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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. «Le tribunal militaire de Rabat a condamné un membre des Forces Armées Royales à trois ans de prison ferme, pour avoir divulgué des secrets professionnels, porté atteinte à la réputation de ses supérieurs et non-respect du règlement militaire», rapporte le site bladi net. Pourquoi ce soldat a-t-il écopé d'une peine aussi lourde? Une trahison? Un meurtre? Son crime: avoir publié sur Facebook un montage photo où son supérieur a le visage collé sur la poitrine de la célèbre chanteuse Shakira. Jamais il n'aurait imaginé de telles suites après avoir publié ce montage sur son profil Facebook. L'armée royale n'a pas tardé à ouvrir une enquête pour déterminer les responsables de cet affront. Attaquer l'armée royale, c'est s'en prendre à l'image sacrée du roi! Par ailleurs, ce militaire, arrêté après une enquête d'une section spécialisée dans le crime électronique, dénonçait également les abus de pouvoir commis par des officiers d'unités mobiles. Au montage photo, s'ajoute donc une critique ouverte de l'institution militaire. «Le soldat a été arrêté par la gendarmerie royale et déféré devant le procureur du Roi auprès du tribunal militaire de Rabat», précise le site marocain. A l'heure d'Internet et de la communication immédiate, l'information circule vite et n'échappe pas à la vigilance des gardiens du roi. Au Maroc, la police royale veille sur Facebook. Un jeune homme de 18 ans en a également fait l'amère expérience. Comme le raconte Global Voices, Walid Bahomane a été interpellé et a comparu devant un tribunal de Rabat le 7 février pour avoir publié «des photos et des vidéos satiriques du roi Mohammed VI» et pour avoir porté «atteinte aux valeurs sacrées du Maroc». http://www.slateafrique.com/82735/maroc-facebook-armee-shakira-roi Critiquer l'institution militaire et ses supérieurs est sans doute plus à l'origine de sa condamnation que le montage photo avec Shakira. =)
  2. alexandreVBCI

    Achat suisse

    Saab devait connaître un truc bien repoussant sur ses pratiques sexuelles... ça expliquerait tout ! :lol:
  3. Les Israéliens débattent surtout de la nécessité d'informer l'allié américain avant de frapper les sites nucléaires. La guerre que se livrent en secret Israël et l'Iran a connu lundi un nouvel épisode. Benyamin Nétanyahou a accusé Téhéran d'avoir manigancé deux attentats visant des voitures des ambassades de l'État hébreu à New Delhi et en Géorgie, qui ont fait un blessé. «L'Iran, qui est derrière ces attaques, est le plus grand propagateur du terrorisme dans le monde», a lancé le premier ministre. Ces déclarations illustrent l'extrême tension actuelle entre les deux pays. La probabilité de frappes militaires contre l' Iran n'est plus mise en doute par grand monde en Israël . L'inconnue porte plutôt sur le calendrier, la grande question étant de savoir si l'État hébreu peut se permettre d'attaquer seul les installations nucléaires iraniennes, sans le feu vert au moins tacite de Barack Obama. En attendant, les deux pays fourbissent leurs armes. Téhéran affirme que le Mossad , l'agence de renseignements israélienne, serait à l'origine de l'assassinat en deux ans, sur le territoire iranien, de cinq savants atomistes et d'un général responsable du programme de développement de missiles à longue portée. L'État hébreu est également montré du doigt pour une campagne de sabotage informatique, qui aurait permis de mettre hors service des centaines de centrifugeuses utilisées pour enrichir l'uranium. Selon des experts étrangers, le Mossad, en attaquant sur plusieurs fronts, aurait permis de retarder de plusieurs années le programme nucléaire iranien. Éviter une «nouvelle Shoah» Mais tous les responsables israéliens admettent qu'il ne s'agit que d'une tactique de «retardement». Autrement dit, malgré tous les «incidents» et des sanctions internationales de plus en plus dures, les Iraniens devraient produire leurs premières bombes atomiques d'ici à un an environ. Selon les médias, Benyamin Nétanyahou et Ehoud Barak, son ministre de la Défense, estiment, dans ces conditions, qu'Israël doit attaquer pour éviter une «nouvelle Shoah». suite : http://www.lefigaro.fr/international/2012/02/14/01003-20120214ARTFIG00303-israel-l-option-d-une-attaque-contre-l-iran-se-precise.php
  4. EC130 T2 : déjà 105 commandes. L'EC130, un appareil au cockpit panoramique transportant jusqu'à sept passagers, est utilisé par les compagnies de tourisme aérien comme par les sociétés de services ou les secours médicaux. Il a été vendu à plus de 400 exemplaires. La nouvelle version, dont la livraison doit commencer cette année, a déjà totalisé 105 commandes fermes ou options de sept compagnies différentes - cinq américaines, une scandinave et une suisse - a annoncé Eurocopter, sans dévoiler la valeur de ces commandes. Equipé d'une nouvelle turbine Arriel 2D de Turbomeca (groupe Safran), l'EC130 T2 promet plus de puissance et une vitesse supérieure de 10 noeuds pour une consommation moindre que celle des EC130 actuellement en service. "Le nombre élevé de commandes démontre que les innovations d'Eurocopter répondent parfaitement aux besoins des clients et à l'évolution de leurs opérations", a déclaré M. Bertling, cité dans un communiqué. Eurocopter a capturé 43% du marché mondial des hélicoptères civils en 2011, loin devant AgustaWestland (18%), mais 21,5% du marché militaire, derrière le leader, l'Américain Sikorsky (29%) et les constructeurs russes (23%). Après des années difficiles suivant la crise financière de 2008, Eurocopter a réalisé un chiffre d'affaires record de 5,4 milliards d'euros l'année dernière et prévoit une croissance de plus de 7% en 2012. C'est une des divisions d'EADS les mieux implantées aux Etats-Unis, dont elle équipe notamment les garde-côtes et l'armée de terre. Elle mise beaucoup sur le développement des marchés asiatique et sud-américain, avec l'ouverture d'une usine au Brésil cette année. http://www.challenges.fr/entreprise/20120213.CHA2153/eurocopter-engrange-les-commandes.html
