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Tout ce qui a été posté par jojo (lo savoyârd)
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.rtl.fr/actu/international/ukraine-le-ministre-de-l-interieur-et-15-personnes-tues-apres-le-crash-d-un-helicoptere-7900226339 -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Juste. Et sans aucune certitude, oui ça respire bien du mortier ... Mais simple hypothèse. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Là en l'occurrence on a affaire de très bons artilleurs ... Pas de réglage et les deux premiers coups au but pile au bon moment (à ce qu'on comprend de la vidéo). Pas des mobilisés j'imagine ... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Malheureusement très efficace. Ils s'améliorent grandement dans la chaîne de SR, communication, commandement ... Le ratio décision / réaction devient ténu en temps et donc en efficacité, à l'image des forces ukrainiennes plus généralement. En tous cas sur ce dramatique exemple pour les ukrainiens. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Au sein de l'armée allemande, l'état et maintenance global des chars en ligne et ceux de réserve doit-être plutôt ténu ... Ceci au vue de leur emploi ces dernières décennies. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Non, c'est une autre photo. Là l'obus est déjà haut. Une autre photo, moins retardée et toujours à Valoire (CERCES 22), où on voit l'obus : -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Superbe photo du 93ème à Valoire (CERCES 2022) : -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui sur le fond, sauf que les enjeux ici ne sont pas du tout comparables. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
À priori j'ai malheureusement posé la "bonne" question ... Bon ben ... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Question, vos avis : Concernant le port de Sébastopol, un compromis identique à la situation antérieur à 2014 est-il envisageable ? (accord de location il me semble ... ) -
Un petit résumé de la genèse du AMX-10 RC ...
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Personne n'a de boule de cristal ... Mais d'avis qu'au minima une riposte conventionnelle d'ampleur contre des sites militaires russes de premier plan ou hautement symboliques sera la réponse de l'occident. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Dans l'armée ukrainienne, une très symbolique légion de combattants russes Leur nombre exact est strictement confidentiel, leurs positions inaccessibles, et leur discours bien rôdé. Des Russes combattent avec les soldats ukrainiens dans la région de Donetsk (est), au sein d'une très symbolique légion dénommée "Liberté de la Russie". Lorsque leur porte-parole, "Caesar", rencontre des journalistes, il les emmène généralement devant les ruines d'un monastère orthodoxe à Dolina, dans une zone reprise par l'armée ukrainienne à l'automne. La coupole dorée fracassée, le lion en stuc au milieu des gravats, les icônes religieuses éparpillées, offrent le décor idéal pour "montrer au monde quelles sont les valeurs de Poutine". "Caesar", belle gueule au regard bleu acier, déclame des phrases qui font mouche, en russe et parfois en anglais. "Je ne me bats pas contre la mère patrie, je me bats contre le régime de Poutine, contre la tyrannie". "Je ne suis pas un traître. Je suis un vrai patriote russe", répète-t-il. Créée au début de la guerre, la légion des combattants russes, dont l'emblème est un poing fermé surmonté des mots "Liberté" et "Russie", fait partie du corps des volontaires internationaux au sein de l'armée ukrainienne. Elle compte, selon "Caesar", "plusieurs centaines" de Russes, qui, après avoir reçu un entraînement de deux mois, se sont déployés à partir de mai dans le Donbass, cette région minière de l'est de l'Ukraine que Moscou essaye de totalement conquérir. Ses hommes sont notamment déployés à Bakhmout, l'un des points les plus chauds du front de l'est, théâtre depuis plusieurs mois de combats acharnés entre les troupes russes et ukrainiennes. Engagés essentiellement dans l'artillerie, ils sont sous le commandement d'officiers ukrainiens. "Ce sont des combattants