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Apparemment les L-159 seront donnés ou vendus à la Bolivie.
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L'épopée orientale des almogavres
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Histoire militaire
Premiers affrontements En 1302, la situation des territoires byzantins était délicate. Les turcs s’étaient emparés de territoires au sud de la mer de Marmara. Le danger arrivait jusque devant les murs de Constantinople. Ceci était du aux incompétences durant plusieurs années de l’armée impériale, bien que composée de 12.000 cavaliers et 100.000 fantassins sous les ordres de Miguel IX. Malgré cette situation, Roger de Flor partit en direction de l’Anatolie à la tête de la Compagnie, formée de 1.500 cavaliers et 4.000 fantassins, plus un certain nombre de grecs byzantins dirigés par le général Marulas et 16.000 alains sous les ordres de Girgon. Mais tous n’étaient pas soldats, car ils étaient accompagnés par femmes et enfants. Une semaine après être partie à bord de la flotte, la Compagnie traversa le Bosphore et arriva au cap Artaqui, à plus de 100 milles de Constantinople. Bataille du cap Artaqui La situation de ce cap était stratégique, et sa perte pourrait entrainer de graves conséquences pour le commerce impérial. La ville qui donnait son nom au cap était protégée par un mur d’enceinte d’une demi-mille. Les turcs étaient arrivés plusieurs fois jusqu’au mur. Les habitants de la zone étaient constamment harcelés par l’armée turque qui était dans les alentours. La garnison byzantine était incapable de contrer ces attaques et était obligée de se réfugier à l’intérieur des murs. La capitulation de la ville n’était qu’une question de temps. Roger de Flor débarqua au mois de novembre. Il fut informé que les turcs avaient attaqué les murailles ce jour-même, il en déduit que les hommes de l’émir Khaharasi étaient encore dans les environs. Il envoya des éclaireurs qui repérèrent les turcs à 6 milles de distance. Les turcs avaient avec eux leurs femmes et enfants, ce qui les rendaient plus vulnérables. Roger, craignant qu’ils soient repérés et que les turcs prennent la fuite. Il forma donc son armée et ordonna d’épargner uniquement les enfants de moins de 10 ans. Ils avancèrent vers le campement turc avec la cavalerie en avant-garde sous Roger et l’infanterie derrière formée en un seul escadron sous Corberan d’Alet. A l’aube l’attaque débuta, prenant totalement par surprise les turcs qui étaient encore en train de dormir. N’ayant pas d’ennemis aux alentours et sous-estimant les troupes impériales, les turcs n’avaient pas de sentinelles pour surveiller leurs défenses. Roger força la faible palissade qui protégeait les tentes suivit de près par ses fantassins. Les cavaliers encerclèrent tout le périmètre pour que personne ne s’échappe. Les turcs furent massacrés, aucun ne s’enfuit à cause de leurs femmes et enfants. La cavalerie termina le travail. Les turcs perdirent 13.000 morts(10.000 fantassins et 3.000 cavaliers), car tous les hommes de plus de 10 ans furent tués ; les autres et les femmes furent capturés. Ceci avait pour but d’inspirer la crainte et la terreur à leurs ennemis. Le butin fut considérable. Les prisonniers furent envoyés à Constantinople avec une partie du butin. A peine 8 jours après leur départ, les almogavres avaient vaincu l’armée turque, chose que l’armée byzantine, incroyablement plus nombreuse n’avait pas réussit. Après avoir souffert leur première défaite aux mains des almogavres, les turcs se rendirent compte que les récents arrivés n’étaient pas comme les pusillanimes troupes grecques, qui étaient si faciles de vaincre. Ils se retirèrent donc pour revenir plus tard quand le danger serait passé. Mais la victoire du cap Artaqui n’était que le début des victoires de la Compagnie. Les survivants turcs se replièrent, mais ne furent pas poursuivit par les almogavres, qui craignaient tomber dans des embuscades en territoire inconnu. La suite des opérations fut ajournée au printemps suivant. Ils hivernèrent dans la ville de Cicico qui était proche du prochain théâtre d’opérations. Fernando de Ahones partit avec la flotte à Quios qui avait un port sûr pour passer l’hiver. Fernando Jimenez de Arenos quitta l’expédition à cause des excès de la troupe contre les civils. Il partit servir le duc français Guy II de la Roche à Athènes. -
Armées Européennes de l'Ancien Bloc de l'Est
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La république tchèque va acheter 4 avion de transport espagnols C-295M pour remplacer ses Antonov An-26. La livraison ce fera en deux étapes: la première, un C-295M en échange des L-159 tchèques, qui seront apparemment pour la Bolivie. Et ensuite l'achat de 3 autres C-295M plus les accessoires et l'entrainement des équipages pour une somme de 130 millions d'euros. Le contrat comprend des compensations financière pour aider au développement de l'industrie militaire tchèque. -