  5. Canada : Le groupe français d'armements terrestres Nexter est en lice pour fournir à l'armée de terre 138 blindés de combat. Nexter veut trouver des relais de croissance à l'international. Dans sa ligne de mire, la future commande de l'armée de terre canadienne, qui a lancé un appel d'offres pour 108 véhicules de combat rapproché (VCR), assorti d'une option sur 30 autres blindés. Un contrat estimé à 2,2 milliards d'euros pour lequel Nexter concourt avec le Véhicule blindé de combat et d'infanterie (VBCI), actuellement en service au sein de l'armée française, en Afghanistan et au Liban. S'il remporte le contrat, Philippe Burtin, PDG de Nexter, est prêt à créer 1600 emplois au Canada. Ottawa exige que 100% de la valeur du contrat y soient réinvestis. En clair, tous les blindés seront produits sur place dans le cadre d'un transfert de technologie. Pour gagner face à l'américain General Dynamics et au britannique de BAE Systems, Nexter s'est associé avec le canadien Bombardier et l'américain Raytheon. Il a aussi enrôlé 30 sous-traitants locaux. La décision d'Ottawa est attendue à la fin du premier semestre 2012. La victoire aurait cependant un goût amer à Roanne, où est implanté le site qui réalise l'intégration du VBCI, du canon Caesar et du gros 4 × 4 protégé Aravis. «Le transfert de technologie est le prix à payer pour assurer une relation commerciale durable. Il y a toujours des retombées positives: certaines pièces sont fabriquées en France et il y a l'activité liée au contrat de maintenance. Une entreprise qui gagne un marché irrigue ses bureaux d'études», souligne Yves Nicolin, député (UMP) de la Loire et maire de Roanne entre 2001 et 2008. Pour le moment, Roanne et ses sous-traitants honorent la commande de l'armée française qui porte sur 630 VBCI, dont 350 ont déjà été livrés (108 prévus en 2012). Elle permet d'assurer le plan de charge jusqu'en 2015. Au-delà, il faut qu'un autre programme prenne le relais. Dans le cadre de son plan de modernisation Scorpion, l'armée de terre doit commander 1000 véhicules blindés multirôles (VBMR) afin de remplacer son parc de VAB vieillissant. «Le programme VBMR est sanctuarisé. Il répond à un besoin absolu de nos armées. L'appel d'offres sera lancé cette année», a déclaré Gérard Longuet, ministre de la Défense, lors de son déplacement jeudi dernier à Roanne. Mais ce sera après les élections. «Même si Nexter, associé à Renault Truck Defense, gagne le contrat VBMR en 2014, il doit regarnir ses carnets de commandes export», souligne un observateur. Après zéro contrat à l'international en 2010, Nexter a engrangé des commandes d'Aravis et de canons Caesar dans le Golfe en 2011. Et il a passé un accord de coopération avec le groupe diversifié indien Larsen & Toubro pour fournir un canon tracté de 155 mm à l'armée de terre indienne. Mais cela fait longtemps que le groupe n'a pas signé un gros contrat. D'où l'offensive au Canada. Et le lancement du plan «Grand Large» dont l'objectif est de réduire de 25% les coûts pour être plus compétitifs à l'export, où souvent les matériels Nexter perdent car ils sont trop chers face aux matériels chinois, notamment. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/02/13/20002-20120213ARTFIG00458-nexter-passe-a-l-offensive-au-canada.php
  6. Une analyse de Courrier International : Il n’y a plus aucun doute sur le fait que le régime syrien va vers sa chute. Le point de rupture qui marque l’effondrement total se rapproche. Le régime perd confiance dans son armée régulière qui ne parvient pas à maîtriser la dynamique de son délitement. Un nouvel équilibre commence à s’imposer entre les militaires de l’Armée syrienne libre (ASL) et les troupes du régime, forces armées ou milices, dans certaines régions. Simultanément, la détérioration de la situation économique s’accélère et le gouvernement ne parvient plus à maîtriser le taux de change de la livre syrienne, qui a perdu plus de 50 % de sa valeur par rapport au dollar depuis mars 2011. Cette chute s’est accélérée ces dernières semaines et l’inflation atteint son taux le plus élevé depuis 1986. Il semble en outre difficile pour l’Iran et l’Irak du Premier ministre Maliki de continuer à soutenir un régime qui tente d’acheter le soutien de la bourgeoisie en lui fournissant aide financière et carburant. La discrimination est évidente à Damas, où les coupures d’électricité ne touchent les quartiers riches que quelques heures par jour. Malgré cela, la bourgeoisie bascule dans l’opposition au régime alors qu’elle était jusque-là hostile à la révolution. Tout indique que le pouvoir n’arrive plus à reprendre le contrôle du pays. D’autres dynamiques sont désormais à l’œuvre. Près de onze mois de violences ont provoqué une crispation dans les esprits. Nombre de Syriens ont rompu tout lien avec le régime et se sont radicalisés, tandis que les signes d’hostilité se multiplient. Les slogans dans les manifestations et les graffitis sur les murs désignent le régime comme une force d’occupation. Les forces de répression sont appelées “brigades d’Assad”, les appels à “exécuter le président” ou à “maudire l’âme de son père” s’élèvent tandis que l’ancien drapeau de l’époque de l’indépendance est de plus en plus souvent hissé en place du drapeau actuel. Une rupture idéologique, morale et psychologique avec le régime s’est opérée chez la majorité des Syriens, devenus plus lucides quant à leur situation. Le phénomène est sans précédent depuis l’indépendance. Après la chute du “mur de la peur” ou l’écroulement d’un régime sécuritaire réputé invincible, de plus en plus de Syriens commencent à ressentir leur supériorité face au régime ainsi qu’un mépris profond pour ses dirigeants. Les deux signes les plus manifestes de la rupture et de la radicalisation sont le recours croissant aux expressions religieuses islamiques, mais surtout à la confrontation armée. Celle-ci ne se limite pas aux membres de l’Armée syrienne libre, déserteurs des troupes régulières. Des civils ont pris les armes en plusieurs endroits. Une telle évolution peut sembler regrettable sur un plan légal mais, d’un point de vue structurel, la violence reste le seul moyen de s’imposer contre le régime sur son propre terrain, et cela s’accompagne d’une religiosité revendiquée comme base de l’indépendance intellectuelle [par rapport au discours nationaliste arabe utilisé par le parti Baas]. Cette évolution est toutefois coûteuse. L’islamisation