
nankan
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caries, kystes au niveau des gensives,etc...
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Pour ce qui est des plombs, il faut avoir une bonne hygiene orale,pas plus.
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Comme tu te trompes mon cher Achille ( Talon).[08]
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Je ne vois pas lesquelles ! Je dois etre trop con !!!!
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C est les presentations ou le forum concierges ???
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Il suffit de voir ta photo,et lá en sait ce que laideur veut dire
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Le 787 a des problemes beaucoup plus graves que les histoires de cablage du 380,comme par exemple les problemes de structures avec le fuselage entierement en composite.
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??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????
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????????????????????????
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Pour Arlette, il y a pas besoin d armees, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil .[13]
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La je suis d accord avec toi. Par contre Taubira n est vraiment qu une poufiasse.[04]
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Multi-motorisation des avions
nankan a répondu à un(e) sujet de kedith dans Aviation de ligne, d'affaire...
De plus ton exercice d ecole commence a se faire vieux sur ce forum. Trouve autre chose pour faire mumuse.[17] -
Multi-motorisation des avions
nankan a répondu à un(e) sujet de kedith dans Aviation de ligne, d'affaire...
Elle va se prendre une branlee. -
Parceque Chirac n est pas l ami de toutes les pourritures africaines et autres ??? Tu as du mal regarde l emission de Moati,Lepen a dit que le zero c etait un symbole, mais que les pompes aspirantes cesseraient, et avec elles, l immigration du tiers monde.
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J ai trouve quelque chose du FN sur la Defense : Auteur : Jean-Marie LE PEN Date : Monday 04 September 2006 Sujet : Conférence de Presse à Toulon. Thème : La Défense -------------------------------------------------------------------------------- Mesdames et Messieurs, Chers amis, Permettez-moi tout d’abord de vous remercier de votre présence pour cette Conférence de presse, à l’occasion de l’inauguration de la nouvelle permanence du Front National à Toulon. J’éprouve toujours un petit pincement au cœur lorsque je me rends ici même dans cette vieille ville de tradition militaire, haut lieu de faits d’armes qui ont marqué la patrie, dans les victoires et dans les défaites. Je voudrais d’ailleurs profiter de mon passage ici pour évoquer la situation de nos forces armées, à l’heure de l’aggravation des tensions au Moyen-Orient et de la montée générale des risques et des menaces. I – La situation au Moyen-Orient est, en cette fin d’été 2006, particulièrement préoccupante. En effet, au moins quatre foyers de tension apparaissent, tous susceptibles de déstabiliser gravement la région. Le premier facteur d’inquiétude est incontestablement la situation au Liban. Le sud du pays est en effet en proie à un conflit permanent entre les milices du Hezbollah et l’Etat d’Israël voisin. Au début de l’été, celui-ci a engagé une opération militaire de grande ampleur pour répondre, dit-on, à l’enlèvement de deux soldats de Tsahal et aux attaques par missile du Hezbollah sur le nord d’Israël. La disproportion de la riposte israélienne fut particulièrement manifeste : bombardements du nord du pays, du mont Liban, de la capitale Beyrouth et des villes du sud, destruction systématique des infrastructures routières, ferroviaires et énergétiques, entraînant le déplacement de plus de 500 000 personnes. Il s’agissait, c’est sûr, de punir le Liban. Mais en quoi la population libanaise est-elle collectivement responsable des agissements d’une minorité ? J’observe également la dissymétrie des réactions de la communauté internationale face à cette agression : d’ordinaire très prompte à mettre en cause la puissance attaquante, la communauté mondiale des Etats a été très lente à condamner, d’ailleurs du bout des lèvres, l’opération militaire israélienne. Alors même qu’elle frappait un état souverain, qu’elle ne respectait aucune des règles du Droit International de la guerre, un silence pesant a entouré cette affaire. En France comme ailleurs, peu d’hommes politiques se sont élevés pour dénoncer le scandale. Quasiment aucun pour tout dire, et surtout pas les fameux « quadra » des années 80 qui, Philippe de Villiers en tête, avaient manifesté il y a 20 ans, très bruyamment, au Liban, leur