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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. (AFP) Jean-Marie Le Pen a reconnu mardi avoir rencontré l'ancien chef politique des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic, alors qu'il était recherché par la justice internationale. «Oui», a déclaré le président d'honneur du Front national (FN), qui était interrogé par i-Télé sur le livre à paraître de son ancien garde du corps, Thierry Légier, «Mission Le Pen», où est évoquée cette rencontre avec Radovan Karadzic. «Je ne suis pas chargé de traquer les criminels de guerre désignés par l'opinion publique, moi», a poursuivi Jean-Marie Le Pen. Accusé de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre pour son rôle pendant la guerre de Bosnie (1992-95), Radovan Karadzic a été arrêté en juillet 2008 à Belgrade après s'être caché pendant treize ans. Son procès devant le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) s'est ouvert à La Haye en octobre 2009. ça s'est passé alors qu'il était candidat à l'élection présidentielle ? au moment où les FS françaises recherchaient Karadzic pour le remettre au TPI ?
  2. Multiplication des capteurs : Une synthèse des chiffres publiés par différents médias américains spécialisés donne une idée de l’explosion des moyens ISR (Intelligence, Surveillance and Reconnaissance) dans les forces armées occidentales ; les voici, en vrac. Actuellement, l’OTAN effectue quotidiennement environ 85 sorties ISR dans les cieux afghans (22 en 2009) pour un total de 22 800 missions sur les 9 premiers mois de 2011. Tout cela génère un flot continu d’informations de plus en plus difficile à gérer. Outre-Atlantique, on souligne ainsi que le volume acquis tant par les moyens aériens que spatiaux a augmenté de 1 500 % sur les cinq dernières années tandis que, dans le même temps, les capacités de traitement gouvernementales n’ont progressé que de 30 %. Si l’on en croit Michael VICKERS, Undersecretary of Defense for Intelligence, le volume des données généré actuellement en Afghanistan est égal à cinq fois celui généré par la guerre en Irak à son apogée. Chaque jour, 53 téraoctets sont produits, soit l’équivalent de 2,5 millions de films. Au cours de la seule année 2009, les drones américains tous conflits confondus ont livré l’équivalent de 24 années de vidéo ; on s’attend à ce que le total soit multiplié par 30 en 2011. Toujours en ce qui concerne les drones mais dans un autre ordre d’idées, l’omniprésence des engins inhabités mène à des raccourcis tactiques auparavant difficilement imaginables. C’est ainsi que récemment, un bombardier B-1 a délivré une bombe JDAM guidée par GPS sur la seule foi des coordonnées transmises par un simple Puma, engin léger conçu par AeroVironment et lancé à la main... http://www.opex-presse.fr/chronique/0244.html Tous les ans, l’équipe rédactionnelle du média américain C4ISR Journal (Command, Control, Communications, Computers, Intelligence, Surveillance and Reconnaissance) présélectionne vingt-cinq technologies, programmes ou organismes qui se sont distingués. La liste des nominés mouture 2011 évoque quelques systèmes sinon secrets du moins discrets. C’est le cas s’agissant des MicroObserver Unattended Ground Sensors (senseurs abandonnés terrestres miniaturisés développés par Textron Defense Systems d’ores et déjà déployés en Afghanistan. Les deux versions existantes seraient capables d’une autonomie respective de 33 jours et de 3 ans), du Shadow Harvest (système de surveillance multicapteurs packagé de manière à être rapidement monté et démonté sur un avion cargo C-130 afin de le transformer en avion-espion), du Firebird (appareil léger ISR multicapteurs optionnellement pilotable, c’est-à-dire qu’il peut être employé soit en tant qu’aéronef soit en tant que drone) ou encore du SoldierEyes (applications permettant à un “smartphone” connecté en réseau de partager des images, des séquences vidéo ou des rapports de renseignement). Le Satellite Sentinel Project a également été mis à l’honneur. Il s’agit d’une initiative privée de collecte et d’analyse des informations (y compris imagerie satellitaire) lancée par l’acteur George CLOONEY dans le but de prévenir les crises tant que faire se peut ; il a notamment joué un rôle non négligeable dans le cadre des événements au Sud-Soudan. http://www.opex-presse.fr/chronique/0243.html
  3. Rien ne change en afrique ! Robert Mugabe fête ses 88 ans ce mardi. Et les partisans du président du Zimbabwe n'ont pas lésiné sur les moyens: l'équivalent de près de 750 000 euros pour la fête, dans ce pays où tout manque. Robert Mugabe, le "million dollar papy" du Zimbabwe... C'est en tout cas la coquette somme que ses partisans ont réunie pour offrir un anniversaire somptueux à leur président, ce mardi à Mutare. L'équivalent de 750 000 euros, soit quatre fois plus qu'il y a trois ans. Le Mail and Guardian (Afrique du Sud) détaille le programme prévu dans la capitale du Zimbabwe: "un gâteau d'anniversaire géant, un repas composé de trois plats, mais aussi un gala avec de nombreux artistes, un concours de beauté 'Miss Mouvement du 21 février' et un tournoi de football surnommé la 'Bob 88 Super Cup'". Bob comme Robert, 88 comme le nombre de bougies qu'il va souffler ce mardi 21 février. Une dépense jugée indécente par de nombreux opposants zimbabwéens, alors que "la nourriture manque, les écoles n'ont plus de livres, et la typhoïde progresse", note le Guardian britannique. Le Mouvement pour le changement démocratique, dont est issu son ex-rival devenu Premier ministre Morgan Tsvangirai, a lui aussi condamné ce "gâchis" et estimé que "Mugabe était déconnecté des réalités" d'un pays sur lequel il règne depuis son indépendance il y a 32 ans. A 88 ans ce mardi, il ne voit pas pourquoi cela changerait: quitter la présidence du Zimbabwe serait un "acte de lâcheté". Et les élections libres et sans violences, que le partage du pouvoir conclu en 2009 devait aider à organiser, ne semblent toujours pas d'actualité. http://fr.news.yahoo.com/zimbabwe-anniversaire-hors-prix-mugabe-082641651.html
  4. Dix-sept instituts européens de recherche et de santé publique sont désormais alliés contre les virus émergents. Financé par l'Union européenne et coordonné par l'Institut Pasteur, le projet PREDEMICS vise à étudier quatre types de virus, tous issus de réservoirs animaux et dotés d'un fort potentiel de transmission à l'homme, en Europe. SRAS, grippe A (H1N1) virus du Nil occidental… Les différents épisodes épidémiques survenus au cours des quinze dernières années, ont amené les pouvoirs publics à rechercher des solutions et des outils permettant de prévenir l'apparition de maladies nouvelles. Ceci nécessite d'identifier et de maîtriser dès l'amont, les facteurs impliqués dans l'émergence des agents infectieux responsables. http://fr.news.yahoo.com/virus-émergents-leurope-sunit-080907432.html
