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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Tout dépend de la doctrine qui va avec le concept de deux porte avion. Est ce qu'on les opère exclusivement de maniere séquentielle, l'un apres l'autre. Est ce qu'on envisage quand ils sont disponible de pouvoir les opérer en meme temps. Si oui les opère t on ensemble - dans le même groupe donc avec la même escorte - ou isolément - deux groupes sur deux théâtres -. Si oui on t il le même rôle ? Ou l'un peut prendre un nouveau rôle ... exemple déployer essentiellement des drones. -
Déjà 4 pods de 12 rocket de 68 ... trois bidon ... et un pod de désignation plus 4 missile air-air c'est déjà copieux. Ça fait quand même 48 rockets guidées ... et si le bidule marche bien contre des engins ne produisant pas d'évasive - c'est rare de que les missile "terrestre" produisent des manoeuvre circonstantiel, en général tout est programmé à l'avance - ... ca pourrait si on avait le temps envoyer au tapis 48 drones ... ca commence à faire beaucoup et surtout ca doit prendre pas mal de temps. Le pod optronique doit suivre la cible le temps du tir. La rocket même si elle est guidé n'est pas capable d'un immense dépointage, ni d'une immense portée donc il faut rester un minimum aligné dessus et assez proche mais pas trop pour tirer. La fenetre c'est probablement au mieux 1500-5000m. 1500m le temps que la rocket pilote vraiment vers la tache du moins suffisament pour rallier la trajectoire de colision, et aussi par précaution élémentaire pour pas passer dans le nuage de débris. 5000m max pas c'est la portée vendu par le fournisseur contre cible terrestre dans le cas le plus défavorable, contre un drone à 185km/h qui file droit pas très haut en altitude, on peut imaginer qu'on puisse dans de bonne condition arriver à cette portée. Le différentiel de vitesse risque de limiter le nombre d'engins engageable par "passe", meme en travaillant en équipe, pointeur<->tireur. Le/les tireurs doivent se replacer régulièrement pour tirer, même si le pointeur un peu éloigné arrive à enchaîner les illuminations.
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La Place de la France dans un monde de blocs
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.opex360.com/2022/08/07/quand-la-france-avait-de-lavance-dans-la-mise-au-point-dun-planeur-hypersonique-avec-le-projet-veras/ -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/international/article/2025/09/16/en-israel-le-debat-balbutiant-et-brulant-sur-les-accusations-de-genocide-a-gaza_6641331_3210.html En Israël, le débat balbutiant et brûlant sur les accusations de génocide à Gaza Pour l’immense majorité des Israéliens, la possibilité que leur armée ait commis « le crime des crimes » dans l’enclave côtière reste inenvisageable. Mais, aux yeux d’une poignée d’intellectuels, sidérés par l’ampleur du carnage et des destructions qui y ont été perpétrées, cette qualification est désormais fondée. L’Etat d’Israël est confronté à une des questions les plus difficiles de sa courte existence : faut-il parler de génocide à propos de la guerre à Gaza ? Cette interrogation sera tranchée un jour par la Cour internationale de justice (CIJ). Mais cette question n’est plus seulement l’apanage de défenseurs des droits humains palestiniens, d’ONG internationales comme Human Rights Watch ou de responsables politiques étrangers. Signe du trouble quant à l’ampleur des dégâts, vingt-trois mois après le début du conflit lancé par le Hamas, l’usage de ce terme est désormais défendu en Israël même par une poignée d’historiens et d’intellectuels, tandis que des pancartes « Arrêtez le génocide » apparaissent désormais ponctuellement lors de manifestations contre le gouvernement de Benyamin Nétanyahou. La question existe en Israël depuis fin 2023. Mais elle n’avait alors été évoquée que pour la réfuter. L’Afrique du Sud a en effet déposé, très tôt, le 29 décembre 2023, une requête contre l’Etat d’Israël l’accusant de ne pas respecter la convention sur la prévention et la répression du crime de génocide adoptée en 1948. Dans sa requête introductive, Pretoria avait insisté sur les déclarations « génocidaires », selon elle, proférées par une partie des dirigeants, et souligné la brutalité de la riposte israélienne après l’attaque terroriste du Hamas, à l’origine de plus de 1 200 morts et 250 otages. « Les actes et omissions dont l’Afrique du Sud fait grief à Israël revêtent un caractère génocidaire en ce qu’ils visent à entraîner la destruction d’une partie importante du groupe national, racial