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Tout ce qui a été posté par christophe 38
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si c'est pour le Costa Concordia, le commandant a eu peur, a été lache et s'est sauvé à terre alors que le bateau n'etait pas coulé, qu'il restait des gens à évacuer... sinon, ce n'est, normalement, pas comme ça que ça se passe : quand tu embarques, on te distribue une brassiere et on te montre la zone de recueil, la zone de rendez vous où il faudra aller pour l'exercice ou le vrai abandon du navire. (parce que, peu apres le départ, il y aura un exercice pour que chacun (re) connaisse la route à emprunter pour y aller... Dans cette zone, tu as des membres d'équipage qui, d'une part notent les présents, pour compter les absents et pour te diriger vers les embarcations ou les radeaux mis à l'eau. Quand il y a le temps, quand c'est possible, une derniere ronde est faite pour s'assurer de n'oublier personne derriere. MAIS, si le compartiment est noyé, si la porte est bloquée et que personne ne donne signe de vie derriere, le sauveteur n'a pas à mourir pour récuperer un éventuel cadavre (il n'y a plus d'urgence pour lui). les officiers ont, pour role, d'organiser l'évacuation, éviter la panique, etc... pas facile sur des navires grands comme des villes, avec des dizaines de langues parlées. sur des plus petits bateaux, quand je pars en croisiere en Egypte, contre, la porte, à l'interieur, j'ai un sac à dos avec une pochette étanche, 2 vetements de rechange, passeport, carte bleue : la brassiere est à portée de main, pres du lit (et, accessoirement un cyalume ou une lampe, des fois que, dans l'incendie, l'electricité soit coupée.
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l'efficacité balistique de la munition, avec le basculement, son pouvoir de penetration (vu la vitesse de la mun' passe les gilets classe III, il faut avoir les plaques additionnelles pour que le gilet fasse son job), ce sont des raisons qui ont bloqué sa commercialisation (dans le civil) en France. Dans les années 90, je lorgnais grave sur un pistolet 5.7, en détention sportive et, des collegues (du RAID) m'avaient expliqué les difficultés que j'allais avoir pour trouver l'arme (au Luxembourg, à l'époque) et les munitions et la dangerosité, si l'arme était volée (cambriolage du domicile). L'arme aurait été invendable en France, sauf en presse papier (neutralisée). l'interet que je trouvais à la munition, c'etait sa fleche importante, au delà de 100 m et sa perte d'efficacité dans les grandes distances. Le secret service US a été équipé de P90 (je ne sais pas s'il l'est toujours)
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Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.bfmtv.com/sante/vaccination-et-vacances-le-casse-tete-de-la-deuxieme-dose_AN-202106050105.html j'en étais resté à un "non" ferme ; la raison est (etait ?) un probleme logistique : d'une part quand on se fait vacciner dans un centre, ce dernier cale le rendez vous pour la seconde dose, donc, la commande. Ensuite, vu l'afflux des vacanciers dans certains coins, il faudrait (aura fallu, faudra ?) transferer (beaucoup) de doses sur les lieux de villégiature, sans aucune garantie qu'elles seront toutes utilisées... j'en étais là le probleme n'etant pas que les gens ne partent pas longtemps, simplement qu'ils ne soient pas là au moment de la seconde injection -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
je pense qu'une des erreurs a été de ne pas accepter que la seconde dose puisse etre fournie sur le lieu de vacances... beaucoup ont du calculer et se dire qu'ils verraient à la rentrée.. -
Bienvenue ici
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Chine
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
et, le resultat commence par une baisse de la natalité, l'échec d'avoir plusieurs enfants (à cause de couts de la scolarité, de cout du logement, du temps passé à s'occuper des enfants et pas d'eux (pour les parents) ; bref, un virage est en train de se prendre -
