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Akhilleus

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Tout ce qui a été posté par Akhilleus

  1. Akhilleus

    M-113/VAB

    quelles versions du M113 j'aime pas ce vehicule si c'est la version de base, son moteur est poussif et son blindage aluminium une vrai passoire avec en plus la tendance à se fragmenter en echardes en fusions à l'interieur de l'habitacle en plus c'est un peu léger maintenant une simple 12.7 comme arme d'appui en gros mon sentiment c'est bof pour les VAB, le blindage est pas top non plus de même que l'armement par contre le MAroc a la version 6x6 donc un engin stable et avec une bonne mobilité en tout cas si tu as 250 000 hommes pour l'armée de terre ca me parait peu ton total d'engins ou ca veut dire que ton armée n'est pas faite pour la guerre de mouvement (trop peu d'engins mecanisés)
  2. Akhilleus

    F-22

    jveux pas faire de l'US bashing gratos [50] mias la quand même [29][29]
  3. Akhilleus

    Armée soviétique

    pas d'accord (en tout cas pas tout à fait d'accord) les soviétiques ont retenus au niveau doctrinal certaines de leurs erreurs de la IIeGM (meilleurs encadrement en unités de reco, meilleurs dispatching du génie d'assaut, meilleur autonomie de certaines unités de choc notamment GMO ....) en plus il y a dans la doctrine soviétique toujours un second echelon pour relever le premier echelon de choc donc la relève prévue existait le fait de vouloir finir le conflit en moins de 3 semaines s'explique plus par le fait que au dela de ce delai les unités de reserve et de releve US auraient ete capables de mettre les pieds en europe en nombre conséquent pour géner une guerre de mouvement et le maintien de l'initiative tactique et stratégique soviétique la dessus je rejoins RG (pas vu la fin du post au dessus, desolé....)
  4. [27] merci pour ce post et cet eclairage fort interessant ma foi
  5. Akhilleus