et ethnique des Palestiniens, celle qui vit dans la bande de Gaza », indiquait la requête. Pour les Israéliens, même les opposants au premier ministre, Benyamin Nétanyahou, la démarche était inaudible. D’abord parce que, dans son argumentation, l’Afrique du Sud avait aussi exprimé une critique plus politique, évoquant lors des premières auditions, en janvier 2024, « le contexte plus large de l’apartheid imposé par Israël depuis soixante-quinze ans, de l’occupation depuis cinquante-six ans et du siège depuis seize ans, imposés à la bande de Gaza ». Ensuite parce que l’initiative de Pretoria suivait le début de la guerre de quelques semaines, ce qui enlevait, aux yeux des Israéliens, toute légitimité à la démarche. Les premières qualifications de génocide étaient également apparues dès le lendemain du 7 octobre 2023 sur les réseaux sociaux. Notamment parmi des militants propalestiniens. L’historien israélien Raz Segal, enseignant-chercheur à Stockton (New Jersey), spécialiste des questions de génocide, a lui aussi écrit un texte, dès le 13 octobre 2023, sur le risque de génocide, en relevant à la fois les discours des dirigeants et le déluge de bombes sur la bande de Gaza. « L’attaque génocidaire d’Israël à Gaza est explicite, ouverte et décomplexée. Les auteurs de génocide n’expriment généralement pas leurs intentions aussi clairement, bien qu’il y ait des exceptions », relevait-il alors. Un raisonnement inacceptable pour l’immense majorité des Israéliens, y compris à gauche, alors que l’intention génocidaire du Hamas, à travers l’attaque du 7-Octobre, commençait à peine à être débattue. « Presque toutes les guerres entre Israël et les Palestiniens ont été qualifiées de génocides (…). Cela a rendu les Israéliens assez blasés face à la question du génocide », a soutenu l’ancien ministre des affaires étrangères, Shlomo Ben Ami (travailliste), dans un podcast du quotidien israélien Haaretz le 4 septembre. Discours de déshumanisation des Palestiniens D’autres voix ont commencé à s’exprimer début 2024 au sein du monde universitaire. Lee Mordechai figure parmi les premiers. L’historien, spécialiste de l’époque byzantine, est devenu un point de repère en Israël dans la documentation de la guerre. Lui-même raconte une prise de conscience progressive face au discours de déshumanisation des Palestiniens, y compris parmi ses collègues universitaires. « Octobre 2023 a été le mois le plus meurtrier de la guerre jusqu’à présent. En trois semaines environ, quelque 8 000 Palestiniens ont été tués. Le deuxième mois le plus meurtrier a été novembre 2023, avec quelque 7 000 Palestiniens tués. Cela n’a rien de comparable avec ce qui s’est passé par la suite », rappelle-t-il. « J’ai décidé que je voulais voir. Depuis lors, jusqu’à aujourd’hui, chaque jour, je vois des enfants morts. Chaque jour. A l’exception du deuxième cessez-le-feu » L’universitaire dit avoir été abasourdi par le décalage entre le récit médiatique, en Israël et dans le monde entier, et ce qu’il voyait à travers les vidéos et les bilans humains quotidiens – plus de 64 000 morts au total selon le ministère de la santé de Gaza, dont les estimations sont jugées fiables par les organisations internationales. Il continue depuis d’accumuler des archives de toute nature sur la guerre à Gaza – sans être spécialiste des génocides, insiste-t-il – avec l’aide d’une dizaine de volontaires. Cet archivage, permettra, « dans cinq, dix, vingt ans » d’étudier et de comprendre « ce qui a été fait en notre nom », espère-t-il. Lui a la conviction que l’intention génocidaire est démontrée. « Les actions d’Israël pendant la guerre correspondent à la définition du génocide telle que je la comprends », écrit-il dans la dernière version de son rapport. Mais il n’en fait pas la question la plus importante du moment : « Nous vivons dans une réalité où chaque jour des dizaines de personnes sont tuées. Je n’ai pas le luxe de pouvoir commencer ce débat maintenant. La première chose à faire est d’y mettre un terme. » D’autres figures, plus connues, ont pris position à leur tour, alimentant les questionnements, les débats et les répliques. L’historien Amos Goldberg a signé en avril 2024 un texte sur le site d’investigation Local Call, puis s’est exprimé dans des médias internationaux, dont Le Monde. « Les Israéliens et beaucoup d’autres pensent que tous les génocides doivent ressembler à la Shoah, mais c’est faux. Ce qui se passe à Gaza est un génocide, car Gaza n’existe plus », expliquait l’historien en octobre 2024. La position de l’historien israélo-américain Omer Bartov a aussi