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  1. http://www.opex360.com/2011/06/25/defenseeurope-le-president-sarkozy-repond-vertement-a-robert-gates/ Défense/Europe : Le président Sarkozy répond vertement à Robert Gates 25 juin 2011 – 10:24 Le constat établi par Robert Gates le secrétaire américain à la Défense, devant le centre de réflexion bruxellois Security and Defense Agenda, le 10 juin dernier, a fait serrer quelques machoires. Et notamment celle du président Sarkozy. Qu’avait dit Robert Gates? Que les pays européens membres de l’Otan, au lieu de baisser le niveau de leurs dépenses militaires comme ils le font actuellement devraient au contraire investir dans « des moyens de soutien cruciaux comme des hélicoptères, des avions de transport, des unités de maintenance, de renseignement, de surveillance et de reconnaissance », sous peine de voir une Alliance atlantique décrédibilisée sur le plan militaire et que les contribuables américains n’ont pas à « assumer le fardeau croissant créé par les réductions des budgets de la défense » sur le Vieux Continent. « Nous tournant vers l’avenir, afin d’éviter la possibilité très réelle d’une inutilité militaire collective, les Etats membres (ndlr, de l’Otan) doivent examiner de nouvelles approches pour améliorer leurs capacités de combat » avait encore ajouté Robert Gates. Bon nombre de pays européens ont soumis leur effort militaire à une rigueur budgétaire parfois drastique. C’est notamment le cas aux Pays-Bas, où des déficits capacitaires ne manqueront pas de poindre, mais aussi en Belgique, en Allemagne ou encore au Royaume-Unis, où le Premier ministre David Cameron doit faire face à une grogne de ses généraux, en particulier ceux de la Royal Air Force et de la Royal Navy. La situation est plus contrastée en France, où le ministère de la Défense doit économiser 3,6 milliards d’euros en trois ans, somme partiellement compensée par des recettes exceptionnelles qui tardent à venir et des gains de productivité. Mais il n’empêche que les réformes entreprises depuis 2007 ont réduit le format des forces armées, même si 18 milliards d’euros ont été dépensés pour les équipements en 2009. Seulement, le président Sarkozy n’a pas apprécié la sortie de Robert Gates, qui doit quitter ses fonctions dans quelques jours. « Il ne faut pas en vouloir à quelqu’un qui part à la retraite de faire preuve d’un peu d’amertume (…) on peut dire tout ce qu’on veut mais je n’ai pas le sentiment qu’en Libye, l’essentiel du travail soit fait par les Américains » a-t-il déclaré à l’issue d’un sommet europée, à Bruxelles, le 24 juin. « C’est une déclaration injuste, qui tombe mal pour eux et qui ne correspond à aucune réalité » a-t-il poursuivi. « Nos amis américains ont deux drones, un certain nombre d’avions ravitailleurs et nous y sommes très sensibles mais, enfin, il ne viendrait pas à l’idée d’un homme aussi intelligent et responsable que le président Obama de dire que c’est l’Amérique qui fait l’essentiel du travail en Libye », a encore ajouté le président Sarkozy. Certes, ce n’est pas l’armée américaine qui est à la manoeuvre, l’essentiel des frappes réalisées en Libye étant le fait des Français et des Britanniques. Mais tout de même, sans l’apport de ses avions ravitailleurs de l’US Air Force et de ses moyens de guerre électronique, les opérations seraient nettement plus compliquées. Dans le domaine du ravitaillement en vol, par exemple, la France, dispose de C135 FR à bout de force, maintenus grâce aux efforts des mécaniciens de l’armée de l’Air. Quant aux drones, Paris est encore à se demander s’il faut s’en procurer « sur étagère » auprès des Etats-Unis ou bien attendre qu’une solution européenne soit prête… Le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, qui a approuvé le constat de Robert Gates en y ajoutant la crainte d’un décrochage techonologique de l’Europe par rapport aux Etats-Unis, en a pris aussi pour son grade. « Je peux vous dire qu’il se réjouit de l’implication des avions et des hélicoptères français » en Libye a déclaré le président Sarkozy. « Ces reproches peuvent être adressés à tous les pays que vous voulez, mais pas à la France » a-t-il estimé.
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    F-18