  5. Allemands et Français déterminés renforcer l’Europe de la Défense (BRUXELLES2, analyse) « Nous y croyons ». C’est un peu le sens de la déclaration sur la politique européenne de sécurité et de défense signée lors du dernier sommet franco-allemand, le 6 février dernier, par les ministres des Affaires étrangères et de la Défense des deux pays, Alain Juppé et Guido Westerwelle, Gérard Longuet et Thomas de Maizière. Une déclaration passée un peu inaperçue et qui mérite une lecture un peu plus attentive. L’affichage d’une convergence politique Ce texte se veut un tour d’horizon complet de ce qui est possible en matière de défense européenne, que ce soit « en termes de structures, de capacités et opérations », de dialogue stratégique et de coopération en matière d’armement. Quelques projets concrets sont esquissés (transport médical, surveillance de l’espace). Mais plus encore c’est une convergence politique qui est recherchée. On trouve là effectivement davantage de points d’accord qu’entre Français et Britanniques. Une date butoir est cependant fixée : 2013, avec la célébration des 50 ans du Traité de l’Elysée, et l’ambition affichée de « donner une nouvelle impulsion à leur politique de sécurité et de défense commune ». La PeSDC crédible et efficace : opérations au Sahel et dans la Corne de l’Afrique « « Nous partageons depuis longtemps l’objectif d’une défense européenne plus forte. (…) Nous croyons que la politique de défense et sécurité commune est un instrument crédible et efficace pour la gestion de crises » écrivent les auteurs, exemple à l’appui. Le couple franco-allemand se veut ainsi déterminé à assurer le lancement du travail préparatoire à un engagement au Sahel, à continuer le travail en cours sur la mission de reinforcement des capacités maritimes dans la Corne de l’Afrique. Il réaffirme son intention de soutenir l’opération anti-piraterie Atalanta et celle de formation des soldats somaliens (EUTM Somalia) comme une « contribution importante de la PSDC aux efforts de stabiliser la Somalie ». Un dialogue stratégique préalable sur les crises Les différences d’approches existent entre Français et Allemands, c’est un fait. Mais les deux partenaires entendent mieux surmonter, à l’avenir, leurs divergences. « Pour les crises à venir, la France et l’Allemagne se consulteront étroitement avant les décisions concernant l’engagement des forces militaires (NB : une concertation qui a, peu, fait défait lors de l’opération en Libye). Ils veulent aussi faire de la brigade franco allemande, le coeur de la réponse des deux pays. « A partir d’une évaluation commune des crises, devrait correspondre des réponses franco-allemandes, et si possible l’engagement de la Brigade franco-allemande. Cela suppose d’harmoniser les différences entre les procédures administratives nationales et de les réduire autant que possible. » Ce dialogue stratégique – qui passera également par une intensification du dialogue entre les deux parlements – « devra aussi inclure des réflexions sur des scénarios de crises, en se concentrant sur le Moyen-Orient et l’Afrique ». Projets communs pour le transport médical et dans la surveillance de l’espace Coté des capacités, les deux partenaires veulent aller plus loin qu’un soutien général aux initiatives en cours de pooling and sharing à l’agence européenne de défense et à l’OTAN. Ils veulent ainsi renforcer le Commandement européen du transport aérien (EATC), mis en place à Eindhoven, et « examiner les possibilités d’élargir ses moyens et capacités ». Un projet de coopération en matière de soutien médical va être lancé avec des soutiens réciproques : l’Allemagne va mettre à disposition de la France ses hélicoptères CH-53 et la France soutiendra l’Allemagne dans le domaine du CSAR – recherche et sauvetage au combat. Les deux pays veulent également favoriser le développement d’un « noyau d’une capacité européenne en matière de surveillance de l’espace », ils veulent ainsi « développer une capacité commune » ; une coopération qui pourrait « également s’étendre aux hélicoptères, aux systèmes terrestres et aux activités dans le domaine de la défense antimissile ». Convergences dans la préparation et la conduite des programmes d’armements De façon plus générale, d’ailleurs, pour « favoriser la convergence dans les différentes phases (préparatoires et actives) des programmes communs d’armements », France et Allemagne vont intensifier les réflexions en « équipes intégrées » et le « processus capacitaire conjoint » rassemblant l’expertise militaire ainsi que les entités en charge de la conception et des acquisitions des deux pays. Ils veulent ainsi parvenir « à une meilleure convergence dans la définition des besoins militaires et opérationnels, à une harmonisation des procédures de certification des armes et systèmes d’armement (reconnaissance mutuelle des méthodes d’essai) et de garantir davantage de continuité dans les échanges entre utilisateurs et fournisseurs ». Et vouloir chercher des « propositions industrielles communes répondant à des projets franco-allemands ». Pouvoir contrôler l’industrie européenne La « régulation de l’industrie et du marché » constitue une autre thématique commune, notamment « sur la sécurité des approvisionnements et le contrôle des investissements étrangers ». NB : Un point clé pour éviter que l’industrie européenne d’armement ne s’en aille en lambeaux ou ne parte dans les mains d’investisseurs étrangers, comme les chantiers navals grecs récemment qui sont passés aux mains d’industriels chinois. Au final, « Nos efforts communs en faveur d’une défense européenne plus performante contribueront au renforcement de l’intégration européenne et du partenariat atlantique, piliers de la politique de sécurité en Europe. » http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/defense-ue-droit-doctrine-politique/allemands-et-francais-determines-renforcer-leurope-de-la-defense.html Le reste de l'actualité de l'UE : http://europa.eu/news/index_fr.htm
  6. alexandreVBCI

    Le F-35

    Le mode "furtif" sera bien moins utilisé que son usage courant de camion à bombes sensé remplacer (aussi) le A-10.