motivés et professionnels, ils effectuent parfaitement leur tâche", assure un officier ukrainien sous couvert de l'anonymat. Les recrues ont été soumises à de nombreux entretiens, des tests psychologiques, et même au détecteur de mensonge afin d'éviter tout risque d'infiltration, explique-t-il. - Importance politique - Sur les réseaux sociaux -- Telegram, Twitter, Instagram... -- , la légion "Liberté de la Russie" poste essentiellement des vidéos de propagande et clame avoir reçu des milliers de candidatures. "Ils prennent part à la guerre mais n'ont pas un impact important, en raison de leur petit nombre", estime l'expert militaire ukrainien Oleg Jdanov. "Leur importance est plus politique. C'est bien pour l'Ukraine de pouvoir montrer qu'il y a des Russes qui soutiennent la démocratie et la liberté, et qui combattent du bon côté", résume-t-il. Difficile de savoir qui sont exactement les "patriotes russes" qui composent la légion et leurs motivations. Pour Tikhiy, un ouvrier originaire de Togliatti, capitale de l'automobile russe à 800 kilomètres au sud est de Moscou, elles semblent davantage personnelles que politiques. Ce quadragénaire au visage rond est issu d'une famille mixte. Sa femme, rencontrée en Russie, est ukrainienne. "Elle n'aurait pas compris que nous restions en Russie", dit ce père de deux enfants qui était en visite en famille à Kiev au moment de l'invasion. Ils ne sont jamais rentrés en Russie, et il s'est engagé dans l'armée ukrainienne au sein de la légion. Il n'a presque plus aucun contact avec sa famille restée en Russie, qui ne comprend pas son choix. "On leur a un peu lavé le cerveau. Mais je sais qu'ils sont inquiets pour moi". Et il a rompu avec ses amis. "Ils sont assis sur leur canapé en Russie et répètent: on va libérer l'Ukraine", ironise-t-il. Sans regret, sans état d'âme, il dit considérer les soldats russes comme des "ennemis" et se fera "sauter avec une grenade plutôt que d'être capturé" par les forces de Moscou. Tikhiy a demandé la nationalité ukrainienne, mais il ne pourra l'obtenir qu'une fois la guerre finie. "Pour le moment, j'ai toujours le passeport de l'ennemi". - "Nationaliste de droite" - "Caesar", le porte-parole, est pour sa part originaire de Saint-Pétersbourg où il était kinésithérapeute. Lui affirme avoir des motivations politiques, se présentant comme "un nationaliste de droite" qui pense que le régime de Vladimir Poutine ne peut être renversé que par la force. Il n'a aucune confiance dans les opposants - "tous des marionnettes" selon lui -, et estime que ses compatriotes "ne veulent rien voir ni entendre". L'homme s'anime brusquement: "La Russie est en train de mourir. Allez dans les villages, vous verrez des ivrognes, des drogués, des criminels. Le peuple souffre", lance-t-il. "C'est le résultat de 20 ans de Poutine. Son système, son gouvernement, ses députés, c'est de la merde. Ce sont des losers, des corrompus, des voleurs, qui ne pensent qu'à vivre dans l'argent et le plaisir. Ce n'est pas une façon de diriger un pays", fustige-t-il. L'invasion russe de l'Ukraine en le 24 février a été le déclencheur, il a emmené sa femme et ses quatre enfants à Kiev. "Eux aussi vivent dans la peur des bombardements et dans le froid, mais ils sont d'accord avec mes choix", déclare "Caesar", qui s'exprime à visage découvert puisque sa famille est désormais "à l'abri" en Ukraine. https://actu.orange.fr/monde/dans-l-armee-ukrainienne-une-tres-symbolique-legion-de-combattants-russes-CNT000001WFjpj.html -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Guerre en Ukraine : la Biélorussie a déployé les missiles russes S-400 et Iskander sur son territoire https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-la-bielorussie-a-deploye-les-missiles-russes-s-400-et-iskander-sur-son-territoire-20221221? -
Repri ici : Les tribulations du “Pannen-Panzer” ... https://www.france24.com/fr/europe/20221220-le-blindé-puma-symbole-des-ambitions-contrariées-de-l-armée-allemande
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[France] Armée de l'Air et de l'Espace
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Europe