    Nouveaux brouilleurs pour le EA 18. http://www.flightglobal.com/blogs/the-dewline/2011/06/notes-on-next-generation-jamme.html Next Generation Jammer This is the US Navy's programme to replace the aging ALQ-99 jammer pod for the EA-6B and EA-18G. Building a new jammer is a tricky job. Just ask the US Air Force. After dropping the mission by retiring the EF-111 Ravens in 1997, the USAF attempted to catch up with the B-52 stand-off jammer system (SOJS) after 2002. That programme was cancelled in 2006 after estimated development costs spiralled from $1 billion to $7 billion. An attempt to revive a scaled-down, $1 billion version called the Core Component Jammer (CCJ) also was dropped two years ago. Now, the navy is working with several contractors to develop the Next Generation Jammer (NGJ). Naval Air Systems Command (NAVAIR) has to get its acquisition strategy right. The key question at the moment is how many pods would be required to perform an expanded jamming mission spanning from radars to communications emitters, said Travis Slocumb, vice president of strategy and business development for Raytheon. It takes as many as nine different pods for the ALQ-99 to cover the entire spectrum of threats. Ideally, the NGJ could cover the same ground with a single pod. That's attractive because a single pod covers only 120 degrees of the compass, so three pods would still be required for each jamming platform to provide 360 degree coverage. The alternative is to split the high-band jamming signals into a separate pod, but that means that the EA-18G would need to carry five pods on every mission, Slocumb said. The navy seems to prefer the single-pod solution, he added, but that means accepting more risk during the development phase. Risk is not a popular word in the Pentagon right now, which isn't making the navy's decision any easier. Ground Moving Target Indicator (GMTI) The US Air Force, meanwhile, is trying to figure out what to do with the GMTI mission currently performed by the E-8C Joint STARS and RQ-4 Global Hawk Block 40. Alternatives include upgrading the Joint STARS radar, buying a GMTI spin-off of the Boeing P-8A, or perhaps use a smaller aircraft like a business jet. Raytheon products are available for all three options, allowing the company a unique perspective into the ongoing debate. According to Tim Carey, Raytheon's vice president for intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) missions, the key, non-budgetary issue in the air force's debate is a single metric called "minimum detectable velocity". How fast does the target have to be traveling to be detected by the radar? The physics are already known. One approach is to use a long array with a low-frequency signal, such as the E-8C or the P-8A. The other approach is to use a short array with a high-frequency signal, he said. The latter is the basis for the Raytheon airborne stand-off radar (ASTOR), which the UK operates as the Sentinel R1. The answer will determine whether the USAF decides to buy a larger or smaller aircraft, or simply upgrade the aircraft they have already. But the other question is not answerable by Carey, presumably because the answer intrudes on classified details. That is, can existing GMTI radar technology detect something moving as slowly as a human on foot? If it can, can the radar also identify whether the moving object is a bipod or a quadruped. The issue is the difference between finding a team of insurgents advancing toward a special operations team -- or a herd of sheep.
  3. zx

    [Rafale]

    C'est pas très rassurant, à mon avis on aura pas de surprise au Bourget http://www.boursier.com/actions/actualites/news/dassault-aviation-nous-avons-bon-espoir-de-pouvoir-reussir-a-exporter-le-rafale-f-fillon-439840.html?sitemap
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    Eurofighter

    AviationWeeks, lire les articles de Bill Sweetman page 32, 38 du magasine electronique. http://fr.zinio.com/reader.jsp?issue=416173364 Une autre image sur les évolutions de l'Eurofighter, que je n'ai pas vu précédemment. http://4.bp.blogspot.com/-9oekYMqFy_c/TgOAT1_nPYI/AAAAAAAANUw/ozeJJWj8yjw/s1600/ef2-702815.jpg PHOTOS: Typhoon Completes 1st Phase Of Meteor Carriage Tests http://livefist.blogspot.com/2011/06/photos-eurofighter-completes-1st-phase.html
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    Eurofighter