  7. ToughStuff, une entreprise anglaise dont le quartier-général est installé à Maurice, s’est lancé un défi de taille. Elle veut permettre à 33 millions de personnes en Afrique et en Asie d’avoir accès à l’électricité grâce à l’énergie solaire. Inscrit dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, le projet de ToughStuff devrait s’étaler sur quatre ans et peut compter sur l’appui des Nations unies. Basée à Ebène, cette firme s’est donné pour objectif de fournir des panneaux solaires et des batteries à bas coût à dix pays africains et à quatre pays asiatiques. Ces pays sont : le Burundi, la Côte d’Ivoire, la République démocratique du Congo, l’Ethiopie, le Malawi, le Mali, le Mozambique, le Sud Soudan, la Zambie, le Zimbabwe, le Bangladesh, l’Inde, le Pakistan et le Nepal. Le plan de ToughStuff fait partie d’une initiative globale, le Business Call to Action (BCtA), qui a le soutien du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Le but ultime étant d’encourager le secteur privé à développer des projets qui peuvent tout aussi bien être des succès commerciaux mais aussi à aider au développement. Selon un communiqué émis par les Nations Unies, l’entreprise mauricienne estime que près de 520 millions de dollars, soit près de Rs 16 milliards de roupies, peuvent être économisés par nombre d’habitants de ces pays en cessant d’utiliser le kérosène et d’autres carburants pour leurs besoins. L’émission de carbone sera également réduite de 1,2 million de tonnes d’ici 2016. En fin de compte, les panneaux solaires ne seront pas fabriqués à Maurice mais à travers un réseau d’entrepreneurs issus dans les localités des pays visés. Le projet vient ainsi renforcer une initiative du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, lancée en septembre dernier et visant à offrir une énergie durable à tous. D’après un rapport du Pnud, près de la moitié de la population mondiale n’a pas accès aux services énergétiques modernes alors que 20 % d’entre elles n’ont pas d’électricité. Ce qui représente 1,4 milliard de personnes et il ressort que la pollution générée par l’utilisation de biomasse va causer la mort de 1,5 million de personnes, quasiment la population mauricienne, d’ici 2030. A ce jour, ToughStuff a déjà mis des panneaux solaires à la disposition d’un million de personnes. Elle s’associe à des entreprises, telles que celles engagées dans la télécommunication, pour mener à bien ce projet. http://www.lexpress.mu/story/34874-l-energie-solaire-a-des-millions-de-personnes-grace-a-une-firme-installee-a-maurice.html
  8. Une mission américaine d’opérateurs et de professionnels du secteur de l’énergie, dirigée par Johnnie Carson, secrétaire d'Etat adjoint américain aux affaires africaines, et est coparrainée par le Corporate Council on Africa, était en prospection au Ghana, au Mozambique, au Nigeria et en Tanzanie. Au cours de ce périple entamé lundi 6 février au Mozambique, cette importante délégation a examiné divers projets d'investissement potentiels pour accroître la capacité de production d’électricité de ces nations. Le Département d'Etat américain qui a dévoilé cette information, a annoncé l’arrivée des dirigeants d’entreprises de premier plan dans le secteur de l’énergie des États-Unis dans chacun des pays. http://www.lesafriques.com/afrique/une-delegation-americaine-en-prospection-dans-4-pays-afri.html?Itemid=27?article=309320
  9. Le ministre égyptien de l’Electricité et de l'Energie, Dr Hassan Younis Mahmoud, a déclaré vendredi dernier que l’Egypte a pris toutes les mesures nécessaires pour l’adhésion de terres palestiniennes au réseau électrique arabe. Cette décision de son gouvernement fait suite à l’approbation du conseil des ministres arabes de l'électricité pour une intégration du réseau électrique palestinienne, actuellement isolé et qui n'est lié à aucun autre système électrique. Dans un récent rapport du ministère de tutelle, rendu public à Balba, le chef de la société Electricity Holding a fourni les moyens de soutenir le réseau électrique de Gaza, le ministère a indiqué que l'Egypte va augmenter la puissance exportée vers l'électricité palestinienne de 17 à 22 mégawatts. L'Egypte a promis de fournir du fuel pour faire fonctionner la centrale électrique de Gaza, l'ONG Oxfam mettant en garde contre un risque de "blackout total" dans ce territoire gouverné par les islamistes palestiniens du Hamas. La seule centrale électrique de Gaza, qui fournit près d'un tiers de l'électricité à l'enclave palestinienne, a cessé mardi dernier de fonctionner, faute de carburant. Les interruptions de son activité sont fréquentes, provoquant quotidiennement de longues coupures de courant. Le chef du gouvernement du Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh, a exhorté les autorités égyptiennes à "intervenir immédiatement pour répondre à tous les besoins de Gaza en électricité de manière permanente", mettant en garde contre une "véritable crise humanitaire". De son côté, l'ONG britannique Oxfam a averti que la pénurie de fuel risquait d'entraîner "un effondrement total