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C'est le capitaine Mickael Whitmann.
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Soldat de la Grande Armée ou j'aurais integré le Veme Corps commandé par Jean Lannes. Et ensuite integré au Grenadiers de la Garde Impériale et enfin un Grenadier de la Vieille Garde.
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Cold War: Back Ground de mon jeu
Suchet a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
L'idée pour simuler l'intervention des superpuissances est la hausse de la qualité et de la quantité du matériel l'aléa de l'aide est gérée par un lancé de dés à 20 faces. Pour les pays non-jouable, cela est géré par le Maître de Jeu. -
Cold War: Back Ground de mon jeu
Suchet a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
En fait, se serait un jeu en campagne sur carte (pour la grande Stratégie ou vous déplaceriez des pions pouvant représenter les déplacements stratégique de la taille du régiment au groupe d'armée) et sur table de jeu avec figurines 6mm moderne de la taille du détachement niveau Brigade. Les armées inféodés au pacte de Varsovie ne peuvent utilisés que du materiel sovietique, les membre de l'OTAN ne peuvent utilisés que le materiel du bloc de l'ouest. -
Duc d'Auerstadt et Prince d'Eckmulh
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La bataille d'Auerstatd où Davout bât avec son seul 3eme Corps l'armée de Brunswick le même jour dela bataille d'Iéna. Cette victoire fût aussi décisive que celle d'Iéna.
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Cold War: Back Ground de mon jeu
Suchet a posté un sujet dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Voilà, j'ai reflechis au Back Ground de mon jeu et je voulais savoir si cela tenait la "route" en vous le soumettant. Cold War En 1945, face aux états européens ruinés par la Seconde Guerre mondiale, deux superpuissances émergent dans le contexte géopolitique mondial. Les Etats-Unis détiennent le monopole nucléaire depuis Hiroshima et disposent d'une puissance financière inégalée. L'URSS possède une force militaire décisive en Europe orientale et un prestige politique considérable. Après la Deuxième Guerre Mondiale, les relations entre les américains et les soviétiques se dégradent. L'URSS veut garantir sa sécurité en s'entourant de pays alliés le long de ses frontières. L'armée rouge ne se retire pas des pays qu'elle a libéré du nazisme et, contrairement aux engagements pris à Yalta, elle n'y organise pas d'élections libres. L'objectif de cette «guerre» est de maintenir l'équilibre nucléaire où, historiquement, l'U.R.S.S possède la bombe dès 1949. C'est surtout une guerre de régime, puisque le capitalisme américain est opposé au communisme soviétique. Mais, dans un monde en reconstruction, l'espoir était permis. Choisissez votre camp Et c’est à ce moment que vous entrez en scène. En Juin 1947 vous êtes à la tête d’un pays fictif. C’est à vous de le mener soit à: 1- L’instauration d’un régime démocratique pluraliste: dans ce cas vous serez affilié au « Bloc de l’Ouest » inféodé par les Etats-Unis et l’OTAN. Si vous choisissez cette voie, vous bénéficierez d’une aide financière considérable dès le début de partie via le fameux « Plan Marshal » par contre le bonheur de votre peuple sera un paramètre incontournable à votre réussite... Ou votre échec 2- L’instauration d’un régime totalitaire à parti unique et alors vous serez affilié au « Bloc de l’Est » inféodé à l’URSS et membre du « Pacte de Varsovie » . Si vous choisissez cette voie, vous bénéficierez d’une aide militaire considérable dès le début de partie mais votre pays est financièrement limité. 3- Ou alors vous pouvez être indépendant et mener votre économie, votre politique et diriger vos Forces Armées comme bon vous semble. Cela vous laisse une grande liberté de manœuvre mais vous prive en même temps d’aide financière et militaire conséquente au début du jeu. La victoire avec cette option vous demandera des talents de diplomate très développé puisque une guerre contre l’un des pays inféodé à l’une des deux superpuissance amènera invariablement l’intervention de l’une d’elles. Les deux super-puissance ainsi que tout les autres pays réels et l’ONU sont considérés comme « Non-jouable » mais vous pouvez tout de même interagir avec eux via des règle créées à cette effet. Ceci seront classé en plusieurs niveau: -Super-puissance: cela vous les connaissez et il n'y en a que deux. -Puissance -En Développement -Sous-développé. -
Jules Cesar ?