grandissante dans certains des foyers de la révolte soulève des inquiétudes pour la Syrie de demain, où une domination communautaire [sunnite] pourrait en remplacer une autre [alaouite]. En outre, quand la violence est pratiquée par des civils, elle peut conduire au chaos et aux règlements de compte. Le comportement de certains insurgés armés locaux est dénoncé par des militants des droits de l’homme et des intellectuels mais, dans le même temps, certaines initiatives et formations apparaissent, parmi les jeunes en particulier, indiquant l’existence de forces vives longtemps réprimées. Un nouveau sens de la politique et de l’action publique se révèle parallèlement aux tendances violentes et religieuses. Il marque aussi une rupture avec une opposition traditionnelle lente à comprendre et à agir. Voilà qui est vital pour l’avenir du pays. Car si la radicalisation est bonne pour mener à bien une révolution, la Syrie de demain aura besoin de forces modérées capables de réconcilier la société. Il est de l’intérêt général que le régime tombe le plus vite possible, avant que le radicalisme accapare cette révolution. http://www.courrierinternational.com/article/2012/02/09/le-regime-de-bachar-el-assadpeut-il-tomber-bientot On se bat partout en syrie : BEYROUTH (AP) — Les rebelles syriens ont repoussé lundi une attaque de l'armée à Rastan, ville du centre du pays sous le contrôle de l'opposition, alors que les forces de Bachar el-Assad poursuivaient également leur offensive à Homs. Sur le plan diplomatique, la Russie a annoncé son intention d'examiner la demande de la Ligue arabe de créer une force de maintien de la paix pour la Syrie. A Homs, l'armée a bombardé Baba Amr, un quartier sous contrôle rebelle assiégé depuis plus d'une semaine. Des affrontements ont également opposé soldats et déserteurs à Bousra el-Harir, un village de la province de Deraa (sud). 45 véhicules, dont des chars, ont été expédiés à Jisr el-Choughour, ville de la province d'Idlib (nord-ouest) frontalière avec la Turquie. (AP)
  7. L’armée belge devrait retirer la moitié de son contingent (614 personnes) d’Afghanistan à l’été 2012. La date est fixée au 30 juillet 2012. Environ 300 militaires participant au détachement de protection et force de réaction rapide présents à Kaia – l’aéroport international de Kaboul – seront retirés autour du 30 juillet 2012. Un retrait programmé et prévu depuis un an (la décision a été prise en juin 2011). Les Belges seront remplacés par un effectif portugais – deux contingents d’environ 80 personnes chacun. La Belgique maintiendra environ 300 hommes : une centaine à Kaboul – essentiellement des instructeurs (logistique, communication) ou avec la fonction d’Etat-Major -; une centaine à Kandahar – autour des avions F-16 chargés de l’appui aérien aux opérations de l’ISAF, mission dénommée « Guardian Falcon » ; une centaine à Kunduz – équipe provinciale de reconstruction (PRT) et OMLT. Comme l’explique un officier belge à B2, un retrait prend « entre un et deux ans ». « Ce n’est pas seulement une question de retrait des matériels. Il faut normalement trouver des effectifs qui viennent vous remplacer et effectuer les tâches que vous faites ». En pratique, il y a deux éléments, outre la force de persuasion : le temps et l’argent. Soit « on prend en charge financièrement le déploiement d’autres nations » – ce qu’a fait le Canada semble-t-il, soit « on négocie. Et là il faut du temps et attendre un peu ». Ce qu’on fait les Belges et Néerlandais. http://www.bruxelles2.eu/zones/orient-afghanistan-pakistan/les-belges-retireront-dafghanistan-la-moitie-de-leur-effectif-a-mi-2012.html
  8. Milestone Aviation commande 16 EC225 à Eurocopter La société irlandaise Milestone Aviation, spécialisée dans le leasing d'hélicoptères, a passé commande de 16 EC225. Ce contrat, signé avec Eurocopter, atteint 362 millions d'euros. Conçu notamment pour les opérations de transport de personnel, par exemple à l'offshore, ou encore les missions d'assistance et de sauvetage, l'EC225 est le successeur de la famille Super Puma. Les premiers exemplaires commandés par Milestone Aviation seront livrés en 2013. On notera que la commande a été annoncée à l'occasion du salon Heli-Expo de Dallas, aux Etats-Unis, au cours duquel Eurocopter a également dévoilé l'EC130 T2, un nouvel hélicoptère léger déjà commandé par 7 clients à hauteur de 105 exemplaires. http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118782
  9. De toute façon, la bave du crapeau n'atteint pas la blanche colombe... =)
  10. Budget de la défense 2013. Le Pentagone, qui claironne depuis des mois être mis au régime sec, a pourtant présenté lundi un projet de budget stable pour 2013, qui évite les coupes douloureuses tout en dégageant des économies grâce à la fin du conflit en Irak et aux réductions d'effectifs en Afghanistan. Ce bel exercice comptable pour un budget représentant plus de 40% des dépenses militaires mondiales pourrait cependant être jeté à la poubelle si le Congrès ne parvient pas à s'entendre en cette année électorale pour contourner une loi qu'il a lui-même votée l'an passé. Cette loi stipule qu'un mécanisme dit de "séquestration" prévoyant près de 600 milliards de dollars d'économies sur 10 ans pour la défense soit mis en oeuvre de façon automatique le 2 janvier 2013. Le chef du Pentagone Leon Panetta, qui se targue de mettre fin à une décennie de croissance du budget militaire pour aider à endiguer le déficit budgétaire des Etats-Unis, a mis en garde contre ce qu'il qualifie de "mécanisme de fin du monde" et qu'il refuse d'envisager. Au contraire, il a mis en avant ces dernières semaines une nouvelle stratégie de défense centrée sur l'Asie-Pacifique et le Moyen-Orient qui tient compte de 487 milliards d'économies sur dix ans déjà prévues par le Pentagone. Les économies dont se targue le ministère sont en fait calculées sur la base de précédentes projections de dépenses pour les années à venir, avant que l'administration Obama ne s'attaque à la réduction de l'abyssal déficit fédéral. Dans les faits, le budget de la Défense doit continuer à croître lentement sur les cinq prochaines années et atteindre 567,3 milliards en 2017. Le projet de budget pour l'exercice budgétaire 2013, qui court du 1er octobre 