évolué au fil de l’aggravation de la situation à Gaza. « Ma conclusion inéluctable est qu’Israël commet un génocide contre le peuple palestinien, a écrit le chercheur dans le New York Times en juillet. Ayant grandi dans une famille sioniste, vécu la première moitié de ma vie en Israël, servi dans l’armée en tant que soldat et officier, et passé la majeure partie de ma carrière à faire des recherches et à écrire sur les crimes de guerre et l’Holocauste, cette conclusion a été douloureuse à accepter, et j’y ai résisté aussi longtemps que possible. Mais j’enseigne le génocide depuis un quart de siècle. Je sais reconnaître un génocide quand j’en vois un. » L’universitaire Shmuel Lederman, quant à lui, évoque un tournant personnel mi-2024 : « Nous assistons à la destruction de la société palestinienne à Gaza par Israël, ce qui correspond fondamentalement à un génocide. Nous pouvons bien sûr nous attarder sur la définition juridique mais, en fin de compte, le génocide consiste en la destruction violente d’un groupe ou en un préjudice si grave qu’il est irréparable. » Le chercheur interroge : « Quelle pourrait être l’intention d’Israël, si ce n’est de détruire les Palestiniens en tant que groupe ? Comment expliquer autrement tout ce qu’Israël a fait jusqu’à présent ? » Les discours des dirigeants ont été suivis d’actes, insiste-t-il, ce qui distingue la simple rhétorique de l’intention génocidaire. « A maintes reprises, Israël s’est entendu intimer : “Cessez d’affamer la population.” Au lieu de cela, il a décidé en mars d’imposer un blocus total sur Gaza », se désole-t-il. « J’ai le cœur brisé » Ces intellectuels expriment leur douleur. « J’ai le cœur brisé, mais je dois le dire : c’est un génocide », a ainsi dit l’écrivain israélien David Grossman début août, dans le journal italien La Repubblica. L’historien Daniel Blatman s’est exprimé sur le « déni » dans une tribune publiée fin juillet dans Haaretz. « Le génocide ne nécessite pas une directive unique et explicite ; il résulte plutôt d’un processus dans lequel la rhétorique, la politique, le discours politique, la déshumanisation collective et des schémas d’action répétés convergent vers des actes de destruction massive », a-t-il écrit. Deux associations israéliennes de défense des droits humains ont suivi le même cheminement. Dans son rapport intitulé « Notre génocide », publié fin juillet, l’ONG B’Tselem décrit l’enchaînement des faits qui témoigne, selon elle, d’une volonté de destruction du peuple palestinien. « L’examen de la politique menée par Israël et de ses conséquences dramatiques ainsi que les déclarations de hauts responsables politiques et militaires sur les objectifs de l’attaque conduisent à la conclusion sans équivoque qu’Israël mène une action coordonnée visant à détruire intentionnellement la société palestinienne dans la bande de Gaza ». L’organisation Physicians for Human Rights in Israël est parvenue à une conclusion similaire fin juillet : « Même si Israël met fin à son offensive aujourd’hui, les destructions qu’il a causées garantissent que des morts évitables – dues à la famine, aux infections et aux maladies chroniques – continueront pendant des années. Il ne s’agit pas de dommages collatéraux. Il ne s’agit pas d’un effet secondaire de la guerre. Il s’agit de la création systématique de conditions de vie impossibles.» Ces opinions apparaissent, toutefois, largement minoritaires dans la société israélienne. Deux ans après le 7-Octobre, la majeure partie des médias demeurent focalisés sur l’immense traumatisme subi ce jour-là, les otages retenus dans des conditions atroces à Gaza, les soldats mobilisés. Les accusations de génocide entraînent de vives répliques. Pour les étrangers revient l’accusation d’antisémitisme. Pour les Israéliens, l’incrimination de trahison ou de complicité avec le Hamas. « Les universitaires qui critiquent Israël mettent leur carrière en danger », constatait l’historienne Shira Klein dans un article de la revue académique Journal of Genocide Research, en janvier. Intention insuffisamment démontrée Sur le fond, des historiens, des juristes, des hommes politiques réfutent l’usage du terme « génocide ». A commencer par les membres du gouvernement. « Aujourd’hui, nous avons vu le monde à l’envers. Israël est accusé de génocide alors qu’il lutte contre le génocide », avait ainsi commenté le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, au moment des premières audiences de la Cour de justice internationale, le 11 janvier 2024. Plus tard, en août 2025, le chef du gouvernement a mis en avant à