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En effet, car heureusement pour le troisième corps qu'il avait un Maréchal exeptionnel comme Davout à sa tête. Bernadotte aurait pû être à l'origine d'un désastre en 1806... :'(
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Je ne pense pas que l'on puisse comparer Talleyrand, voire Fouché à Bernadotte, car les deux premiers avaient déjà calculés leur coup (la politique quand tu nous tiens...). Tandis que Bernadotte était un militaire, un très bon général je dois dire, qui a saisi le trône de Suède au passage.
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Pour chaque solution (particule) de masse et de charge électrique donnés, existe une autre solution de la même masse mais d’une charge électrique opposée. Pour différentier ces deux solutions symétriques , les physiciens ont nommé « particule » les constituants habituels de la matière ( neutron , électron … ) et « antiparticules » les solutions symétriques ( antiproton , antiélectron ou positron ). Matière et antimatière sont donc comme le positif et le négatif d’une même image. Mais attention au langage : le négatif ne l’est que parce qu’il y a un positif . Quant une antiparticule rencontre une vrai particule, elles s’anéantissent l’une l’autre et disparaissent tout en dégageant une énergie colossale. Inversement de l’énergie peut donner naissance à des paires particule-antiparticule . Pour montrer combien cette énergie est énorme , comparons la à l’énergie nucléaire, la plus puissante aujourd’hui disponible . Lors des réactions nucléaire les centrales consomment de l’uranium dont elles convertissent un millième seulement de la masse en énergie. Le rendement donc de ces réacteurs est très très petit ( 1 millièmes !). Or, dans la réaction matière antimatière, la conversion est total, le rendement est de 100% : 1 kilogramme d’hydrogène associé à sa contrepartie d’antimatière dégagerait autant d’énergie qu’une centrale géante pendant 10 ans de fonctionnement . Mais contrairement à ce qu’avaient imaginé certains scénaristes de science- fiction , l’antimatière ne sera jamais un combustible idéale pour les vaisseaux spatiaux car pour fabriquer de l’antimatière dans les accélérateurs de particules , il nous faut dépenser des milliards de fois plus d’énergie que ce que l’on retient , sans oublier que la quantité de matière fabriquée jusqu'à présent ne suffit même pas à remplir une petite cuillère d’antiatomes . En 1932 le physicien américain Carl Anderson fut le premier à observer la trace d’un électron positif «le positron », formé après impact d’un rayon cosmique dans une chambre à brouillard, l’antiélectron existe donc bel et bien, mais pour l’observer il faut le surprendre au moment de sa brève apparition, qui est aussitôt suivie d’une rapide disparition, car dans le notre monde de matière il fini fatalement par rencontrer un électron avec lequel il s’anéantit instantanément, cet anéantissement mutuel est appelé annihilation. La découverte du positron en 1932, a été suivi par celle de l’antiproton en 1955 puis l’antineutron en 1960. Mais irait-on jusqu'à produire des antiatomes et antimolécules ? Jusqu'à présent, seul l’antihydrogène a été créé dans les laboratoires du CERN … Reportons nous maintenant au tous premiers instants de l’Univers, juste après le big bang . Une quantité phénoménale d’énergie donne naissance à autant de matière que d’antimatière (chaque unité d’énergie se transforme en une paire particule- antiparticules ). Pourtant nous somme bien faits de matière et non d’antimatière et l’univers tout entier n’est constitué que de particules de matière . Ou est donc passé l’antimatière ? Pour répondre à cette question, on supposa d’abord l’existence de galaxie lointaines faites d’antimatière. Mais aucune aucun instrument n’a jamais détecté leur présence, la question reste toutefois en suspens. L’idée la plus répandue aujourd’hui est celle selon laquelle une