2012 au 30 septembre 2013, est stable: -0,1%. Le Pentagone requiert 525,4 milliards de dollars pour 2013 contre 530,6 milliards obtenus cette année. Le budget reflète une "utilisation disciplinée" de l'argent investi pour la Défense, justifie-t-il. Le montant prévu pour les opérations de guerre, qui est séparé du budget "de base", est pour sa part en baisse de près d'un quart: il passe de 115,1 à 88,5 milliards de dollars. Cette chute est due à la fin de la présence militaire en Irak et à la baisse prévue de l'activité opérationnelle américaine en Afghanistan où les effectifs doivent passer de 90.000 à 68.000 hommes d'ici l'automne. Les fonds prévus pour l'équipement et l'entraînement des 350.000 hommes des forces afghanes (5,7 milliards de dollars) sont par ailleurs divisés par deux par rapport à 2012. Interrogé par l'AFP, le Pentagone n'avait pas expliqué dans l'immédiat les raisons de cet effondrement. Les dépenses font la part belle aux nouvelles priorités stratégiques: forces spéciales (10,4 milliards de dollars), drones (3,8 milliards notamment pour l'achat de 43 Predator et de 6 Global Hawks), cyberdéfense (3,4 milliards), défense antimissile (9,7 milliards), espace (8 milliards). Des fonds sont également alloués pour le futur porte-avions, l'USS John F. Kennedy (782 millions), deux destroyers (2,2 milliards), deux sous-marins d'attaque (4,3 milliards) ou encore le futur bombardier à long rayon d'action (300 millions). Aucun programme d'armement majeur n'est annulé mais certains sont revus à la baisse ou lissés dans le temps, tel le programme d'avion F-35, le plus cher de l'histoire du Pentagone. Quinze milliards de dollars seront ainsi économisés d'ici 2017 en reportant l'achat de 179 des 423 avions F-35 prévus sur la période. Quelque 9,1 milliards sont tout de même prévus en 2013 pour l'achat de 29 appareils. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/02/13/97002-20120213FILWWW00649-pentagone-budget-stable-pour-2013.php
  11. Egypte, les USA accusés de détourner la révolution en faveur d'Israël AFP -Une ministre égyptienne, considérée comme étant celle qui a poussé pour les poursuites engagées contre des ONG opérant dans son pays, a accusé les États-Unis d'avoir essayé de détourner la révolution en Égypte, a rapporté lundi l'agence officielle Mena. La ministre de la Coopération internationale, Fayza Aboul Naga, une des quelques ministres ayant exercé sous le président déchu Hosni Moubarak, a lancé ces accusations devant les juges d'instruction en octobre, a indiqué Mena. Les poursuites engagées contre 44 personnes, dont 19 Américains et d'autres étrangers, accusées de financement illégal d'organisations non-gouvernementales, a tendu les relations entre Washington et Le Caire. La ministre égyptienne a indiqué que «le soulèvement du 25-Janvier a été une surprise pour les États-Unis, et ils n'ont pas pu le maîtriser quand il est devenu une révolution du peuple». «C'est alors que les États-Unis ont décidé d'utiliser tous leurs ressources et outils pour contenir la situation et la pousser vers une direction favorable aux intérêts américains et israéliens», a-t-elle poursuivi selon Mena. Selon les conclusions d'une enquête judiciaire sur les ONG, les États-Unis ont détourné une aide promise pour l'infrastructure aux organisations non-gouvernementales, a indiqué Mena. Fin décembre, 17 locaux d'ONG égyptiennes et internationales de défense des droits et de promotion de la démocratie avaient été perquisitionnés en Égypte. Parmi les ONG visées par les poursuites égyptiennes figurent les organisations américaines National Democratic Institute (NDI), International Republican Institute (IRI) et Freedom House, ainsi que la fondation allemande Konrad Adenauer. Des élus américains ont prévenu que ces poursuites pourraient mettre en péril l'aide d'environ 1,3 milliard de dollars que les États-Unis fournissent chaque année à l'Égypte, pièce maîtresse de leur politique dans la région Selon l'un des magistrats chargés du dossier, Sameh Abou Zeid, ces associations sont accusées d'avoir agi «sans autorisation» pour mener des «activités purement politiques sans rapport avec un travail auprès de la société civile». En cas de condamnation, les peines peuvent atteindre cinq ans de prison, a indiqué un autre juge, Achraf Achmawi. http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/egypte-les-usa-accuses-de-detourner-la-revolution-en-faveur-d-israel/id-menu-957.html
  12. Tout le monde veut la peau de Bachar, mais pas pour les mêmes raisons ni pour le même but.... (AFP) L'ONU évoque des 'crimes contre l'humanité' en Syrie. La Haut Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Navi Pillay a estimé lundi 13 février que les forces syriennes ont 'vraisemblablement' commis des crimes contre l'humanité au cours de leur répression de la révolte en Syrie. 'La nature et l'étendue des exactions perpétrées par les forces syriennes indiquent que des crimes contre l'humanité ont vraisemblablement été commis depuis mars 2011', a déclaré Mme Pillay devant l'Assemblée générale de l'ONU. Elle a par ailleurs estimé que plus de 300 personnes étaient mortes en une dizaine de jours dans la ville de Homs, au centre de la Syrie, lors de bombardements aveugles de zones résidentielles. 'Selon des informations crédibles, l'armée syrienne a bombardé des quartiers de Homs densément peuplés au cours de ce qui apparaît comme une attaque sans discernement contre des zones civiles', a indiqué Mme Pillay. 'Plus de 300 morts ont été signalées dans la ville depuis le début de cette attaque il y a dix jours, la majorité victimes du bombardement'. Le ministre des affaires étrangères français, Alain Juppé, a mis en garde, lundi 13 février, à Bordeaux, contre 'toute intervention, à caractère militaire, extérieure', après la proposition de la Ligue arabe de déployer une force conjointe avec l'ONU en Syrie. Interrogé lors d'un point-presse sur la possibilité que la France envoie des casques bleus en Syrie, M. Juppé a répondu : 'Nous pensons qu'aujourd'hui toute intervention, à caractère militaire, extérieure ne ferait qu'aggraver la situation, d'autant qu'il n'y aura pas de décision du Conseil de sécurité, qui est la seule instance à même d'autoriser une intervention militaire'.
