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P4

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Tout ce qui a été posté par P4

  1. Si le gars bléssé faisait partie de l'équipe milan et qu'il a fallu le prende en charge(porter) sous le feu ça s'éxpliquerait.
  2. Si l'EMA prend la peine ce communiquer sur cette "perte" il y une probabilité forte que le matos n'ai pas été détruit et que les mecs en face vont savoir s'en servir.
  3. L'eni a eu le temps de prendre la mesure de nos modes opératoires et de la manière de placer nos appuis et agir en conséquense.
  4. 22/10/08 – Afghanistan : le GTIA Kapisa en vallée d’Alasaï Le 18 octobre 2008, le groupement tactique interarmes (GTIA) Kapisa, du Commandement Régional Est (Bagram) de l’ISAF, a mené dans la vallée d’Alasaï une opération synchronisée avec des actions similaires dans le Laghman et l’opération OQAB du Commandement Régional Capital en vallée d’Uzbin. Ces actions ont bénéficié de moyens d’appui aérien importants. Au cours de cette opération, des combats violents ont eu lieu contre les insurgés. En fin de matinée en particulier, un accrochage important s’est produit avec un dispositif adverse d’une centaine d’individus. Au cours du désengagement, sous le feu, d’une position exposée, un poste de tir Milan et deux missiles n’ont pu être récupérés. On estime à 14 le nombre de tués du côté insurgé. Un militaire français a été touché par un projectile dans son gilet pare-balle. Evacué sur l’hôpital militaire de Bagram pour des examens complémentaires, sa blessure s’est révélée sans gravité. Afghanistan : le GTIA Kapisa en vallée d’Alasaï
  5. 22/10/08 – Afghanistan : le GTIA Kapisa en vallée d’Alasaï Le 18 octobre 2008, le groupement tactique interarmes (GTIA) Kapisa, du Commandement Régional Est (Bagram) de l’ISAF, a mené dans la vallée d’Alasaï une opération synchronisée avec des actions similaires dans le Laghman et l’opération OQAB du Commandement Régional Capital en vallée d’Uzbin. Ces actions ont bénéficié de moyens d’appui aérien importants. Au cours de cette opération, des combats violents ont eu lieu contre les insurgés. En fin de matinée en particulier, un accrochage important s’est produit avec un dispositif adverse d’une centaine d’individus. Au cours du désengagement, sous le feu, d’une position exposée, un poste de tir Milan et deux missiles n’ont pu être récupérés. On estime à 14 le nombre de tués du côté insurgé. Un militaire français a été touché par un projectile dans son gilet pare-balle. Evacué sur l’hôpital militaire de Bagram pour des examens complémentaires, sa blessure s’est révélée sans gravité.
  6. Si on avait la possibilité de remplir les deux BPC à la limite officielle ce serait déja bien.
  7. P4

    Achat suisse

    A en croire cette photo et ce forum il y aurait des test avec le pod RECO-NG.
  8. C7 t'es pas un peu "too much" avec certains mots pour qualifier nos voisins?
  9. P4

    Equipement d'urgence

    Tableau pour publication de marchés de fournitures conclus en 2007 Nom de l’entité d’achat : SCAM 33501 PISTOLLETS MITRAILLEURS 23/05/07 HECKLER & KOCH France 75012 de 4 000 à 19 999,99 € HT
  10. Le patron d’EADS Louis Gallois ne décolère pas J'attends les deux prochains actes.
  11. P4