plusieurs reprises un autre argument : « Si nous avions voulu commettre un génocide, cela nous aurait pris exactement un après-midi.» La défense d’Israël se retrouve dans les mots de l’ancien président de la Cour suprême israélienne Aharon Barak, juge ad hoc désigné par son pays pour siéger au sein de la CIJ : « Pourquoi un Etat ayant l’intention de détruire un groupe fournirait-il des tentes, de l’aide humanitaire et des hôpitaux de campagne ? Pourquoi émettrait-il des avertissements et établirait-il des zones humanitaires ? », s’est-il interrogé en mai 2024, à rebours des mesures provisoires décidées par une majorité de juges de la CIJ afin de prévenir le risque de génocide. Le directeur de Yad Vashem, le mémorial israélien de la Shoah, Dani Dayan, saisi par des universitaires pour dénoncer l’impact de la guerre à Gaza, a aussi récusé la charge : « Les accusations selon lesquelles Israël commettrait un “génocide” sont infondées et constituent une dangereuse déformation du terme », a-t-il écrit le 27 juillet dans le Jerusalem Post. Des universitaires, parfois très critiques sur la conduite de la guerre, ont réfuté le fait qu’elle s’apparente à un génocide, au motif que l’intention n’est pas suffisamment démontrée. Le professeur de droit Yuval Shany, par exemple, ancien doyen de la faculté de l’Université hébraïque de Jérusalem, a écrit deux longues analyses pour le centre de recherche Israel Democracy Forum contestant la requête de l’Afrique du Sud et le rapport d’Amnesty International en décembre 2024. Il s’explique : « Je constate effectivement de nombreuses violations du droit international par Israël, notamment la destruction massive de biens, les restrictions injustifiées imposées à l’aide humanitaire à différentes périodes de la guerre, et probablement aussi une violation du principe de proportionnalité lorsque, afin de traquer des militants de bas niveau du Hamas, la force est utilisée d’une manière qui cause du tort à de nombreux civils. Mais je ne considère toujours pas cette campagne comme déconnectée de toute logique militaire. » Quatre chercheurs – Danny Orbach, Jonathan Boxman, Yagil Henkin et Jonathan Braverman – ont publié, début septembre, un rapport au nom d’un think tank, réputé proche de l’armée, le Begin-Sadat Center for Strategic Studies. « Notre focus sur une analyse factuelle ne diminue ni n’ignore en aucune façon les graves souffrances humaines à Gaza, et ne cherche pas non plus à minimiser la rhétorique ou les échecs politiques du gouvernement israélien », écrivent-ils. Leur argumentation se concentre sur la réfutation du travail de l’historien Lee Mordechai. « La faille centrale dans les recherches qui décrivent les accusations de crimes de guerre graves et délibérés commis par Israël à Gaza réside dans l’omission totale de toute discussion sur l’adversaire d’Israël dans le conflit, à savoir le Hamas », indiquent-ils en reprenant les affirmations de l’armée sur la population utilisée comme « bouclier humain ». Les quatre auteurs contestent l’ampleur de la crise alimentaire, décrite comme une « famine » par les experts du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire, un mécanisme indépendant développé par l’ONU et des ONG, basé à Rome. Ils défendent aussi l’intégrité de l’armée : « Bien que nous ayons identifié un nombre important de cas tragiques dans lesquels des civils innocents ont été tués, dont certains soulèvent des questions quant à la négligence, le manque de prudence, voire le mépris pour la vie humaine, il est clair que l’armée israélienne a pris de nombreuses mesures de protection afin de minimiser les “dommages collatéraux.” Certaines de ces précautions sont sans précédent dans l’histoire militaire mondiale, et ont coûté cher à l’armée israélienne, notamment en matière de perte d’avantages militaires tels que l’effet de surprise », indiquent-ils encore. Ce rapport a lui-même ensuite été critiqué. « Le rapport d’Orbach et de ses collègues sur Gaza, à l’instar des travaux des négationnistes avant eux, ne présente pas une véritable enquête, mais plutôt une série d’arguments sélectifs destinés à écarter de manière préventive toute possibilité de poursuites pénales contre Israël pour génocide », a pointé l’historien Daniel Blatman dans Haaretz. Le signe que le débat universitaire et intellectuel ne fait que commencer. -
Un quart de LMP, un pod, ici sur l'USV. Pour ceux qui comme moi ne voit pas les "twits". En gros un des quatre truc dessiné ici ... 12 rockets ou bien 4 Mistral ou bien 2 missile antinavire ... ou des grenade anti-soumarine, des leurres etc.