  13. "La Russie évite par miracle un second Tchernobyl" C’est le titre de la couverture de l'hebdomadaire Vlast, sorti ce lundi. Des missiles étaient à bord d'un sous-marin russe à propulsion nucléaire quand y a éclaté un incendie en décembre, ce qui a placé la Russie au bord d'une catastrophe nucléaire, a affirmé lundi l'hebdomadaire Vlast, remettant en cause la version officielle. "La présence d'armes lors de l'incendie a été confirmée à Vlast par plusieurs sources, indépendantes les unes des autres, au sein du commandement de la marine russe et de la flotte du Nord", a écrit le magazine. Selon Vlast, le sous-marin transportait notamment jusqu'à 16 missiles de longue portée ainsi que des torpilles lorsqu'il a été amené pour réparation dans des docks de la région de Mourmansk (nord-ouest). "Il n'est pas exclu qu'une ou deux torpilles aient comporté des ogives nucléaires", estime l'hebdomadaire. A l'appui de ses affirmations, Vlast relève également que selon ses informations, quelques jours après l'incendie, le sous-marin a été déplacé vers une baie de la région où il est habituellement stationné. "Le seul sens possible de ce déplacement est de débarquer les missiles et torpilles se trouvant à bord du K-84", affirme Vlast. Le 29 décembre, un incendie avait fait rage sur ce sous-marin alors qu'il se trouvait dans les docks. Le feu avait fait rage dans la coque extérieure du submersible pendant près de 24 heures avant d'être maîtrisé. Les autorités militaires avaient affirmé qu'il n'y avait aucun danger, les armes n'étant pas à bord. http://www.rtl.be/info/monde/international/856360/-la-russie-evite-par-miracle-un-second-tchernobyl- Russie - Un officier de la marine russe se suicide à bord d'un sous-marin nucléaire Un officier de la flotte russe du Nord a été retrouvé pendu à bord du sous-marin nucléaire Guépard basé près de Mourmansk (nord-ouest), a indiqué lundi le comité d'enquête militaire de la flotte du Nord. "Les faits se sont produits dans la nuit du 10 au 11 février. Le lieutenant Maxime Galkine, chef du groupe de torpilleurs du sous-marin nucléaire Guépard, s'est pendu dans sa cabine. L'officier n'a laissé aucune note expliquant son geste, une enquête a été lancée", a déclaré à l'AFP Alexandre Kouratov porte-parole de la flotte du Nord. Selon des agences russes, un incendie avait eu lieu le 14 janvier à bord du sous-marin nucléaire Guépard. Cette information avait été démentie par les militaires, selon lesquels il n'y avait eu qu'un départ de feu rapidement maîtrisé. Le 29 décembre, un incendie avait fait rage sur un autre sous-marin nucléaire russe, le K-84 Ekaterinbourg, qui se trouvait dans les docks de la région de Mourmansk pour réparation. Le feu avait fait rage dans la coque extérieure du submersible pendant près de 24 heures avant d'être maîtrisé. Les autorités militaires avaient affirmé qu'il n'y avait aucun danger, les armes nucléaires du bâtiment n'étant pas à bord. Mais selon l'hebdomadaire Vlast paru lundi, citant des sources militaires, les armes nucléaires étaient bien à bord, outre les réacteurs de propulsion, ce qui aurait placé la Russie au bord d'une catastrophe comparable à celle de Tchernobyl. La marine russe a connu nombre d'accidents ces dernières années à bord de ses submersibles, depuis le naufrage en 2000 en mer de Barents (nord-ouest) du sous-marin nucléaire Koursk, dont les 118 membres d'équipage avaient péri faute d'être secourus à temps. (AFP)
  14. Renforcer la coopération entre les acteurs européens de la surveillance maritime. C'est l'objectif du projet BlueMassMed, piloté par la France et qui va entrer, prochainement, dans sa phase finale. De mi-mars à fin mai interviendra une expérimentation sur l'échange d'informations et de services sur lesquels se sont mis d'accord les partenaires, grâce à la mise en réseau des systèmes nationaux de ces partenaires, un « nuage », le BlueMassMed network. C'est à partir de 2007, alors que la sécurité et la sûreté maritimes allaient s'imposer dans les travaux menés sur le développement d'un politique maritime intégrée pour l'Europe, que le projet s'est construit. « La politique maritime européenne qui se développe depuis quelques années, dont la France est un soutien constant, a reconnu l'importance majeure du thème de la surveillance maritime, dans une acception large allant de la connaissance et de la protection du milieu jusqu'à la sûreté et à la lutte contre les trafics. La surveillance maritime aide à conduire les activités maritimes en sécurité et en sûreté, sans injurier les espaces immenses, riches et fragiles qui représentent un enjeu capital pour le futur de l'humanité. La surveillance maritime est un domaine où l'Etat est le responsable premier, c'est le droit international de la mer qui lui confère cette position. Cette caractéristique fait de la coopération en cette matière un facteur d'intégration européenne », explique l'amiral (2S) Jean-Marie Van Huffel, qui pilote le projet dont le Secrétariat Général de la Mer est partenaire pilote. Une initiative politique L'idée n'était pas de lancer un projet technologique portant sur un système, différents industriels menant déjà des travaux sur le sujet, mais de porter une initiative politique visant à renforcer le travail entre les différents acteurs de la surveillance maritime des pays impliqués. Car, en Europe, chaque Etat a son propre dispositif, ses propres moyens et sa propre doctrine en matière de surveillance maritime. Il est donc impératif, dans le cadre d'une coopération européenne future, de permettre à un nombre important d'acteurs de s'entendre et de parvenir à travailler ensemble. Le tout en instaurant une confiance dans cette perspective. « Les Etats confient cette action à leurs administrations ayant des compétences et des moyens pour l'exercer en son nom. Ces administrations dans les Etats membres sont plus ou moins nombreuses, plus ou moins coordonnées. Le point de départ indispensable d'une coopération augmentée avec des partenaires réside dans leur considération, leur appétit, leur confiance, leur conviction qu'il s'agit d'un atout pour leur propre efficacité, avec une garantie de sécurité pour leur propre mission ». « un processus multiple, qui demande du temps et de la conviction » C'est ainsi qu'est née l'idée de « projet pilote entre acteurs de la surveillance maritime ». Pour l'amiral Van Huffel : « Dans cette matière en effet, décider et pratiquer une meilleure coopération est source d'efficacité améliorée devant l'ampleur de la tâche et l'exigence de non duplication des efforts. C'est un processus multiple, qui demande du temps et de la conviction. Il doit s'enraciner dans l'esprit et l'engagement des acteurs ». Après des conclusions du Conseil européen renouvelées, la Direction Générale des Affaires maritime (DG Mare) de la Commission Européenne a établi et diffusé une feuille de route qui a pour objectif de faciliter l'amélioration d'un environnement commun d'échange de l'information maritime au niveau européen (Common Information Sharing Environment, CISE). Ce projet se développe depuis janvier 2010, entre partenaires de France, d'Italie, d'Espagne, de Grèce, de Malte et du Portugal. Les difficultés inhérentes à la nature d'un tel projet ont été une à une dépassées. Une initiative similaire s'est développée en Baltique et mer du Nord avec une dizaine de pays riverains, dont deux observateurs extérieurs à l'Union européenne (la Norvège et la Russie). Fort de ces expériences et échanges, le projet entre aujourd'hui dans sa phase finale, avec l'expérimentation de deux mois prévue entre mars et mai. BlueMassMed présentera la démonstration de ses réalisations et ses propositions pour l'avenir de la surveillance maritime au cours d'un grand événement qui se tiendra le jeudi 7 juin à Bruxelles. http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118746
