En fait, on est déjà à poil...
Peu d'unités, peu de munitions -> on est dans l'incapacité de mener des combats de haute intensité (qui supposent attrition et forte consommation de munitions).
Mais les beaux esprits répondront que ce n'est pas grave, la situation actuelle ne justifie pas d'efforts particuliers, et puis, on a des alliés ! Encore faudra-t-il qu'ils soient d'accord pour mourir pour nous ; nous, nous avions refusé de le faire pour nos alliés tchécoslovaques en 1938.
Veuillez pardonner ce petit moment de déprime ...