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A t on des détails sur le décés de cette personne :?:
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Des soldats indiens traversent la ligne de front au Cachemir
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Bill dans Politique etrangère / Relations internationales
"Non assistance à personne en danger", connait pas :shock: Quand Bam s'est effondré en Iran il y 2/3 ans, des Américains sont allé aider malgré l'hostilité entre ces 2 pays. Quand il y a eu des tremblement de terre en Turquie puis en Gréce dans les années 90, ces pays pourtant en relation guére amicales se sont entraidais ;) Si cela décrispe les relations entre ces fréres ennemis, ce désastre aura servi au moins à quelques choses. -
Dissuasion nucléaire française...
collectionneur a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
On dérive du suget d'origine, je propose que l'on arréte le débat sur la Mecque, il y a plein d'autre cibles à atomiser de part le monde :twisted: -
On rajoute une catapulte et on en fait un vrai porte avions :lol:
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Résilience à une nouvelle pandémie
collectionneur a répondu à un sujet dans Divers non-conventionnel
Voici pour un autre article à faire peur, en France, cette fois ci, et sur Google vous avez des dizaines d'articles sur le méme suget :shock: :arrow: Grippe aviaire - le scénario catastrophe, la France en danger L’Express - lundi 10 octobre 2005 | 20:30 International Les scientifiques sont unanimes : partie d’Asie, la pandémie, à une échéance peut-être brève, pourrait gagner l’Europe. Il est donc impé- ratif de s’y préparer. Alerte du corps médical et des hôpitaux, stockage des médicaments antiviraux, mise au point d’un vaccin... un plan de lutte national existe. Est-il le meilleur possible ? Examen Le jingle du journal télévisé de 20 heures retentit. Et les nouvelles tombent, accablantes. Le virus de la grippe se propage à la vitesse de l’éclair dans le nord de la France. Le microbe se révèle particulièrement contagieux. Les morts se comptent maintenant en dizaines de milliers. Dans les hôpitaux débordés, les brancards s’entassent dans les couloirs. Les habitants qui tentent de fuir la région sont bloqués sur les autoroutes, en pleine tempête de neige. Le scénario catastrophe d’une pandémie grippale est devenu réalité... le temps d’un exercice de simulation organisé par le secrétariat général de la Défense nationale. De ce jeu de rôle rien ou presque n’a filtré. C’était le 30 juin dernier, dans les locaux de l’Ecole militaire, à Paris. Des représentants de tous les services de l’Etat concernés étaient présents. Mais aussi des experts de la maladie, des responsables de grandes entreprises, des médecins de ville, un pharmacien et de simples citoyens tirés au sort par l’institut de sondage Sofres. Bref, un échantillon de tous les groupes sociaux censés influer sur l’issue de la crise. Chez les participants, le vrai-faux journal a fait l’effet d’un électrochoc. « Nous étions tous secoués », témoigne l’un d’eux. Les séquences aux urgences étaient d’autant plus convaincantes qu’elles avaient été empruntées à la canicule de l’été 2003 ! En ajoutant des images de naufragés de la route des hivers passés, de pseudo-interviews enregistrées avec la complicité de véritables experts, le tour était joué. « Tout était crédible », juge l’un des scientifiques chargés de répondre, ce jour-là, aux interrogations de la cellule de crise interministérielle. Jamais la menace de pandémie n’a été aussi concrète qu’aujourd’hui. Le redoutable virus de la grippe du poulet est maintenant aux portes de l’Europe. Longtemps cantonné à l’Asie du Sud-Est, le microbe a été détecté pour la première fois en Russie cet été. Il risque de débarquer en France en voyageant avec les oiseaux migrateurs, qui se rendent dans les pays chauds avant l’hiver (voir l’infographie ci-dessus). Or ce virus animal peut, à la faveur d’une mutation, devenir contagieux du jour au lendemain chez les humains. Jusqu’ici, ce risque n’était qu’une hypothèse de scientifiques, débattue dans le petit cercle fermé des spécialistes mondiaux de la grippe. Mais le gouvernement français a annoncé, le 30 août, que le pays allait augmenter ses provisions de masques de protection et de médicaments antiviraux, tout en réservant un quota de vaccins auprès des laboratoires pharmaceutiques. Le défi : prévoir l’imprévisible Tout à