terrorisme Opération Barkhane
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
sud ouest du jour : Forces spéciales : « Pas de place pour les mythos » Le général Christophe Gomart a dirigé le Commandement des forces spéciales. De la Libye au Mali, une expérience qu’il raconte dans son livre « Soldat de l’ombre ». Interview En août 2011, quand vous prenez la direction du Commandement des opérations spéciales, le COS, une première mission vous attend : la guerre civile en Libye contre le colonel Kadhafi. Quel a été le rôle des forces spéciales ? À mon arrivée à la tête du COS, elles étaient déjà déployées en Libye. Le président Nicolas Sarkozy avait décidé d’envoyer 30 « conseillers » au profit des forces anti-Kadhafi, des katibats opposées au régime. Or, il n’y avait pas vraiment de coordination entre elles. Nous avons travaillé à les réorganiser. Dans le même temps, nous avions besoin de renseignement pour apprécier la situation et guider les avions français et britanniques qui allaient frapper. On a envoyé au sol des équipiers du 13e RDP, du CPA 10, les commandos parachutistes de l’air, et des commandos marine. Début 2013, la France lance l’opération Serval contre les djihadistes au Mali. Les forces spéciales que vous dirigez entrent en premier… Le 11 janvier 2013, je reçois l’ordre du chef d’état-major des armées d’intervenir. Cette décision de rentrer au Mali a été prise par le président de la République François Hollande. L’objectif était de détruire les forces djihadistes qui descendaient vers Bamako. Dans l’après-midi du 11 janvier, j’ai envoyé deux hélicoptères, qui étaient prépositionnés au Burkina Faso, pour les arrêter. Ils ont détruit trois pick-up, marquant ainsi concrètement l’arrêt de leur descente vers le sud et le début de la reconquête. Malgré les dégâts infligés par ces deux Gazelle Hot, la riposte des djihadistes a été rude… Un des hélicoptères a été touché et a dû se poser. Après avoir récupéré l’équipage, nous l’avons détruit pour éviter que les terroristes ne s’en servent pour leur propagande. Et dans l’autre, une balle a traversé le cockpit et a mortellement touché le pilote, le lieutenant Damien Boiteux. Malheureusement, c’est le premier soldat français mort au Mali, en 2013. Vous le racontez dans votre livre, la mort n’épargne pas les forces spéciales. Comment l’appréhender ? Tous les militaires prennent des risques. On met tout en œuvre pour éviter d’avoir des blessés et des tués tout en faisant le plus de mal à l’adversaire. Mais au combat, celui-ci se défend et c’est normal. Cependant, dans tout combat, il y a le brouillard de la guerre. Quand j’étais à la tête du COS, j’ai perdu le lieutenant Boiteux, puis le sergent Stéphane Duval du 1er RPIMA. Nous avons eu aussi des pertes en Afghanistan. C’est pour ça qu’en opération les armées envoient des aumôniers : pour avoir un soutien moral et spirituel. Les soldats doivent avoir une assurance vie. C’est aussi une manière d’appréhender ce risque. Emmanuel Macron a annoncé la fin de Barkhane. Après huit ans de combat au Sahel, est-ce un échec ? Toute opération doit évoluer. Il y a trois piliers dans un pays pour avoir la paix : sécuritaire, économique et politique. Le premier a été rempli en grande partie, mais on ne peut pas aller plus loin sans développer les deux autres. Les djihadistes comptent beaucoup de jeunes Maliens du Nord sans emploi et qu’ils payent. Quant à la stabilité politique du Mali, nous en sommes loin après deux coups d’État successifs… Le saut à très haute altitude est une des spécialités des forces spéciales. Vous qui avez été chuteur opérationnel, comment se prépare-t-on ? Tomber d’un avion n’est pas tellement naturel, surtout quand on est lourdement chargé, qu’il fait nuit et froid. Aujourd’hui, les forces spéciales sont très bien équipées. Les chuteurs sautent sous oxygène depuis 8 000 mètres, voire un peu plus. Ce sont des techniques particulières. Il faut beaucoup d’entraînement. Comme nageur de combat, ce n’est pas un sport de masse. Quel est l’intérêt tactique ? Le but est