des services essentiels", en réclamant la fin du blocus israélien de la bande de Gaza. "Cette crise du carburant prouve bien que les tunnels ne sont pas une solution durable au blocus", a plaidé la directrice régionale d'Oxfam, Catherine Essoyan, dans un communiqué. "Si nous voulons régler la crise de l'électricité une fois pour toutes, il faut une ouverture pleine et entière de tous les points de passage de Gaza conformément au droit international." Des dizaines de membres du personnel médical palestinien ont organisé un sit-in au terminal de Rafah, à la frontière avec l'Egypte, pour réclamer une "intervention urgente" du pouvoir militaire en Egypte et du nouveau Parlement, pour ravitailler Gaza en électricité. Israël impose un blocus à Gaza depuis 2006, renforcé à la suite de la prise de contrôle du territoire par le Hamas en juin 2007. (AFP)
  10. Le Conseil Européen de la Recherche a lancé une campagne internationale pour courtiser des chercheurs de pointe dans le monde et les convaincre de venir travailler en Europe offrant des bourses de recherche allant jusqu'à 3,5 millions d'euros sur cinq ans. L'objectif de ce programme, lancé dimanche, est d'accroître le nombre de scientifiques non européens pour en compter plus de 500. Actuellement seulement cent des 2600 bénéficiaires de ces fonds ne sont pas Européens, a précisé Donald Dingwell, le secrétaire général du Conseil créé en 2007 et dont le président est le professeur Fótis Kafátos. Après le Canada, où il a participé à la Conférence de la Société américaine pour l'avancement de la science (AAAS) réunie ce week-end à Vancouver (Colombie Britannique, ouest du Canada), M. Dingwell prévoit de se rendre en Afrique du Sud, dans plusieurs pays d'Asie, en Amérique latine, en Russie, en Ukraine, aux États-Unis et au Mexique. La principale condition pour qu'un chercheur se voie octroyer ces fonds de recherche européens, c'est de passer la moitié de son temps en Europe et de travailler dans une institution européenne de recherche. «Ce programme est ouvert à tous dans le monde», a souligné M. Dingwell lors d'une conférence de presse en marge de la conférence de l'AAAS. Une bourse de recherche emploie le plus souvent cinq chercheurs. «Nous voulons montrer que l'Union européenne est attrayante pour les chercheurs pouvant être évalués par un groupe d'experts...», a-t-il poursuivi. Le Conseil européen de la Recherche dispose d'un budget de 1,8 milliard d'euros pour ces bourses de recherche en 2013, a précisé M. Dingwell, un vulcanologue, Canadien d'origine venu s'installer en Europe dans les années 80. Il a expliqué qu'il existait au sein de l'Union européenne un soutien politique fort en faveur de la recherche malgré la crise économique sur le vieux continent. Mais M. Dingwell a reconnu que «l'intégration européenne vit une période délicate». Nicole Boivin, une archéologue canadienne qui est allée s'installer à l'Université d'Oxford (GB) après avoir été retenue pour un financement de recherche de 1,2 million d'euros, a expliqué avoir sollicité ces fonds, car «le Conseil européen de la Recherche (CER) est ouvert à des projets multidisciplinaires. En outre, le CER encourage de faire tomber les murs entre les différentes disciplines scientifiques. http://www.cyberpresse.ca/sciences/en-vrac/201202/20/01-4497781-lue-courtise-les-chercheurs-du-monde.php
  11. Un avion militaire américain s'écrase dans l'est de l'Afrique: quatre morts NAIROBI (AP) — Un avion de reconnaissance américain s'est écrasé à dix kilomètres du Camp Lemonnier, base militaire américaine située à Djibouti, dans l'est de l'Afrique, causant la mort de quatre militaires à bord, a-t-on appris lundi. Dans un communiqué, l'armée américaine précise que l'accident s'est produit vers 20h samedi. Des personnels du Camp Lemonnier, seule base militaire des Etats-Unis en Afrique, se sont rendus sur place. Selon les premiers éléments, la chute de l'avion ne serait pas due à des tirs hostiles. L'appareil effectuait une mission de renseignement, de surveillance et de reconnaissance. Le Camp Lemonnier se trouve à quelques kilomètres de la frontière avec la Somalie. Précisions de l'AFP : DJIBOUTI - Quatre soldats américains ont été tués samedi soir dans l'accident de leur avion près de l'aéroport de Djibouti alors qu'ils revenaient d'une mission de routine, a-t-on appris de source officielle lundi soir. Selon un communiqué daté de dimanche et transmis par Africom, le centre de commandement américain pour l'Afrique basé en Allemagne, l'avion, un U-28, s'est écrasé samedi soir près de Camp Lemonnier, une base militaire américaine située à environ 10 kilomètres de l'aéroport de Djibouti. Les quatre militaires venaient de la base d'Hubert Field en Floride (Etats-Unis) et appartenaient aux escadrons d'opérations spéciales et du renseignement. Une enquête de sécurité a été ouverte afin de déterminer les raisons exactes de cet accident, précise le texte. Djibouti, située à l'embouchure de l'Ocean indien et de la Mer rouge, abrite une base militaire américaine ainsi qu'une base militaire française.