L'épopée orientale des almogavres
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Histoire militaire
L’expédition La stabilisation politique en Europe suite à la paix de Caltabellota (1302) entre le roi Jaime II d’Aragon, Frédérique II de Sicile et les Anjou, fit que les troupes almogavres se virent confinées à une inactivité forcée. Le gouverneur sicilien était en plein dilemme : leur concéder des terres ou leur permettre de continuer avec leurs activités militaires en conquérant de nouveaux territoires loin de la Sicile. L’oisiveté pouvait causer de graves problèmes pour des troupes qui étaient habituées à vivre continuellement en guerre et des butins qu’ils en obtenaient. Contrairement aux autres troupes de l’armée aragonaise, les almogavres n’étaient pas prêts à vivre des cultures et de l’élevage, après avoir vécu longtemps par la force des armes dans les zones frontalières de la Péninsule Ibérique. A leur caractère, s’ajoutait leur nombre élevé, plus de 10.000, ce qui ajoutait un motif de plus à l’instabilité de l’île et une importante charge économique. La très grande cohésion faisait qu’ils ne maintenaient pas seulement des liens militaires entre eux, mais aussi une profonde amitié ce qui, avec leurs qualités guerrières, en faisait une des armées européennes la plus efficace du moment. Le capitaine almogavre Roger de Flor craignait que ses hommes, quand ils seraient inactifs et cesseraient de recevoir l’argent royal, organisent des razzias et commencent le pillage de villes et villages. La nécessité les obligerait à chercher de quoi survivre, et ils savaient très bien comment l’obtenir par les armes. Une autre raison qui incitait Roger de Flor à quitter la Sicile, était qu’il craignait d’être livré à l’Eglise pour avoir appartenu à l’ordre du Temple. L’Orient pourrait être une bonne destination pour les almogavres, des troupes toujours prêtes à combattre. Quand Andronique II monta sur le trône byzantin, il trouva une situation militaire très complexe : il devait faire face à de graves dissensions internes, dont les principales conséquences furent la création du despotat d’Epire et l’indépendance de la région de Trébizonde. Tandis qu’à l’extérieur, l’armée impériale devait affronter l’invasion de turcs, latins et vénitiens. Il fallait aussi ajouter la perte de certains territoires des Balkans situés entre la Serbie et la Bulgarie qui avait obtenu leur indépendance. Départ L’empereur byzantin n’avait pas beaucoup confiance dans les capacités militaires de l’armée impériale ainsi que les mercenaires à ses services. Pour ces raisons, il chercha des renforts à l’extérieur, et quoi de mieux que les soldats qui avaient conquis la Sicile pour la Couronne d’Aragon. Il envoya des émissaires au près de Roger de Flor. Sa présence était nécessaire pour la défense de l’empire face à l’avance imparable des turcs. Les conditions étaient : le titre de Mégaduc pour Roger de Flor, la main d’une princesse impériale, 4 onces d’or par mois pour les cavaliers et 1 pour les fantassins, et la paye de 4 mois en avance. Les ambassadeurs almogavres revinrent de Constantinople avec les insignes impériales et Roger devint à 36 ans le 4ème homme plus puissant de l’empire. Jaime II d’Aragon et Frédérique II de Sicile approuvèrent l’aventure orientale, qui était un moyen simple de mettre fin à leur inactivité et permettrait d’obtenir des bénéfices économiques et politiques. Le roi sicilien prêta 10 de ses galères pour le transport et donna une petite somme d’argent à chacun des soldats de l’expédition. Il y avait dans celle-ci des hommes de renom, comme Berenguer de Entenza, Fernando Jimenez de Arenos, Fernando de Ahones, Corberan de Alet, martin de Logran, Pedro de Eros y Bernardo de Rocafort en plus des nombreux soldats vétérans de la guerre de Sicile. En automne 1302, la Grande Compagnie, composée de 4.000 almogavres, 1.500 cavaliers et 1.000 marins, auxquels il fallait ajouter leurs femmes et enfants, partait à bord de 36 navires. A leur arrivée à Constantinople, ils furent reçus par l’empereur et son fils Miguel IX. La Compagnie fut reçue avec de grand honneurs et elle défila dans les rues en honneur d’Andonique. Le byzantins s’étonnèrent quand ils virent passer ces soldats barbares, aux habits plus dignes de bergers que de soldats d’élite. Mais leur discipline était bien au dessus du reste des troupes impériales. Les génois, principaux adversaires du commerce catalano-aragonais, furent les premiers à craindre le danger de l’arrivée des almogavres pour l’empire. La Compagnie s’installa près du palais de Blanquernas dans des casernes. Les troupes almogavres étant inactives à l’intérieur d’une ville, elles commirent bientôt des excès contre la population civile. Andronique précipita les actes officiels, et ordonna de célébrer rapidement les noces entre Roger de Flor er Maria de Bulgarie. Cette même nuit, deux génois se moquèrent