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vidéo des différentes forces étrangéres en afghanistan .
Vroum a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Vidéos et Photos
Un humvee en Afghanistan : une minigun, un LGA, une MAG et une minimi -
Le 20 novembre 1936, Durruti meurt mystérieusement pendant la bataille de Madrid, moins d'un mois plus tard la Pravda écrit : « En Catalogne, l’épuration des éléments trotskistes et anarcho-syndicalistes est commencée ; cette oeuvre sera conduite avec la même énergie qu’elle l’a été en URSS ».
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non j'ai trouvé ça ici : http://gimenologues.org/spip.php?article282 ce sont 3 affiches éditées par la colonne Durruti j'espère que je me suis pas planté, je ne suis pas hispanophone...
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L'organisation militaire des colonnes anarchistes était la suivante : 4 escadrons de 12 hommes forment une section à 48 h 4 sections forment un groupe d'infanterie à 192 h 3 groupes d'infanteries font 576 h est adjoint un groupe d'appui composé de 6 mitrailleuses de 6 mortiers et de 6 automitrailleuses comptant 84 h 3 groupes d'infanterie et le groupe d'appui forment un bataillon de 660 h un régiment est formé de 3 bataillons soit 1980 h une brigade est composée de deux régiments plus cavalerie, artillerie et services spécialisés une division est composée de deux brigades au niveau du fonctionnement, on compte : 1 délégué par escadron (12h) par section : 4 délégués d'escadron plus 1 délégué de section par groupe d'infanterie : 16 délégués d'escadron, 4 délégués de section et 1 délégué de groupe par groupe d'appui : 6 délégués des groupes de mitrailleuse (x 4h), 6 délégués pour 6 automitrailleuses (x5h), 6 délégués des 6 groupes mortiers (x5h) plus 1 délégué pour le groupe On peut donc compter par bataillon 82 délégués pour un effectif de 660 miliciens
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Intéressant ce sujet sur l'organisation militaire des anarchistes pendant la révolution espagnole. On peut également faire un parallèle avec l'armée insurrectionnelle d'Ukraine, la fameuse Makhnovchtchina qui doit son nom à l'anarchiste ukrainien Nestor Makhno et qui combattit aussi bien les armées blanches de Denikine que l'armée rouge de Trotsky entre 1917 et 1920 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Makhnovchtchina Il n'y avait pas que la colonne Durruti, il y a avait d'autres colonnes anarchistes, voici l'article de wikipedia sur les milices confédérales de la CNT (Confédération nationale du travail, syndicat anarchosyndicaliste de près de deux millions de membres pour 24 millions d'espagnols en 1936 !) et de la FAI (Fédération anarchiste ibérique). On retrouvera de nombreux combattants anarchistes dans les Forces françaises libres, la neuvième compagnie du Régiment de Marche du Tchad de la 2ième DB qui sera la première à rentrer dans Paris occupée sera entièrement composée de ces miliciens anarchistes : http://www.monde-diplomatique.fr/2004/08/FERNANDEZ_RECATALA/11465 Milices confédérales source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Milices_conf%C3%A9d%C3%A9rales Les milices confédérales regroupèrent, durant la guerre d'Espagne, les milices anarchistes de la CNT et de la FAI . Elles jouèrent un grand rôle dans la défense de la république durant les premiers mois de la guerre civile, suite au coup d'Etat militaire des 17 et 18 juillet 1936 contre le gouvernement républicain. Elles prirent également part à la Révolution sociale espagnole de 1936. Elles furent progressivement intégrées, à partir d'octobre 1936, dans la nouvelle Armée Populaire de la République espagnole, à l'intérieur des brigades mixtes. Organisation des colonnes (juillet-octobre 1936) Etant anarchistes et fondamentalement antimilitaristes, les miliciens de ces groupes choisirent souvent de s'organiser en colonne. Leur organisation reposait effectivement sur les principes de la démocratie directe : les décisions se prenaient en assemblée et toute hiérarchie militaire était soigneusement combattue[1]. La structure de la colonne reposait sur[2] : * le « groupe » (grupo) ou « peloton » (pelotón) de vingt-cinq hommes était l'unité de combat la plus simple. Les soldats choisissaient eux-mêmes un délégué, révocable à tout moment, chargé de les représenter. Les groupes portaient les noms les plus divers, comme certains groupes bien connus de la colonne Durruti : Los Hijos de la Noche (les « Fils de la Nuit »), La Banda Negra (la « Bande noire »), Los Dinamiteros (les « Dynamiteurs ») ou encore Los Metalúrgicos (les « Métallurgistes ») ; * la « centurie » (centuria) était le groupement de quatre pelotons, soit une centaine d'hommes, avec un délégué de centurie ; * le « bataillon » (batallón) ou « regroupement » (agrupación) était composé de cinq centuries, soit cinq cents hommes, et avait son propre délégué élu ; * la « colonne » (columna) était la somme des regroupements existant. Un délégué général de la colonne était élu. A la tête de la colonne se trouvait le comité de guerre (Comité de guerra), dirigé par le délégué général de la colonne. Il était chargé de la coordination des opérations de la colonne. A côté du comité de guerre se trouvait le « conseil technico-militaire ». Il était composé des militaires de métier qui pouvaient être présents dans la colonne et avait à sa tête un représentant. Il était chargé d'assister le comité de guerre dans ses décisions. Cependant, aucun délégué, de quelque rang qu'il soit, malgré sa responsabilité représentative, ne pouvait jouir de quelque privilège attaché à son grade ou d'un commandement hiérarchique. Militarisation des milices (octobre-novembre 1936) Positions anarchistes de refus de la militarisation Une grande partie des miliciens refusèrent les premières propositions d'intégration des colonnes confédérales à l'armée, et par conséquent leur militarisation. Ainsi, Durruti exposa à l'été 1936 les raisons idéologiques qui l'amenaient à refuser ce changement, valorisant le rôle des colonnes anarchistes : « Je pense [...] qu'une milice ouvrière ne peut pas être dirigée selon les règles classiques de l'Armée. Je considère bien que la discipline, la coordination et la réalisation d'un plan sont des choses indispensables. Mais tout cela ne doit pas être compris selon les critères qui avaient cours dans le monde que nous sommes en train de détruire. Nous devons bâtir sur de nouvelles bases. D'après moi, et d'après mes camarades, la solidarité entre les hommes est le meilleur stimulant pour éveiller la responsabilité individuelle, qui sait accepter la discipline comme un acte d'autodiscipline. [...] le but de notre combat est le triomphe de la révolution. Cela signifie non seulement la victoire sur l'ennemi, mais aussi un changement radical de l'homme. Afin que se réalise cette transformation, il est essentiel que l'homme apprenne à vivre et à se conduire comme un homme libre, apprentissage où se développeront les facultés de la responsabilité et de la personnalité, qui le rendront maître de ses propres actes. [...] Le combattant n'est rien d'autre qu'un ouvrier utilisant le fusil comme outil, et ses actes doivent tendre au même but que l'ouvrier. Dans la lutte, il ne peut pas se conduire comme un soldat qui se laisse commander, mais comme un homme conscient, qui comprend l'importance de ses actes. [...] Si notre appareil militaire de la révolution doit être soutenu par la peur, alors nous n'aurons rien changé, si ce n'est la couleur de la peur. C'est seulement en se libérant de la peur que la société pourra se construire dans la liberté. » Militarisation et disparition progressive des colonnes A partir de septembre 1936, le gouvernement républicain s'efforça de réorganiser l'armée populaire, s'appuyant sur les unités de l'armée restées fidèles à la république, mais surtout sur les troupes des milices, qui furent intégrées à l'armée à condition d'accepter une militarisation progressive. La militarisation des milices confédérales fut réalisée, contre la volonté de la majorité des miliciens, à l'automne 1936. Le gouvernement de Largo Caballero prit un certain nombre de décisions, en particulier le décret de militarisation des milices populaires, qui en fin de compte reçut l'accord des autorités de la CNT. Les décrets du gouvernement rétablirent progressivement la discipline et la hiérarchie militaires : le 4 octobre 1936 fut rendu obligatoire le salut militaire, pour les militaires comme pour les miliciens ; l'Inspection des milices fut ensuite subordonnée au commandement des Opérations du Centre de l'Espagne ; les milices furent chapeautées par des Commandements des milices (Comandancia de Milicias) et une Junte des milices (Junta de Milicias). Le 20 octobre furent finalement supprimés les Commandements des milices et tous les régiments affiliés à des partis ou des syndicats. Après la bataille de Madrid, au mois de novembre 1936, le gouvernement refusa même de fournir matériel et munitions aux milices qui résistaient encore à la militarisation. Les milices furent donc intégrées aux régiments et divisions de l'armée populaire régulière, et les miliciens se firent soldats, assujettis à la discipline militaire traditionnelle. Colonnes célèbres Los Aguiluchos La colonne Los Aguiluchos (« Les Aiglons ») fut la dernière des grandes colonnes constituées par la FAI - les unités organisées par la suite en Catalogne étant utilisées pour renforcer les colonnes déjà existantes. Elle fut assemblée par