violente guerre aurait opposé matière et antimatière, au tous premiers instants de l’Univers à une température très élevée qui était de 1019 GeV. Le conflit baryons-antibaryons s’est soldé au profit des premiers, plus nombreux. Pour déterminer l’ampleur de cet dissymétrie il nous suffit de calculer le rapport entre le nombre de baryons et le nombre de photons présents dans l’Univers actuel. Mais les photons actuels ne proviennent pas tous de l’affrontement baryons- antibaryons, certains par exemple sont issus de chocs entre leptons et antileptons. Connaissant le nombre de particules présentes dans l’Univers primordial (photons, leptons …) on peut aisément mesurer le déséquilibre initial entre matière et antimatière avant annihilation. On estime le surplus de matière à un milliardième : à peu près un milliard et une particule pour un milliard d’antiparticules. Même infime cette dissymétrie reste très difficile à justifier. Si l’Univers était initialement symétrique . comment la matière a t-elle pu prendre le dessus sur l’antimatière ? A l’origine de cette dissymétrie, une différence de comportement. Effectivement , on a pu observer en laboratoire que à très haute température , une dissymétrie de comportement existait bien entre matière et antimatière mais elle était extrêmement faible . Pour Expliquer l’existence de la matière dans l’Univers actuel en quantité suffisante malgré l’infime différence de comportement, les physiciens ont proposé un mécanisme permettant de générer l’asymétrie entre particules et antiparticules. Les protagonistes de ce mécanisme aussi appelé modèle X, sont les particules X de masse très très élevée( un million de milliards de fois plus lourdes que le proton) et qui se désintègrent lentement. Il ne faut pas confondre désintégration et annihilation. La Désintégration entraîne la mort par éclatement d’une particule au bout de sa durée de vie ( la radioactivité en est l’exemple le plus connu). Pour que ces particules provoque une asymétrie on suppose que les particules X peuvent se désintégrer de deux façons différentes, caractérisées par des nombres baryoniques différents. Sachant que les antiparticules X barre se désintégrant dans les antiparticules correspondantes, il suffit que les probabilités de désintégration des X barre différent de celles de X pour que le mécanisme viole la symétrie. Autrement dit X et X barre doivent avoir la même espérance de vie mais des sorts différents en se désintégrant. Malheureusement ces particules sont hors de portée des accélérateurs actuels. Récemment, les physiciens des particules se sont aperçus qu’il était possible qu’une asymétrie matière-antimatière apparaisse dans le modèle mathématique standard de la physique des particules, mais les calculs sont plus que délicats et les experts ne se sont pas, pour l’heure, accordés sur ce dernier point. En scrutant le cœur de la matière, les physiciens ont découvert un monde miroir du notre , celui de l’antimatière ! Mais qu’est ce que l’antimatière, et comment celle-ci peut-elle être à la fois le contraire de la matière, et partager avec elle un si grand nombre de caractères communs ? Ou est passé l’antimatière ? Modèles et expériences s’accumulent . . . SOURCES: Wikipédias, Futura-science, astrosurf, Webastro... pour les principales.
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Que pensez-vous de ce personnage très habile mais qui retournait sa veste à la vitesse de la lumière... Il est une évidence certaine, c'est que si Napoléon s'entourait "d'éminents personnages" pour régler la vie politique, cela voulait dire qu'il pouvait compter sur eux et en écouter les idées, les réflexions, voire parfois les conseils ... La ruse et l'habileté, assorties d'une certaine diplomatie d'un Talleyrand ne pouvaient que séduire Napoléon. Mais évidemment, là où le bât blesse, c'est lorsque le ministre fait profiter l'ennemi de ces mêmes facultés d'esprit ... Bien sûr que Talleyrand eût une