    Equipement d'urgence

    Entraînement au tir d’un membre d’équipage du DAOS avec un pistolet-mitrailleur HK-MP7 – Crédit : Aude Le Calvé
  12. Afghanistan : opération conjointe en vallée d’Uzbin http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/afghanistan__2/20_10_08_afghanistan_operation_conjointe_en_vallee_d_uzbin/militaires_francais_policiers_et_militaires_afghans_a_sper_kunday/1154882-1-fre-FR/militaires_francais_policiers_et_militaires_afghans_a_sper_kunday.jpg http://www.defense.gouv.fr/var/dicodrefonte/storage/images/media/images/ema/afghanistan__2/20_10_08_afghanistan_operation_conjointe_en_vallee_d_uzbin/militaires_afghans_et_francais_a_sper_kunday/1154854-1-fre-FR/militaires_afghans_et_francais_a_sper_kunday.jpg
  13. Afghanistan : opération conjointe en vallée d’Uzbin Le 18 octobre 2008, des unités des forces nationales de sécurité afghanes et du RC-C (Regional Command-Capital) de la FIAS, sous les ordres du général Stollsteiner, ont conduit une opération conjointe dans le sud de la vallée d’Uzbin, en coordination étroite avec les autorités afghanes, le commandement régional Est et le quartier général de la FIAS. L’opération avait pour but premier de priver les insurgés de leur liberté d’action et de les empêcher de s’établir durablement dans la zone. Une unité de l’armée nationale afghane issue du 203e corps, soutenue par ses mentors américains, a sécurisé l’unique route de la vallée, tandis que les appuis aériens de la FIAS, dont une Gazelle Viviane, assuraient la couverture de l’ensemble du déploiement. Situé au pied du col permettant l’accès du sud de l’Uzbin à la province voisine de Laghman, le village de Sper Kunday constituait l’objectif principal. A partir du milieu de la matinée et jusque dans la soirée, les insurgés ont effectué différentes manœuvres en vue de mener des attaques sur le dispositif, toutes déjouées au prix de pertes sérieuses pour l’adversaire. Les observations initiales font état de 7 tués ou blessés. Le nombre des assaillants touchés par les tirs d’appui reste à déterminer avec précision. Outre l’intérêt tactique de Sper Kunday, il était également nécessaire de reprendre contact avec la population et ses dirigeants locaux, deux mois après l’embuscade qui a coûté la vie à dix soldats français. L’armée nationale et la police afghanes, immédiatement suivies de troupes françaises, se sont donc déployées dans le village en tout début de matinée. Le contact établi a tout d’abord permis aux forces de la coalition d’expliquer leur mission et les raisons de leur présence, puis de confirmer que les villageois font l’objet de fortes pressions de la part des insurgés. Trois maisons ont ainsi été fouillées et un suspect interrogé. Enfin, les échanges ont également porté sur les besoins des habitants, en vue de mener des actions de coopération civilo – militaire. Cette opération s’inscrit dans le cadre des missions de contrôle de zone dévolues à chacun des 5 commandements régionaux de la FIAS. Elle prépare le processus de transfert de responsabilité aux forces de sécurité afghanes et les conditions nécessaires à l’enregistrement des électeurs, qui débute le 5 novembre 2008 dans le district de Surobi. Les photos
  14. Q1 avait eu la gentillesse de nous faire part de l'exellence du soutient sanitaire US auprés de nos soldats en postant une bréve. Au tour de TIM de nous parler de cet événement dans le n° d'octobre 2008. Chapeau bas. ps G4lly: impossible de copier /coller le texte(défaut de séléction).
  15. La video de France24 en Kapisa pour un test "G4lly" [dailymotion=425,350]x6xknk[/dailymotion] incroyable, ça fonctionne. 8)
  16. P4

