Je comprend pas pourquoi les autorités démentent le fait que rançon il y a, alors que l'ont sait pertinemment qu'au vu de la situation régionale des otages sont des assurances-vies et que "pas con" qu'il est le détenteur d'un tel avantage ne va pas s'en débarrasser gratuitement. Reste une option, là encore démentie, l'opération militaire de vive force.
Il semble donc qu'au sein des ministères concernés ont connaissent une troisième voie : l'opération du Saint-Esprit.
Une telle ligne de communication dans ce genre d'affaire m'agace particulièrement car la vérité va sortir et l'acteur gérant ce type de crise sera au final décrédibiliser. On laisse le monopole de l'information à d'autres sources alors que cette information est évidente.