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https://www.twz.com/air/drone-killing-apkws-laser-guided-rockets-eyed-for-eurofighter-typhoon Ici avec un Litening https://www.twz.com/air/air-launched-laser-guided-rockets-shown-shooting-down-houthi-drones-for-first-time “In an air-to-air engagement, the laser designator in the LITENING pod could be used to ‘laze’ or designate the target. LITENING’s sensor turret can be slaved to the radar on the aircraft carrying it, or vice versa. So-called buddy lasing, where one aircraft designates the target for another, could also be useful in this case, especially given the speed differential between typical Houthi drones and F-16s. One jet could keep the target steadily lazed while the other makes its attack run.”
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Il vole à 500km/h le Tigre? Et pendant 6h? Pour donner un autre ordre d'idée concernant les turbo trainer un PC-21 c'est presque 700km/h 12 000 m de plafond ... et ca te coute 1000 à 2000 balles l'heure.
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Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
https://en.wikipedia.org/wiki/ROCKS_(missile) https://www.rafael.co.il/wp-content/uploads/2024/03/ROCKS-Brochure.pdf La portée dépend de la charge utile qui peut etre de classe 125, 250 ou 500kg. Avec une charge maxi de 500kg Rafael annonce une portée utile de 250km. Le ROCKS reprend la propulsion du Black Sparrow, ce qui lui permet d'etre tiré d'avion léger. F-16I ou F-35I Le Black Sparrow reproduit les trajectoires d'une menace type Scud-B, le ROCKS doit probablement faire plus ou moins pareil, soit une vitesse terminal autour de M4. https://www.rafael.co.il/wp-content/uploads/2023/12/silver-sparrow260515.pdf Le Silver Sparrow requiert un F-15 ... et il me semble que le Blue aussi. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Pendant ce temps là Pokorovske est évacué probablement pour y accumuler plus de militaire et de matériel. Le front Zelena Pole à l'est de Pokrovke est lentement évolutif, mais évolutif quand meme, à l'avantage des russe. D'ou le point au-dessus. Le risque associé à la perte de Pokrovske c'est la vulnérabilité de Zaporizhzhia, de de tout le sud-est de l'Oblast de Dniepro. Les russes aurait désormais pris Berezove par exemple. Dans le meme sens, Orikhiv est menacé lentement depuis l'ouest. Les russes sont rentré par l'extrémité ouest de la ligne de défense, Stepnohirsk et vont probablement essayer de débobiner la pelote vers l'est. Pokrovk. C'est désormais Myrnohrad la cible des assauts russes. Le saillant nord Kucheriv Yar tient toujours, et les combats se concentrent à la base notament pour Shakhove. Néammoins les diverses contre-attaques ukrainienne à la base du saillant ne semble pas vaines, et la manoeuvre pourrait réussir. Pour le moment c'est encore insuffisant, mais les ukrainiens ne semblent pas ménager leur efforts et pourrait bien continuer à pousser. S'ils poussent assez cela mettrait le saillant en facheuse posture, et annulerait probablement les assauts sur Mynohrad dans l'immédiat. A priori les russes ont pris la mesure des renforts et de l'activités ukrainienne dans le secteur et ont envoyé des renforts, mais peut etre est ce déjà un peu tard. Kostiantynivka. Les russes sont très proche de la ville à l'est. Ils intensifient les bombardement. On peut imaginer qu'ils vont tenter quelques choses avant la mauvaise saison pour essayer de prendre pied dans la ville, ou il sera plus facile de combattre cet hiver, qu'en raze campagne. Foret de Serebrianka. Visiblement les russes ont réussi un gros coup dans la foret, en prenant le controle de la majeure partie de celle ci, alors que les positions ukrainienne résistaient depuis des mois. Cela devrait permettre d'engager un assaut sur Yampil, et en cas de réussite de prendre Siversk à rebours. Kupiansk. La manoeuvre d'encerclement par l'ouest avance, les russes progressent dans les faubourg nord et un peu à l'ouest. Ce qui est sur c'est que les russes ont pris sérieusement pied dans la ville. Nord de Kupiansk. Des unités russes auraient franchies la frontiere au sur de Milove. Ca représenterait un front de 10km entre les deux déjà en place, celui de Milove et celui de Dvorichanske. -