    [A400M] le défi stratégique européen

    Décidément c'est la guerre des compensations en Allemagne, entre celle relative à l'hypothétique réduction de la tranche 3 de l'EF et celle des retard de l'A400 je me :lol:.
  17. M.Yom traine ses guetres en Irak et maintenant en Afghanistan depuis un certains temps, sa chronique à Surobi m'a pas mal retourné mais ce serait pas forcément inintéréssant sur le plan média de lui proposer d'embarquer avec les gars présent en Kapisa puisque son public dépasse notre cadre national, on parle d' assaut à la mer à la sauce "French style" depuis quelques temps, généralisons la marque.
  18. le reportage de France5 partie 1 partie 2
  19. G4lly, j'ai trouvé ça: La 11e Brigade parachutiste et la 27e Brigade d'Infanterie de montagne n'incorporent pas d'EEI, mais leur Régiment blindé respectif (1er RHP et 4e RCh) comportent un ERIAC (Escadron de reconnaissance et d'intervention anti-char). et je joint une réfléxion d'un officier du 1er REC tiré de l'Héraclés n°28 Quel avenir pour les escadrons d’éclairage et d’investigation ? Les EEI1 appartiennent au domaine de spécialités “renseignement” (piloté par la DEP/CEERAT) et font partie du chantier “combat des blindés” (piloté par l’EAABC). Or cette double appartenance les stigmatise depuis cinq ans. En effet, le contexte stratégique actuel souligne bien la pertinence de l’emploi de ce type d’unité, mais, de manière assez paradoxale, on ressent des difficultés à leur trouver une juste place, à la limite entre le monde du renseignement et celui d’unités blindées classiques. Douloureuse ambivalence confirmée par la projection d’EBL2 en opération, dont certains pourraient penser qu’ils sont aptes à remplir les mêmes missions qu’un EEI, mais aussi le transfert des PRT2 des EEI vers les batteries de renseignement de brigade -BRB-nouvellement créées. Autant de raisons qui confirment la nécessité de repenser l’emploi des EEI, à l’aune des engagements probables de l’armée de terre. En fait, nous sommes à la croisée des chemins. Et cette ambigüité ne pouvant être levée, il convient d’exploiter cette double appartenance en développant un mode d’emploi des EEI réaliste, préservant leur aspect “faible coût” mais “à forte valeur ajoutée”, qui les replacerait à leur véritable place : en tête de la “Colonne”. En s’appuyant sur les qualités reconnues de l’EEI que sont l’autonomie, la souplesse d’emploi et la fiabilité des personnels, il faut renforcer leur capacité à combattre et optimiser leur aptitude à renseigner. Car les EEI sont des unités de combat blindé particulière-ment aptes au combat et au renseignement, capables d’apporter de la “fluidité tactique” au chef interarmes. Des unités de combat blindé particulièrement aptes au combat Comme toute unité de cavalerie, l’EEI est avant tout un escadron de combat. Possédant une réelle puissance de feu3 il ne doit plus se cantonner à assurer sa propre auto-défense et procéder à des “destructions d’objectifs d’opportunité4”. Amené à évoluer en autonomie sur de vastes zones, il doit saisir toute opportunité pour infliger des pertes à l’adversaire d’aujourd’hui, le plus souvent faiblement motorisé et armé, en menant des actions violentes et courtes, suivies d’esquives brutales. Le cas échéant, il est en mesure de désigner des objectifs aux appuis (hélicoptères armés notamment). Le mode opératoire de l’EEI doit évoluer au rythme des menaces :devant un adversaire faiblement armé mais rodé aux techniques de la guérilla, l’EEI peut être offensif. Et c’est ce qui doit être enseigné lors des FSE, qui ne doivent plus se contenter de dispenser uniquement des savoir-faire du domaine de l’éclairage, mais faire porter leurs efforts sur le domaine de la reconnaissance blindée. Puis, à l’issue de cette formation (4 à 5 semaines minimum), l’éclaireur doit se spécialiser dans son futur emploi, et pour cela suivre une formation de spécialité dans l’un des domaines suivants : pilote VBL, tireur de précision, tireur MILAN, combat embarqué, tireur 12,7 mm, voire canon de 20 mm5. Ainsi, en sortant du sacro-saint triptyque “éclairer/surveiller/jalonner”, les patrouilles des EEI procèderaient à de la reconnaissance blindée, en se distinguant en particulier par leur aptitude à concilier quatre