
lol94
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Non , c'est un serbe ! C'est le zastava M-21 .
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La meme chose , mais au calibre supérieur ! [16]
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Il y a un petit article sur l'envoi des rafales dans le Canard enchainé , en premier l'enpressement de les envoyer sur place , serait de faire la nique au typhoon qui sera lui engagé pas avant 2008 , et de demontrer l'excellence du rafale en opérations extérieures pour des futurs clients . Par ailleurs , l'adaptation des GBU en trois mois à Mont-de-Marsan aurait couté 50 millions d'euros !
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C'est le AGM-88 "HARM" , un missile anti-radar .
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Ce n'est pas le pilatus P-2 ? [21]
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Les cow-boys volants . [61]
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- Qui à dit que le crime ne paie pas ? 205 millions de dollars us saisie par les services anti-drogues mexicains ! [57] Peut-etre que le Mexique est pret à faire une donation modeste pour aider les administrateurs du site , en demandant gentillement . [61]
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A l'époque , tout le monde soutenait l'irak contre l'iran . L'Irak avait acheté des missiles exocets mais ne pouvait pas les utilser , les mirage F-1 n'étant pas encore livrés , il y eut un accord pour un pret de cinq super-etendards entre 1983 et 1985 .
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C'était pour les distinguer des armes de chasse et de loisirs ! [21] De la à chipoter . [22]
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C'est la société MARTIN-BAKER qui équipe majoritairement tous les avions occidentaux , pour le rafale , c'est le modèle Mark-16 . ===> http://www.martin-baker.com/
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Ou là là ! tu as jamais lu Buck Danny !! [57] Les "flying tigers" ont combattus en chine et en birmanie en 1940 avant l'entrée officielle en guerre des USA , au sein de l'A.V.G ( american volunteer group ) composé de mercenaires recrutés au sein de l'air force et l'us-navy avec comme chef Claire Lee Chennault .
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C'est un M-4 .
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17 mars 15:47 - BAGDAD (AFP) - Deux policiers ont été tués et environ 350 personnes ont été intoxiquées dans trois attentats suicide au chlore commis dans la province d'al-Anbar, principal foyer de l'insurrection sunnite dans l'ouest du pays, a annoncé samedi l'armée américaine. Parallèlement, le Premier ministre australien John Howard a effectué une visite surprise en Irak. Trois camions conduits par des kamikazes transportant des bombes au chlore ont explosé vendredi près de Falloujah et de Ramadi, les deux principales villes de la province d'al-Anbar, tuant deux policiers, selon l'armée américaine. La télévision publique irakienne a fait état de six morts. "Environ 350 civils irakiens et six soldats de la coalition ont été soignés pour exposition au chlore après que deux kamikaze ont fait exploser leur camions poubelles à deux endroits différents, au sud de Falloujah. Un soldat et un civil ont été blessés dans une attaque de moindre envergure au nord-est de Ramadi", précise l'armée américaine. A Falloujah, les victimes "ont montré des symptômes d'exposition au chlore (...) allant d'irritations mineures de la peau et des poumons à des vomissements", selon la même source. Ces trois attaques portent à cinq le nombre d'attentats au chlore commis dans la province d'Al-Anbar depuis le 28 janvier. Deux autres attentats au chlore ont également été recensés à Bagdad. Le directeur des opérations du ministère de l'Intérieur, le général Abdel Karim Khalaf, a estimé qu'il pouvait s'agir d'une tentative de revanche des insurgés après des succès récents du gouvernement dans sa lutte contre la rébellion. Les rebelles ont récemment modifié leur stratégie, utilisant des bombes au chlore ou frappant à la périphérie des villes plutôt que dans les centres urbains contrôlés par les Américains et les forces de l'ordre irakiennes. Au moins dix personnes ont été tuées dans d'autres violences samedi à travers le pays. L'armée américaine a également annoncé l'arrestation de 18 personnes liées à Al-Qaïda, lors d'opérations à Balad, au nord de Bagdad et à Falloujah. De son côté, le Premier ministre australien John Howard, en visite à Bagdad, a assuré samedi son homologue irakien Nouri al-Maliki que l'Australie resterait en Irak jusqu'à ce que les Irakiens soient capables d'assumer leur sécurité. "Il y a des progrès (dans la sécurité) mais nous continuons à espérer que les Australiens restent jusqu'à ce que nous ayons complètement battu les terroristes", a affirmé pour sa part M. Maliki qui a réitéré son refus de "fixer un calendrier" de retrait des troupes étrangères en Irak. L'Australie avait participé à l'intervention militaire en l'Irak en 2003 et maintient encore environ 1.450 soldats, principalement dans le sud du pays. A New York, le vice-président irakien Adel Abdul Mahdi a présenté un plan quinquennal ambitieux pour faire renaître l'économie irakienne et a appelé la communauté internationale à y répondre par des engagements d'aide et d'effacement de la dette. M. Mahdi, qui s'exprimait lors d'une réunion sur le Contrat international d'objectifs pour l'Irak (ICI), lancé en juillet sous l'égide des Nations unies et avec le soutien de la Banque mondiale, a reçu l'appui du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon. "Les défis sont immenses et nous ne pouvons laisser l'Irak faire face seul à ces défis" a affirmé M. Ban.