coup, les citoyens ont découvert l’existence d’un plan de lutte national, qui n’avait suscité qu’indifférence lors de sa publication, l’an dernier. Dans ce document, l’Institut de veille sanitaire avance, sans frémir, que le bilan pourrait atteindre le chiffre faramineux de 212 500 morts si aucune mesure n’était prise. Soit 14 fois plus de décès qu’au cours de l’épisode de canicule. Du coup, les esprits s’échauffent. Que se passerait-il si la pandémie se déclenchait aujourd’hui en France ? L’Etat saurait-il faire face ? Faut-il craindre pour sa vie ? Les spécialistes font le point sur l’arsenal dont disposent les autorités sanitaires. Et révèlent de nombreuses zones d’ombre. Le défi : prévoir l’imprévisible. La pandémie se produira à coup sûr, affirment les scientifiques avec une belle unanimité. Mais personne ne peut prédire quand ni où. Car le virus de la grippe est fantasque : il mute fréquemment. Et quand une souche adaptée à l’homme opère une recombinaison avec une autre d’origine aviaire, le nouveau venu est si différent des précédents qu’il prend en défaut les défenses immunitaires de la population. L’événement s’est produit à trois reprises au siècle dernier, en 1918, en 1957 et en 1968. La principale menace, actuellement, vient du virus H5 N1, qui provoque des hécatombes chez les volailles au Vietnam, au Cambodge, en Thaïlande et en Indonésie. Il a déjà causé le décès de 65 personnes, par contact avec des oiseaux. Le microbe n’a plus qu’à acquérir la capacité de se transmettre d’homme à homme... Le risque de voir une pandémie désorganiser complètement le pays préoccupe les experts français. Ils ont déjà écrit le scénario de cette pagaille annoncée : le premier porteur du nouveau virus débarque sur le territoire français sans être repéré. Il s’agit d’un passager d’un vol en provenance d’Asie ou peut-être d’un marin au long cours arrivant de la même zone, ou encore d’un chauffeur routier venu d’Europe de l’Est. Sa fièvre est mise sur le compte de la banale grippe saisonnière, qui bat son plein au cœur de l’hiver. Le malade propage largement le virus autour de lui, jusqu’à ce que les médecins s’avisent d’un phénomène anormal. Trop tard ! Rapidement, les hôpitaux manquent de lits pour isoler les patients les plus gravement atteints. Le seul médicament potentiellement efficace, l’antiviral Tamiflu (laboratoire Roche), est en rupture de stock. Les rares boîtes s’échangent au prix fort sous le manteau. De nombreux actifs, alités, ne peuvent plus se rendre à leur travail. Leurs collègues bien portants, eux, restent terrés à la maison, par peur de la contagion. Dans les centrales nucléaires, certains réacteurs doivent être arrêtés, faute d’effectifs suffisants pour assurer la sécurité. L’électricité doit bientôt être rationnée. Puis c’est le tour de l’eau potable... Il suffirait pourtant d’un peu de chance et, surtout, d’un gros effort de planification pour que le pire soit évité. Dans un monde idéal, la pandémie se déroulerait en deux vagues successives, séparées par une période d’accalmie. Au cours du siècle passé, ce fut le cas deux fois sur trois. Lors de la phase initiale, le virus est modérément agressif. L’épidémie reste donc sous contrôle. Pendant ce temps, les laboratoires pharmaceutiques préparent un vaccin à base du nouveau microbe. Délai minimal : de quatre à six mois. Quand la grippe frappe le pays pour la deuxième fois, l’injection est prête et la population peut donc être protégée. Pour gagner cette course contre la montre, le gouvernement a centré son plan de lutte sur un objectif : « Freiner autant que possible la diffusion du virus. » Ecoles et crèches ferment donc leurs portes. Les concerts, les matchs de foot et autres grands rassemblements d’humains sont annulés. Les usagers des transports en commun portent des masques. Les malades dont la vie n’est pas en danger font preuve de civisme en restant chez eux, à l’isolement. Sur le papier, le plan français soutient la comparaison avec le dispositif d’autres pays occidentaux. A Malte, où se tenait début septembre la Conférence européenne sur la grippe, chacun se vantait pourtant d’avoir rendu une copie meilleure que celle du voisin... Concernant les médicaments antiviraux, le stock national doit être porté à 14 millions de traitements d’ici à la fin de l’année, soit la quantité nécessaire pour couvrir un quart de la population de l’Hexagone. Seuls les Canadiens sont mieux lotis, avec une réserve de Tamiflu pour 