qualités spécifiques : _la capacité à combattre et faire usage de leurs armes (ISTC embarqué et débarqué, utilisation des appuis) ; _l’amélioration de la capacité tactique en développant des techniques de camouflage, en étendant la capacité à conserver la liaison même avec de grandes élongations (emploi de la HF, et ponctuellement de moyens satellitaires), et en formalisant des procédures opérationnelles de déplacement (techniques deroulage de nuit, choix de l’itinéraire etc.) ; _l’amélioration de la capacité logistique, par l’adaptation de procédures visant à accroître l’autonomie logistique des patrouilles, à permettre l’évacuation par HM, et par l’amélioration du niveau technique des équipages dans le domaine MEC, SAN, armement etc. ; _la fiabilité des comportements, sur la base de procédures bien établies avec effort jusqu’au niveau de la patrouille isolée (apprentissage des cas conformes comme non conformes, accentuation de la rusticité, durcissement de l’entraînement). Véritables unités blindées, fiables, autonomes, souples d’emploi et aptes au combat, les EEI développent ainsi une aptitude spécifique aux missions dans les intervalles. Ils donnent au chef interarmes une fluidité tactique seule capable d’améliorer la cohérence de la manœuvre d’ensemble, surtout face à un ennemi qui, comme aujourd’hui, évite de rentrer dans une confrontation frontale de type linéaire et privilégie l’imbrication. C’est sur cette aptitude particulière que les EEI doivent asseoir leurs savoir-faire renseignement. Des unités de combat blindé particulièrement aptes au renseignement Une fois ce “tronc commun combat” assimilé par les patrouilles, les éclaireurs doivent ensuite développer leurs savoir-faire renseignement. Parents pauvres d’un monde où chacun a une mission et des moyens bien spécifiques, les EEI sont pourtant des “unités spécialisées dans l’obtention du renseignement à courte et moyenne portée au profit du niveau tactique terrestre pour lequel ils sont engagés”6. Or, ils ne jouissent pas de réelles formations techniques en la matière. Il est donc urgent de définir les modes d’action renseignement qu’ils peuvent être à même de mettre en œuvre à travers trois prismes : le type de capteur, les milieux spécifiques d’intervention (zone urbaine en particulier) et la nature des engagements susceptibles de mener (contre-guérilla par exemple). Les patrouilles d’éclairage et d’investigation sont capables de rechercher du renseignement de deux façons : - par l’image (photos) et l’aptitude au “combat caméra”, qui fournit un appui au chef interarmes dans le domaine de l’anticipation et la valorisation des actions menées ; - par des actions de type “contrô le de milieu”, ou renseignement d’ambiance. Conjugaison de plusieurs techniques, il s’agit de collecter puis d’exploiter sur le terrain le renseignement pour imprégner un milieu et ainsi contrôler sa géographie tant physique qu’humaine, ses réseaux, son organisation7… pour éventuellement neutraliser un ennemi ainsi “levé”. Ces actions passent en particulier par le contact humain, dit ROHUM-C8 de première couche, impliquant la gestion d’interprètes et la connaissance des techniques de conversation. Pour être concret, réaliste et sur tout opérationnel, ce volet technique de l’EEI doit être clairement formalisé par la mise en place de procédures spécifiques et de modules d’instruction. La complexité des styles d’action comme des milieux d’intervention justifie de spécialiser chacun des pelotons dans un de ces domaines : - le 1er peloton dans le renseignement par l’image et le “combat caméra” (réalisation de fiches et dossiers d’objectifs, maîtrise des techniques de prises de vues photos et de la vidéo, aptitude à décrypter des situations tactiques etc.) ; _le 2e peloton pourrait faire porter son effort sur des techniques liées à des actions de renseignement au contact en zone urbaine (détermination du mode d’action ennemi privilégié, réalisation de plans de ville actualisés au fur et à mesure des engagements, rodage de la procédure hit and run avec les appuis etc.) ; - le 3e peloton dans des actions de contre-guérilla du type “contrôle de milieu” (détermination puis maîtrise des réseaux logistiques d’une population ciblée, découpage d’une zone en