    Le Sea Tyffie http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Quand-l-Eurofighter-joue-au-marin_a301.html
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    Le F-35

    j'ai trouvé ça, si ca peut aider, un équivalent à l'aasm ? In March 2010 Brimstone was selected as the basis for the RAF's requirement for Selective Precision Effects At Range (SPEAR) Capability 2 Block 1.[13] The Demonstration and Manufacture (D&M) contract will increase the missile's performance "significantly", make the airframe modular, and convert the warhead and motor to use insensitive munitions.[7] The upgraded missiles will start flight testing at BAE Warton in 2011 and are expected to enter service in 2012.[5] At the same time MBDA were awarded an Assessment Phase contract for SPEAR Capability 3[13] (formerly SPEAR Drop 2). This requires a 75 miles (121 km) range[14] missile with a 100 kilograms (220 lb) warhead[5] to be integrated onto the F-35 Lightning II, and may use some modules from Brimstone.
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    Eurofighter

    http://www.eurofighter.com/media/news0/news-detail/article/press-release-eurofighter-and-euroradar-confirm-2015-entry-into-service-target-date-for-the-typhoo.html
  8. zx

    Le F-35

    http://www.dedefensa.org/article-le_bourget_sans_eux_20_06_2011.html Les USA ont annoncé depuis un certain temps que Le Bourget (salon international d’aviation et de l’espace, qui s’ouvre ce 20 juin jusqu’au 26 juin) se passerait de leurs grandes vedettes, le F-22 et le F-35. On devrait annoncer pourtant la vente “forcée”, à la suite de pressions considérables des USA, de deux F-35 à la Norvège, comme faisant partie du lot des avions d’expérimentation. La grotesque aventure du JSF se poursuit. Sans rire ni sourire, maintenant… L’absence des deux “vedettes” a été justifiée officieusement par des raisons de sécurité, notamment le peu de confiance très traditionnel des USA pour la France, et officiellement par le fait assez étrange que ces deux appareils sont présentés comme n’étant pas destinés à l’exportation. L’argument est effectivement assez étrange pour le F-35, qui a construit sa réputation brillantissime sur ses succès virtualistes à l’exportation ; l’étrangeté disparaît lorsqu’on sait que les USA n’entendent nullement que les acheteurs viennent faire leur choix, et, bien entendu, choisir avec voracité le F-35, mais qu’au contraire ils (les USA) choisissent eux-mêmes les pays qu’ils jugent dignes d’acheter le F-35. Mais là n’est pas le propos précis de l’absence de rire et de sourire, et de la possibilité d’un soupir de soulagement ; plutôt dans le fait qu’il est heureux que les USA aient prévu de ne pas envoyer ni le F-22 ni le F-35, car ces deux avions eussent été bien handicapés de devoir être présents au Bourget. • Pour le F-22, c’est simple, la chose eût été sans doute impossible et dans tous les cas ridicule. Tous les F-22 sont cloués au sol depuis le 3 mai pour un très préoccupant problème d’alimentation en oxygène du pilote. Mauvaise alimentation, ou alimentation défaillante, qui a suscité cinq rapports de malaises de pilotes, dont l’un ayant conduit à un atterrissage avec accrochage de quelques branches d’arbres avant le contact avec le sol, et le pilote ne se rappelant de rien… L’USAF est très prompte à tenter de dégager la seule responsabilité d’un F-22 déjà accablé par nombre de problèmes, en affirmant que c’est un système standard à tous ses avions qui a un problème. La préoccupation demeure tout de même, de savoir pourquoi seul le F-22 en semble affecté, et pourquoi les mesures d'immobilisation le touchent lui seulement… Quelques notes là-dessus, de Stephen Trimble, de Flight International, le 17 juin 2011. «More than six weeks after the US Air Force indefinitely grounded all Lockheed Martin F-22A Raptors, the scope of the safety investigation has widened beyond the Honeywell-supplied onboard oxygen generating system (OBOGS). »Although internally described as the “OBOGS safety investigation”, the probe launched after the 3 May safety stand-down of the F-22A fleet is “not limited” to that particular system, Air Combat Command (ACC) said in emailed responses to questions. “We are still working to pinpoint the exact nature of the problem,” the ACC said. “It is premature to definitely link the current issues to the OBOGS system.” »The stand-down was originally linked to five reports by F-22 pilots of potential oxygen system malfunctions, including one reported instance when an F-22 scraped treetops on final approach. The pilot could not remember the incident after landing, exhibiting a classic symptom of hypoxia. […] »Complaints about the F-22's