  15. Hongrie : Viktor Orbán s’emmêle les pinceaux "... quinze tableaux commandés par le commissaire personnel du Premier ministre constituent une sorte de guide illustré de la nouvelle constitution hongroise et se veulent comme une présentation de la peinture romantique nationale hongroise du début du XXIe siècle. Les deux expositions ont une chose de plus en commun. Elles révèlent l’idée que le gouvernement de Viktor Orbán se fait de ce qu’est l’art authentique, et la manière dont il s’efforce d’imposer ce nouveau canon esthétique officiel. Même s’il se trouve parmi ces toiles des œuvres de qualité, il est évident que ce n’est pas le talent qui a présidé à leur choix. Le plus important ici est que le commissaire d’exposition, Imre Kerényi, et l’artiste en service commandé partagent une communauté d’idées. Kerényi, qui avant 1989 était connu pour ses mises en scène des grands-messes communistes, s’est vanté d’avoir su guider les artistes, durant même le processus de création, en leur inspirant quelques modifications et rajouts. (...) A partir du motif de Saint Georges transperçant le dragon de sa lance, l’artiste a peint un flic tout habillé de noir qui, du haut de son cheval, pourfend une femme allongée vêtue de blanc. Selon lui, la princesse symbolise la nation hongroise piétinée par le pouvoir "démoniaque" étranger. Une culture étatique de plus en plus risible : Ce tableau est certainement l’illustration la plus parfaite du nouveau canon artistique obligatoire, qui n’est qu’un instrument visant à imposer l’unique interprétation correcte officielle de l’histoire et de l’actualité politique. Plus précisément, il s’agit d’une réécriture de l’histoire et de la réalité, remplacée par une mythologie politiquement motivée. Les expositions présentées au Château de Buda ne sont en fait que les manifestations les plus visibles du phénomène. Elles tentent, par tous les moyens, d’imposer une nouvelle – l’authentique – culture hongroise et mythologie nationale. La Constitution qui est entrée en vigueur au début de l’année a hissé l’Académie hongroise des Arts au même rang que l’Académie hongroise des Sciences. Malgré un nom pompeux, il ne s’agissait jusqu’à présent que d’une association privée de créateurs, d’orientation nationaliste et fidèles à Orbán. Une émission de télévision, par exemple, est entièrement consacrée à une présentation de ce que les Hongrois ont apporté au monde et à leurs inventions. Dans un autre programme, Magyarország, szeretlek! [Hongrie je t’aime], des équipes formées de sportifs et de célébrités s’affrontent et donnent des images positives du paysage hongrois [ce jeu, d’origine néerlandaise, est adapté dans plusieurs autres pays européens]. Et pour que ne soit pas oublié le deuxième pilier de l’idéologie étatique inscrit dans la Constitution, un jeu télévisé familial autour de la Bible complète la propagation du patriotisme. Tous ces programmes sont habillés d’un emballage kitch inspiré des chaînes de télévision commerciales, ce qui apparaît d’autant plus ridicule, étant donné les efforts obstinés qu’ils déploient pour se présenter en tant que porteurs des valeurs traditionnelles. La culture étatique est de plus en plus risible. Cette façon maniaque d’assurer son autopromotion évoque l’image d’un paranoïaque complexé, qui a sans cesse besoin d’être convaincu de sa propre importance et ne souffre aucune critique. C’est pourtant cette culture, le plus souvent de seconde catégorie et toujours de régime, qui, à travers les institutions culturelles étatiques et les associations amicales patriotiques est exportée à l’étranger. http://www.presseurop.eu/fr/content/article/1486931-viktor-orban-s-emmele-les-pinceaux Après avoir pris le contrôle de la télévision et de la radio, le premier ministre hongrois veut que l'art se mette au service de son idéologie !...... comme au bon vieux temps du nazisme ou du communisme, quitte à réécrire l'histoire à travers des tableaux ! >:(
  16. (AFP) JOHANNESBURG — Le principal parti d'opposition sud-africain a demandé dimanche l'ouverture d'une enquête après la publication d'informations selon lesquelles Pretoria aurait facilité la livraison d'armes à l'ex-président de Madagascar lorsqu'il réprimait les manifestations contre son régime. "Le Comité national de contrôle des armes conventionnelles devrait immédiatement autoriser une enquête sur des informations selon lesquelles (l'ancien président Marc Ravalomanana) a utilisé l'Afrique du Sud comme point de transit pour importer des armes anti-émeutes chinoises, avant le coup de force de 2009" qui l'a chassé du pouvoir, a déclaré un député de l'Alliance Démocratique (DA), David Maynier, dans un communiqué. Selon M. Maynier, le Comité a aussi autorisé la vente de matériel anti-émeutes à Madagascar, pour un montant de 2,3 millions de rands (230.000 euros), en 2009. Ce matériel a été "exporté à destination des forces militaires ou paramilitaires juste avant le coup" à Madagascar, a-t-il ajouté. "Il y a avait donc une forte probabilité que ce matériel anti-émeutes soit utilisé pour la répression interne", souligne-t-il. Cette demande d'enquête intervient après la publication par WikiLeaks d'un câble diplomatique américain de 2009 indiquant que M. Ravalomanana a utilisé l'Afrique du Sud comme point de transit pour des boucliers, des armures, des gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des uniformes en provenance de Chine, lors d'achats massifs de matériel de contrôle des foules. L'auteur du câble soulignait qu'un tel équipement pouvait être mortel, placé entre les mains des forces de sécurité malgaches, mal entraînées. Marc Ravalomanana vit actuellement en exil en Afrique du Sud, pays qu'il a gagné peu après son éviction du pouvoir en 2009 au profit d'Andry Rajoelina, alors maire de la capitale Antananarivo. Il a été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité pour la mort d'une trentaine de manifestants, abattus par sa garde devant le palais présidentiel en février 2009. Il a tenté à plusieurs reprises de rentrer à Madagascar pour participer à de nouvelles élections en vertu d'une "feuille de route" signée par les principaux partis malgaches mais en a été à chaque fois empêché par les autorités aériennes malgaches.