  12. Des rebelles du Darfour ont annoncé lundi la libération d'une cinquantaine de membres de la mission de maintien de la paix ONU-UA dans cette région du Soudan, précisant qu'ils retenaient toujours trois civils soupçonnés d'être des agents des renseignements soudanais. Les rebelles du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM) avaient auparavant annoncé la capture dimanche de 49 soldats de la mission ONU-UA (Minuad) et trois Soudanais membres présumés des services de renseignements de Khartoum. Une porte-parole de la Minuad a affirmé que ces trois personnes travaillaient pour la mission de maintien de la paix de l'Union africaine-ONU, et non pour le gouvernement soudanais. "Ce ne sont pas des espions", a-t-elle assuré. "Nous avons relâché les soldats de maintien de la paix car notre enquête a confirmé qu'ils étaient venus dans la zone sans savoir qu'elle était sous notre contrôle", a déclaré à l'AFP le porte-parole du JEM, Gibril Adam Bilal. Selon Sawarmi Khaled Saad, le porte-parole de l'armée soudanaise citant la Minuad, les soldats de la force de maintien de la paix "ont été encerclés par des forces du JEM à bord de 20 véhicules, qui leur ont demandé d'abandonner leurs armes". Le porte-parole des rebelles avait indiqué plus tôt que le groupe était "entré dans une zone contrôlée par le JEM sans permission et sans en avoir informé le JEM". Une majorité des soldats de la Minuad sont sénégalais, avait-il dit. (AFP)
  13. Les villes flottantes: la dernière utopie des marxistes de droite Les libertariens américains engouffrent des millions de dollars pour construire d’utopiques cités en mer où une seule loi serait imposée: le libre-marché. http://www.slate.fr/story/49727/INTERNATIONAL-villes-flottantes-libertariens-marxistes-droite de vrais tarés... prêts à gaspiller des millions de dollars dans des conneries ! :O
  14. Le Parlement a adopté définitivement lundi, par un vote de l'Assemblée nationale, la loi instaurant le 11 novembre, jour de l'armistice de 1918, comme une journée "en hommage à tous les morts pour la France", et non seulement à ceux de la Première Guerre mondiale. Seul le groupe des députés du Front de gauche a voté contre ce texte, annoncé par Nicolas Sarkozy le 11 novembre dernier, et qui précise, à l'initiative du Sénat, que "cet hommage ne se substitue pas aux autres journées de commémoration nationales". Les associations d'anciens combattants craignaient en effet de voir disparaître d'autres dates commémoratives, comme le 8 mai célébrant la victoire des Alliés en 1945, ou les journées d'hommage aux morts en Algérie ou en Indochine. La nouvelle loi fait aussi obligation aux communes d'inscrire sur leurs monuments aux morts les noms de tous ceux qui se vont vu reconnaître la mention "mort pour la France", quel que soit le conflit dans lequel ils ont combattu. Le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants, Marc Laffineur, a souligné à la tribune de l'Assemblée qu'une évolution du 11 novembre était "nécessaire", en raison de la disparition des derniers anciens combattants de la guerre de 1914, mais aussi pour "honorer la 4e génération du feu", après les deux guerres mondiales et les conflits coloniaux. "Depuis la fin de la guerre d'Algérie, plus de 600 militaires sont en effet morts pour la France", a-t-il rappelé. Le socialiste Dominique Raimbourg a expliqué que son groupe, opposé au texte en première lecture, votait cette fois-ci pour en raison de la précision introduite par le Sénat, à majorité de gauche, sur le maintien des autres journées de commémoration. "C'est un texte de rassemblement qui nous réunit aujourd'hui", a-t-il dit. Pour Patrick Baudouin (UMP), qui s'est félicité de ce consensus entre les deux chambres du Parlement, "devant un monument aux morts, on ne se divise pas, on se rassemble". Mais, au nom du Front de gauche, le communiste André Chassaigne a refusé "que toutes les mémoires soient amalgamées, empêchant ainsi de réfléchir et de tirer les enseignements de chaque guerre, accréditant l'idée selon laquelle peu importent les raisons pour lesquelles des militaires et des civils ont perdu la vie". Nicolas Sarkozy avait annoncé, lors des cérémonies de l'armistice à l'Arc de triomphe son choix de faire de cette journée à la fois "la date de commémoration de la Grande Guerre et de tous les morts pour la France". "Nous ne devons pas simplement commémorer, nous devons communier", avait-il insisté. (AFP)
  15. L’Italie veut obtenir l’immunité pour ses marins arrêtés en Inde. Les autorités italiennes ont fait valoir, ce dimanche 19 février 2011 la compétence de la magistrature de leur pays pour réclamer deux marins arrêtés en Inde. Ils sont accusés par la police indienne d'avoir tué, mercredi, deux pêcheurs, à une cinquantaine de kilomètres des côtes du Kerala. Rome estime qu’ils doivent jouir de l’immunité. Le pétrolier Enrica Lexie avait chargé 58 000 tonnes de brut à Singapour et il faisait route pour l'Egypte. Il naviguait mercredi dernier à 30 milles du port de Koram dans le sud de l'Inde, quand l'équipage a affirmé qu'un bateau, s'approchant de trop près avec une attitude hostile, ne répondait pas aux signaux d'avertissement. Le capitaine du bâtiment a cru à une attaque de pirates, fréquente dans cette région. Les gardes armés du pétrolier ont ouvert le feu sans autre forme de procès. Bilan : deux morts, deux pêcheurs de thon indiens, âgés respectivement de 21 et 50 ans. L'incident est révélateur. L'équipe de protection embarquée sur le pétrolier était constituée de membres des forces spéciales de la marine italienne. De plus en plus de compagnies de navigation font appel à des gardes de sociétés privées ou des militaires pour se protéger des opérations d'abordages de pirates, qui agissent notamment au large des côtes somaliennes. Mais pour les autorités indiennes, l'incident aurait pu être évité si les gardes de sécurité italiens avaient fait preuve de retenue. Des enquêtes ont été ouvertes en parallèle en Inde et en Italie et une délégation d'experts envoyée par Rome est arrivée dimanche matin à New Delhi. Aucun accord n’a pour l’instant été trouvé. En parallèle, l’Italie essaye de garder la main sur l’affaire. Le gouvernement a fait valoir dimanche que c’est « la magistrature italienne qui est compétente, étant donné que les faits se sont produits dans les eaux internationales sur un navire battant pavillon italien ». Rome assure en outre que la présence des militaires à bord de son pétrolier est conforme « aux exigences des Nations unies ». http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20120220-italie-veut-obtenir-immunite-marins-arretes-inde