1 habitant sur 2. Mais la surenchère porte surtout sur le futur vaccin, présenté comme l’arme absolue. « Notre objectif est d’en fournir un par personne », déclarait ainsi, à Malte, la représentante de l’Agence canadienne de santé publique. La France ne pouvait pas faire moins. Dans un entretien avec L’Express, Didier Houssin, délégué interministériel contre la grippe, estime que « chacun doit pouvoir être protégé par la vaccination ». Et de préciser : « Le principe de précaution prime sur la question du coût. » Sauf que les usines existantes n’ont pas la taille suffisante pour fournir toutes les injections promises ! Toutefois, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a bon espoir de convaincre les fabricants d’augmenter leurs capacités. Elle encourage ardemment tous les pays à vacciner davantage de personnes contre la grippe saisonnière classique pour doper le marché. Soucis financiers et casse-tête logistiques Et si le virus pointait son nez en France dès cet hiver ? Il y aurait du souci à se faire, reconnaissent les autorités. Car le plan n’entre pas dans les détails. Les 700 médecins généralistes du réseau d’alerte Grog (groupe régional d’observation de la grippe), par exemple, n’ont pas reçu de masques de protection, alors qu’ils seront en première ligne au démarrage d’une pandémie. Ces praticiens de ville sont en effet chargés de prélever les échantillons nécessaires à l’identification d’un nouveau virus. Ils se rendent au domicile des cas suspects et effectuent le prélèvement par le nez, à l’aide d’un Coton-Tige. Un geste à haut risque. « Les masques coûtent plus de 50 centimes pièce, indique le Dr Anne Mosnier, coordinatrice nationale. Nous cherchons encore le financement correspondant. » Au CHU de Nice, les soucis du chef du service des maladies infectieuses ne sont pas d’ordre financier. Le plan prévoit d’isoler les grippés des autres malades au sein des hôpitaux, en pariant qu’ils feront preuve de bonne volonté. « Comment convaincre les récalcitrants ? » s’interroge le Pr Pierre Dellamonica. Le médecin garde un mauvais souvenir du séjour d’un patient indiscipliné au cours de l’épidémie de pneumopathie atypique. Suspecté d’être atteint par le Sras, ce Français avait été hospitalisé pendant quatre jours à son retour de Hongkong. L’homme déambulait dans les couloirs sans se soucier un instant du fait qu’il mettait en péril la santé de ses voisins. Parmi les casse-tête à résoudre, il reste aussi la question de la distribution du Tamiflu. Pour des raisons de coût et de conservation, le médicament est stocké sous forme de poudre en vrac. Comment le conditionner en doses individuelles le jour J ? A l’occasion de la conférence de Malte, le fabricant a projeté un film pédagogique montrant que son produit est aussi facile à utiliser que du Nesquik : versez la poudre dans une bassine d’eau, touillez... C’est prêt ! Mais la solution pour remettre les flacons en main propre sans créer de longues files d’attente propices à la contagion est encore à inventer... Et, s’il y a pénurie d’antiviraux, le problème ne sera plus seulement logistique. Les malades les plus gravement atteints seront traités en priorité. Pour les autres, comment arbitrer de façon équitable ? « Les laissés-pour-compte vont protester : pourquoi Untel bénéficie-t-il de médicaments et pas moi ? Ma vie vaut bien la sienne ! » anticipe Bruno Lina, virologue au centre de référence de la grippe à Lyon. Prochainement, un grand exercice européen de simulation d’une pandémie devrait être organisé, à l’initiative de la Commission européenne. A l’échelle des 25 pays membres, le test réservera sans doute bien d’autres surprises. -
Un satellite Européen perdu, 750 M de foutu
collectionneur a répondu à un(e) sujet de collectionneur dans Engins spatiaux, Espace...
:oops: je ne sais pas pourquoi, j'ai indiqué 750 millions, j'ai du confondre les Francs et les €. -
Forum-> creation rubrique Livres, revues, romans
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Aérohélico dans Remarques et idées
En effet, en cas de coupure de courant, on se retrouve béte devant un écran gris :lol: 1er livre peu connu que je vous présente : "Les oranges de Yalta" de Nicolas Saudray, sortit en 1992 au éditions Ballard, ISBN 2715809123 Ou comment l'Axe aurait put gagner la 2eme guerre en attaquant l'URSS sur plusieurs fronts et en évitant d'attaquer les USA fin 1941 :? Bien écrit et plausible :? -
Dissuasion nucléaire française...