certaine influence sur son Maître, mais ce fut, à mon avis, une influence toute relative, car très tôt Napoléon soupçonna les multiples visages de celui qui devait à la moindre occasion, le tromper outrageusement... Devant un tel personnage d'une époustouflante versatilité, Napoléon sût prendre en effet du recul... Il eût de l'influence mais ponctuellement, comme dans l'affaire du Duc d'Enghien. Toutefois, il ne me semble pas que Talleyrand ait jamais vraiment réussi, malgré des titres et dignités reçus de l'Empereur, à infléchir la politique napoléonienne. Un seul exemple, bien connu : Tilsit, où Napoléon préféra négocier directement avec le tsar... Pour conclure mon intervention, je citerai l'Empereur , face à Talleyrand : "Vous êtes un voleur, un lâche, un homme sans foi, vous ne croyez pas en Dieu. Vous avez manqué toute votre vie à vos devoirs, vous avez trompé, trahi tout le monde. Il n'y a rien pour vous de sacré, vous vendriez votre père. Je vous ai comblé de biens et il n'y a rien dont vous ne soyez capable contre moi. Ainsi depuis dix mois, vous avez l'impudence, parce que vous supposez à tort et à travers, que mes affaires d'Espagne vont mal, de dire à qui veut l'entendre que vous avez toujours blâmé mon entreprise dans ce royaume, tandis que c'est vous qui m'en avez donné la première idée. Et cet homme, ce malheureux, par qui ai-je été averti du lieu de sa résidence ? Qui m'a excité à sévir contre lui ? Quels sont vos projets ? Que voulez-vous ? Qu'espérez-vous ? Osez le dire ! Vous mériteriez que je vous brisasse comme verre, j'en ai le pouvoir, mais je vous méprise trop pour en prendre la peine ............ Vous êtes de la merde dans un bas de soie ! " Talleyrand regarde alors l'Empereur et lui dit : " Sire, tout ce qui est exagéré est insignifiant ! " Napoléon en colère le somme de quitter la pièce. Talleyrand prenant congé, passant la porte de la pièce dira : " Quel dommage qu'un Si Grand Homme soit si mal élevé ! " Napoléon lui retire son poste de Grand Chambellan, mais lui conserve toutefois quelques contacts. On connait la suite : à la première abdication " Le Diable Boiteux" ralliera Louis XVIII et servira jusqu'en 1834 les régimes successifs en prenant bien soin de toujours tirer son épingle du jeu !! L'Empereur dira à propos de Talleyrand à Ste Hélène : " Toujours insupportable, il me fut parfois indispensable ! ". Dans les derniers propos de l'Empereur, vous avez reconnu le Duc d'Enghien, bien sûr. Cette altercation violente démontre bien, sur deux exemples significatifs, la mauvaise influence qu'a pu avoir Talleyrand dans l'esprit du Grand Homme ...
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http://www.echodelta.net/reconquete/lune/automat.html
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Ces gens là était -il tous des volontaires libre ou des "volontaire" forcés ?
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Les grands stratèges et leurs chefs-d'oeuvres
Suchet a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Histoire militaire
Stalingrad !!! le tournant de la Guerre: je suis d'accord. -
Les grands stratèges et leurs chefs-d'oeuvres
Suchet a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Histoire militaire
Filou ce Nelson..... -
Les grands stratèges sur Dailymotion Documentaire interressant sur les grands stratèges de l'histoire
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André Etienne natif de cadenet dans le Vaucluse surnommé le tambour d'Arcole qui en traversant le canal à la nage sous le feu de l'ennemi, sur la berge il battit sur son tambour la charge ce qui effrayat les autrichien qui crurent etre pris à revers et replierent ce qui permit aux troupes de napoleon de franchir le pont. Il etait tambour dans un bataillon de chasseur, decoré de la LH à 26 ans sons nom figure sur l'arc de triomphe certes pas anonyme mais pas tres connu non plus. Ne vous fait-il pas penser à Bill Millin le cornemuseux du major Lovat ?