Aïe ... L'élève et l'instructeur se sont parachutés ! Oufffff .... http://www.opex360.com/2022/12/16/un-avion-ecole-grob-120-de-larmee-de-lair-sest-ecrase-pres-de-saint-jean-dangelys/ -
[Iran]
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Plus terre à terre ... Source : AFP "Pour réprimer les manifestations, Téhéran utilise la peine de mort comme tactique d'intimidation, dénoncent des ONG. Parmi une vingtaine d'Iraniens qui risquent d'être pendus figure un footballeur professionnel, Amir Nasr Azadani, 26 ans. Pour faire taire les manifestations déclenchées par la mort le 16 septembre de Mahsa Amini, une Kurde iranienne de 22 ans, l'Iran brandit désormais la menace de la peine capitale. Selon Amnesty Internationale, les exécutions sont souvent soudaines, les autorités prononçant et exécutant les peines capitales de "manière rapide", souligne l'ONG qui prévient d'un "risque sérieux" pour des personnes dont les condamnations à mort n'ont pas été rendues publiques et qui pourraient être exécutées "à tout moment". Dans la ligne de mire des autorités, on trouve un médecin, des rappeurs, mais aussi un footballeur professionnel, Amir Nasr Azadani, 26 ans, qui risque lui aussi la peine capitale après avoir été inculpé pour la mort de trois agents de sécurité en novembre dans la ville d'Ispahan. Face à cette menace, le syndicat mondial des joueurs professionnels (Fifpro) a réagi sur Twitter, se disant "choqué et écœuré" par ces informations, alors que "ce footballeur avait fait campagne pour les droits des femmes et les libertés fondamentales dans son pays. Nous sommes solidaires d'Amir", a-t-il écrit sur son compte. Amir Nasr-Azadani, défenseur du club iranien d'Iranjavan, qui a joué avec les moins de 16 ans pour l'équipe nationale, a débuté sa carrière de footballeur avec l'équipe de Téhéran, Rah-Ahan, avec laquelle il a fait ses débuts dans la Premier League iranienne. L'ancienne star internationale iranienne Ali Karimi, fervent partisan des manifestations, a soutenu le footballeur dans un tweet : "N'exécutez pas Amir". Le chef de l’Autorité judiciaire d'Ispahan (centre-ouest), Abdullah Jafari, avait indiqué dimanche que le footballeur en détention depuis le 18 novembre était accusé d'appartenir à un groupe de neuf personnes qui ont cherché à s'en prendre aux "fondements de la République islamique d’Iran", selon l'agence Isna. "Amir et trois autres personnes sont à l'origine d'une émeute qui s'est produite le 16 novembre à Ispahan", au cours de laquelle trois agents de sécurité ont été tués, selon Abdullah Jafari. Amir Nasr-Azadani est soupçonné d'être impliqué dans la mort d'un des agents de sécurité, selon l'agence de presse Tasnim." https://www.tf1info.fr/international/iran-un-footballeur-professionnel-iranien-amir-nasr-azadani-condamne-a-mort-2241912.html -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
(Réservé aux abonnés) Le grand déballage explosif de l’ancien patron d’EDF face aux députés « Poison », politique « au doigt mouillé »… Devant la commission d’enquête sur la perte d’indépendance énergétique du pays, Henri Proglio se lâche. (Par Géraldine WoessnerPublié le 14/12/2022 à 13h40) "Il a dirigé l'entreprise de 2009 à 2014, à cet instant critique où la politique d'ouverture à la concurrence du marché de l'électricité, décidée par Bruxelles à la fin des années 1990, est pleinement entrée en application. Écarté de son poste par François Hollande au profit de Jean-Bernard Levy, alors jugé plus en phase avec les projets de décroissance nucléaire du gouvernement, Henri Proglio a lâché la bride devant les députés ce 13 décembre, accusant ouvertement Bruxelles et « les gouvernements successifs » d'avoir délibérément saccagé, depuis 2010, le système électrique français. Lorsqu'il prend la tête de l'entreprise publique « au début du XXIe siècle », raconte-t-il, « EDF est exportateur d'énergie, a les prix les moins chers d'Europe (deux fois et demie moins chers que l'Allemagne ... ... ..." https://www.lepoint.fr/politique/le-grand-deballage-explosif-de-l-ancien-patron-d-edf-face-aux-deputes-14-12-2022-2501768_20.php Si quelqu'un est abonné, bien volontier ... -
Mais ils ont la solution à cette équation ... [déjà 2 x plus loin] ->