C'est le principe de la monnaie déflationniste, qui se veut être une sorte d'or numérique - à priori la quantité d'or disponible sur terre est capée comme le nombre de bitcoins -. Ca à pluisieurs conséquence mais pas forcément celle qu'on aimerait - que ce devienne une monnaie facilitant les échanges notament en réduisant les couts des paiements internationaux -. Ca couvre contre l’inflation : normalement la monnaie déflationiste voit sa valeur augmenter meme en cas d'inflation en euros ou dollar, puisque qu'elle est de plus en plus utilisé et donc de moins en moins disponible. Réserve de valeur : pour la meme raison, la rareté, si l'usage se poursuit la valeur ne devrait pas baisser ou pas plus que ca. Augmentation du prix à terme : la rareté, si l'usage se développe induit naturellement un forte demande est une offre limité, donc à long terme la monnaie devrait nettement s'apprécier. Évidement cela ne fonctionne que si la demande est soutenu, en gros seulement la monnaie en question est une vraie monnaie d'usage. Pour le moment c'est le cas pour le bitcoin, les entreprises s'en servent pour des échanges internationaux bon marché par exemple. Les paiement internationaux par voie bancaire - et souvent change - sont couteux voir très couteux, et parfois long. Si cette usage donc la demande venait à ce tarir, comme n'importe quel actif, le bitcoin pourrait perdre sa valeur voir toute valeur. En gros sa valeur n'est lié qu'aux services qu'il rend.
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2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Je recite l'article de Wikipedia "anglais" qui est très copieux sur le sujet avec quantité de source https://en.wikipedia.org/wiki/Gaza_genocide Et la longue dispute concernant la page Wikipedia "genocide" https://www.haaretz.com/israel-news/2024-11-07/ty-article/.premium/wikipedia-editors-add-article-titled-gaza-genocide-to-list-of-genocides-page/00000193-0749-d3a2-a3d7-4f491b760000 Wikipedia Editors Add Article Titled 'Gaza Genocide' to 'List of Genocides' Page The decision marks the end of a long dispute among editors and highlights how Wikipedia's English-language site has become yet another battleground for arguments over Israel's war in Gaza The popular open-source information website Wikipedia has officially added the article titled "Gaza genocide" to its "List of genocides" article, effectively putting an end to a months-long disagreement among site editors over whether it should be included, according to a recent report in the Jewish Journal. According to the page titled "List of Genocides," all events which have been classified as genocide by "significant scholarship" are included on the list, but the article also acknowledges that because there are varying definitions of the word events that are subject to "ongoing scholarly debate" also qualify. New research documents how Wikipedia distorts the Holocaust Human rights groups: Israel's Channel 14 has repeatedly called for genocide in Gaza Israel is unleashing an apocalypse in northern Gaza Because the list is presented in reverse chronological order, "Gaza genocide" now appears as the first entry. "Israel has been accused by experts, governments, UN agencies and non-governmental organizations of carrying out a genocide against the Palestinian population during its invasion and bombing of Gaza during the ongoing Israel–Hamas war," the article reads. "By March 2024, after five months of attacks, Israeli military action had resulted in the deaths of over 31,500 Palestinians – 1 out of every 75 people in Gaza – averaging 195 killings a day and nearly 40,000 confirmed deaths by July. Most of the victims are civilians, including over 25,000 women and children and 108 journalists. Thousands more dead bodies are under the rubble of destroyed buildings." The debate over whether to include Gaza in the article began back in July with what Wikipedia refers to as a Request for Comment, a formal process initiated by an editor in which input is gathered from the broader Wikipedia community with the goal of resolving a dispute. This process allows editors to state their position and offer arguments to back it up on a central noticeboard where others can also weigh in. ICJ President Joan Donoghue speaks at the International Court of Justice prior to the verdict announcement in the genocide case against Israel, brought by South Africa, in The Hague on January 26, 2024.Credit: REMKO DE WAAL - AFP According to July's RFC, those in favor of including Gaza on the genocide list argued that it