OBOGS equipment had not surfaced until recently. In January, the ACC ordered the fleet to remain below a service ceiling of 25,000ft (7,620m). The order came two months after an F-22 crashed near Joint Base Elmendorf-Richardson, Alaska. That accident, in which the pilot was killed, is under investigation and has not been linked to the oxygen system concerns.» • Le F-35 connaît de nouveaux ennuis importants, mais dissimulés sous des paroles doucereuses. Il s’agit d’ennuis qui sont venus se rajouter à ceux, courants, qui ne cessent d’accélérer l’effondrement du programme. Le 1er juin 2011, nous rapportions que le détail et les décisions de la nouvelle et nième restructuration du programme décidée par le Pentagone étaient repoussés de la fin mai à la mi-juin à la suite, notamment, d’une attaque cybernétique touchant Lockheed Martin parmi d'autres : «L’attaque est si dévastatrice qu’elle aurait compromis pour l’instant tout travail de gestion générale du programme JSF, et qu’elle serait la cause de la remise de la décision de restructuration du programme, annoncée par le Pentagone pour le 27 mai et reportée au 14 juin, si tout se passe bien d’ici là.» Finalement, les choses sont bien plus graves, puisque la restructuration est repoussée à la fin de l’année, selon Air Force Times du 15 juin 2011… Les paroles de l’amiral Venlet, qui dirige d’une nouvelle main de fer le programme au sein du Pentagone, ne suffisent pas à rassurer. «A Defense Acquisitions Board review that would have established a new cost baseline for the triservice F-35 Lightning II has been postponed until the fall, the Joint Strike Fighter program’s top official said Wednesday. The review had been scheduled for late May, then was rescheduled for mid-June. Now, senior leaders have decided to wait until more real-world data is gathered and planning is complete. »“It was decided: why don’t we let a little bit more of the performance of the program both in test and production play out through the summer; why don’t we let that integrated master schedule get finished, do a schedule risk assessment of it, present that to service leadership, let them ponder IOC [initial operating capability], let the operational test planning complete,” said JSF program executive officer Vice Adm. David Venlet. “Then, rather than set a baseline now with a whole bunch of go-finish-your-homework assignments, we will go finish the homework and then present the new baseline for [Pentagon procurement chief] Dr. [Ashton] Carter’s approval in the fall of this year.” »The delay is a matter of being thorough, not an indication of new problems, Venlet said. “That is not a sign of alarm. It is, I think, a determination to continue in a deliberate fashion with good solid fundamentals applied to get things done,” he said. […] »The jet is doing well in testing and it is meeting its key performance parameters, Venlet said.» Pendant ce temps, des sources israéliennes ont discrètement confirmé les indications données par WorldTribune.com le 30 mai 2011 : «Officials said the Israel Air Force and Defense Ministry have been scrambling to determine the future of the Joint Strike Fighter amid threats from Congress. They said a high-level Israeli defense delegation would travel to Washington to examine the JSF project and a delivery schedule. “We knew there were problems with the airplane, but things are much worse than we had been told,” an official said.» On ignore si cette estimation officieuse rendue publique le 30 mai prenait ou non en compte les dégâts occasionnés par la cyberattaque contre Lockheed Martin. Il semble que les sources officielles qui l’ont confirmée depuis lors auraient constaté que le programme JSF avait été, effectivement, particulièrement touché par cette attaque, et que cette circonstance mettait en évidence la fragilité et la vulnérabilité du programme, et l'importance croissante des problèmes non encore résolus… Ainsi Le Bourget 2011 se passera-t-il des deux vedettes dans le domaine de l’aviation de combat de la plus grande nation aérospatiale du monde. D’une façon générale, il est de plus en plus difficile de trouver des commentaires d’experts européens sur la situation de l’aéronautique militaire US, tant celle-ci semble frappée d’une catastrophe générale qui prend l’allure d’un cataclysme stratégique. Certains parlementaires US parlent certes d’une alternative au JSF, en cas de développements intenables et insupportables, mais la plupart envisagent évidemment une relance de la production du F-22 dans cette alternative… Mais quel F-22 ? Celui qui ne peut pas monter plus haut que 7.600 mètres depuis janvier dernier et qui est interdit de vol depuis le 3 mai ?
  9. zx