d’installer des équipes de manière très discrète derrière les lignes ennemies. C’est ce qu’on a fait en 2013 à Tessalit, au Mali. Personne ne s’y attendait. L’objectif était de prendre l’aérodrome pour, ensuite, pouvoir poser des avions. C’est ce que nous avons fait avec une trentaine de parachutistes. Aujourd’hui, beaucoup d’opérations du COS utilisent les chuteurs. L’innovation technologique est aussi dans l’ADN des forces spéciales… Mais l’homme peut-il être remplacé ? La machine est indispensable mais c’est l’homme qui décide. Il est essentiel. Dans toutes ces unités, des cellules innovations développent des matériels : parachutes, jumelles à vision nocturne, treillis plus légers et résistant aux coups de couteau, nourriture lyophilisée qui ne pèse pas lourd dans le sac, moyens de liaisons… Quels sont les défis de demain en la matière ? Ils sont nombreux : gagner de la visibilité de nuit, se cacher avec des bâches permettant de disparaître, bénéficier au mieux de l’intelligence artificielle… Vous comparez la prise de Troie par les Grecs à une opération des forces spéciales… La prise de Troie, c’est une façon de faire autrement. On demande aux forces spéciales d’être audacieuses, rusées et de penser autrement, comme ont pu le faire Du Guesclin, Surcouf ou le capitaine Conan… Les sélections pour entrer dans les forces spéciales sont très exigeantes. Que recherchez-vous ? Tous les candidats sont volontaires. La sélection est à la fois physique, intellectuelle et psychologique. On doit avoir confiance dans l’équipier, connaître sa capacité à résister à la fatigue, au stress, à la peur, à raisonner juste en toutes circonstances. Il n’y a pas de place pour les mythos. Quel rôle jouent les femmes ? Il y a des femmes dans les forces spéciales, c’est heureux. En Afghanistan ou en Irak, il faut des femmes qui parlent aux femmes. Dans ces pays, elles ne parlent pas aux hommes. Ensuite, les stages, pourquoi pas ? Réussiront-elles ? Il ne faut pas d’avantages, ni de quotas. Mais il faut plus de femmes. «Soldat de l’ombre », paru aux Éditions Tallandier, 380 p., 19,90 € Dans « Soldat de l’ombre », coécrit avec le journaliste Jean Guisnel, le général Christophe Gomart raconte ses 35 années de guerre sous les écrans radars. Du Rwanda aux Balkans en passant par l’Afghanistan, la Libye ou encore le Sahel, il décrit les coulisses de ces missions décidées au plus sommet de l’État. Éclairant je me suis permis de mettre quelques mots en gras, pour appuyer mon post précédent : nous avons fait notre part. -
terrorisme Opération Barkhane
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne veux juste dire qu'une armée étrangère sur le sol d'un pays dont les habitants ne veulent pas, j'appelle cela une armée d'occupation. Je fais le distinguo entre "à la demande du chef d'etat du pays" et la volonté des habitants ; imaginons que le chef d'etat soit un dictateur arrivé par la force, l'armée étrangère, alliée, qui est venue à la demande du président/dirigeant fait partie du clan du dictateur et l'aide à se maintenir en place. Que les habitants soient mal ou pas informés du travail, des efforts, des pertes de cette armée étrangère ne dépend pas de nous ; si nous communiquons chez eux là dessus, ce sera de la propagande pour justifier notre présence. C'est au gouvernement qui nous a demandé de venir d'éduquer sa population. mon smiley ne s'adresse surtout pas à toi, mais aux Maliens, s'ils devaient se poser ces questions avec le sondage dont nous parlons plus haut. -
Mayotte 101ème département français
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Neuron dans Politique etrangère / Relations internationales