made logical sense given an earlier decision to change the entry "Allegations of genocide in the 2023 Israeli attack on Gaza" to "Gaza genocide." Others added that it qualified under the definition of "classified under significant scholarship," arguing that the label of genocide for the war in Gaza was much less controversial than some other events already on the list, such as Darfur and Rohingya. Those who opposed Gaza's inclusion contended that the label was too widely disputed, especially before the International Court of Justice had ruled on the matter. Ultimately, British Wikipedian Stuart Marshall ruled in favor of including Gaza on the list in September. "Based on the strength of the arguments … and it's not close … I discarded the argument that scholars haven't reached a conclusion on whether the Gaza genocide is really taking place," Marshall wrote. "The matter remains contested, but there's a metric truckload of scholarly sources linked in this discussion that show a clear predominance of academics who say that it is." "We follow the scholars" he concluded, before closing the RFC to comments. Marshall's ruling was generally accepted by his Wikipedia colleagues, but one editor, speaking on the condition of anonymity, told the Jewish Journal that "When Marshall says 'we follow the scholars,' he's saying 'we follow a subset of sources guaranteed to find Israel guilty of everything, including the Lindbergh kidnapping'… Anti-Israel bias is baked into the Wikipedia power structure, as he could have easily used his discretion not to have Wikipedia accuse Israel of genocide in 'wikivoice (term for the specific, neutral tone used in the site's articles).'" The ruling is part of a larger debate taking place across Wikipedia about what qualifies as a reputable source, particularly when it relates to the highly contentious Israel-Palestine conflict. In June, editors voted to declare the Anti-Defamation League "generally unreliable" on the subject, adding it to a list of banned and partially banned sources. An overwhelming majority of editors involved in the vote also voted to deem the ADL unreliable on the topic of antisemitism, its core focus. A formal declaration on that count is forthcoming. -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Un "boycott" ? Rhoooo putain on va être classé terroriste par les USA ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
L'expérience israélienne est intéressante à ce sujet. Ils tirent beaucoup et arrivent malgré tout à ne pas trop retomber sur des localités. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
La baltringue - le monsieur est lituanien ca explique surement qu'ils psychotent gentiment en mode faucon - n'as pas du souvent naviguer en baltique ... les GNSS y sont tous brouillé presque tout le temps, par les radar de surveillance du coin ... Sinon il y a une carte temps réel ici qui montre les zones ou il y a des interférences perturbant les GNSS ... ca permet d'éviter de raconter n'importe quoi. https://www.flightradar24.com/data/gps-jamming https://gpsjam.org/ --- Accessoirement le brouillage GNSS est avant tout à vertu défensive, et seulement à courte portée. En gros c'est de la contre mobilité locale, un peu comme un champ de mine, ca marche essentiellement là ou tu as posé l'antenne, en général chez toi, pour empêcher l'ennemi de se servir des GNSS pour y guider de l'armement ou des engins. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Ou est ce que Syrsky n'en fait pas des tonnes... dans les principaux domaines où il concentre ses efforts, il peut dominer d'un facteur quatre à six. A priori les russes concentre leurs efforts dans le domaine des drones. Certes concernant les raids longue distance avec des Shahed-like il semble qu'il y ait un vrai différentiel de volume, mais pour les petits drone au contact, ca ne semble pas le cas. Les deux seules zones ou les russes ont réussi à prendre plus ou moins l'avantage dronique - il y concentre nettement plus de FPV et donc propose une forme d'interdiction d'interdiction - sur les ukrainien c'est Pokrovsk et le sud de Kostiantynivka. Pour l'infanterie et les blindé les russes en ont probablement plus ... mais de la à en compter 4 fois plus je suis dubitatif. Certes ils semblent arriver à faire tourner les effectifs ... mais les font ils tourner à ce point que les mecs passeraient seulement 1 quart du temps au front ?!