solidarité avec ce pays, en défilant dans les rues dévastées des villes libanaises. Je dois dire que je n’approuve pas la réaction officielle de la France dans cette crise internationale. Je suis personnellement d’avis qu’il ne faut pas s’engager dans cette bataille où notre pays, qui n’a déjà plus de moyens militaires, a tout à perdre. D’abord, je ne vois pas comment la France pourrait ramener la paix et le droit dans la région, sachant que deux protagonistes principaux de la crise, les Etats-Unis et Israël, ne respectent aucune des décisions de l’Organisation des Nations-Unies dans ce dossier. Ensuite, en envoyant des moyens militaires supplémentaires pour la FINUL, Jacques Chirac condamne les soldats français à être entre le marteau et l’enclume, à servir de tampon entre les israéliens et le Hezbollah. Nos soldats auront-ils le droit de tirer s’ils sont attaqués ou mis en danger ? Vont-ils déclarer la guerre à l’armée israélienne ou vont-ils se trouver en conflit avec le Hezbollah ? A la vérité, nos troupes serviront de plastron, de cible, et je dois dire que j’en ai marre de voir les Français mourir sous les balles des autres. Comment pourront-ils contrôler plus de 110 kilomètres de frontière entre le Liban et Israel, sans compter la frontière syrienne tout proche ? Enfin, j’observe qu’en envoyant 2 000 soldats français, en fait 6 000 compte tenu des rotations que nécessite notre intervention dans ce pays, nous n’avons plus aucune masse de manœuvre, plus aucune troupes disponibles, plus aucun matériel opérationnel. Tout cela, le Président Chirac le sait. Pourquoi donc a-t-il éprouvé le besoin de mettre la France dans ce nouveau guêpier ? A la vérité, c’est une opération de politique intérieure à laquelle se livre Chirac. Complètement décrédibilisé au plan de ses résultats en matière économique, sociale, migratoire ou de sécurité, il tente de se remettre en selle pour une nouvelle candidature à l’élection présidentielle par le biais de grandes gesticulations au plan international. En effet, chacun sait qu’en cas de crise grave, le réflexe de légitimité naturel de l’opinion la pousse naturellement dans les bras des sortants. Jacques Chirac cherche donc à se refaire une santé politique. Est-ce que la vie de nos hommes vaut les ambitions personnelles de Jacques Chirac ? Je ne le crois pas et je m’insurge contre cette utilisation cynique des vies françaises. Outre le Liban, la question du nucléaire iranien devient de plus en plus épineuse. Les Etats-Unis d’Amérique sont, je le crois, décidés à la guerre contre l’Iran. Les diplomates américains ont d’ores et déjà fait savoir que leur pays pourrait se dispenser d’un recours au Conseil de Sécurité pour prendre des sanctions contre ce pays. J’ai déjà eu l’occasion de dire que je ne voyais pas comment on pourrait empêcher un état souverain de se doter de la maîtrise de la technologie nucléaire. En effet, il est du devoir de tout gouvernement d’essayer d’accroître la prospérité de sa population par le nucléaire civil, dans un contexte où, on le sait les énergies fossiles ne sont pas inépuisables. Il est également naturel pour un gouvernement d’améliorer la sécurité de son peuple en cherchant à se doter d’armes particulières, lesquelles de toutes façons, sont des armes de non emploi, c’est-à-dire des armes dont on ne se sert jamais, des armes qui n’ont qu’une portée dissuasive. En effet, celui qui se sert de l’arme atomique est sûr d’être lui-même détruit dans les minutes qui viennent. A l’heure où l’ultimatum adressé à l’Iran, à l’initiative du Conseil de Sécurité de l’ONU, vient d’expirer, je vous avoue mon inquiétude, car je crois que le gouvernement américain est décidé, à plus ou moins long terme, à en finir. En cas de guerre avec l’Iran, ce pays bloquera le détroit d’Ormuz, rompant les voies de communication et d’acheminement du pétrole vers l’Europe et l’Asie. A ce moment là, le baril de brut pourrait dépasser les 200 dollars, plongeant l’économie mondiale dans une crise sans précédent. Troisième problème grave au Proche-Orient, l’Irak. Incontestablement, ce que nous avions dit se réalise, hélas, dans des proportions dramatiques pour les populations civiles. L’intervention américaine de 2003 a plongé l’Irak dans le chaos, et même dans une véritable guerre civile. Les affrontements entre les sunnites et les chiites, entre les kurdes et le gouvernement fantoche de Bagdad, rendent le pays absolument ingérable. Le chef des troupes américaines en Irak, le général John Abizaïd, a récemment brisé le tabou en disant : « qu’il était possible que l’Irak sombre dans la guerre civile ». Merci mon général, merci de cet aveu ! Il reste que ce constat effectué par un militaire aujourd’hui aurait dû être prévu et anticipé par les hommes politiques américains avant l’intervention de leurs