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Guerre en Ukraine : «Les capacités militaires russes n'ont pas disparu», alerte le chef du renseignement estonien "Ne pas crier victoire trop vite. Lors d'une réunion du ministère de la Défense estonien vendredi, le colonel Grosberg, chef du renseignement, a tenu à rappeler qu'«aussi triste que cela puisse être, il n'y a aucun signe d'une fin rapide de cette guerre», comme le rapporte le média estonien ERR. Selon lui, «malgré les terribles pertes de la Russie, ses capacités militaires n'ont pas disparu». Il est vrai que depuis le mois de septembre, le conflit semble tourner à l'avantage des Ukrainiens. La contre-offensive menée dans l'est et le sud-est du pays a rapidement progressé, pour déboucher sur la reprise de Kherson. Le Kremlin a admis que la Crimée était désormais menacée. Le chef du renseignement estonien a néanmoins tenu à tempérer les plus optimistes, en mobilisant plusieurs informations précises sur les forces dont dispose encore l'armée russe. Le colonel Grosberg a d'abord déclaré que la Russie avait perdu environ 1400 chars depuis le 24 février. Nonobstant ce chiffre qu'il a qualifié de «stupéfiant», il a affirmé que cette perte n'était finalement pas si élevée compte tenu des réserves d'armement dont l'armée russe dispose. «À ce jour, la Russie dispose d'environ 9000 chars dans des sites de réparation et de stockage. Ce ne sont pas les plus modernes ni les plus récents, mais ce sont des chars», a-t-il déclaré. Selon lui, on peut considérer que trois de ces chars fournissent suffisamment de pièces et de matériaux pour rendre un char opérationnel. Autrement dit, «la Russie a le potentiel d'apporter au moins 3000 chars supplémentaires, ce qui est évidemment un très, très grand nombre et constitue une menace non seulement pour l'Ukraine, mais pour tous ses autres pays voisins», a déclaré le colonel estonien. Selon lui, on peut considérer que trois de ces chars fournissent suffisamment de pièces et de matériaux pour rendre un char opérationnel. Autrement dit, «la Russie a le potentiel d'apporter au moins 3000 chars supplémentaires, ce qui est évidemment un très, très grand nombre et constitue une menace non seulement pour l'Ukraine, mais pour tous ses autres pays voisins», a déclaré le colonel estonien. Margo Grosberg a fait peu ou prou le même constat concernant les soldats dont disposerait encore l'armée russe. Il a rappelé le chiffre de 100.000 pertes (tués, blessés ou soldats mis hors d'état de nuire) avancé récemment par le chef d'État-major américain. Il a ensuite rappelé que l'effort de mobilisation avait augmenté les effectifs russes d'environ 300.000 soldats. «Encore une fois, de simples calculs nous montrent que même avec 100.000 victimes, ils ont la capacité d'envoyer 200.000 soldats [supplémentaires] sur le front ukrainien», a déclaré Grosberg, qui a toutefois concédé que ces soldats n'étaient pas nécessairement aussi bien formés que les militaires mobilisés au début de l'invasion, en février dernier. Même raisonnement concernant les munitions d'artillerie, qui constitue un enjeu central pour l'armée, du côté ukrainien comme du côté russe. «Nous estimons que la Russie avait environ 17 millions d'obus avant le début de la guerre, dont 10 millions ont été utilisés», a-t-il déclaré. Or, l'industrie de l'armement russe était en capacité au début de la guerre de reconditionner environ 1,7 million d'unités par an. Mais ce chiffre a considérablement augmenté, suite à l'accélération de la cadence des usines après le début de l'invasion. Le chef du renseignement estonien estime désormais que l'armée dispose d'un stock de 10 millions de munitions d'artillerie et que l'industrie russe est en mesure d'en produire 3,4 millions supplémentaires chaque année. «Ce qui signifie qu'ils auraient assez de munitions pour au moins une autre année, sinon plus, de guerre », a conclu le colonel." https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-les-capacites-militaires-russes-n-ont-pas-disparu-alerte-le-chef-du-renseignement-estonien-20221213? -
NASA, Lanceur SLS
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de alpacks dans Engins spatiaux, Espace...