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Theophile-Malo Corret de la Tour-d’Auvergne http://www.chapitre.com/misc/image_upload.ashx?source=PAINT&file=88-002015-02_1_75.jpg&magic=19311&size=big Proclamé premier grenadier de l’armée française, né à Carhaix, département du Finistère, le 23 novembre 1743, se voua dès sa première jeunesse au métier des armes. Il entra au service en 1767, et fut fait capitaine en 1779, au régiment d’Angoumois. En 1782, il servit indirectement dans la guerre de l’Amérique comme simple volontaire, ensuite comme aide de camp du duc de Crillon au siège de Mahon, et refusa d’être le commandant de ce corps ; il fut le premier à l’assaut, et le dernier à la retraite. Il était aussi humain que brave ; car, après avoir sauvé un blessé lors d’une affaire, en le portant sur ses épaules jusqu’à un endroit moins exposé, il refusa les cent pistoles de pension que le roi d’Espagne lui fit offrir. Dans les premières années de la révolution française, quoique âgé de 50 ans, et jouissant d’une pension de retraite, il fut un des premiers sous les drapeaux. Depuis le 5 février 1792, il servit comme capitaine de grenadiers, dans Angoumois. En 1793, il commanda 8.000 grenadiers à l’armée d’Espagne, sans vouloir jamais accepter le titre de général. Sous son commandement, cette avant-garde, appelée la colonne infernale, décidait ordinairement de la victoire, avant que le corps de bataille pût arriver. L’infanterie, guidée par la Tour-d’Auvergne, apprit alors à se servir avec succès de la baïonnette. Il eut le bonheur de ne recevoir aucune blessure, quoique son chapeau et son manteau fussent souvent criblés de balles. Il donna des preuves d’un courage extraordinaire entre autres lors de la prise de Saint-Sebastien, et de la batterie espagnole en-deçà de la Bidassoa. Il se chargea de toutes les reconnaissances. Après la paix de Bâle, s’étant embarqué pour la Bretagne, il fut pris par un corsaire anglais, et resta un an prisonnier en Angleterre. Il vint ensuite se fixer à Passy près Paris, où il se livra à des occupations littéraires ; il y travailla à un Glossaire de 45 langues, et à un Dictionnaire français-celtique. Il avait déjà publié ses Origines gauloises, ouvrage qui, malgré les hypothèses hasardées qu’il renferme, n’est pas sans mérite. Lorsqu’en 1799 la guerre éclata de nouveau, il partit pour l’armée d’Helvétie, commandée par Masséna, en remplacement d’un conscrit, le fils de son ami le Brigaut, et s’y distingua par son courage. En 1800, Bonaparte, premier consul, le nomma premier grenadier de France, et lui donna un sabre d’honneur ; mais il refusa la pension attachée à cette distinction honorable. Il reprit encore une fois du service, dans la 46e demi-brigade, à l’armée du Rhin, et fut tué, le 27 juin 1800, à la bataille de Neubourg. Il combattait dans les premiers rangs, lorsqu’un hulan, de sa lance, lui perça le cœur. Il fut enseveli sur le champ de bataille, couvert de branches de laurier et de chêne. A l’endroit où il tomba, on érigea un sarcophage, sur lequel on lisait cette inscription : A la mémoire de la Tour-d’Auvergne, premier grenadier de France, tué le 27 juin 1800. Source: dictionnaire des personalités. La question: 57 ans n'est-il pas trop vieux pour combattre en première ligne surtout jusqu'à cette époque ?
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Rochambeau: Bien entendu, mais à Lasalles c'était une pathologie. Lui ce n'était plus du courage, mais de la folie presque...
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Tout à fait d'accord avec toi cher Prince d'Eckmülh.
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le chevalier Bayard sur le Garigliano
Suchet a répondu à un(e) sujet de Charles XII dans Histoire militaire
Pour Jeanne d'Arc, heureusement pour elle qu'il y avaient aussi La Hire, Gilles de Rais, et tous les autres. -
Il m'ai venu une idée cette après-midi: ne pourrait-on pas créer une partie "Biographie" juste en dessous de la partie "Histoire Militaire" sur le forum ?