    Armée soviétique

    faut se deboucher les oreilles des fois ..... ou alors ca sent le revisionnisme à plein nez, à moins que tu ne joue sur les mots (d'accord pas tous exterminés, mais deportés, mis en esclavage, chassés de leurs terres pour laisser de l'espace vitale à la glorieuse race aryenne tout ca ..... effectivement on a pas du frequenter les mêmes ecoles et les mêmes professeurs d'histoire.... mais j'aurais pas aimé fréquenter les tiens, l'uniforme noire ne m'allant pas des masses) tiens pour ton information ce petit texte qui parle du comportement des nazis contre les juifs et les autres sous hommes slaves en URSS si abhorrée par toi pendant la IIe GM comme ca tu ne pourras pas dire que tu n'es pas au courant : QUAND Hitler attaque l’Union soviétique en juin 1941, la guerre européenne prend un tournant capital, et la guerre contre les juifs entre dans sa phase finale. Les exécutants sont des unités spéciales de la police et de la SS, les Einsatzgruppen, qui avancent sur les talons de la Wehrmacht et procèdent à la mise à mort de dizaines de milliers d’hommes juifs. Dans les régions annexées par l’Union soviétique en 1940, les pays baltes et l’Ukraine occidentale en particulier, des groupes anticommunistes locaux les secondent avec zèle, et les principales villes deviennent la scène de pogroms dont la violence excède les pouvoirs de l’imagination. Puis, au courant de l’été 1941, la tuerie prend une tournure systématique. Le cercle des victimes est élargi aux familles, aux femmes, aux enfants et aux vieillards indistinctement, les uns et les autres fusillés au bord ou au fond de fosses communes, après avoir été contraints d’abandonner leurs affaires et de retirer leurs vêtements. A la fin de 1941, probablement 500 000 juifs avaient été massacrés. Un nombre approximativement deux fois aussi élevé le seraient au cours de l’année suivante. Jamais encore la politique antisémite du IIIe Reich ne s’était faite aussi violente. Ce déchaînement, inscrit pour ainsi dire dans les gènes du nazisme, découlait logiquement de la définition qu’il avait construite de l’adversaire soviétique : non seulement puissance étatique, mais aussi et surtout puissance idéologique où confluaient les images de deux ennemis essentiels, le judaïsme et le bolchevisme, et subsidiairement celle du « sous-homme » slave. Autant de concepts fondateurs de l’identité nazie qui imprégnaient en même temps de larges strates de la société allemande. Le caractère destructeur d’une guerre conçue dès le départ comme une « guerre d’anéantissement » allait être puissamment renforcé par la résistance inattendue de l’adversaire et par la perspective de plus en plus probable d’une extension du conflit, qui intervint à la fin de 1941 avec l’entrée en guerre des États-Unis. Or le passage à la guerre totale non seulement exacerba la fureur meurtrière des nazis, qui y virent une machination juive visant à détruire l’Allemagne, mais elle fournit les conditions favorables à leurs crimes. Alors que, pendant la campagne de Pologne, les chefs de la Wehrmacht avaient mis le holà aux actions de la SS contre les élites polonaises et contre les juifs, ils apportèrent en Russie, dans le droit fil de leur anticommunisme et de leur antisémitisme, une aide substantielle aux sbires de Himmler. Dans l’ambiance crépusculaire que répandait la prolongation d’une guerre de plus en plus éprouvante, les élites et la population allemandes allaient serrer les rangs, et fermer les yeux et les oreilles. Mais le déchaînement de l’été 1941 importe aussi et surtout parce qu’il se prolongea dans l’extermination de tous les juifs de l’Europe nazie. La vague meurtrière lancée vers l’est repartait bientôt vers l’ouest pour englober l’ensemble du continent. Même si la chronologie, les modalités et les motivations de cette décision restent objets de débat pour les historiens, il est certain du moins que les préparatifs en vue d’une extermination à l’échelle européenne ne furent entamés qu’après l’attaque contre l’Union soviétique. Et, s’il est loisible de débattre de leur rapport exact avec les vicissitudes de la campagne à l’Est, il demeure que les massacres sur le sol soviétique furent une étape décisive du génocide, dont ils constituent une face à part entière, et trop souvent oubliée. Étape décisive, parce que c’est dans les plaines de l’Est que la SS fit l’apprentissage de la tuerie de masse. Chose qui n’allait pas de soi, même pour des troupes idéologiquement aguerries, et dont les effets se firent sentir par la suite dans toute l’Europe nazie : en 1943-1944, les actions répressives les plus sanglantes