dans la presse locale de ce jour, l anniversaire de l'indépendance autour de l'équipe de foot nationale (c'est à peut pres tout ce qui marche) https://lejournaldemayotte.yt/2021/07/06/comores-pour-la-fete-de-lindependance-le-pays-veut-federer-autour-des-coelacanthes/ " Comores : pour la fête de l’indépendance, le pays veut fédérer autour des Coelacanthes Il n’y a pas un thème officiel à proprement parler mais l’exploit réalisé par l’équipe nationale de football est mis en avant par les autorités pour marquer les 46 ans de l’indépendance. Un sujet fédérateur, quand d’autres secteurs restent à la peine. Par A.S. Kemba - 6 juillet 2021 0 30 La place de l'Indépendance où auront lieu les cérémonies officielles du 6 juillet. (© C.M) La fête nationale du 6 juillet est entièrement dédiée cette année aux Cœlacanthes, l’équipe nationale de football qualifiée, pour la première fois, à la Coupe d’Afrique des Nations 2021. Un exploit qui permet ainsi d’inscrire le pays sur le registre de la phase nationale de la plus prestigieuse compétition sportive continentale. A Moroni, des panneaux d’affichages à grands formats font l’éloge des Cœlacanthes au milieu de l’image du président Azali Assoumani qui a fait adhérer les Comores à la FIFA et à la CAF en 2005. L’équipe nationale est devenue le dénominateur commun des Comoriens. Le sport, le football en particulier, fait vivre le slogan « fier d’être Comorien » et ravive la flamme de l’unité de la Nation. Il n’y a pas un bilan officiel présenté à l’occasion de cette 46ème célébration de l’indépendance. La télévision nationale donne ces derniers jours la parole à des cadres pour exprimer leurs opinions sur les acquis et les ratés de l’indépendance. Les déclarations faites sont beaucoup plus des points de vue que de sérieuses analyses de la situation réelle du pays. « Les acquis et les ratés » de l’indépendance Les uns estiment que l’indépendance était un passage obligé pour sortir du joug colonial et construire un destin purement comorien, ajoutant que cette indépendance reste la marque de fabrique de la fierté comorienne. Les autres y voient une indépendance qui est loin d’apporter les résultats souhaités du fait que le pays reste fortement dépendant de l’extérieur et aujourd’hui confronté à d’immenses difficultés socio-économiques avec un taux de pauvreté estimé à 48% de la population. Faute d’études sur « les acquis et les ratés » de l’indépendance, il sera difficile de faire un bilan exhaustif des 46 ans de l’indépendance. Le pays peut toutefois se vanter d’avoir assuré la gestion de tous les leviers de l’Etat grâce à ses cadres formés dans presque tous les domaines : l’administration publique, l’armée, les télécommunications, le Sport, la Santé, l’Education, la Justice. Les entreprises publiques, le numérique et bien d’autres secteurs sont par ailleurs aux mains de Comoriens. « Aux Coelacanthes la Nation reconnaissante ». L’un des seuls véritables thèmes fédérateurs mis à l’honneur ce 6 juillet. Côté éducation, des études récentes montrent une amélioration du taux d’alphabétisation de la population. Le taux de scolarisation est passé de 26% en 1990 à 89% en 2020 avec 76% qui atteignent le lycée contre moins de 11% aux années 1990, selon des données consolidées du ministère de l’Education nationale. D’importantes infrastructures scolaires ont été construites grâce à de vastes programmes lancés au milieu des années 1990 et à la loi d’orientation de l’Education nationale adoptée en 1994. Le pays se dote d’une université depuis 2003 (avec presque toutes les filières essentielles) et projette une école de médecine, une école doctorale ainsi que d’autres structures de formation dans divers domaines. « L’espérance de vie à la naissance s’est améliorée passant de 54 ans en 1991 à 67 ans en 2012« , d’après l’OMS. Le secteur de la Santé connait toutefois de sérieuses difficultés faute d’investissements pour doter le pays de spécialistes, d’infrastructures modernes et améliorer la qualité des soins dans les différents centres de santé. Conséquence : beaucoup de Comoriens vont ailleurs pour se faire soigner bien que cette tranche de la population représente « Moins de 26% des personnes qui tombent malades chaque année aux Comores« , d’après un cadre du ministère de la Santé. Le pays dispose de structures de santé « tous les 5 ou 10 kilomètres » mais elles sont sous sous-équipées en matériels, mal entretenues et manquent d’un personnel qualifié. Le