différents secteurs en fonction de critères précis, ciblage et étude des leaders, techniques de type commando de chasse etc.). Les spécialisations, de natures bien différentes, ne doivent absolument pas être étanches, bien entendu : chaque peloton doit diffuser les savoir-faire dans le reste de l’escadron. Trois scenarii type d’engagement La plus-value découlant de cette restructuration est une lisibilité parfaite sur l’emploi des EEI qui peuvent ainsi prétendre travailler sous plusieurs formats, tant au niveau brigade qu’au niveau GTIA, selon trois scénarii différents mais néanmoins réversibles : - en EEI constitué, autonome, tel qu’on le conçoit actuellement en intervention ; - en SGTIA à dominante éclairage, en intégrant des renforts blindés, infanterie, génie… Cette structure, déclinée jusqu’au niveau du DIA, a l’avantage de rendre nos structures inconnues de nos adversaires potentiels et offre au chef interarmes une grande polyvalence des moyens employés. Elle convient particulièrement dans les terrains cloisonnés, en localité, et semble adaptée à la contre-insurrection, car elle permet pleinement de “renseigner au contact” ; en appui ponctuel au profit d’autres SGTIA ou en autonome. Dans ce cas, en fonction des missions à conduire et des besoins du chef interarmes, l’EEI pourrait être amené à fournir des modules adaptés du niveau de la patrouille jusqu’au niveau du PEI, mettant à disposition du chef une compétence spécifique requise. Ces modules peuvent également agir isolément (du fait des qualités détenues par les patrouilles), en restant sous la tutelle du commandant d’unité. En exploitant au mieux la double appartenance au domaine de spécialités “renseignement” et au chantier “combat des blindés”, il convient de sortir les EEI du carcan purement éclairage dans lesquels ils sont cantonnés selon des schémas d’engagements aujourd’hui largement caducs. Et ce, en s’appuyant sur leurs qualités intrinsèques - autonomie, souplesse d’emploi, fiabilité des personnels -véritables moteurs pour leur cohésion comme pour leur entraînement. Le sur-engagement actuel des EEI en opération est la meilleure preuve de leur utilité tactique ; aussi une clarification de leur doctrine d’emploi et la mise en place de procédures réalistes et pragmatiques leur redonnera une meilleure lisibilité. Capitaine Erwan MARÇAIS 1er REC 1 Escadron d’éclairage et d’investigation. 2 Peloton de renseignement technique, équipés de RASIT, versés dès l’été 2008 aux BRB. 3 Un PEI - 00/05/20 ou 01/04/20 - est doté de 2 postes MILAN, 2 12,7mm, 4 ANF1, 6 AT4CS, 2 FRF2, 25 FAMAS et 2 PA. 4 ABC 105.11. 5 Le 4e escadron du 1er REC fut projeté en RCI en 2006 dans la région de BANGOLO puis DALOA sans PRT, mais avec 3 PEI et 1 PAD sur VAB T20/13. 6 ABC 105.11 approuvé le 30 novembre 1998. 7 Dans ce cadre-là, on peut s’inspirer d’ouvrages qui ont fait recette en leur temps, du type Les commandos de chasse dans la contre-guérilla (1959). 8 Renseignement d’origine humain conversationnel.
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    Achat suisse

    Une vidéo du Rafale en Suisse à télécharger
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    Le S-80 ?

    merci, Je travaillerais mon Espagnol une prochaine fois.
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    Le S-80 ?

    Le module AIP est optionel et peu etre rajouté lors d'une refonte, pour le SDC se serait plus problèmatique. Aprés il faut relativiser, c'est le genre de projet périlleux, meme des entreprises avec une longue éxpérience comme BAE ont des problèmes. Y avait il une date de mise en service prévue?
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    Equipement d'urgence

    A propos d'équipement. M. le ministre: Quant au projet de commande de 16 000 équipements Félin, il fera l’objet d’un examen approfondi car il est inutile de disposer d’équipements de haute technologie si l’on est incapable d’en assurer le MCO. Je veux observer comment cela fonctionne sur un théâtre d’opération exigeant, comme c’est le cas en l’Afghanistan, avant de prendre la décision. Commission de la défense nationale et des forces armées Mardi 7 octobre 2008 Séance de 16 heures 30 Compte rendu n° 3
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