collectionneur a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
A noter que les Trident D5 britanniques ont ce type de panel, alant d'une téte unique "tactique" à plusieurs MIRV ;) Durant la guerre froide, ,le Royaume Uni n'ayant pas de missile style Pershing ou ASMP se constitua une force nucléaire préstratégique comme cela. De plus, s'il faut anéantir une seule cible sans protection ABM, pas besion de saturer la zone avec une demi douzaines de champignons vénéneux :twisted: -
A noter que le 1er SM Scorpéne fabriqué en Inde ne sera livré que dans 7 ans, ils ne sont pas pressés la bas :lol:
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Un satellite Européen perdu, 750 M de foutu
collectionneur a posté un sujet dans Engins spatiaux, Espace...
C'est ce que coute au contribuable l'échec du SS-19 russe qui devait lancer un satellite environemental :evil: :arrow: http://info.france2.fr/europe/14618155-fr.php J'espére qu'il était assuré :? Les ICBM et SLBM russes semblent moins fiables que leur Soyouz, ils ont ont planté une voile solaire qui devaient étre tiré par un SNLE il y a quelques mois. -
Dissuasion nucléaire française...
collectionneur a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
Il y a les 4 Ohio qui aprés avoir perdu ses 24 SLBM se retrouve avec 200 et quelques cruise missile, qui peuvent toujours en cas de 3eme GM emporter des ogives nucléaires. Mais les missiles en question on une porte de 2 000 km, pas comme les programme de missiles de croisiéres européens. Au fait, je rappelle que le nombre de tétes nucléaires Françaises à largement diminuer depuis 15 ans. D'environ 500, il en reste 350. -
Variag vs Vikramaditya
collectionneur a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
Ils avaient ;) Mis à la retraite à la chute de l'URSS, 2 brises glaces à propulsions nucléaires construit dans les années 60 ou 70. Je ne sais pas s'ils ont été démantelé ou s'ils rouillent du coté de Mourmamsk :? -
Résilience à une nouvelle pandémie
collectionneur a répondu à un sujet dans Divers non-conventionnel
On veut vraiment faire peur au gens ou quoi :shock: :?: :arrow: Grippe : un plan prévoit jusqu'à 2 millions de morts et le chaos aux USAAFP 08.10.05 | 11h10 Un plan du gouvernement pour faire face à une pandémie de grippe aux Etats-Unis montre la totale impréparation du pays, où jusqu'à près de deux millions de personnes pourraient mourir dans un indescriptible chaos, écrit samedi le New York Times. Une version pas encore définitive de ce plan, qui devrait être officiellement publié d'ici fin octobre, souligne que si la maladie prenait de l'ampleur chez l'homme en Asie, dont plusieurs régions sont confrontées à la grippe aviaire, les Etats-Unis seraient à leur tour touchés "quelques mois ou même semaines" plus tard, selon le journal. En résulterait un véritable chaos : les hôpitaux américains seraient dans cette hypothèse complètement submergés sous le nombre des patients, des émeutes éclateraient dans les cliniques où seraient pratiquées les vaccinations et l'énergie ainsi que les vivres viendraient à manquer, résulte-t-il du scénario catastrophe détaillé dans ce plan de 381 pages. Les mesures préconisées dans une telle situation par ce document sont l'imposition d'une quarantaine et de restrictions aux voyages, mais celles-ci ne permettraient probablement pas "de retarder de plus d'un mois ou deux l'introduction de la maladie pandémique aux Etats-Unis", poursuit le New York Times. Dans le pire scénario envisagé par ce plan qu'ont rédigé des responsables de la santé, plus de 1,9 million d'Américains mourraient et 8,5 millions seraient hospitalisés, le montant total des pertes occasionnées par l'éventuel fléau étant évalué à plus de 450 milliards de dollars. Cela serait ainsi le plus grand désastre de l'Histoire des Etats-Unis. Le plan appelle à mettre en place une capacité de production nationale de 600 millions de doses de vaccin d'ici à six mois, soit près de dix fois la capacité actuelle. -
24 novembre , reunion de l AIEA
collectionneur a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
Qui est le prix Nobel de la Paix cette année :?: :lol: -
Résilience à une nouvelle pandémie
collectionneur a répondu à un sujet dans Divers non-conventionnel