de l’aspect d’un almogavre solitaire dans les rues de la ville. Celui-ci dégaina son épée et le combat se généralisa. Les génois se présentèrent en formation devant la caserne almogavre et avec le drapeau de leur ville. Sans l’intervention de ses officiers, l’infanterie almogavre sortit rapidement de sa caserne, et attaque tous les secteurs alentours ; la cavalerie catalano-aragonaise se déploya ensuite, permettant au reste des troupes de se former. A partir de ce moment-là, les almogavres prirent le contrôle de la situation et commencèrent à exterminer tous les génois qu’ils rencontrèrent sur leur chemin. Ceux-ci résistèrent jusqu’à ce que leur capitaine, Rosso de Finale fut abattu. L’émissaire impérial envoyé pour calmer les esprits fut assassiné, et seul Roger de Flor sur la demande de l’empereur, empêcha que la Compagnie traverse de l’autre coté de la Corne d’Or pour piller le quartier génois de Pera. Les combats se soldèrent par la mort de 3.000 génois. L’empereur était conscient des problèmes que causerait le fait de garder ces troupes inactives, dont les qualités guerrières avaient été largement prouvées. Ces raisons conduisirent l’empereur à faire entrer en action le plus rapidement la Compagnie. Avant de partir, Roger de Flor avait obtenu le titre d’amiral de l’empire pour Fernando de Ahones. Les génois ne pourraient donc rien faire contre ses troupes, et il pourrait les approvisionner où qu’elles soient. -
Je vais ici vous résumer cette incroyable campagne menée par une petite armée almogavre en orient. Mais vous pouvez intervenir si vous le voulez. Il y a un certain nombre de passages qui sont traduit d'une autre langue, il est possible qu'il y ait des petites erreurs. Origines Ces soldats catalano-aragonais, trouvent leur origine dans la conquête par Jaime I de Mallorque, Murcie et Valence. Ces régions restèrent quasiment désertiques et ne disposaient d’aucune autorité politique ou militaire. Des groupes de personnes réalisaient des opérations d’harcèlement dans les territoires musulmans voisins, et défendaient leur territoire contre les incursions ennemies. Du fait de ce danger, des hommes cherchèrent un autre moyen de gagner leur vie, et le trouvèrent dans les constantes escarmouches avec les musulmans. Quand le territoire de la couronne d’Aragon fut pacifié, les almogavres se retrouvèrent sans ennemis, et se joignirent à l’armée aragonaise comme mercenaires. Les almogavres péninsulaires virent leur nombre se réduire au fil du temps, du fait de l’avance des royaumes chrétiens en territoire musulman et disparurent avec la prise de Grenade, car il n’y avait plus de territoire musulman à piller. Les almogavres attaquaient rapidement, pénétrant en territoire ennemi un jour ou deux. Ils volaient et pillaient tout ce qui était sur leur passage, et partaient avant que leur adversaire aient eut le temps de réagir. Ce type d’opérations étaient connues sous le nom d’algaras, de ce fait les musulmans appelaient ces hommes almogavres, qui veux dire littéralement, soldats qui va en algara. Leurs qualités furent très appréciées des royaumes chrétiens qui les utilisaient au début comme groupes d’explorateur dans l’armée aragonaise. Mais à partir de la moitié du XIIIe siècle, l’augmentation de leur nombre, et leur groupement en unités indépendantes en fit des unités d’élite. Equipement Leur équipement était assez rudimentaire du fait des caractéristiques dans lesquelles ils combattaient. Une chemise courte tant en été qu’en hiver et des souliers en cuir. Ils couvraient leur corps avec des peaux ce qui leur donnaient un aspect terrifiant. Ils portaient un casque, et leur armes offensives se limitaient à une épée courte, une lance et deux ou trois projectiles (en général des dards). L’équipement défensif était assez limité, utilisant dans certaines occasions des boucliers, mais jamais d’armures. Leur style de combat fit qu’ils portent uniquement le strict nécessaire, et les protections engendraient un surpoids inutile. De la pointe de leurs lances vient leur cris de guerre desperta ferro (réveilles toi fer) que prononçaient les almogavres avant d’entrer en combat. Ils disposaient dans le dos d’une besace en cuir avec des provisions pour les combats. Ils pouvaient vivre plusieurs jours en s’alimentant d’herbes sauvages. Ils emmenaient également une pierre à aiguiser pour affûter leur lame d’épée. A leur rudimentaire équipement, s’ajoutait leur couleur de peau foncée et des cheveux longs. A cause de leur vêtements et leur physique, ils apparentaient à première vue être des gens misérables et peu terrifiants. Leur aspect était totalement différent de celui des chevaliers de l’époque qui combattaient richement vêtus et portaient de luxueuses armures. Hiérarchie Il existait peu de grades militaires. Les fantassins almogavres avaient la possibilité d’obtenir le grade d’almocaden, passant de celui-ci à celui d’almogavre à cheval et pour finir, au grade