    L'Inde

    http://www.bloomberg.com/news/2011-06-20/lockheed-may-pitch-f-35-to-rejoin-11-billion-india-jet-contest.html Lockheed Martin Corp. (LMT) may offer its latest warplane, the F-35 stealth fighter, to India in a bid to rejoin the Asian country’s $11 billion combat-jet competition after its older F-16 model was eliminated. Lockheed’s chances of offering the F-35 for the 126-plane order were boosted last week when the U.S. Senate Armed Services Committee asked the Defense Department to study the “desirability and feasibility” of a joint strike fighter sale to India, said Patrick Dewar, senior vice president for corporate strategy and business development, in an interview at the Paris Air Show. The Senate committee report accompanying the Pentagon’s 2012 budget “opens the window to fifth-generation fighter technology release to India, however the Indian services want to deal with it,” Dewar said. The Senate committee request for a Pentagon study on selling F-35s to India was part of a broader amendment on U.S.- India military ties offered by Senators John Cornyn, Republican of Texas, where the fighter is produced, and Joseph Lieberman, independent of Connecticut, home to United Technologies Corp. (UTX), which makes the plane’s engines. Cornyn’s spokeswoman, Jessica Sandlin, said the amendment was “overwhelmingly adopted” by the Senate defense panel. Cornyn is the co-founder and co-chairman of the Senate India Caucus. The provision is a so-called “Item of Special Interest” that takes effect immediately after the bill report is issued. It doesn’t need House approval and “takes effect regardless of what happens to the bill itself,” she said. MiG-Replacement Lockheed’s F-16, based on a 30-year-old design, was eliminated in April from the six-way Indian contest to replace its aging fleet of 1970s-era MiG-21s, along with Boeing Co. (BA)’s F/A-18 Super Hornet. On the shortlist are Dassault Aviation SA (AM)’s Rafale and the Eurofighter made by BAE Systems Plc, Finmeccanica SpA (FNC) and European Aeronautic, Defense & Space Co. The competition is one of the largest in recent years and also attracted bids from Russia’s OAO United Aircraft Corp. and Sweden’s Saab AB (SAABB), which offered the Gripen. President Barack Obama had lobbied on behalf of Bethesda, Maryland-based Lockheed and Chicago-based Boeing. “I certainly believe it’s possible,” Dewar said when asked if the potential F-35 offer could lead to the Indian Air Force reopening the contest. India “might think differently about the competition” should the stealth jet become available. ‘Succumbing’ to U.S. Pressure Admitting the joint strike fighter to the bidding at this stage would be “contrary” to India’s weapons-acquisition procedure, said Mrinal Suman, an arms-procurement adviser at the Confederation of Indian Industry in New Delhi. “It’s too late in the day,” he said. “It would be seen by many as succumbing to U.S. pressure.” India’s air force considered the F-35 in “very informal discussions” at the start of its bid to upgrade its main fighter jet force, said Kapil Kak, a retired Indian air vice marshal who is a director of the Centre for Air Power Studies, a New Delhi think-tank. The plane’s “developmental time scale was unacceptable” because the air force needs planes that can be available as soon as possible to raise its fighter force from a current 30 squadrons to more than 40, Kak said. Indian defense ministry spokesman Sitanshu Kar couldn’t be reached for comment. Most Expensive Program The F-35 jet is still in development. At an estimated $382 billion, it is the Pentagon’s most expensive weapons program. The U.S. Government Accountability Office has said the planes cost about $133 million each in today’s dollars. The Pentagon plans to buy more than 2,400. Buying F-35s at $133 million each would boost India’s cost in acquiring 126 fighters by about 50 percent, from a currently estimated $11 billion to almost $17 billion. While a sale of F-35s “would certainly raise concerns in Pakistan about India’s capabilities, they have bigger, amazingly complex challenges ahead of them,” said Kak. As India modernizes its military with an eye on China’s growing capabilities, “it’s in our interest not to score points against Pakistan,” he said. India has tripled its defense budget over the last decade as it looks beyond its rivalry with nuclear-armed neighbor Pakistan, with which it has fought three wars since both countries gained independence from British colonial rule in 1947, to counter China’s rising power. T-38 Partnership The Senate defense panel’s request to study the F-35 sale to India was part of a broader provision that would require the Obama administration to prepare a “detailed assessment of the current state of U.S.-India security cooperation.” The bill seeks a five-year plan for more joint military exercises, defense trade and support for India’s military modernization, homeland security and coastal defense, and maintenance of secure sea lanes of communication. The lawmakers also asked the Pentagon to study the possibility of a U.S.-India partnership for development of a replacement for the U.S. Air Force’s T-38 trainer jet. The planes, built by Northrop Grumman Corp. (NOC)’s predecessor, have been in use since the 1960s. India has bought several U.S.-made weapon systems, including C-130J transports made by Lockheed, and on June 15 signed an order for 10 C-17 transport planes made by Boeing valued at about $4 billion. Corruption Scandals In April, when India shortlisted the European jet makers, V.K. Kapoor, a retired lieutenant general in India’s military, said the choice was driven by technical merits. “It was a by-the-book technical assessment that the American F-16 and F/A-18, despite their upgrades, are not future-generation aircraft,” Kapoor said in April. “They can remain current for another five or 10 years, but this deal is going to determine the operational capacity of our air force for the next 30 years.” India’s arms-buying process has been slowed by officials’ sensitivities over corruption scandals in previous purchases, including one that helped drive Prime Minister Manmohan Singh’s Congress Party to defeat in 1989 elections, according to Rahul Roy-Chaudhury, senior fellow for South Asia at the International Institute for Strategic Studies in London. Singh’s government already has seen its legislative program stalled by opposition protests over alleged official corruption in the sale of telecommunications licenses and in last year’s staging of the Commonwealth Games in New Delhi.
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    L'Inde