Je signale ce texte que l'on m'a envoyé ce matin; il n'y a pas que les épidémies digne de la grande peste qui tue, tous les jours les gens meurent de maladies chroniques, crises cardiaques dues à l'obésité et au tabac, ect :arrow: (Début du texte) Organisation mondiale de la santé : « Donner un coup d'arrêt a l'épidémie mondiale de maladies chroniques » Selon un nouveau rapport sur la prévention des maladies chroniques, des centaines de milliards de dollars sont en jeu. Le rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) intitulé « Preventing Chronic Diseases : a Vital Investment » (La prévention des maladies chroniques : un investissement vital) estime qu'une action mondiale destinée à prévenir les maladies chroniques pourrait permettre de sauver 36 millions de vies d'ici à 2015. À l'heure actuelle, les maladies chroniques sont de loin la principale cause de mortalité dans le monde, et leur importance augmente régulièrement. Selon les projections contenues dans le rapport, l'épidémie mondiale de maladies chroniques ferait environ 17 millions de décès prématurés chaque année. Face à la perspective de ces millions de personnes qui mourront prématurément et souffriront inutilement de cardiopathies, d'accidents vasculaires cérébraux, de cancer et de diabète, l'OMS déclare qu'il faut donner un coup d'arrêt à l'épidémie mondiale des maladies chroniques. Contrairement à l'opinion qui prévaut généralement, cette épidémie en grande partie invisible, frappe plus durement les pays à faible et moyen revenu, où surviennent 80 % des décès imputables aux maladies chroniques. Le rapport expose de manière détaillée les derniers résultats concernant neuf pays : le Brésil, le Canada, la Chine, la Fédération de Russie, l'Inde, le Nigéria, le Pakistan, la République-Unie de Tanzanie et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord. Le rapport établit également de nouvelles projections concernant l'impact économique des maladies chroniques. Ainsi, la Chine, l'Inde et la Fédération de Russie pourraient perdre des milliards de dollars de revenu national au cours des dix prochaines années du fait des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, du cancer et du diabète. Par exemple, les pertes accumulées entre 2005 et 2015 sont estimées pour la Chine à 558 milliards de dollars, pour l'Inde à 236 milliards de dollars et pour la Fédération de Russie à 303 milliards de dollars. Pour le docteur Lee Jong-wook, directeur général de l'OMS, « la situation est très grave aussi bien sur le plan de la santé publique que pour les sociétés et les économies touchées et elle ne fera que s'aggraver. Il est clair que ne rien faire coûterait cher et serait inacceptable. Il est donc capital que les pays envisagent et mettent en ouvre les mesures sanitaires dont nous savons qu'elles permettront de réduire le nombre de décès prématurés dus aux maladies chroniques. » Le but mondial Dans ce rapport, l'OMS propose un nouveau but mondial : réduire les taux de mortalité par maladies chroniques de 2 % chaque année jusqu'en 2015. Cela permettrait d'éviter 36 millions de décès par maladies chroniques au cours des dix prochaines années, dont près de la moitié avant l'âge de 70 ans. Mais la solution de ces problèmes ne dépend pas d'un seul secteur. Pour atteindre cet objectif, ce sont tous les secteurs, du secteur public à l'industrie privée en passant par la société civile et les collectivités qui devront unir leurs forces. « De plus en plus de personnes meurent prématurément et souffrent trop longtemps de maladies chroniques » a déclaré le docteur Catherine le Galès-Camus, sous-directeur général, Maladies non transmissibles et santé mentale. « Nous savons quoi faire, mais il faut agir sans tarder. » Les facteurs de risque évitables La grande majorité des cas de maladies chroniques sont imputables à un petit nombre de facteurs de risques connus et évitables. Parmi les principaux : une mauvaise alimentation, la sédentarité et le tabagisme. Au niveau mondial, ces facteurs de risque progressent à mesure que les gens modifient leurs habitudes alimentaires et favorisent les aliments gras et sucrés et que les conditions de vie et de travail supposent moins d'activité physique. L'offensive de la commercialisation et des ventes des produits du tabac dans les pays à revenu faible et intermédiaire se traduit également par une plus forte exposition au risque de tabagisme. Un milliard de personnes dans le monde sont en surcharge pondérale ou obèses, et l'OMS prévoit que ce chiffre dépassera 1,5 milliard d'ici à 2015 si des mesures immédiates ne sont pas prises. Le rapport passe en revue l'étendue des connaissances factuelles concernant les mesures peu coûteuses et efficaces susceptibles de produire des résultats rapides sur le plan sanitaire et dont les avantages dépassent