  16. Des rebelles du Darfour ont annoncé lundi 20 février avoir capturé quarante-neuf soldats de la mission de maintien de la paix ONU-UA (Nations unies-Union africaine), baptisée la Minuad, ainsi que trois agents présumés des renseignements soudanais pour "enquête", après leur entrée dans une zone rebelle. Le Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), le groupe rebelle le plus militarisé de cette région en guerre de l'ouest du Soudan, a capturé dimanche des membres de la force de maintien de la paix, principalement des Sénégalais, a affirmé Gibril Adam Bilal, porte-parole des rebelles. "Ils sont entrés dans une zone contrôlée par le JEM sans permission et sans en avoir informé le JEM", a indiqué M. Bilal, sans préciser le lieu. Les rebelles les retiennent le temps d'enquêter sur les raisons de leur entrée sur leur territoire, en particuler "sur les trois Soudanais, car on pense qu'ils sont membres des services de renseignement et de sécurité du Soudan", a-t-il dit. Une porte-parole de la Minuad a pour sa part fait état d'un "événement en cours" sans donner plus de détails. M. Bilal a assuré que les membres de la Minuad ainsi que leur équipement étaient saufs, précisant que quarante-six d'entre eux, dont deux officiers, sont sénégalais et les trois autres yéménite, ghanéen et rwandais. Les soldats sénégalais opèrent principalement dans le nord-ouest du Darfour, près de la frontière tchadienne. Cinq Turcs retenus par le JEM pendant plusieurs mois ont été libérés début février. Ils avaient été embauchés pour forer des puits pour les forces armées soudanaises et ont été enlevés par le JEM près de la frontière du Soudan avec le Tchad, avait alors indiqué M. Bilal. Le nouveau chef du JEM, Gibril Ibrahim, avait affirmé le 26 janvier que son mouvement ne dialoguerait pas avec Khartoum et continuerait à œuvrer pour faire tomber le régime du président soudanais, Omar Al-Bachir, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale pour génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre au Darfour. Les rebelles affirment lutter pour la "démocratie et les droits civiques" contre un régime dominé par les Arabes qui ne représente pas, selon eux, la diversité politique, ethnique et religieuse du pays. Le JEM a refusé de se joindre à l'accord de paix conclu en juillet à Doha entre Khartoum et le Mouvement de libération pour la justice (LJM, une coalition de petites factions rebelles). Il estimait notamment que cet accord ne résolvait pas les problèmes clés du partage du pouvoir et des richesses, des violations des droits de l'homme, et du sort des 1,8 million de déplacés. Au moins 300 000 personnes ont été tuées, et 1,8 million déplacées depuis le début en 2003 de la guerre entre rebelles et forces gouvernementales soutenues par des milices locales arabes, selon une estimation des Nations unies. Khartoum évoque de son côté le chiffre de 10 000 morts. La Minuad compte quelque 17 000 soldats et 5 000 policiers ayant pour mandat de protéger la population civile. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/02/20/au-darfour-des-rebelles-annoncent-la-capture-de-49-soldats-de-l-onu_1645999_3212.html
  17. Un accord Israël-Chypre qui va faire super plaisir à la Turquie... =) On va finir par avoir du dogfight au dessus de la méditerranée si ça continue !
  18. Le prix de construction doit être considérable. Qui va assuré le tir à un coût pareil ? Alors imaginez dépenser cet argent juste pour les essais à vide doit être super-rédhibitoire !
  19. La quantité de matériel est incohérente avec le nombre réduit de soldats : 145 000 hommes ne peuvent pas servir 600 avions, 1000 hélicoptères, 28 sous-marins, une artillerie de folie, etc.... bizarre !
  20. Emeute anti-asiatique en RDC Les ressortissants chinois et indo-pakistanais vivant dans la petite cité de Kisantu, dans le Bas-Congo, à environ 120km de Kinshasa en RDC, ont connu une journée particulièrement chaude ce 13 février. Des éléments supposés appartenir à l’église noire «Vuvamu» s’en sont pris à leurs commerces, blessant grièvement une Chinoise et un Indo-pakistanais. Une émeute a ensuite été déclenchée se propageant dans toute la ville. Les forces de sécurité sont intervenues interpellant cinq personnes. Comment tout cela est-il arrivé? A cause de 20 francs congolais (soit 0.02 euros) selon Radio Okapi. Huit adeptes «Vuvuma» se seraient introduits dans un magasin tenu par une Chinoise pour acheter un produit. N’ayant pas la différence de 20 FC à restituer, la commerçante leur a remis des bonbons. Ce qui n’a pas été à leur goût. Ils l’ont tabassé, la blessant grièvement. Ils s’en sont pris ensuite à d’autres ressortissants asiatiques de la petite agglomération formée des villes de Kisantu, Inkisi, Nkandu et Kintanu. Cet incident serait un simple prétexte face l’hostilité envers les commerçants étrangers dans la région. Les étrangers, notamment les asiatiques sont «accusés, selon le quotidien le Phare, de réaliser des gains facile sur le dos des Congolais, de leur faire la concurrence déloyale, de les mal payer, de se livrer au petit commerce au mépris des textes légaux, de ne rien apporter au développement de leur contrée». En octobre 2007, les commerçants nationaux de la localité avaient exprimé leur mécontentement face à la présence des Indopakistanais et Chinois. Ils les accusaient de «pratiquer le commerce en détail, empêchant ainsi les nationaux de réaliser des bénéfices sur la vente des produits manufacturés», rapporte radiookapi.net. Une situation concurrentielle qui faisait pourtant le bonheur de la population locale qui s’approvisionnait au même prix qu’à Kinshasa, la capitale. Cette secte dont le nom «Vuvamu» est l’abréviation de «Vutuka vana mpambu wa vidila» qui signifie «retourne