.ru/2012_09_04/87210607/ Une arme, qui fonctionnerait avec des munitions fabriquées à partir des excréments des soldats d’un char pourrait être brevetée en Russie, rapporte ce mardi le quotidien The Guardian. Selon l'auteur du brevet, cette invention permettrait d'atteindre plusieurs objectifs à la fois. Tout d'abord, elle évite les mauvaises odeurs dans le char et réduit considérablement le moral de l'ennemi, qui sera frappé avec des obus contenant des selles. Cette arme inhabituelle a été inventée par un habitant de Saint-Pétersbourg Alexandre Semenov. En 2009, il a reçu un brevet en Russie pour son invention. Officiellement son arme est appelée « Système d’élimination des déchets biologiques du secteur habité d’un site militaire et procédé de son recyclage ». -
bizarre qu'un officier chinois annonce ce type de nouvelles, C'est les systèmes de radars et autres qui ne sont pas au point ?
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Je suggère toutefois d'indiqué les chiffres de base du bestiau, Longueur, diamètre et masse a vide ;)
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On vit dans un monde bizarre ou l'excessif d'un coté comme de l'autre me rend dépressif. Lu aujourd'hui : * Au Pays Bas, un garçon de 14 ans qui tue une fillette suite a un ''contrat'' sur Facebook est condamné seulement a an d'enfermement. * A Madagascar, un vol de zébus tourne a la guerre tribale avec 100 morts en un week end.
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C'est un texte destiné a etre imprimé ?
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Pour illustration ;) Un GE F404 en test : C'est un F404 ou un F414 sur le USS Abraham Lincoln (CVN 72) ? : Un GE F414 :
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Marine kényane
collectionneur a répondu à un(e) sujet de collectionneur dans Afrique / Proche Orient
La vidéo parle d'un canon de 76 mm, un de 30 mm et 2 de 12,7 mm. selon BIDEL écrivant sur le site Lignes de défense. Et il ne s'agit pas d'un navire chinois, mais espagnol :) Quelqu'un voit une tourelle pour le 76 mm ? L'image mise dans plusieurs journaux me semble ceux du navire avant conversion : -
Budget militaire sous la Vè république (1960-1980)
collectionneur a répondu à un(e) sujet de aigle dans Histoire militaire
Vous avez la référence sur l'objectif des 5 divisions ? C'était avant le retrait du commandement intégré ? -
Pakistan et ses voisins
collectionneur a répondu à un(e) sujet de cvs dans Politique etrangère / Relations internationales
Chiche >:( Bon, à quand une suppression totale de ce type de loi stupide dans le monde... -
Marine kényane
collectionneur a répondu à un(e) sujet de collectionneur dans Afrique / Proche Orient
Comme pour les Russes avec les Indiens avec leur porte-avions. Je n'est pascomprit toute l'histoire qui rapporté en anglais sur le net mais il semble que le cout à l'origine était bien plus faible, mais il y a des retards et des surcouts dans les travaux, à priori, il aurait du rentré en service en 2009...