    http://defensenews.com/blogs/paris-air-show-2011/2011/06/20/dassault-india-set-%e2%80%98difficult%e2%80%99-conditions-on-mmrca/ By PIERRE TRAN • PARIS– India has set demanding requirements for industrial offsets in its fighter contest but Dassault is ready to negotiate on the deals, executive chairman Charles Edelstenne said June 17. The Indian request for tender including offsets which were “very tough,” Edelstenne told journalists ahead of the Paris Air Show which opens June 20. It will be “very difficult to answer to this request. We want to be chosen; we will negotiate on this subject,” he said. Dassault’s Rafale has been shortlisted alongside the Eurofighter Typhoon in India’s medium multirole combat aircraft competition for 126 new fighter jets. Edelstenne said the United Arab Emirates might be the first to decide on its fighter purchase, ahead of Brazil. The present efforts in debt reduction by certain countries has led to postponement of new defense programs, but Dassault had taken a decisive step in India and was still being considered in the UAE, Brazil and Switzerland, Edelstenne said. The Rafale was also being considered by other undisclosed countries, a company executive said. The French government has made export of the Rafale a “priority” because of the perceived importance of the fighter industry in political, technological and economic terms, and also because of the domestic budgetary needs, Edelstenne said. France has written into its defense budgets export of the Rafale, and if those foreign sales fail to appear, funding must be found from other defense programs to finance an annual output of 11 aircraft, the minimum deemed for economic sense.
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    [Rafale]