le quartier militaire barcelonais de Bakounine et envoyée sur le front de Huesca, où elle prit son quartier général à Grañén le 28 août. Elle y était dirigée par García Oliver, assisté de García Vivancos et avec pour conseiller militaire le capitaine José Guarner. En septembre García Vivancos accepta la militarisation, mais il dut lutter les armes à la main contre les unités de la colonne qui y étaient opposées. La colonne devint finalement la 125e brigade mixte de l'armée populaire. Elle participa par la suite aux batailles de Belchite et de l'Èbre. Après avoir vainement résisté à l'offensive nationaliste en Catalogne, elle passa en France. Durruti Colonne Durruti. La colonne « Durruti » doit son nom à l'homme qui, au titre de délégué général, la dirigea, Buenaventura Durruti, assisté de Enrique Pérez Farrás, rapidement remplacé par le sergent José Manzana. Constituée à Barcelone dès le 25 juillet 1936, elle était alors composée de 2 500 miliciens. Elle se battit d'abord en Aragon, à Caspe, sur la route de Saragosse, mais arrivé à une vingtaine de kilomètres de la ville, Durruti reçut l'ordre de s'arrêter : les miliciens ne purent finalement jamais reprendre la capitale aragonaise. Le quartier général de la colonne Durruti se trouvait à Bujaraloz. Les effectifs atteignirent alors 6 000 hommes. En novembre 1936, 1 400 d'entre eux furent envoyés à Madrid afin de combattre pour la défense de la ville, assiégée par les nationalistes. C'est lors de ces violents combats que Durruti trouva la mort, le 20 novembre. Il fut remplacé comme délégué par Ricardo Sanz pour la partie de la colonne qui était restée à Madrid. Pour ce qui concerne le reste de la colonne restée en Aragon, le commandement en avait été confié à Lucio Ruano, qui sera remplacé début 1937 par le sergent José Manzana. Ricardo Sanz prendra ensuite la succession de Manzana au printemps 1937. Durruti s'était opposé à la « militarisation » des unités anarchistes et des milices confédérales. Lui mort, les délégués de la colonne acceptèrent les injonctions du gouvernement républicain et la colonne fut finalement incorporée dans l'armée populaire de la République espagnole, dont elle constitua la 26e division (composée des 119e, 120e et 121e brigades). Sur-Ebro La colonne « Sur-Ebro » était commandée par l'ébéniste Antonio Ortiz Ramírez, membre du groupe « Nosotros », assisté par le lieutenant-colonel d'infanterie Fernando Salavera comme conseiller militaire. Les 2 000 hommes de la colonne, accompagnés de trois batteries d'artillerie, sortirent de Barcelone le 24 juillet 1936 ; nombre d'entre eux étaient d'anciens soldats du 34e régiment. Le premier objectif de la colonne était la ville aragonaise de Caspe, tenue par une compagnie de la Garde civile et 200 phalangistes, commandés par le capitaine Negrete. Après avoir vaincu leur ennemi et malgré la perte de 250 hommes, les miliciens occupèrent la ville. Ils poursuivirent leur route vers Alcañiz, dont ils s'emparèrent après de brefs combats. La colonne se divisa alors en deux parties : l'une resta afin de tenir la ligne de front entre Híjar et Escatrón, tandis que l'autre se dirigeait vers Belchite. Au début du mois de septembre, la colonne reçut le soutien de plusieurs unités : * les troupes de Carod et Ferrer venaient d'occuper le village de Fuendetodos et s'étaient retranchées devant le village de Villanueva de Huerva. Saturnino Carod Lerín, d'origine aragonaise, avait été un important dirigeant anarco-syndicaliste à Barcelone. Son asesor tecnico était le lieutenant Benemérita José Ferrer Bonet. * les hommes de la colonne Hilario-Zamora étaient dirigés par l'anarchiste Hilario Esteban et avaient pour chef militaire le capitaine d'infanterie du régiment d'Almansa Sebastián Zamora, assité du capitaine Santiago López Oliver. La colonne venait de Lérida. Toutes ces troupes, encore renforcées de miliciens valenciens, formèrent la colonne « Ortiz ». La colonne devint, avec la militarisation, composante de la 25e division. Au printemps 1937, le général Sebastián Pozas Perea, chef républicain de l'armée de l'Est, considérant qu'il avait été trop peu coopératif lors de la bataille de Belchite, décida d'enlever le commandement de la division à Ortiz, et de le confier à García Vivancos. Tierra y Libertad La colonne catalane « Tierra y Libertad » devait son nom au principal journal de la FAI, Tierra y Libertad. Son délégué général était le portugais Germinal de Souza. Une grande partie des effectifs était constituée de Majorquins qui avaient dû fuir l'île après la prise du pouvoir par les nationalistes. Une partie de la colonne, soit 1 500 volontaires sous la responsabilité de Federica Montseny assisté de Diego Abad de Santillán, fut envoyée combattre à Madrid à la mi-octobre 