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Général LASALLE - Héros d'Empire ANTOINE LASALLE, HONNEUR, BRAVOURE et NOBLESSE Symbole complet du Cavalier d'Empire, poussant à l'extrème et plus naturellement du monde d'extraordinaire qualités de courage et d'audace, LASALLE offre l'image du Héros Antique qui regarde la mort non comme une fin mais comme un accomplissement. Fils d'une famille de petite noblesse originaire du Quercy, Antoine-Charles-Louis COLLINET de LASALLE, comme un bon nombre de jeunes officiers de son milieu séduits par les idées nouvelles, préfère abandonner sa particule quand la Révolution le trouve sous-lieutenant au 24ème régiment de cavalerie. Il est né le 10 mai 1775 à Metz, où son père était commissaire ordonnateur, c'est-à-dire fonctionnaire royal chargé de l'administration et de l'entretien des armées. Par sa mère, née DUPUY de la GARDE, il est l'arrière petit-neveu du Maréchal de FABERT. Selon certaines rumeurs, il serait aussi le fils du Marquis de CONFIONS, lui aussi Maréchal de FRANCE, auquel sa mère, autant réputée pour sa beauté que pour la générosité de son tempérament, était présumée d'accorder ses faveurs. Antoine ne reste qu'un an au 24ème de cavalerie dont il démissionne en 1792 pour s'engager comme simple volontaire dans la Garde Nationale Parisienne , section des Piques, puis, c'est l'armée du Nord et le 23ème régiment de Chasseurs à Cheval où son expérience de la cavalerie lui vaut aussitôt les galons de Maréchal-des-Logis. Cavalier de belle prestance et présentant les plus parfaites manières, instruit, intelligent, actif, le jeune sous-officier est remarqué par le Général KELLERMANN, le Vainqueur de VALMY, qui le fait nommer Lieutenant et l'attache à son état-major en qualité d'aide de camp. Haut dignitaire du Grand Orient de FRANCE, le Général initiera LASALLE à la Franc-maçonnerie à laquelle il se montrera toujours fidèle. En mars 1795, KELLERMANN est nommé Commandant en Chef de l'Armée des Alpes, laissant la seconde au Général BONAPARTE. C'est avec ce dernier que LASALLE poursuit la Campagne. Nommé Capitaine, il est alors au côtés d'un autre KELLERMANN, François, fils du précédent, Colonel de cavalerie légère et bientôt Général. Avec un tel Chef, qui va lui aussi devenir l'une des plus grandes figures de la Cavalerie de l'Empire , LASALLE est à bonne école. Le 1er Août 1796, il charge à BRESCIA, mais il est fait prisonnier par les Autrichiens et conduit devant le vieux Felf-Maréchal WÜRMSER. celui-ci, qui a du mal à se persuader qu'il est tenu en echec par un tout jeune Général, lui demande l'âge de BONAPARTE : "L'âge qu'avait SCIPION lorsqu'il vainquit HANNIBAL", répond LASALLE. Charmé par l'esprit du jeune officier et flatté d'avoir été comparé au prestigieux Carthaginois, WÜRMSER fait remettre le prisonnier en liberté. Homme d'esprit, plaisant compagnon sachant tourner la rime et composer des couplets, cavalier magnifique portant à merveille le somptueux uniforme des Hussards, brave et insolent, mais usant d'une distinction naturelle, LASALLE acquiert une réputation flatteuse chez les officiers comme parmi la troupe. Il collectionne les succès féminins et entretient une relation passionnée avec la belle marquise de SALI, qui habite VICENCE. Mais la ville est retombée entre les mains de l'ennemi. Qu'à cela ne tienne, le bouillant capitaine est prêt à tout pour revoir, ne serait-ce que quelques heures, celle qu'il aime. A la tête d'un peloton du 1er Hussards, il franchit les lignes Autrichiennes à la tombée de la nuit, parvient jusque dans VICENCE, cache son escorte et court chez la Marquise, Peu après, ayant récupéré sa troupe, il rejoint le camp français, non sans bousculer au passage quelques Autrichiens auxquels il prend des prisonniers et neuf chevaux, et rapporte une moisson de précieux renseignements sur le dispositif ennemi. Une telle audace sidère BONAPARTE qui ferme les yeux sur l'incartade et le nomme sur-le-champ chef d'escadron. Quelques jours plus tard, LASALLE est l'un des principaux artisans de la Victoire de RIVOLI, ayant pratiquement à lui seul obtenu la reddition d'un bataillon de six cents Autrichiens. Au soir de la bataille, BONAPARTE, qui le voit épuisé, lui désigne un entassement de Drapeaux pris à l'ennemi : « Couche-toi dessus, lui dit-il, tu l'as bien mérité. Puis c'est l'EGYPTE, et, de nouveau, des exploits. Nommé colonel du 22ème Chasseurs à Cheval, LASALLE charge à