pays a toutefois pu éradiquer totalement plusieurs maladies et autres pathologies ces 40 dernières années dont la tuberculose et le paludisme et assure un taux de couverture vaccinale de plus de 73% de la population contre les épidémies. L’Union des Comores fait partie des 22 pays africains ayant atteint « un niveau raisonnable de l’objectif 4 » des OMD (Objectifs du millénaire de développement). Il s’agit de la réduction du taux de mortalité infanto-maternelle. Un indicateur qui passe de 517 (en 1990) à moins de 100 (en 2015) sur 100.000 naissances. Même si l’OMS note que des « disparités socio-économiques entre les îles, entre les milieux rural et urbain et entre les sexes sont à la base de ces résultats ». Une forte dépendance alimentaire Côté infrastructures, le bilan est encore faible. Le pays dispose d’un réseau routier national estimé à 985 kilomètres mais seulement « 435 km reste en bon état« , soit près de la moitié, alors que d’autres centaines de kilomètres construits dans les années 1980 sont à reconstruire. L’électrification du pays est presque effective avec seulement quelques localités qui n’ont pas été branchées au réseau public. Le pays est toutefois confronté à des crises énergétiques à répétition mais, grâce à un schéma directeur sur l’énergie, il souhaite faire du solaire une alternative durable pour stabiliser la fourniture régulière du courant tout en respectant ses engagements en matière de développement durable. Par contre, les difficultés d’approvisionnement en eau restent en l’état malgré d’importantes ressources mobilisées ces dix dernières années. Le rêve d’un accès à l’eau pour tous n’est toujours pas au rendez-vous. Le secteur agricole ne se développe pas tout comme celui de la pêche. La dépendance alimentaire est forte, comme l’a d’ailleurs reconnu, vendredi 2 juillet, le ministre de l’Economie, Houmed M’saidie qui affirme que « 90% des produits consommés aux Comores sont importés ». Côté télécommunications, le pays a fait un pas de géant grâce à l’arrivée de l’internet en 1998, le cellulaire en 2004, la fibre optique en 2009 et la 3G en 2012. C’est le secteur qui connait un boom, permettant au pays de développer de nouveaux services dans divers secteurs comme le mobile banking. Les Comores disposaient d’une seule banque commerciale en 1990. Elles sont quatre aujourd’hui avec un important réseau de micro-finance qui assure presque la moitié de l’activité économique nationale. Le sport, le football surtout, reste aujourd’hui le seul domaine fédérateur avec une relative évolution des infrastructures et des palmarès. Le pays ne disposait d’aucun stade international. Ils sont cinq aujourd’hui. Le pays ne dispose pas d’un stade olympique en bonne et due forme mais il accueille sans difficultés des matchs internationaux et se projette à organiser de grandes compétitions régions les comme les Jeux des Iles de l’Océan indien. Les Cœlacanthes portent aujourd’hui cette fierté comorienne et seront honorés à l’occasion de ce 6 juillet 2021. A.S.Kemba, Moroni " le taux d'alphabétisation.. de 26% en 90, cela veut dire que les enfants qui avaient 12 ans en 90 ont la quarantaine aujourd'hui et que les 3/4 sont illettrés. 67 ans, la duree de vie moyenne un peu comme à Mada qui a feté l'indépendance la semaine derniere ; à un européen rencontré sur les pontons qui se réjouissait de la fete de l'indé de Mada, je lui ai répondu que, au vu de l'état du pays, les morts de faim, l'absence de routes, de reseau electrique, d'indépendance, il n'y avait pas de quoi se réjouir : ils sont "libres" (mais, vendus à la Chine) et ils crevent. est ce un succes ?? -
terrorisme Opération Barkhane
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
j'y vois une solution : devant le désamour, le désaveu et le rejet de nos forces, je ne comprends pas que nous y soyons, que nous y restions, voire que nous ayons des morts ou des blessés français pour une population (de sondés) qui à 93% nous rejette. Qu'y faisons nous encore ? laissons les se démerder ; de toutes les manieres, le terrorisme islamique ne fait que progresser, en tout cas plus vite que notre efficacité. A terme, c'est lui qui gagnera. Si les militaires maliens sont si efficaces, laissons les gerer. S'ils sont anti français, arretons de financer des projets, arretons les aides. Il y a tant de besoins ailleurs. -