  17. L'affaire des mails secrets entre Damas et Téhéran (en français) : http://www.lefigaro.fr/international/2012/02/12/01003-20120212ARTFIG00187-des-hackers-devoilent-les-mails-secrets-entre-damas-et-teheran.php
  18. Le ministre péruvien de la Défense, Alberto Otarola, a annoncé que le chef de la guérilla du Sentier lumineux, Florindo Flores, surnommé 'Artemio', avait été capturé 'vivant' mais 'grièvement blessé', démentant sa mort annoncée peu auparavant par le président Ollanta Humala. 'Il est vivant et on lui prodigue les soins médicaux nécessaires. Il est vivant mais grièvement blessé. Il a pratiquement perdu son bras droit', a annoncé M. Otarola sur la télévision locale N. 'Artemio', blessé par balle, a été retrouvé dans une cabane de la forêt de l'Alto Huallaga, dans le nord-est du Pérou, par une patrouille de l'armée, a précisé M. Otarola. 'Artemio', âgé de 47 ans, a été transféré sur la base militaire de Santa Lucia, à Tocache (nord-est), où se rendra lundi le président Humala. Ce dernier avait annoncé un peu plus tôt à la radio RPP être 'sûr' qu'un cadavre découvert par les forces spéciales était celui du 'terroriste Artemio' et indiqué qu'il allait se rendre sur place. Artemio était, selon les analystes, le dernier dirigeant en liberté du Comité historique du Sentier lumineux, et sa tête était mise à prix pour 350 000 dollars par le gouvernement péruvien et 5 millions par les Etats-Unis. Le Sentier lumineux a été l'une des plus sanglantes guérillas d'Amérique latine et son conflit avec l'Etat dans les années 1980-2000 a fait près de 70 000 morts et disparus. Il a décliné spectaculairement après l'arrestation en 1992 de son chef historique, Abimael Guzman, et ne reste actif que dans deux poches du territoire, les fiefs de la production de coca, où ses quelques centaines de guérilleros sont aujourd'hui associés au trafic de drogue, selon l'Etat. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2012/02/12/le-chef-du-sentier-lumineux-retrouve-mort-dans-la-jungle-peruvienne_1642344_3222.html#xtor=AL-32280515 INTERVIEW- Longtemps compagnon de route de Hugo Chavez, le général Raul Baduel est actuellement incarcéré à la prison militaire de Ramo Verde. Il a été accusé de corruption et condamné à sept ans de prison après avoir émis des réserves sur le socialisme du XXIe siècle. LE FIGARO. - Quelle est la nature du régime actuel? Raul BADUEL.- Chavez et ses adjoints se disent socialistes. Mais ce régime n'a aucune base idéologique, sa seule ambition est de transformer Chavez en président à vie. La «construction du socialisme du XXIe siècle» n'a eu pour effet que la destruction des institutions du pays. Vous regrettez votre engagement auprès de Chavez? Quand nous avons fondé le mouvement révolutionnaire bolivarien MBR200 en 1982, notre objectif était l'édification d'une démocratie réelle. Jamais nous n'avons projeté de mettre en place un régime socialiste. Aujourd'hui, notre pays ne peut pas se payer le luxe d'analyser notre situation sous le prisme de la droite et de la gauche. Nous sommes dépendants comme jamais de la rente pétrolière après treize ans de chavisme. Avec cette circonstance aggravante: les revenus pétroliers exceptionnels de ces dernières années n'ont servi qu'à soutenir l'ambition personnelle du président Chavez. Les missiones ne vous paraissent-elles pas répondre à la demande sociale? On ne peut nier que les missionesaident les secteurs les moins favorisés. Mais cela a développé une corruption importante. Au final, ce système est inefficace car il n'a aucun objectif de moyen ou de long terme. Ce n'est qu'un plan populiste et démagogique. La MUD peut-elle répondre aux aspirations du pays? Les Vénézuéliens veulent vivre dans une démocratie profonde et solide, avec une séparation et un équilibre des pouvoirs. Ils rejettent cette situation où les pouvoirs sont cumulés dans les mains de quelques personnes avec un culte de la personnalité qui n'a qu'un seul but: perpétuer la présidence Hugo Chavez. La MUD veut en finir avec cette perversion de la politique. N'y a-t-il pas un risque de retour au régime des partis? C'est effectivement une crainte très répandue au Venezuela. Nous ne voulons pas continuer ce qui existe aujourd'hui ni revenir aux schémas politiques du passé qui ont eu cours entre les années 1958 et 1998. Ils pervertissaient la vie politique. La majorité des Vénézuéliens rejettent l'idée de revenir à ces pratiques d'un autre temps. Quelle fut votre dernière rencontre avec Chavez? Le dernier contact a eu lieu le jour où j'ai été licencié de mon poste de ministre de la Défense et relevé du service actif, le 18 juillet 2007. En juin 2007, Fidel Castro a expliqué à Chavez qu'il ne pouvait pas compter sur moi en se fondant sur des informations de ses services. Cela n'est pas secret puisque Chavez l'a dit le 17 décembre 2010 à la télévision. Je suis un prisonnier de conscience sur ordre de Hugo Chavez qui a ainsi suivi les instructions du chef de l'État cubain, Fidel Castro. http://www.lefigaro.fr/international/2012/02/12/01003-20120212ARTFIG00203-venezuela-le-chavisme-n-a-aucune-base-ideologique.php
  19. L’Iran met en service 2 nouveaux sous-marins Le commandant de la marine iranienne, le contre-amiral Habibollah Sayyari, a déclaré jeudi que 2 nouveaux sous-marins avaient été mis en service. Le contre-amiral Sayyari a précisé que les sous-marins appartenaient à la classe Ghadir, et qu’ils avaient été entièrement conçus et construits par des spécialistes iraniens. Il a souligné que les sous-marins avaient été mis en service lors des commémorations du 33è anniversaire de la Révolution Islamique. Toutes les parties des sous-marins, la coque, le radar et les équipements de défense ont été conçus et fabriqués par les spécialistes du ministère de la défense iranien. Leurs capacités de manœuvrabilité les rendent bien adaptés aux conditions météo de l’Iran. http://www.corlobe.tk/article27646.html