forces armées. La situation en Irak est absolument incontrôlable, tout comme en Afghanistan, où les talibans ont repris du poil de la bête. Les affrontements se multiplient dans ce pays avec les troupes américaines et il est également à craindre que la région toute entière ne s’embrase à partir de ce pays. Enfin, la Turquie est désormais régulièrement livrée aux attentats. Vous le voyez bien, Mesdames et Messieurs, le monde dans lequel nous vivons est particulièrement dangereux, car le risque de 3ème guerre mondiale y est permanent. Il est donc du devoir des pouvoirs publics de tout mettre en œuvre pour que la préparation militaire française à une riposte en cas d’attaque, soit la plus efficace possible. II- J’observe, hélas, que ce n’est pas le cas, en raison de la situation catastrophique de notre armée. Notre système de défense, principal gage de notre sécurité, n’existe plus. Jacques Chirac l’a tué, depuis 1995, en arguant de la fin de la guerre Froide et des difficultés budgétaires du pays. En réalité, il s’agissait de désir de construire une défense européenne et non plus française, et d’accepter l’inféodation de cette armée fédérale à l’OTAN, car nos gouvernants ont cessé de penser la France comme un Etat indépendant et souverain, ayant des intérêts nationaux à préserver avec des moyens propres. Chirac a engagé un soi-disant processus de professionnalisation des armées, qui, avec la suppression de la conscription, la suspension des essais nucléaires et la réduction des moyens humains et matériels de l’armée, nous ravale au rang de pays de seconde zone, sans défense et sans poids international. Il est temps en effet que quelqu’un parle. Que l’on ose avouer enfin la grande misère de nos armées, la situation alarmante des hommes et des matériels et le délitement de la sécurité de notre territoire. Les moyens alloués à la Défense sont désormais dérisoires : de 4% du PIB en 1965, on est passé à 1,8% en 2005. Nous avions 500.000 hommes sous les drapeaux en 1995, contre 250.000 aujourd’hui, et 190.000 prévus fin 2007, dont 15% de femmes. La vétusté des matériels est plus qu’inquiétante : en matière aérienne, les Mirages ont plus de 25 ans, les super-étendard plus de 30 ans, dans l’attente de Rafales qui n’arrivent toujours pas ou peu. Dans le domaine de la Marine, les frégates anti-aériennes et anti sous-marines ont près de 35 ans, tout comme une dizaine de nos bâtiments de surface. La France n’a quasiment pas de transports de troupe modernes et opérationnels, ni dans le domaine terrestre, ni dans le domaine aérien, ni dans le domaine maritime. De nombreux équipements sont en panne, ou inutilisables. On estime que la disponibilité moyenne des matériels des 3 armes est de 60% aujourd’hui, contre 90% il y a 20 ans. Pour prendre quelques exemples : - seul un hélicoptère sur 2 est utilisable, - 1 frégate sur 2, 1 sous-marin d’attaque sur 2 peuvent effectuer des missions océaniques, - 2 lance-roquettes sur 3 ne fonctionnent pas. Résultat, il faut dépouiller tous les régiments « statiques » pour permettre l’équipement des troupes partant en opération au Liban ! En matière d’équipement, pas une seule des cinq lois de programmation militaire adoptées depuis quinze ans n’a été respectée : les programmes de chars LECLERC, d’avions RAFALE et du porte-avion CHARLES DE GAULLE ont absorbé une part considérable des crédits, au détriment des autres équipements. Et pourtant, aujourd’hui, seuls de rares exemplaires de ces chars et de ses avions sont en service, tandis que notre porte-avion nucléaire n’en finit pas de sortir de ses maladies de jeunesse…. Ce n’est pas tout. Nous n’avons plus d’industrie aérienne militaire, pratiquement plus de chantiers de construction et de réparation navale, plus d’industrie d’armement. L’armée est donc à la limite de ses possibilités, et ce qui reste de sa capacité opérationnelle ne tient plus pour l’instant qu’au dévouement et à la qualité de ses hommes. Or aujourd’hui, les menaces n’ont pas disparu, loin de là. Elles peuvent venir de l’extérieur, et notamment je le disais du Moyen-Orient, mais aussi de l’intérieur. On connait l’extrême sensibilité de certaines populations étrangères ou d’origine étrangères aux événements du Moyen-Orient, l’extrême vulnérabilité de certains à la propagande religieuse et haineuse des imams intégristes, qu’on laisse, contre toute raison, prêcher en toute impunité. Les ennemis de la France peuvent ainsi viser notre territoire, de manière conventionnelle ou terroriste, allant de l’attentat sanglant à la destruction d’un site sensible, comme une centrale nucléaire ou une usine chimique, en passant par l’empoisonnement du réseau d’eau potable d’une grande ville. On peut également viser nos intérêts économiques dans le monde, ou nos ressortissants, comme en Côte d’Ivoire. Enfin, il