d’adalid. Seulement quand le nombre de soldats était trop élevé, il était nécessaire de choisir un général qui dirige toutes les troupes. Il était choisit par un conseil qui avait droit de veto. Pour qu’un almogavre à cheval soit nommé adalid, il devait être choisit par 12 adalids, qui juraient que le désigné possédait toutes les conditions requises, la peine de mort étant appliquée pour le mensonge. L’élection des almocadens était identique, sauf que c’était avec 12 almocadens. Les almogavres ne vivaient dans aucun château, ni sous la coupe d’aucune autorité. Ils étaient indépendants, avaient leur propre trésorerie, chancellerie, intendance etc… Tactiques Les almogavres furent une révolution à leur époque. Dans toute l’Europe, la force de choc était la cavalerie lourde, qui combattait entièrement en armure. Les almogavres était en fait de l’infanterie légère d’intervention rapide. Ils effectuaient leurs incursions contre l’ennemi à pied, ce qui leur proportionnait une grande mobilité, bien supérieure à la cavalerie lourde surtout en terrain accidenté. Ils disposaient de peu de cavaliers, en comparaison avec les fantassins. La réputation de ces féroces guerriers provient surtout de leur particulière technique de combat, crée principalement pour contrer la mobilité des cavaliers sarrasins : il se mettaient à distance de tir, et lançaient contre eux leur javelot et dards avec une telle puissance qu’ils traversaient leurs cuirasses. Le principal problème était quand ils avaient en face d’eux de la cavalerie lourde ; dans ce cas là, leur cible était principalement les chevaux, qu’ils tentaient d’abattre avec leurs projectiles. Une fois les chevaliers au sol, ils étaient des cibles faciles. Ils excellaient dans les combats au corps à corps, où ils combattaient avec une férocité hors du commun. Toutes ces qualités firent que les almogavres devinrent les troupes d’élite de la couronne d’Aragon, et participèrent dans tous les théâtres d’opération de la couronne au cours de son expansion dans la Méditerranée.
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même dans sa version VCI? Car l'Espagne dispose déjà de 84 Centauros 105mm.
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mais lequel est un char léger au fait?
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L'Espagne va inviter une demi-douzaine d'entreprises afin d'évaluer leur véhicules pour remplacer les vénérables BMR et VEC. Ce sont les suivantes: -General Dynamics:Pyranha -Nextel: VBCI -Patria: AMV 8x8 -Iveco/oto melara: Centauro -Reithmetal: Boxer -Thales: Bushmaster
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juste.
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juste.
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oui
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juste! ;)
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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Bill dans Actualités marines
La frégate espagnole Numancia a évité une attaque contre un cargo panaméen. Ayant reçu un appel de détresse du cargo, la frégate fit route dans sa direction, les pirates prenant la fuite. Poursuivis grace au systèmes infrarouges, ils furent rattrapés et jetèrent tout leur matériel par dessus bord, dont les échelles d'abordage. Un commando fut envoyé pour aborder le navire pirate. http://www.mde.es/NotasPrensa?id_nodo=4072&accion=1&id_nota=1997 -
Les medias britanniques et la France
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Service de semaine dans Divers
ou voyez-vous une vidéo? Je ne vois que le texte. -
Accidentologie de toutes les voilures tournantes militaires du Monde
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Je savais même pas qu'ils en avaient déployé... :lol: -
La gamme des hélicoptères russes, Mil Mi et Kamov
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
J'ai pas trop compris pourquoi. Pourrais-tu m'expliquer? -
Je vois...
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Pourquoi ça?
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Réalisme des films de guerre
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
J'ai vu le film windtalkers il y a peu. Eh bien... C'est du john Woo quoi. =D Nan sérieux en enlevant les canons naval et l'aviation, comptez le nombre de japonais tués par des personnages autres que les principaux, vous verrez, c'est marrant. :lol: -
@ Pascal Croiseur cuirasser Cristobal Colon
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Gadgets dans l'histoire militaire
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Grognard dans Histoire militaire
Ca consistait en quoi? -
Tu ne peux pas refuser de faire ton service contre une taxe?
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Darfour : 26 000 hommes
Gran Capitan a répondu à un(e) sujet de Tiger dans Politique etrangère / Relations internationales
pourquoi le tchéquie n'est pas membre? Et on dirait que Monaco non plus.