L'amerrissage a eu lieu au large de l'île mexicaine de Guadalupe à 17H40 GMT (09H40 du matin heure locale). Les réactions : "Je pense qu'aucun de nous n'aurait pu imaginer une mission davantage réussie", s'est félicité lors d'une conférence de presse Mike Sarafin, en charge à la Nasa de cette mission Artémis 1. "Nous avons désormais un moyen de transport vers l'espace lointain". "Nous avons eu un amerrissage absolument parfait", s'est réjouie Melissa Jones, en charge des opérations de récupération, auxquelles la Nasa s'entraîne depuis des années. "Depuis des années, des milliers de personnes se sont consacrées à cette mission », a souligné dans un communiqué le patron de l’agence spatiale américaine, Bill Nelson. « Ce jour marque une grande réussite pour la Nasa, les États-Unis, nos partenaires internationaux, et toute l’humanité." La rentrée : "Le 9 décembre, le système de propulsion du module d’équipage (ou Crew Module) a été testé. Les cinq impulsions de chaque propulseur ont duré 75 ms chacune et ont été conduites en paires opposées pour neutraliser autant que possible tout mouvement vers le vaisseau spatial. Le système de propulsion du module d’équipage est composé de 2 x 6 paires de moteurs MR-104G monocarburants situés sur la coque arrière d’Orion. Ces moteurs sont une variante des propulseurs MR-104, qui ont été utilisés dans d’autres vaisseaux spatiaux de la NASA, dont les sondes Voyagers interplanétaires 1 et 2. Ce système garanti que le vaisseau spatial est correctement orienté pour la rentrée, avec son bouclier thermique pointé vers l’avant, et stable pendant la descente sous les parachutes. Illustration du système de propulsion du Crew module en action (crédit NASA) Samedi 10 décembre, les moteurs auxiliaires du vaisseau ont été allumés pendant 8 secondes afin d’affiner la trajectoire retour vers la Terre et accélérant le vaisseau spatial de 5,5 km/h. La sixième et dernière manœuvre de correction de trajectoire a eu lieu environ 5 heures avant qu’Orion n’entre dans l’atmosphère terrestre. Une rentrée avec rebonds : Le module d’équipage du vaisseau spatial Orion de la NASA s’est séparé avec succès de son module de service le dimanche 11 décembre à 17h00 UTC. Cela conclu la mission de propulsion, de contrôle thermique, de fourniture d’alimentation électrique et de diffusions de magnifiques images grâce aux caméras fixées aux extrémités des panneaux solaires de l’ESM, l’European Service Module, fourni par l’ESA. Ensuite, le module d’équipage a effectué une « Sky Entry », ou entrée avec rebond, plongeant dans la partie supérieure de l’atmosphère terrestre et utilisant cette atmosphère, avec augmentation de l’altitude de la capsule, pour sauter hors de l’atmosphère, puis rentrer pour une descente finale. (en bleu le profile de rentrée d'Orion) Cette technique permet au vaisseau spatial d’être envoyé avec précision vers sur le site d’atterrissage sélectionné pour les missions Artemis, peu importe le moment du départ de l’orbite lunaire. Pendant Apollo, la capsule est entrée directement dans l’atmosphère terrestre et a pu parcourir jusqu’à 1 500 milles marins au-delà de cet endroit avant de rentrer. Cette portée limitée exigeait que les navires de la marine américaine soient stationnés dans plusieurs endroits éloignés de l’Océan. En utilisant une « entrée en saut », Orion peut voler jusqu’à 4 800 milles marins au-delà du point d’entrée, ce qui permet au vaisseau spatial de se poser avec plus de précision. L’entrée en saut permet également de limiter l’échauffement de la capsule ainsi que les forces G ressenties par les astronautes : au lieu d’un seul événement d’accélération élevée, il y aura deux événements d’une accélération inférieure d’environ 4G chacun. A une altitude de 40 000 pieds, et à près de Mach 10, les premiers parachutes de freinage se sont déployés. Puis ce fut le tour des parachutes pilotes et pour finir les 3 derniers parachutes principaux de 35 m de diamètre chacun, à 5 000 pieds d’altitude (~1600 m). La rentrée atmosphérique s’est faite à près de 40 000 km/h. La température au niveau du bouclier thermique a atteint selon les simulations la température de 2760°C (données de vol en cours de dépouillement). Puis les 11 parachutes successifs ont ralenti la capsule à une vitesse subsonique puis pour atteindre une vitesse raisonnable de 32 km/h." https://reves-d-espace.com/artemis-1-orion-de-retour-sur-terre/ Une des dernières et magnifique image de la mission prise par une des caméras du module de service ESM, à une altitude de 11 000 km de la Terre, avant la séparation et la phase finale du retour sur Terre ... -
NASA, Lanceur SLS
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de alpacks dans Engins spatiaux, Espace...