    un petit magasine à feuilleter de flightglobal, bonne lecture, page 89 pour le raffy =) http://www.emagazine.flightinternational.com/1N4df1d81c07c05012.cde/page/28
  12. Merci ! =) effectivement, ils ont des avions et des lignes aériennes, un lien pour les amateurs, le plus dur sera d'atteindre l'aéroport pour le check-in http://www.skyscanner.fr/vols-de/kp/vols-pas-chers-de-coree-du-nord.html
  13. le lien Air Koryo. fait plouf ! ;) :oops:
  14. Sauvetage in extremis en faisant Rafale commun… http://www.dedefensa.org/article-sauvetage_in_extremis_en_faisant_rafale_commun__15_06_2011.html La Royal Navy est sur le point de sombrer, véritablement. L’amiral français Forissier, chef d’état-major de la Marine Nationale, disait le 6 juin 2011 au Daily Telegraph, la stupéfaction des marins français devant l’ampleur des compressions budgétaires subies par la Royal Navy : «From a French standpoint, I have to say that we were really stunned because the Royal Navy has always been a model for us and it is now faced with a very difficult situation…» Cette situation a été largement confirmée par les déclaration du First Sea Lord, l’amiral Stanhope, sur la situation dramatique de la Royal Navy au large de la Libye, – et ailleurs du reste (le 13 juin 2011 dans le Guardian : «The head of the Royal Navy has warned that the fleet will not be able to continue the current scale of operations around Libya beyond the summer unless ministers take tough decisions about what they want to prioritise.»). Le 14 juin 2011, Richard Norton-Taylor et Nick Hawkins sont venus au secours du pauvre Sir Mark Stanhope, accablé de critique au 10 Downing Street pour ses déclarations de la veille : «…Which is unfortunate. He didn't say anything untrue or incorrect. He didn't even say anything that remarkable.» Comment sauver la Royal Navy dans ce Trafalgar à rebours ? Comment l’aider à colmater les brèches pour éviter le naufrage en attendant l’hypothétique venue du futur porte-avions, The Queen Elizabeth, d’ici… combien de temps ?… une décennie ? Qui sait ? Et un porte-avions avec quels avions, du reste ? Le JSF (ricanements contenus) ? Alors, pourquoi pas le Rafale qui vole, lui, et qui vole bien (ricanements plus audibles) ? En attendant, et une fois dissipés les ricanements, c’est bien le cas, pour le Rafale, comme mesure de sauvegarde. C’est ce que détaillent plusieurs journaux britanniques, en annonçant que le plan de sauvegarde, – pardon, de coopération, –– est entré en action. Un premier contingents d’une trentaine d’officiers pilotes de la Navy vont être embarqués à bord du Charles de Gaulle où ils opéreront pendant plusieurs années (trois), notamment en pilotant les Rafale embarqués à bord du Charles de Gaulle. Forissier avait préparé le terrain au niveau sacro saint de la communication… «British aircraft could fly missions off French carriers in the future, the admiral said. “When you carry out an attack it is the nationality of the aircraft [that is important], so potentially in the future you could have UK aircraft operating for a UK mission from a French base.” »With no Royal Navy carriers available for at least the next decade, the French navy will be a significant partner in helping train British sailors. Adml Forissier said: “The Royal Navy has lost its know-how for 'catapult carriers’.” “To run a carrier to its full capacity you need 10 years [of training]. The challenge is to prepare ourselves during this 10 years so that when the Queen Elizabeth [the first 60,000-ton carrier] is ready it can be operable in a very short time.”» Le 12 juin 2011, le même Daily Telegraph (avec d’autres) détaille d’une façon pratique le commencement de l’opération de sauvetage, – c’est-à-dire de coopération… Les pilotes britanniques à bord du Charles de Gaulle, la nécessité pour eux d’apprendre le français, leur accoutumance nécessaire à la nourriture du cru (excellente, indeed, mais froggy), les habituels lieux communs sur l’hygiène des officiers français par rapport à celle, bien plus glorieuse, des officiers britanniques… Mélange d’amertume et de blagues éculées, souligné par un message d’outre-tombe de l’amiral Horatio Nelson, retranscrit par un officier de la Royal Navy : «Who would have thought that more than 200 years after the Battle of Trafalgar, we would be asking the French to train our Naval fighter pilots? Our relationship with the French has always been a bit tense, so this will be a big test of co-operation.» Pour le reste, l’opératiion est sérieuse… «The first five of 30 Royal Navy pilots have begun French language training at the defence college in Paris before they join the carrier, the Charles de Gaulle, where they will fly Rafale jets. »They will spend 16 weeks studying French so that they are able to communicate with their colleagues on board the vessel. While they will wear their own uniforms they will sleep, eat and work alongside French fighter pilots, in what has been described as a major test of co-operation for the two Navies. […] »One benefit for the Royal Navy personnel however will be the quality of cuisine offered on board the Charles de Gaulle, which is said to be of a much higher standard than that available on board British ships.» Le dérisoire, l’amertume, la plaisanterie éculée, les considérations sérieuses et un peu pompeuses sur la coopération, les appels au secours face au naufrage de cette glorieuse institutions qui a fait l’Histoire, – la Royal Navy, – tout y est… Jusqu’à cette situation inédite de marins britanniques qui, pendant trois ans, vont voler à bord du Rafale, comme si le Royaume-Uni avait acheté le Rafale. Ce serait une sage précaution si l’on considère l’effroyable effondrement et la probable chute dans le néant du mythe inversé par la subversion du Système qu’est le JSF des cousins américanistes. …D’ailleurs, peut-être pourrait-on déjà l’annoncer presque avec assurance : oui, bien sûr, le Royaume-Uni finira par acheter, ou louer pour un temps indéfini, le Rafale Marine, comme une mesure de sauvetage en catastrophe se transformant en mesure structurelle de facto. La sensibilité écorchée des Britanniques à l’idée d’acheter français, outre de “coopérer” français en se réfugiant sur le Charles de Gaulle, ne sera pas écorchée trop longtemps, – on s’habitue à tout, – puisque, d’ici là, le Pentagone aura lui aussi sombré, avec le JSF. Alors, ils (les Britanniques) voleront à bord du meilleur avion embarqué du monde (dito, le Rafale), dans une situation universelle de déstructuration accélérée des restes du Système en phase accélérée d’effondrement. Sans aucun doute, et pour se fixer sur ce point très particulier d’une situation générale d’effondrement, cette mesure des pilotes britanniques intégrés sur le porte-avions français et dans les unités embarquées Rafale est une excellente préparation technique et, surtout, psychologique, à la démarche finale qui nous semblerait très vite inéluctable du choix du Rafale par les Britanniques. Ces Britanniques s'habitueront à la “coopération” avec les Français et apprécieront le Rafale, comme d'autres (Britanniques), au moins un, ont commencé à le faire ; cela remontera à l'état-major, puis au pouvoir politique, qui n'a plus aucune option de rien du tout, plus aucune perspective, plus aucune stratégie, plus rien, – et qui sera bien content de sauter sur l'occasion d'une justification venue de ses militaires pour l'achat du Rafale parce qu'il n'y a rien d'autre à faire. Tout cela se ferait dans une atmosphère si complètement apocalyptique par ailleurs et en général qu’une telle décision n’aurait qu’un retentissement moyen, le reste de l’effondrement faisant beaucoup plus de bruits et de vagues. La “coopération” franco-britannique est une mesure de survie commune, – un peu plus pour les Britanniques que pour les Français, – et doit être considérée comme telle, impérativement. Le possible choix du Rafale par les Britanniques que nous entrevoyons désormais comme très probable ne peut être apprécié en aucune façon comme la mesure révolutionnaire qu’elle eût été il y a cinq ou dix ans. C’est, là aussi, une opération de survie, ou de sauvetage en catastrophe, face, pour le cas particulier, à la situation terrifiante du Royaume-Uni et de ses moyens, face à la situation US et à l’effondrement, là aussi, des structures, des capacités des forces et des capacités de production, de la situation d’un programme d’avion (notamment, sa version embarquée F-35C) qui s’effondre régulièrement vers une nouvelle situation où, au mieux, il faudra compter un JSF à $150-$200 millions, et, au pire, – le pire est aujourd’hui non seulement “toujours possible” mais, très vite, de plus en plus probablement, – sur pas de JSF du tout. Mais, d'ici là, les USA n'existeront sans doute plus sous leur forme actuelle, et on ne leur en voudra pas trop...
  15. Déjà, je me pose déjà la question, est ce que la Corée du Nord a des jetliners?
  16. zx