menées par les Allemands en France seraient le fait d’hommes qui appartinrent aux Einsatzgruppen en 1941-1942. C’est aussi en Union soviétique, et dès l’été 1941, que Himmler, prenant la mesure de l’énorme tâche à accomplir et des problèmes psychosomatiques qu’elle engendrait chez ses exécutants, comprit qu’il fallait chercher des moyens plus efficaces et moins éprouvants. Le bricolage improvisé de camions spéciaux, dont les gaz d’échappement étaient utilisés pour asphyxier les personnes enfermées à l’intérieur, fut un pas important vers l’invention de l’extermination industrielle. Le premier centre de mise à mort, celui de Chelmno, créé à la fin de 1941, s’en inspira directement puisqu’il allait fonctionner avec un moteur Diesel, avant que l’emploi à Auschwitz d’un désinfectant puissant, le Zyklon B, s’imposât comme la solution de loin la plus efficace. Une barbarie primitive TERRAIN d’apprentissage et champ d’expérimentation, l’Union soviétique occupée fut même prévue initialement comme le lieu d’assassinat des juifs d’Europe. Ce fut, de fait, la destination mortelle des premiers convois de juifs déportés d’Allemagne en automne 1941. En définitive, les camps d’extermination furent installés plus à l’ouest, sur le territoire de l’ancienne Pologne, donnant naissance à deux pratiques divergentes. Tandis que les nazis transportaient les juifs du reste de l’Europe vers les camps de Pologne, ils continuèrent, en Union soviétique, à aller se saisir d’eux sur les lieux de résidence et à les tuer par les méthodes habituelles. Affaire de distances et de capacités de transport, sans doute, mais aussi logique d’une politique de terreur conçue pour pacifier les arrières dans le cadre d’une « guerre d’anéantissement » qui ferait, en dehors des juifs, des millions de morts, parmi les prisonniers de guerre comme parmi la population civile. C’est donc une autre face du génocide que montre la politique nazie en Union soviétique. Ici, point de mort administrée comme dans les camps d’extermination, au terme d’un transport plus ou moins long, mort que les bourreaux déguisent du mieux possible en opération d’hygiène et qu’ils infligent de manière quasi clinique, avant de faire partir en fumée les cadavres de leurs victimes, d’effacer la trace d’un passage d’homme sur cette terre. Mais une mort violente, sanglante, infamante, qu’il n’est même pas possible de qualifier de boucherie tant fait défaut la méthode du boucher : personnes rouées de coups de crosse, accumulation de blessés et d’agonisants dans des fosses bruissantes de râles et de gémissements et qui seront fermées sur bien des respirations, tueurs pris de boisson et ruisselant du sang de leurs victimes. Ces massacres à ciel ouvert commis dans le voisinage d’innombrables localités, il n’était même pas question de les tenir secrets, ni pour les populations locales ni pour les troupes allemandes. A la différence de ce qui se passa pour les camps d’extermination, les nouvelles, en dépit des barrages dressés par les autorités, filtrèrent très rapidement, vers l’Allemagne d’abord. Les traces des fosses communes qui jonchaient le territoire soviétique, et qu’un renversement de la situation militaire pouvait rendre compromettantes, devaient être supprimées. Himmler confia donc à une équipe spéciale le soin de déterrer et de brûler les myriades de cadavres qu’elles contenaient. Cette tâche immonde, des juifs durent l’accomplir, avant d’être à leur tour assassinés et brûlés sur des bûchers d’occasion arrosés d’essence. Auschwitz est devenu à bon droit le synonyme d’un génocide sans précédent et sans équivalent par la combinaison qui le caractérise de fanatisme idéologique, de rigueur administrative et de méthode industrielle. Mais cela ne saurait faire oublier ce qui s’est passé dans les plaines de l’Est, et n’a d’ailleurs, à ma connaissance, jamais fait l’objet d’une tentative de négation. Ce qui s’y donne à voir du nazisme, ce n’est pas sa modernité, notion aussi difficile à éviter qu’à définir précisément, mais bien au contraire cette face de barbarie primitive qui a trouvé dans Le Livre noir un témoignage saisissant. +1
  6. @Hermann http://en.wikipedia.org/wiki/Chinese_Civil_War ca vaut ce que ca vaut, pas le temps, ni l'envie de chercher plus pour faire avancer la discussion, ce serais de l'energie perdue pour rien @Fouineur : merci pour les précisions effectivement les 36 stratagèmes sont souvent attribués à SunTzu par erreur (ou en confusion avec l'art de la guerre) Je voudrais donc si possible que tu m'eclaires des liens existants reellement et concrètement entre les 2 manuscripts.....
  7. Akhilleus