à l’endroit où tu as perdu ton chemin» ne cache pas sa xénophobie et son intolérance religieuse. Elle prône la «réhabilitation de l’homme noire» en éradiquant sa «misère» due, selon elle à «l’acceptation et l’adoption des religions importées (Christianisme, Islam, Bouddhisme…) en Afrique», peut-on lire sur son site Internet. Les autorités congolaises prennent très au sérieux la situation. Au-delà du fait que la RDC entretienne de solides relations économiques avec la Chine qui absorbe 47% de toutes les exportations annuelles de la RDC, l’action des «Vuvuma» rappelle le spectre de la secte «Bundu Dia Kongo» du député national Ne Muanda Nsemi. Une secte qui prônait d’ailleurs la chasse à des Congolais originaires d’autres provinces que le Bas-Congo. Elle a été dissoute en 2007 par une décision gouvernementale, et muée aujourd'hui en un parti politique dénommé Bundu dia Mayala, explique Le Phare. http://www.slateafrique.com/82795/rdc-kisantu-vuvamu-xenophobie-asiatiques
  21. Les pirates constituent une menace accrue désormais dans le nord de l’Océan indien avec plusieurs groupes pirates opérant aux abords des côtes d’Oman et en mer d’Arabie, ainsi que dans le détroit de Bab al Mandeb, selon le QG maritime anti-piraterie des forces de la coalition. Celui-ci a aussi lancé un appel à la prudence aux navires marchands sur les bateaux de pêche. « De nombreux bateaux de pêche sont présents dans le sud de la mer rouge. Ces bateaux peuvent s’approcher des navires marchands avec l’objectif de multiplier les opportunités de pêche mais aussi d’avertir les navires de ne pas être trop près des filets de pêche. Les capitaines des navires sont priés de s’assurer de bien distinguer ces bateaux de pêche de bateaux de pirates suspects. » 10 suspects arrêtés près des Comores 10 suspects d’actes de piraterie ont été arrêtés au large de l’ïle de la Grande-Comore par les forces de sécurité de l’archipel dans une affaire sentant le souffre. Neuf d’entre eux sont kenyans, le dixième bulgare selon le procureur, cité par l’agence Pana. Ils ont affirmé être des policiers kenyans à la recherche d’un bateau qu’ils devaient «sécuriser jusqu’en Afrique du Sud». Mais ils n’avaient pas de pièces d’identification. Le MV Leila capturé Le QG maritime anti-piraterie de l’UE a confirmé la capture par les pirates d’un navire des Emirats arabes unis battant pavillon panaméen. Le MV Leila, un roulier, a été capturé à 11 heures, à 18° Nord et 57° Est. Il avait été saisi en 2009 par les autorités du Somaliland et son équipage retenu durant plusieurs mois, suite à un litige judiciaire. Le FGS Berlin rejoint l’opération anti-piraterie Retour sur zone dans l’Océan indien pour le navire ravitailleur de la marine allemande. Equipé de deux hélicoptères Sea King Mk41, le FGS Berlin a rejoint l’opération anti-piraterie de l’Union européenne, EUNavfor Atalanta, vendredi (17 février). Condamnation confirmée La Cour d’appel de Bruxelles a confirmé, mercredi (15 février), la condamnation à dix ans de prison pour un pirate somalien pour l’attaque du Pompei, un dragueur belge. Omar Mohammed Abdiwahad avait été récupéré en novembre 2010 par les forces belges lors d’une autre attaque et rapatrié à Bruxelles pour y être jugé. Taiwan réfléchit à l’armement des chalutiers Les Taiwanais étudient la possibilité d’autoriser les navires de pêche battant son pavillon à posséder des armes pour se défendre contre la piraterie ou à accueillir à bord des gardes privés armées. La législation taiwanaise interdit actuellement ce type de protection sur des navires civils. A signaler qu’une édition chinoise des bonnes pratiques contre la piraterie (BMP) rédigées par l’Union européenne est parue il y a un an. Formation pour officiers chinois 84 officiers supérieurs chinois sont en formation à Nanjing sur les différentes techniques de piraterie. L’objectif de cette session de 2 semaines est de partager les expériences depuis que la Chine a démarré ses missions anti-piraterie. http://www.bruxelles2.eu/piraterie-maritime/dernieres-nouvelles-de-la-piraterie.html Bavure italienne au large de l'Inde ? http://www.bruxelles2.eu/piraterie-maritime/au-large-de-linde-la-bavure-tourne-a-lincident-diplomatique.html
  22. Syrie : La police syrienne se déploie dans un quartier de Damas Policiers et miliciens progouvernementaux se sont déployés dimanche dans le quartier de Mezze à Damas, qui abrite de nombreuses ambassades, des bâtiments gouvernementaux et des services de sécurité, pour empêcher une nouvelle vague de manifestations contre le régime du président Bachar al Assad, rapporte l'opposition. Des patrouilles motorisées de policiers et de miliciens sillonnent le quartier de Mezze, où les "moukhabarat" (agents de la police secrète) à pied effectuent des contrôles d'identité de passants, selon ces sources. "Marcher à pied à Mezze expose aujourd'hui au risque d'être arrêté. Le quartier est calme et même les gargotes de la rue du Cheikh-Saad sont vides", indique Moaz al Chami, un militant de l'opposition. Dimanche, le secrétaire au Foreign Office, William Hague, a déclaré à la BBC: "Nous ne pouvons pas intervenir (en Syrie) comme nous l'avons fait en Libye (...) nous ferons des quantités d'autres choses". Le chef de la diplomatie britannique a ajouté: "Je m'inquiète du risque de voir la Syrie plonger dans une guerre civile. Nos pouvoirs d'agir en la matière sont très limités étant donné que nous n'avons pas pu faire adopter une résolution au Conseil de sécurité de l'Onu du fait de l'opposition de la Russie et de la Chine." Pour sa part, un important homme d'affaires syrien, Fayçal al Qudsi, a déclaré également à la BBC que le gouvernement d'Assad était en voie de désintégration lente et que les sanctions internationales ruinaient l'économie. Pour lui, les affrontements ne dureront pas plus de six mois mais le pouvoir luttera jusqu'au bout. "L'armée est lasse et n'ira nulle part. Il faudra bien se parler ou, tout au moins, cesser de tuer. Dès que les militaires cesseront les tueries, des millions de Syriens descendront dans la rue. C'est une situation sans issue (pour le pouvoir)". Les militants pro-démocratie ont appelé à la désobéissance civile en Syrie dimanche, après deux