REDEMIEH, sauvant du massacre l'avant-garde de DAVOUT submergée par les Mamelouks. Il les disperse de nouveau à SALAYEH, au cours d'une action mémorable qui oblige le Cheikh IBRAHIM BEY à s'enfuir en SYRIE. De retour en FRANCE en 1800. LASALLE reçoit le commandement du 10e Hussards. Ses exploits fameux lui valent une grande notoriété dans l'armée. Il n'a que vingt-cinq ans, mais ne nourrit aucune illusion sur l'avenir qui l'attend. « Tout Hussard qui n'est pas mort à trente ans est un jean-foutre », déclare-t-il avec cette désinvolture superbe et provocatrice qui fait de lui le chef de file des « sacripants ». C'est ainsi qu'on appelle les jeunes officiers de cavalerie légère, Hussards ou Chasseurs à Cheval, dont l'insolence tapageuse et la dissipation font grincer les dents à la société bourgeoise. Magnifiquement équipés, follement élégants, ils engloutissent des fortunes au jeu et pour la splendeur de leurs uniformes, multiplient les dettes et les duels, séduisent les femmes et ridiculisent les maris. Dans plus d'une ville de garnison, c'est un soupir de soulagement quand le régiment part en campagne. Des pleurs aussi quand il revient et qu'il faut compter les vides... Pourtant, il se produit un événement qui va quelque peu modifier le comportement turbulent du colonel Lasalle. Le 5 décembre 1803, il se marie avec Joséphine Jeanne d'AIGUILLON, jeune femme d'excellente famille et épouse divorcée de Léopold BERTHIER, frère du futur Maréchal. Peu après, la naissance d'un premier, puis d'un deuxième enfant, va contribuer à assagir l'Officier qui écrit à sa femme : « Mon Coeur est à toi, mon sang à l'EMPEREUR et ma VIE à l'HONNEUR. » Car, s'il renonce aux tripots et aux aventures faciles. LASALLE ne renonce pas à la Gloire, en 1805, il est nommé Généra! de Brigade et reçoit le commandement des 5ème et 7ème régiments de Hussards qui vont bientôt devenir célèbres sous le nom de Brigade Infernale ». Le 26 octobre 1806, à ZEHDENICK, LASALLE attaque avec moins d'un millier de cavaliers et taille en pièces plusieurs régiments de la cavalerie Prussienne en retraite, dont les redoutables Dragons de la Reine. Trois jours plus tard, avec les même effectifs et seulement deux canons, il obtient la capitulation de la place forte de STETTIN qui livre une garnison de six mille hommes avec 280 canons ! Ces exploits valent à LASALLE de recevoir sa troisième étoile de Divisionnaire, le 30 décembre 1806. Désormais, il commande une Division de cavalerie légère au sein du Corps de réserve de cavalerie de MURAT aux côtés duquel il s'illustre lors d'une charge mémorable à la bataille d'HEILSBERG, le 10 juin 1807. Les 5 et 6 juillet 1809, a lieu la bataille de WAGRAM. Le 6, vers 18 heures 30, alors que WAGRAM est pris et que les Autrichiens fléchissent partout, la Division LASALLE charge en direction du village de LEOPOLDAU ou résiste encore un bataillon de grenadiers Hongrois du Corps de KLENAU. Ceux-ci sont retranchés derrière un fossé large de deux mètres que les Cavaliers de LASALLE hésitent à franchir. Un feu de salve bien dirigé arrête la première charge des français. LASALLE qui ne veut pas reculer, regroupe ses hommes et pousse son cheval. En face, un fantassin ennemi l'ajuste posément entre les deux yeux, et tire. Le Général LASALLE s'écroule, foudroyé. Il avait trente-quatre ans, quatre ans de plus que le terme fatidique qu'il avait lui-même fixé à tout Hussard digne de ce Nom. La mort du Général LASALLE fut ressentie dans toute l'armée comme une perte considérable. En plus d'un Combattant Magnifique et d'un Homme de Haute Valeur Morale, c'est tout un Symbole de Bravoure et d'Elégante Audace digne de l'Ancienne Chevalerie qui disparaissait. La mort de LASALLE en entraîna une autre, plus inattendue. Celle de la belle Marquise de SALI, pour l'amour de laquelle il avait douze ans plus tôt bravé la garnison Autrichienne de VICENCE. Restée très attachée à son Souvenir, la Marquise, en apprenant sa mort, ne put surmonter son chagrin et s'empoisonna. VOILA une biographie incomplète du GRAND général Lasalles. Mes sources: -Wikipédia, plusieurs forums, biographie en ligne de militaire célèbre, plusieurs site sur le Premier Empire... Et donc la question: Pensez-vous que ce formidable général était il un homme d'une bravoure exeptionnelle ou d'une incroyable inconcience ?
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Pour la 5 je dirais George Washington peut-être.