faut prendre aussi en compte et anticiper sur les facteurs futurs de déstabilisation de régions entières de la planète. Le siècle naissant verra indubitablement des conflits de toutes intensités autour de l’eau potable, nouvel enjeu de survie et de puissance. III- Alors, me direz-vous, mesdames et messieurs, que faut-il faire pour redresser les choses ? Il nous faut reconstruire un outil militaire indépendant, adapté à la menace, à nos besoins et à nos intérêts, à la défense prioritaire de la France et des Français, où qu’ils se trouvent dans le monde. Cette politique nationale et autonome n’exclut aucune coopération, aucune alliance, à partir du moment où elle est conforme et utile à nos intérêts. Il s’agit du rang de la France, de sa liberté de manœuvre stratégique et militaire, donc politique. Il s’agit, je le répète, de sa capacité à assurer elle-même sa propre survie. Je propose donc d’infléchir les grands axes de notre politique de défense : Ces mesures tiennent en 4 points : - Porter le budget de la Défense Nationale de 1,8 à 4% du PIB, 400 milliards de FF, soit l’équivalent de ce que la France donne chaque année aux immigrés. - Remettre sur pied une véritable défense opérationnelle du territoire, ce qui suppose la création de corps de garde frontières, d’une garde nationale et le développement de réserves significatives. - Donner aux forces d’intervention la capacité d’agir de manière autonome, ce qui suppose, entre autres, le renforcement de la marine, par la création de deux groupes de porte-avions, et de l’aviation, par le lancement d’un programme de construction d’ avions gros porteurs. - Renforcer l’activité de nos arsenaux en cessant d’étaler les programmes d’armement et en subordonnant notre aide internationale ou notre soutien diplomatique à des commandes extérieures. Bien sûr, il ne s’agit que là des mesures d’urgence, c’est-à-dire indispensable à notre survie. Pour assurer l’avenir des jeunes générations, il faut bien autre chose. Il faut une véritable révolution intellectuelle et morale, pour rétablir le lien intellectuel et charnel entre l’armée et la nation. C’est en restaurant les valeurs patriotiques, religieuses et humaines qui ont fait la grandeur de notre peuple, dans l’esprit de nos compatriotes, en particulier chez les jeunes générations, que l’on renforcera l’esprit de défense. C’est en luttant contre les campagnes de désinformation, les calomnies et les atteintes à l’honneur de l’Armée française, en commémorant les hauts faits de notre histoire militaire, et en honorant la mémoire des héros qui ont donné leur vie pour la France, que l’on donnera aux Français la volonté de vivre, de se défendre et de rester libres. Voilà, mesdames et messieurs, l’essentiel de mon programme en matière de Défense nationale. Je vous remercie
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Achille Talon se revolte [29]
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Il est vrai que toutes les ideologies où l on tue des millions de gens sont de gauche, a l exception du regime militariste japonnais de la 2 GM
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Je n ai jamais dis que ce n etait pas une ideologie nationaliste. C est vrai que tes postes sont des tresors de connaisances.
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Tu devrais lire plus les manuels d histoire et de fumer moins d herbe. Mussolini etait militant du PC italien avant de creer le parti Fasciste ! Et Nazi veut dire National Socialisme !!!
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Sache que le Fascisme est une ideologie de gauche tout comme le Nazisme. quand aux USA ils s en moquent comme de leur premiere chemise.
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Il y en a marre de tous ces parasites qui font chier la societe des gens honnetes. que l on defonce leurs gueules une fois pour toutes !!!!
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Si Lepen est president, la racaille va raser les murs.
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Fenrir : " Pour revenir au sujet en mettant un peu de défense (et oui !) les militaires ont failli etre déployer durant la crise des banlieux tout simplement car les brigades de CRS étaient exténués et que les militaires ont recu un minimum d'entrainements pour le maintien de l'ordre (sans compter la disciplin et le sange froid necessaire)." Je peux te dire que si la Legion ou les paras se deployaient en banlieue a la place de nos pandors, il y aurait moins , parmis la racaille qui foutrait la merde.
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Je ne suis pas pour l economie planifiee, mais pas non plus pour l utra liberalisme sauvage, qui delocalise et met des millions de personnes dans la misere, juste pour remplir les poches d une minorite.