Qu'elle est déja loin ... ! 25e jour de la mission le 10 décembre dernier, photo du EMS avec la Lune en fond ... 1ère photo prise depuis le hublot au dessus d'Orion après le rétablissement des communications après la rentrée atmosphérique : Le splashes down (30 km/h) ... L’USS Portland : -
NASA, Lanceur SLS
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de alpacks dans Engins spatiaux, Espace...
... Et surtout le bouclier thermique (et les composites), le plus grand jamais conçu, d'un diamètre de 5,20 mètres et 186 blocs ou "tuiles". Celui-ci devant protéger Orion d'une entrée dans l'atmosphère à 40 000 km/h et 2800° C (soit environ la moitié de la température à la surface du soleil), et globalement être capable de supporter des températures plus froides et plus chaudes de ce qui était réalisé jusqu'à présent. (article -blog d'Alain De Martino- intéressant de 2015 avec de très belles photos) : "Les dirigeants du programme Orion ont décidé de débuter la construction du nouveau bouclier thermique par blocs plutôt que comme une structure monolithique, manœuvre qui découle des connaissances acquises à la suite du vol-test EFT-1. Pour la mission EM -1, la couche supérieure du bouclier thermique d'Orion qui est sensé supporter les hautes températures de rentrée atmosphérique sera donc composée d'environ 180 blocs qui peuvent être construits en plusieurs étapes, facilitant le processus de fabrication. « Le bouclier thermique que nous avons testé lors du vol de décembre dernier a donné toute satisfaction et nous a permis de récolter une énorme quantité de données sur sa performance thermique et mécanique» a déclaré Mark Kirasich, gestionnaire intérimaire du Programme Orion. (Les examens post-vol ont confirmé une bonne performance dans les limites des tolérances prévues, choses impossibles à acquérir en laboratoire.) « Mais le processus de construction du bouclier en une seule pièce pour ce vol nous a aussi donné un aperçu de la façon dont nous pourrions améliorer la manière de construire cet élément essentiel pour l'engin spatial » a-t-il ajouté. L'écran thermique est constitué d'un squelette de titane et d’une peau en fibres de carbone qui donnent au module d'équipage cette forme circulaire et fourni un appui structurel au sommet de duquel la structure alvéolaire en fibre de verre-phénolique est placée. La structure en nid d'abeilles comporte 320.000 minuscules cellules remplies individuellement à la main avec un matériau ablatif appelé Avcoat*. Cette structure a ensuite été cuite dans un grand four, radiographiée puis usinée pour répondre aux exigences précises d'épaisseur." *Ce bouclier de type ablatif est composé d’un système en nid d’abeille à base de titane et de fibres de carbone. Les milliers de cellules constituant le nid d’abeilles contiennent un matériau appelé AVCOAT 5026-39 qui se consume sous l’effet de la chaleur. Il s’agit d’une résine époxy contenant des additifs particuliers. et plus dans l'actualité : https://developpement-orion.over-blog.com/2022/12/succes-de-la-mission-artemis-1.html Ou encore un autre article de 2018 de même facture : https://www.agences-spatiales.fr/vaisseau-orion/ -
Allemagne
jojo (lo savoyârd) a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Tout à fait. Oui et çà c'est chez nous ... Chez eux il faut remettre tout çà dans le contexte historique du pays et le psychodrame que çà génère. De plus cela met en lumière les divisions internes bien réelles au sein de leur société sur le traitement de ces sujets sensibles. L'échelle des moyens mis en œuvre et la résonance de cette affaire est juste en rapport à tout çà. -
http://www.opex360.com/2022/12/08/le-rafale-m-serait-en-ballotage-tres-favorable-pour-equiper-la-marine-indienne/