  20. La marine pakistanaise souhaite développer des sous-marins à propulsion nucléaire. La presse pakistanaise rapporte que la marine pakistanaise envisage de construire des sous-marins à propulsion nucléaire et que c’est une de ses priorités. Aucune source n’est citée dans les articles, qui précisent que le 1er sous-marin serait opérationnel d’ici 5 à 8 ans. Contacté par Defense News, un porte-parole de la marine pakistanaise a indiqué qu’il ne pouvait faire aucun commentaire sur la véracité des articles. Mansoor Ahmed, de l’université Quaid-e-Azamat d’Islamabad et spécialiste des armes non-conventionnelles et des missiles, pense que les articles sont la conséquence d’une fuite intentionnelle de la marine, et qu’un message pourrait être ainsi envoyé à l’Inde. « Cette information semble être un message envoyé aux Indiens, qui prennent livraison d’un sous-marin nucléaire loué par les Russes et d’un SNLE classe Arihant , » explique-t-il. « Le Pakistan fait savoir aux Indiens qu’il est conscient des développement et qu’il prend les mesures nécessaires en réaction. » Ahmed indique qu’il a des raisons de croire que le Pakistan travaille depuis quelque temps à un système de propulsion nucléaire pour sous-marins, et qu’il disposerait déjà d’une version pouvant être lancée depuis un sous-marin du missile de croisière Babur. Le Babur est très similaire au Tomahawk. Il pourrait d’ailleurs reprendre certains des technologies du Tomahawk, dont certains exemplaires ont été récupérés par le Pakistan lors des frappes américaines en 1998 sur des camps d’entraînement d’al-Qaida en 1998. Il pourrait être équipé de têtes nucléaires. Ahmed croit que le Pakistan accélère maintenant la construction de ses propres SNA afin de dissuader l’Inde et de maintenir l’équilibre stratégique dans la région. Sur le long temps néanmoins, pour assurer la crédibilité de sa dissuasion, Ahmed pense que le Pakistan devrait construire des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins. http://www.corlobe.tk/article27669.html
  21. L'Europe de la défense en question. Un séminaire IFRI/FRS/Secret Défense : Vidéos : http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/L-Europe-de-la-defense-en-question-Un-seminaire-IFRI-FRS-Secret-Defense_a524.html
  22. L'uniforme nazi est très bien vu chez les jeunes au japon (cherchez "cosplay nazi" sur google images pour voir) mais on trouve des nostalgiques partout. Récemment un député anglais avait organisé une soirée SS ! Vu l'inculture des soldats américains, il est posible que dans le groupe de soldat certains n'aient pas fait le rapprochement avec le symbole SS.
  23. Il s'agit surement d'aéroglisseurs de petite taille (origine russe ou chinoise ?), pas de Zubr ! Toute la marine nord coréenne est doté de navires légers et de mini-sous-marins en grande quantité. http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=113293
  24. La Corée du Nord se dote d'une base pour aéroglisseurs. Les images satellites sont formelles : la construction de la base de Koampo en Corée du Nord est achevée. Découverte fin janvier par Séoul, grâce aux services de renseignements sud-coréens et américains, la base navale peut accueillir soixante-dix aéroglisseurs. Des engins capables de transporter artillerie et soldats à une vitesse de 96 km/h, qui pourraient être utilisés en cas d'offensive contre les îles sud-coréennes voisines. Il faudrait alors tout juste trente ou quarante minutes à ces engins pour atteindre les côtes de celles-ci. Pour la Corée du Nord, l'intérêt militaire des aéroglisseurs serait de faciliter le débarquement des troupes. Les engins passent par dessus les récifs émergés, à travers les glaces ou les marécages, et peuvent même pénétrer plusieurs kilomètres à l'intérieur des terres, quand celles-ci sont relativement planes. Les aéroglisseurs permettraient ainsi de contourner rapidement une éventuelle ligne de défense des patrouilleurs sud-coréens. L'armée sud-coréenne, chargée de la surveillance de la frontière maritime, élabore des stratégies pour répondre à une menace qui semble imminente. Car, si la mer est actuellement gelée, les aéroglisseurs pourraient être déployés une fois les températures remontées, explique une source citée par l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, mercredi 9 janvier. Cette zone de la mer Jaune est très sensible, puisqu'elle marque la frontière maritime entre les deux Corées. Elle fut le théâtre de graves confrontations navales en 1999, 2002, 2009 et du bombardement en novembre 2010 de l'île de Daeyeonpyong, faisant quatre morts et dix-huit blessés (voir notre chronologie). Séoul a depuis renforcé sa présence et son armement sur les cinq îles, considérées comme la "ligne de front". Pour Olivier Guillard, directeur de recherches Asie à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), la construction de cette base démontre que malgré un changement à la tête du régime, les priorités n'ont pas changé – l'armée avant tout – et que les projets lancés par Kim Jong-il sont ardemment poursuivis par son fils. http://www.lemonde.fr/international/article/2012/02/10/la-coree-du-nord-se-dote-d-une-base-pour-aeroglisseurs_1641408_3210.html
  25. C'est une fausse nouvelle lancée sur Twitter. http://www.slate.fr/lien/49859/INTERNATIONAL-kim-jong-un-rumeur-deces-faux
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