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Galileo, le GPS européen : ça passe ou ça casse ! Le projet Galileo prend du retard. Selon le Commissaire européen aux Transports Jacques Barrot, Galileo serait même en péril si chaque pays à l'origine du projet continue de protéger ses propres intérêts plutôt que collaborer avec ses partenaires. Depuis son lancement dans les années 70, le GPS américain s'est imposé, en l'absence de toute concurrence, comme système universel de navigation par satellites. La conséquence de cette situation est une dépendance technique, politique, stratégique et économique de millions d’utilisateurs. Pour cette raison, l’Europe s'est décidée à créer un dispositif similaire, mais mieux adapté à une utilisation civile et domestique, affichant clairement une volonté politique d’émancipation vis à vis de la tutelle technologique des Etats-Unis. C'est le système Galileo. A l'origine, il avait été prévu que les industriels, prioritairement européens, puissent constituer des consortiums et soient en compétition. Après de longs palabres, deux consortiums se sont créés: Euraly, comprenant Alcatel avec l’italien Finmeccanica ainsi que les espagnols AENA et HispaSat iNavSat, réunissant EADS, le français Thales et le britannique Inmarsat Mais des tensions, qui agitaient à ce moment EADS (dont l'enjeu était l'équilibre des emplois entre la France et l'Allemagne) n'ont pas manqué de polluer toute discussion portant sur l'avancement du programme Galileo, d'où intervention en juin 2005 de la Commission de Bruxelles et de l'Agence Spatiale Européenne (ESA). Les deux consortiums rivaux étaient alors invités à dialoguer pour chercher une alliance raisonnable. On pouvait espérer… Or, dix-huit mois après cette étape, rien n'a été fait et chaque pays concerné continue à privilégier ses propres intérêts, en termes d'économie ou d'emploi, avant toute action collective. D'où l'intention de Jacques Barrot de sermonner fermement les ministres européens. Vue comme cela, la situation paraît encore simple. Trop simple. Si tous les Etats concernés peuvent légitimement souhaiter leur part du gâteau dans l'aubaine que représente pour les industriels la construction de 30 satellites, de l'implantation au sol de l'infrastructure de contrôle et de l'administration du réseau, ce qui représente des milliers d'emplois et des revenus assurés pour plusieurs décades, il faut aussi compter avec les industriels eux-mêmes qui tous estiment avoir les meilleurs atouts pour construire cette constellation. D'abord EADS et Alcatel Alenia Space bien sûr, la première possédant des sites dans toute l'Europe pouvant très bien assurer à elle seule la distribution géographique, la seconde ayant déjà réalisé l'intégration de tous les satellites du réseau similaire russe Globalstar, donc bénéficiant d'une expérience unique doublée d'une capacité de 4 à 5 satellites par mois. Mais il faut aussi compter avec les Britanniques de SSTL (Université de Surrey), qui ont su imposer la réalisation de Giove-A, démonstrateur dont la principale fonction était d'occuper les fréquences d'émission attribuées à Galileo par l'UIT (Union Internationale des Télécommunications) avant qu'elles ne tombent dans le domaine public suite aux retards accumulés et ne soient finalement accordées à une société concurrente. Et lorsque les Etats réussissent à se mettre d'accord, ce sont les industriels qui trouvent à y redire en tendant d'attirer la couverture des crédits et des emplois de leur côté. Ce qui n'est pas surprenant au sujet d'un système qui promet des revenus de plusieurs milliards d'euros sous forme d'activités et de produits dérivés. Autrement dit, la meilleure des coopérations peut porter en elle les gènes de sa propre discorde. Et pour une fois, ce n'est pas l'Europe qui est à accuser, mais plutôt son absence. Dès lors, faut-il s'étonner que M. Jacques Barrot soit en train de préparer une série de scenarii alternatifs si les industriels se révèlent incapables de respecter les échéances qui leur ont été fixées… en 2005 ?