[Afghanistan]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
j'avais relevé particulierement cette phrase : " ...et quel état pour nos armées, voir quelle évolution de la menace sur le TN ? La question est dure, mais elle mérite d'être posé." donc, quelle est la menace sur le territoire national ? (à part le terrorisme, mais, qui ne devrait pas permettre l'engagement de la Marine, des Rafales ou des chars Leclerc, sur le TN ) a t elle évolué ces dernieres années ? -
[Afghanistan]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
et, donc, quelle est l'évolution de la menace, sur le territoire national ? qu'est ce qui pourrait arriver, de pire, que les années précédentes ? quelles seraient les pistes ou les solutions à mettre en oeuvre pour que cela n'arrive pas ? (est ce souhaitable par les citoyens ? est ce realiste ? est ce faisable, puisque nous faisons partie de l'UE et qu'il y a "quelques" contraintes..) juste un éclairage : nous subissons un terrorisme islamique, mais, tous les musulmans ne sont pas terroristes. -
Sureté des armes nucléaires (US et autres)
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de collectionneur dans Dissuasion nucléaire
je dirai qu'il est irradié, c'est à dire qu'on ne peut pas le manipuler ni le stocker sans "polluer", c'est à dire sans irradier l'environnement humain ou matériel (et le contaminer pour de longues periodes). Quand tu vois les missiles nucleaires, les films qui documentent sur les premieres bombes atomiques, tu vois des gens habillés normalement autour. L'uranium n'est pas encore irradié et reste "inerte" (sinon, dans les silos des sous marins nucléaires, il faudrait autre chose pour contenir la radioactivité) -
co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
yop tu as raison ; à Mayotte, où les toits sont en tole, avec parfois une couche d'air qui circule entre la tole et le toit de l'habitation (le toit, c'est à dire mon plafond est en contreplaqué ; le toit est en tole, 20 cm au dessus), pas facile d'avoir du frais. il n'y a aucune isolation sur les murs, quand aux fenetres, elles isolent du bruit autant qu'une toile de tente.. donc, la chaleur... nous avons, vers décembre, fréquemment, vers midi quand nous rentrons manger, 32-35° dedans, sachant que dehors, il fait autour de 45 au soleil. nous utilisons des rideaux épais, pour éviter les rayons directs et la clim à 27-28. Nous renforçons la clim par un ventilateur qui dirige l'air moins chaud (je n'ai pas écris frais) vers nous ou vers le bas. La nuit, il fait dans les 32+ la temperature aujourd'hui : https://www.infoclimat.fr/observations-meteo/temps-reel/dzaoudzi-pamanzi-mayotte/67005.html?_ut_co=1612088670 à 15h, ressenti 35° là, c'est l'hiver et nous avons frais à 24-25 (limite que nous ne mettions pas la clim à 28)- 2 323 réponses
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Actualités des Patrouilleurs et des BSA en Metropole et OM
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Europe
ils peuvent aussi venir nous voir et observer ce que nous faisons depuis 2008 à Mayotte la chose qui nous manque le plus, ce sont des drones de surveillance (des thermiques avec 12 h d'autonomie au moins, pour envoyer des intercepteurs à coup sur) -
Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Divers
heu, le plus important, c'est qu'ils arrivent ; le plein, ça peut se faire une fois la mission accomplie et, ils ont des cartes essence -
Il me semble (semblait ?) que le choix avait été fait pour un Glock 17 (Gen 4 ?) par contre, je crois qu'en ce moment, il manque l'allié le plus important, le fric ! l'Etat s'est endetté pour soutenir l'économie, à coups de dizaines de milliards ; pas sur que ce soit si pressant de remplacer un "truc" qui fonctionne...