1936. Columna de Hierro ou la Colonne de fer La formation de la colonne de Fer (Columna de Hierro) est due aux anarchistes valenciens du groupe « Nosotros », José Pellicer, Segarra, Cortés, Rodilla, Berga, Rafael Martí ("Pancho Villa"), Francisco Mares, Diego Navarro ou encore Pedro Pellicer (frère de José Pellicer). La colonne de Fer fonctionna à la fois comme milice de guerre et comme organisation révolutionnaire et collabora avec les paysans des villages où elle était présente, afin de mettre en oeuvre les premières expériences de communisme libertaire : elle leva les actes de ses assemblées, publia un quotidien (Línea de Fuego), rédigea des manifestes et diffusa des communiqués, dans le but d'expliquer ses actions à l'« arrière-garde » et justifier ses décisions devant les travailleurs et les paysans. Elle est à ce titre un exemple particulièrement intéressant des mouvements de la Révolution sociale espagnole de 1936. José Pellicer s'opposa à partir de septembre 1936 à la militarisation des colonnes et à la « bureaucratisation » des organisations libertaires. Mais elle fut finalement intégrée à l'armée populaire, dont elle devint la 83e brigade mixte, avec José Pellicer pour commandant. Il s'efforça de maintenir dans sa brigade des positions anarchistes, ce qui lui valut d'être par la suite inquiété et même emprisonné par le SIM (service d'information militaire du gouvernement républicain).
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Un «Typhoon» de l’armée de l’air des forces britanniques vole au-dessus de la Paume, cette île artificielle de Jumeirah, à Dubaï, aux Émirats arabes unis, à l’occasion de la fête aérienne, mardi 24 novembre. (SIPA)
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[Russie] Marine Russe - VMF (sujet général)
Vroum a répondu à un(e) sujet de Francois5 v2.1 dans Asie / Océanie
http://fr.rian.ru/russia/20090827/122866843.html -
Israël et voisinage.
Vroum a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Un article de Haaretz traduit et publié dans le Monde d'aujourd'hui : -
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J'ai le droit de douter, je me pose toujours la question : à qui profite le crime ? D'autant que mes remarques s'appuient sur des documents vidéo qui parlent d'eux-mêmes Par exemple plusieurs sources affirment que l'incendie de l'hôtel ibis de Strasbourg ne serait pas le fait de manifestants, ce qui ne prouve en rien non plus que ce soit le fait de policiers Ensuite les méthodes de provocation et d'infiltrations policières des manifestations sont aussi vieilles que la police Pas besoin de chercher longtemps sur le net pour trouver des documents ou des témoignages prouvant des provocations policières Exemple: Sommet de Montebello au Québec en 2007, des policiers déguisés en black-blocks infiltrent des manifestants, cherchent à créer des incidents (l'un d'eux a même une pierre à la main) avant de se faire rejeter et rejoindre les forces anti-émeutes, la police canadienne reconnaitra plus tard que ces manifestants cagoulés appartenaient bien à la police. St1-WTc1kow Dois-je rappeler l'incendie par des gendarmes d'une paillote en Corse ? Une manifestation idéale :
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Une vidéo diffusée par le Guardian montre que l'homme décédé d'une crise cardiaque après s'être retrouvé au milieu de la manifestation anti-G20 à Londres, a été violemment poussé au sol par un policier. Ian Tomlinson ne semble pas prendre part à la protestation ni provoquer aucun agent. Il avance d’une manière nonchalante, les mains dans les poches, suivi de près par un groupe de policiers qui semble lui l’enjoindre d’accélérer le pas. L’un d’eux le pousse alors dans le dos. Ian Tomlinson s’écroule par terre. Encore conscient, il reste assis au sol, semblant invectiver les policiers. Peu après, l’homme succombera d’un malaise cardiaque, des médecins policiers ne réussissant pas à le ranimer. [dailymotion=425,350]x8ww08[/dailymotion] A Strasbourg, des CRS caillassent des manifestants pacifiques : [dailymotion=425,350]x8wtzm[/dailymotion] [dailymotion=425,350]x8vw7c[/dailymotion] des dangereux lycéens contrôlés, un journaliste censuré par la force [dailymotion=425,350]x8wgyf[/dailymotion] La manifestation anti-otan de strasbourg a été un gigantesque piège pour les manifestants pacifiques, bloqués devant et derrière par des milliers de gendarmes mobiles et CRS, le cortège n'a pas pu défiler et a été noyé des heures durant sous les lacrymos et les tirs de flashball. Des incendies ont été allumés et une polémique s'est développé sur le rôle et les intentions des forces de police. Si une minorité de manifestants étaient venus pour l'affrontement, combien y avait il de policiers sous les cagoules des black-blocks ?
