Je pense que l'erreur est de prendre le conflit libyen comme exemple, le plus pertinent serait plutôt l’Afghanistan ou toutes autres conflits qui impliquent des troupes occidentales. Dans ces zones, on parle beaucoup de la persistance sur le champ de bataille avec la possibilité d'avoir plusieurs vecteurs qui peuvent délivrés une gamme complète de solution qui vas de la frappe simple et ciblé au nettoyage de zone. Quand aux base, bien qu'elles concentrent un nombre important de vecteur restent difficile à les atteindre par la distance requise et aussi par les moyens déployés pour l'interception. Elles permettent aussi de rationaliser les couts par cette même concentration car quand on disperse les moyens, la logistique doit suivre au plus juste et rapidement. Les drones et missiles sont les compléments d'une force aérienne, de plus en plus les militaires tendent à associer les avions et les drones. Les drones servent en ce cas comme d'une extension de l'avion, lui permettant de rester en sécurité et de pouvoir répondre à des imprévues. Enfin, pour les sorties des appareils, il faut prendre en compte qu'un rafale transporte plus d'armes qu'un B17 et qu'il peut effectuer plusieurs missions en un seul vol. Ce qui veut dire qu'au lieu de faire 5 sorties pour 5 cibles, un rafale fera une sortie mais attaquant 5 cibles.