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bonsoir quand il a été acheté, le marché portait sur un cout de 220 euros par arme, avec (de mémoire) 3 chargeurs (2 en dotations, le 3eme doit etre en cas de perte) et des rechanges jusqu'en 2022. Ce n'est "plus" une arme, c'est du jetable ; c'est fonctionnel mais rien ne coute cher, dedans. enfin, en tirant les 3 seances de 2 chargeurs par an, moins de 100 coups, ça ne va pas user des masses l'arme ; dans les écoles, ce n'est pas pareil, mais pour l'immense majorité de ceux qui en sont équipés, il va. Sous le climat tropical, il s'oxyde un peu, mais, rien de bien méchant. (autrement écrit, il peut durer encore un peu) le PAMAS, c'est Gendarmerie ; c'est un Beretta 92 francisé et, coté munitions, il n'y a plus de munitions pour la MAT 49..... donc, de la 9 para "normale" (pas dopée)
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dans la rue, c'est aussi ce qui est entendu, mais, pas de date de peremption
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Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
demande en Angleterre comment ils font.. Vous fumez ? vous avez un cancer ? revenez nous voir quand vous aurez arreté de fumer ; vous soigner avant, c'est "gacher" des lits et des soins... juste une idée : une partie de la baisse des vaccinations est peut etre due au fait que la seconde piquouze ne se fera que sur le site de la premiere injection, et non pas sur le lieu des vacances.. c'est à dire que les gens qui raisonnent ainsi se disent que l'intervalle entre les deux piqures leur fait "tomber" la seconde alors qu'ils seront à ... X km de la maison et que l'efficacité du vaccin ne sera acquise que 2 semaines apres, donc trop tard pour les vacances. Ils reportent peut etre leur projet de vaccin pour la rentrée ? -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
ce que j'aimerai aussi, c'est que ces personnes aient à assumer leurs choix ; c'est à dire que, s'ils sont contaminés et non vaccinés, qu'ils passent en dernier pour les soins... puisque c'est leur choix et qu'il est potentiellement responsable d'autres contaminations... -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
tu veux écouter des gens qui pensent qu'ils vont capter la 5 G de Bill Gates avec le vaccin ?? qu'on leur a trop menti ? ont ils la capacité de comprendre ce qu'ils lisent ?? quand j'ai dit à un copain que ma retraite avait pris 1.1% depuis 9 ans mais que les prelevements correspondaient à 5% pour la meme periode, il a trouvé cela anormal et a déclaré qu'il fallait augmenter ma retraite. La question suivante a été : es tu d'accord pour payer plus d'impots, puisque ce sont tes impots qui me paient ? et la, il a bafouillé, parce qu'il n'avait pas vu cela comme ça.... bref, reflechir à la ligne d'apres, c'est surhumain, pour certains -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
cépafo, mais, est ce ma faute s'ils refusent de s'instruire ? ils ont tant peur que ça de voir que leur monde supposé ne leur convient pas ?? moi aussi, je me pose des questions sur l'évolution, l'augmentation de la population, les vagues d'immigration, les besoins alimentaires, en eau, en produits de consommation, qui se traduisent en augmentation de temperature... (de toutes les manieres, si demain l'homme disparaissait totalement, il faudrait dans les 500-600 ans pour que la courbe de temperature cesse d'augmenter, voire se stabilise). la question que je me pose, c'est plutot "quoi faire, à mon niveau, pour avoir un impact faible ?" -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
heu, je ne me la pete pas, mais, je demande à voir... j'ai beau pencher la tete à droite ou à gauche, je ne recçois pas la 5 G ça fait 4 téléphones que je casse quand je les place sur l'épaule, là où j'ai été vacciné et ils ne tiennent pas suis je crédible ou je passe pour un imbécile ?? la rationalité, j'ai envie de te dire que c'est comme le sens critique : on l'a ou pas ; on a envie de se triturer les méninges ou on croit au Père Noel ? et à voir ceux qui croient au Père Noel ou à l'argent magique, ils ne sont pas seuls dans le pays. accessoirement, leur capacité de nuisance est inversement proportionnelle à leur tolerance ou une tentative de compréhension des choses. Il "suffit" de lever le nez et regarder dans le monde pour comprendre que le covid n'est pas un probleme franco français, que des savants, que des sachants travaillent, qu'on n'est pas obligé de croire/écouter les voix dissonnantes qui parlent sans preuve... à défaut de pouvoir les faire taire (j'ai envie de leur dire " tu t'es vu, quand t'as bu ? alors tais toi" ("mais, j'ai pas bu" "alors, bois, ça ne peut pas etre pire, mais, tais toi") -
Coronavirus - Covid 19
christophe 38 a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
le probleme, c'est que ces gens sont des citoyens avec le droit de vote et ils ne sont pas capable d'avoir deux idées, l'une derriere l'autre et de tenir un raisonnement, voir de l'expliquer. des primaires.