    Bourget 2011

    Cela devient inquiétant, c'est la 3eme ou 4eme fois qu'un A380 touche un avion ou un bâtiment avec le bout de ses ailes. il faudrait des radars de proximité en bout d'aile.
  17. Un peu de pub pour les air tractor, il semblerait que ca soit pour un film disney en 2013 http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=bf1ftz0YmCw
  18. zx

    PA2: Quel choix pour la Marine?

    +1, miam miam miam, ça pourrait intéresser des clients, =)
  19. ils auraient pu cibler 200-250 passagers. http://www.lefigaro.fr/societes/2011/06/19/04015-20110619ARTFIG00067-avec-zehst-eads-donne-un-heritier-au-concorde.php
  20. j'aime pas la forme de ses reacteurs sous les ailes, 100 passagers ca fait pas beaucoup. http://www.youtube.com/watch?v=zFVK7a-Tekc
  21. zx

    [Rafale]

    une petite vidéo, c'est bizarre comme skin ? sur http://rafalenews.blogspot.com/
  22. zx

    Eurofighter

    Tiens ! il est bizarre, avec son dos, il me fait penser au bon vieux F4, :O, sa beauté naturelle ne va pas s'arranger avec le temps.
  23. http://www.liberation.fr/monde/01012344069-des-soldats-sud-coreens-tirent-par-erreur-sur-un-avion-de-ligne
  24. zx

    Bourget 2011

    liste des avions arrêtée au 24 mai 2011 https://www.gifas.asso.fr/reaxia/files/neqecl/Liste_aoenefs_24mai.pdf
  25. zx

    Le F-35

    http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckBlogPage=BlogViewPost&newspaperUserId=27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3aa723c090-b710-475c-9dd9-8197e3d20e01&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest Keep up with the latest news and events from the 2011 Paris Air Show at Aviation Week's dedicated Paris page: www.aviationweek.com/paris http-~~-//www.youtube.com/watch?v=qceZALofOcg&feature=player_embedded#at=179
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