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Les programmes navals français: Baraccuda, FREMM, Horizon
Vroum a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Suivant les sources les FREMM ASM emportent un ou deux NH 90 NFH, qu'en est-il vraiment ? Mer et marine, wikipedia, netmarine... citent un seul hélico mais plusieurs topics sur ce forum parlent de deux NH 90 pour les ASM et un helico plus des drones pour les AVT. Les FREMM FREDA sont-elles équipées d'un sonar remorqué CAPTAS UMS 4249 ? -
Hors-série RAIDS
Vroum a répondu à un(e) sujet de lol94 dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Raids Hors-série N° 29 Les chars de combat - Tome 4 * Emploi des chars modernes : analyse et perspectives * Quand l’armée canadienne (re)découvre les capacités des chars de combat * Le char sud-coréen KFMBT K2 * Le Leopard 2, l’histoire continue * L’AMX 32, première étape vers l’AMX 40 * Le char français AMX 40 * Le char chinois Type 99 * Le char M1 et ses évolutions * Le char israélien Merkava 4 -
Les programmes navals français: Baraccuda, FREMM, Horizon
Vroum a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'ai quelques petites questions sur la défense anti-aérienne, anti-missile et anti-torpille des navires de la marine et des possibilités d'amélioration : Les canons téléopérés Narwhal de Nexter ont ils une capacité anti-missile, le 20mm étant un calibre un peu juste pour contrer des missiles, le Narwhal 30mm avec l'option "caméra IR + télémètre laser et système de poursuite automatique" peut-il jouer le rôle d'un CIWS ? Les Horizon sont déjà équipés de 6 Sylver A50 pour 16 Aster 15 et 32 Aster 30, on sait qu'ils ont une capacité de recevoir 2 sylver supplémentaires, une future capacité ABM avec des missiles Aster 30 block 2 à portée améliorée pourrait-il se satisfaire de 2 sylver A50 supplémentaires ou nécessiterait-il plutôt 2 sylver A70 étant donné que la nouvelle version de l'Aster serait sûrement plus longue que les 5 mètres de l'Aster 30 d'où ma seconde question de savoir si on peut rajouter 2 sylver A70 sur les Horizon à la place de 2 sylver A50 ? Les FREMM peuvent-elles recevoir 2 sylver A70 ou A50 supplémentaires pour porter la capacité d'emport sur la plage avant de 32 missiles à 48 missiles ? Une capacité anti-torpille de la MU90 est en cours de développement, cette version est-elle une nouvelle version spécifique de la MU90 ou est-elle juste une amélioration logicielle des MU90 en cours de livraison, les navires de la MN peuvent ils être équipés d'une défense hard kill anti-torpille via la torpille MU90 ? -
Revue DSI
Vroum a répondu à un(e) sujet de kedith dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
J'ai eu une impression de déjà-lu avec l'article de J.Henrotin intitulé "Du missile antichars au missile d'appui" dans le dernier DSI. Ne serait-ce pas une recopie plus ou moins totale de l'article "Du missile antichar au missile polyvalent - une introduction", du même auteur paru dans T&A # 4 de février-mars 2007, dont je ne retrouve plus mon exemplaire ?