    TOS 1

    mon cher Fenrir c'est deja fais il existe des bombes containers avec 3 ou 4 sous munitions FAE à l'intérieur hop un ptit lien : http://www.globalsecurity.org/military/systems/munitions/cbu-72.htm au fait à titre indicatif, apparemment il y a le TOS-2 Karabas et le TOS-3 KirovGrad en developpement je n'ai cependant pas réussi à trouver des infos sur le net
  8. tiens quelqu'un pourrait il m'expliciter clairement les différences et fonction respectives des différents cercles des FS françaises ??? thanks a lot
  9. Akhilleus

    Salut à tous

    bienvenu parmi nous
  10. Akhilleus

    Bonjours à vous

    et nous au plaisir de te lire [12]
  11. Akhilleus

    OTAN et atome

    entre autre mais d'autres histoires circulent, notamment celle d'un ferry danois ou norvégien qui reliait ce pays à la Suède et qui aurait été saboté par les britanniques (coulé avec tout l'equipage et les passagers) parcequ'il transportait de l'eau lourde en provenance d'un complexe militaire allemand soit situé près de la frontière Suédoise, soit directement en provenance de Suède (à moitié neutre, il faut avouer vu la quantité de minerais rare (tungstène) et moins rare fourni à l'allemagne nazie)
  12. disons si tu veux qu'apparemment ce n'est pas une bataille qui a eu lieu dans un plan concerté de part et d'autre (pas d'objectifs d'ensemble) étant donné qu'apparemment les 2 bords se sont laissés entrainer à cette rencontre (je te l'accorde au vu des effectifs engagés qu'il s'agit d'un gros engagement) par des contacts mineurs entre patrouilles et reco les jours precédants le gros de l'affrontement après les russes se sont contentés de donner une leçon aux japonais du genre "evitez de franchir la frontière" et les japonais se sont contentés de ramasser leurs dents sans faire suivre leur engagement plus avant (alors que vu les effectifs de l'armée impériale en Mandchourie, ils auraient pu pousser au conflit ouvert) en fait ca c'est bêtement arrété la, c'est pour ca que je qualifie cela de gros accrochage mais pas d'une opération avec une visée stratégique définie (un peu comme les accrochages de frontière entre l'URSS et la Chine en 1969 qui ont eu a peu près le même impact)
  13. évidents maintenant au 21e siècle (et encore quand je vois la conduite de certaines opérations militaires, visiblement certains auraient du le lire) à l'époque une compile de ce genre etait novatrice et puis ca apparait comme rien de transcendantal quand c'est lu par un esprit occidental obnubilé par le choc decisif qui est la pensée généralement enseignée dans nos ecoles de guerre avec un peu plus de finesse d'analyse on en rediscute les batailles décisives contre le KMT ont eu lieu après le départ des japonais pendant une grande partie de la guerre il y' a eu alliance de facto contre un ennemi commun, c'est après essentiellement que les comptes entre frères ennemis ont ete réglés ce que tu enonce au dessus en encore une fois une simplification de l'histoire et donc a la limite une contre verité mais bon.... passons
  14. et puis le finlandais est tenace quand il est chez lui .... en résumé une excellente petite armée pour la défense de leur territoire après pour des grosses OPEX c'est pas le top mais c'est pas ce qu'on lui demande donc je vois pas l'interet d'un sub pour eux corvettes de patrouilles lance missile ok aviation ASW et antinavire basée à terre ok frégates ASM ok missiles sol mer de defense cotière ok mais un sub ???? [21]
  15. sinon tu as la méthode russe enlever un ou 2 proches du pouvoir (pas trop importants) et les renvoyer en plusieurs fois par la poste bon d'accord c'est pas très fin et pas très faisable pour un pays dis démocratique mais version hard core ca doit calmer
  16. hum ton intrepretation est un peu large cette bataille (Khalkin ghol) est plus un "gros" accrochage de frontière non voulu par les 2 bords plutot que procedant d'un plan japonais d'envahir la Sibérie (ou même de tester en coup de sonde les troupes soviétiques) Il etait deja prevu une expansion maritime vers des ressources autrement plus faciles à saisir (Indes neerlandaises, Colonies britanniques et US) Cela dis la conséquence directe de cette branlée a ete le refus du Japon de s'engager militairement contre l'URSS même lorsqu'il a été au fait de sa puissance pendant que les soviétiques pataugeaient à retenir les PzD allemandes Quand on a gouté une fois aux chenilles des T34 on a rarement envi d'y revenir
  17. Akhilleus

    Qui suis-je ?

    glou glou glou !!!!!! bon alors je la refais 1- Joukov 2- 3- non en fait j'ai les neurones noyés .... [31]
  18. Akhilleus

    Qui suis-je ?

    allez je me la tente 1- ??? 2- Koutouzov 3- Bagration
  19. Akhilleus

    Bonjour à tous !

    bienvenu parmi nous
  20. effectivement par rapport à l'aviation basée à terre et à long rayon d'action (Tu95, Tu26....) et aux SNA ce devait être un role secondaire cela dis vu la dose de missiles portés par ce type d'engin, leur role de plate forme anti GAN aurait été interessante quand même et puis c'est visiblement leur fonction, leurs appareils n'etant pas concu pour être lancés pour des appuis à longue distance mais juste pour une protection rapprochée du groupe donc on a par exemple un Kutznetzov avec ses X SS-N-19 ou SS-N-29 pour casser du navire en saturation à longue portée, une escorte Udaloy et Sovremenny et toutes les armes d'autodefense embarquées sur l'ensemble de ces navires (ca fais un gros volume de feu en AA, anti missile, voir ASW avec les Helix du PA) et les SU27 marines en patrouille rapprochée antiaérienne moi je trouve que comme doctrine ca se tiens, c'est moins souple que l'utilisation des GAN US (notamment contre terre) mais ca se tiens
  21. Akhilleus

    Je me présente

    bienvenido amigo
  22. Akhilleus

    [Rafale] *archive*

    mais c'est du lourd qu'on a en face de nous dis donc ..... y'a un smiley la ,tu le vois ou pas mais peut être que chatouiller c'est aussi une insulte [29] et arrête avec ton coté martyr "tout le monde m'en veut parceque je demolis le rafale" c'est ton attitude qui est mise en cause point (relis mon post d'au dessus) mais visiblement t'as du mal a le comprendre
  23. ouiais je sais pas peut être qu'effectivement un achat ou une location a posteriori d'autres appareils etait envisageable de toute façon, je ne croit pas que 2 SU 25 auraient changés le cours du conflit vu l'etat général des FACI
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