de loin les coûts. Ainsi la réduction de la teneur en sel des aliments transformés, l'amélioration des repas scolaires et la taxation des produits du tabac sont non seulement des mesures économiques, mais elles permettent aussi à l'État d'accroître ses revenus. Expressions de soutien de personnalités mondiales « Nous ne pouvons pas nous permettre de dire qu'il faut d'abord s'attaquer à d'autres maladies - le sida, le paludisme ou la tuberculose - avant de s'attaquer aux maladies chroniques. Si nous attendons encore dix ans, nous nous trouverons face à un problème beaucoup plus important et plus coûteux à traiter. » Président Olusegun Obasanjo, Nigéria « Si les maladies chroniques sont parmi les problèmes de santé les plus répandus et les plus coûteux, ce sont aussi parmi les plus aisément évitables. Les efforts de santé publique en matière de promotion de la santé et de prévention de la maladie sont décisifs pour obtenir de meilleurs résultats sanitaires pour la population mondiale. » Ujjal Dosanjh, ministre de la santé, Canada « Nous évaluons la perte de revenu pour la seule économie chinoise au chiffre astronomique de 550 milliards de dollars au cours des dix prochaines années. Face à cela, le ministère chinois de la santé a élaboré avec l'appui de l'OMS un premier plan national de haut niveau à moyen et à long terme pour lutter contre les maladies chroniques. » Wang Longde, vice-ministre de la santé, République populaire de Chine -
Bombardements français en Afghanistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de xav dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui, une petite dizaine décollant de bases dans le pays d'aprés des sites anglophones, ainsi que des Harriers UK ;) -
Modernisation des CF-18 canadiens
collectionneur a répondu à un(e) sujet de David dans Reste du monde
Les voisins au sud la frontiére, c'est qui :lol: Sinon, j'ai lue justement qu'il y avait des ennuis à cause d'un ilot au large du Groeland, probléme de Zone Econonique Exclusive avec le Danemark :?: -
Résilience à une nouvelle pandémie
collectionneur a répondu à un sujet dans Divers non-conventionnel
Franchement, j'en doute à moins d'avoir des filtres TRES fins :? -
24 novembre , reunion de l AIEA
collectionneur a répondu à un sujet dans Politique etrangère / Relations internationales
A lire un petit manuscrit écrit par un de nos (rares) pilote de Rafale de l'aéronavale ;) :arrow: ''La prolifération nucléaire en Asie menace-t-elle l'avenir du TNP " par le Capitaine de frégate Pierre Vandier http://www.diploweb.com/forum/vandier.htm Cela ne porte pas spécifiquement sur l'Iran, mais montre à quel point la situation est délétere :? -
Bombardements français en Afghanistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de xav dans Politique etrangère / Relations internationales
Retirer en 2012 :? :arrow: http://www.senat.fr/rap/a03-076-7/a03-076-72.html Il ne restera que des M-2000 et des Rafales à cette date. -
Bombardements français en Afghanistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de xav dans Politique etrangère / Relations internationales
Ils ne sont guére prévu pour l'appui aérien rapproché (CAS) ;) -
Bombardements français en Afghanistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de xav dans Politique etrangère / Relations internationales
Je pensais en effet à des Hawk ou des AMX ;) :arrow: http://www.airforce-technology.com/projects/amx/ Ou alors le futur remplacent des Alpha Jets, le Mako :arrow: http://www.airforce-technology.com/projects/mako/ -
Bombardements français en Afghanistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de xav dans Politique etrangère / Relations internationales
Le fait qu'avec 250 Rafales, on couvrira moins d'ops avec 600 avions de combat :rolleyes: Déja en Cote d'Ivoire, on déployé des appareils APRES l'attaque des Su-25 :evil: -
Résilience à une nouvelle pandémie
collectionneur a répondu à un sujet dans Divers non-conventionnel
A noter qu'il couterait moins cher de prendre des mesures pour empécher l'épidémie de se develloper sur place en Asie en désinfectant par exemple les poulaillers que de fabriquer des centaines de millions de vacccins ;) -
Bombardements français en Afghanistan
collectionneur a répondu à un(e) sujet de xav dans Politique etrangère / Relations internationales
Mais vat on utiliser nos précieux "Rafales" pour des missions de ce type plutot à haut risque :?: Le retrait des rustiques "Jaguars" fait que l'AdA n'a plus d'avions de combat spécialisé dans l'appui au sol rapproché :?