jours de manifestations anti-régime à Damas même, des rassemblements d'une ampleur inédite dans la capitale qui ont été la cible de tirs des forces syriennes. "On se dit depuis le début que le jour où il y aura de grandes manifestations à Damas et Alep (deuxième ville du pays), ce sera le début de la fin du régime", affirme Agnès Levallois, spécialiste du Moyen-Orient basée à Paris. "Le mur de la peur est vraiment tombé", même à Damas, "l'endroit le plus protégé de Syrie", ajoute-t-elle, estimant que la poursuite de l'offensive meurtrière sur la ville rebelle de Homs (centre) a décidé "beaucoup de Syriens qui hésitaient à rejoindre la contestation". L'Egypte a rappelé à son tour son ambassadeur à Damas. Mercredi, Le Caire avait appelé à "un changement pacifique et réel" en Syrie et à l'arrêt immédiat des violences contre les civils. C'est au tour de Palmyre d'être assiégée par l'armée syrienne : http://www.francetv.fr/info/palmyre-cite-antique-de-syrie-et-ville-assiegee-par-l-armee_63791.html L'économie syrienne se désagrège : http://www.rewmi.com/L-economie-syrienne-se-desagrege-sous-l-effet-des-sanctions-internationales_a56959.html
  23. Le Pakistan ne respectera pas l'embargo contre l'Iran malgré les demandes américaines. (AP) ISLAMABAD - Le président pakistanais s'est engagé à poursuivre le développement d'un projet de gazoduc reliant le Pakistan à l'Iran malgré les avertissements de Washington, plaidant que les relations entre Islamabad et Téhéran ne seraient pas brouillées par les pressions internationales. Rencontre tripartite à Islamabad (RFI) L'Iran, l'Afghanistan et le Pakistan s'engagent à coopérer dans la lutte contre le terrorisme. Le terrorisme était au cœur d'une rencontre ce vendredi 17 février des présidents iranien, afghan et pakistanais, à Islamabad. Ils ont parlé coopération dans un contexte de tensions internationales, et d'éventuelles négociations avec les talibans en Afghanistan. Mahmoud Ahmadinejad a estimé que tous les problèmes de la région étaient liés à des ingérences étrangères. Ils estiment qu'ils doivent agir ensemble pour renforcer leur coopération en matière d'énergie, de commerce, de sécurité, de terrorisme, de trafic et de trafic de drogue notamment. Ces trois pays partagent aussi un fardeau diplomatique : leur relation avec Washington sont dégradées - c'est le cas avec l'Afghanistan -, voire mauvaises - c'est le cas avec le Pakistan -, voire même très mauvaises – comme c'est le cas avec l'Iran. Téhéran a besoin de ses voisins pour contourner les sanctions occidentales et dissuader ses ennemis de l'attaquer. Kaboul doit créer les conditions pour peser de façon déterminante sur son propre destin politique dans la perspective du départ des soldats occidentaux, en 2014, avec le retour vraisemblable des talibans au pouvoir et Islamabad - toujours en état de belligérance avec son voisin indien - doit s'assurer d'une évolution pacifique de ses relations sur ses frontières occidentales. Le président pakistanais Asif Ali Zardari s'est engagé à soutenir l'Iran en cas d'invasion du pays par des forces étrangères, a rapporté vendredi la chaîne de télévision pakistanaise Geo. Le président pakistanais a fait cette promesse lors de sa rencontre avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, arrivé jeudi au Pakistan pour participer à un sommet trilatéral de deux jours entre le Pakistan, l'Afghanistan et l'Iran.. Le président pakistanais a fait savoir à son homologue iranien que le Pakistan ne fournirait pas de base à l'armée américaine si Washington avait pour intention d'attaquer l'Iran, et que le Pakistan soutiendrait l'Iran contre toute agression étrangère, a rapporté la chaîne de télévision en langue ourdoue. Le reportage n'a pas mentionné dans quelles circonstances le président pakistanais avait tenu ces propos. Jeudi, MM. Zardari et Ahmadinejad ont eu un tête-à-tête au cours duquel les deux présidents ont discuté de coopération bilatérale politique et économique, a rapporté de son côté l'agence de presse pakistanaise APP.
  24. La majorité des Grecs en faveur de l'Europe malgré l'austérité imposée. La majorité des Grecs en faveur de l'Europe malgré l'austérité imposéeLes trois-quarts des Grecs (75,9%) se disent en faveur "de la perspective européenne" de leur pays et ne souhaitent pas "la sortie de l'euro", malgré les mesures d'austérité imposées par les créanciers, UE et FMI, selon un sondage publié dimanche. Seuls 19,6% des gens interrogés se sont prononcés pour le retour à la drachme, monnaie nationale du pays avant son adhésion dans la zone euro en 2002, selon ce sondage effectué par l'institut grec Marc entre les 15 et 17 février sur un échantillon de 1.013 ménages à travers le pays et publié dans le quotidien Ethnos. Les deux-tiers (66,5%) souhaitent que le programme réussisse tandis que 60% estiment que "si le programme n'avait pas été voté dimanche dernier par le parlement, la Grèce aurait risqué de faire faillite". Le vote en faveur du plan était une condition préalable au feu vert, qui doit être en principe donné lundi, de la zone euro à un nouveau prêt de 130 milliards d'euros et à l'effacement d'une partie de la dette privée du pays. 48% des sondés estiment que le vote parlementaire en faveur du nouveau plan d'aide à la Grèce était "juste", contre 45,5%. Huit personnes sur dix (81,8%) estiment que la responsabilité de la situation économique du pays incombe "aux gouvernements grecs", contre 9,3% qui disent que la crise c'est de la faute "des marchés et des spéculateurs" ou 6,1% qui donnent tort "aux Européens et au FMI".
  25. TEHERAN (Reuters) - L'Iran a cessé de vendre son pétrole brut aux compagnies pétrolières françaises et britanniques, a annoncé dimanche le ministère iranien du Pétrole. "Les exportations de brut à destination de compagnies britanniques et françaises ont été stoppées. Nous vendrons notre pétrole à de nouveaux clients", a précisé Alireza Nikzad, porte-parole du ministère. La décision s'apparente à des représailles de la république islamique à l'embargo sur les importations de brut en provenance d'Iran qui entrera en vigueur le 1er juillet dans l'Union européenne.
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