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Suisse : politique intérieure et extérieure


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Les dépôts et réserves en métal précieux (plus les réserves de devises en cash concret), ça existe toujours, et même si ce n'est plus le fondement de la monnaie, l'idée d'un tel "raid de pillage" ne serait pas totalement sans intérêt.... Si l'Etat en faillite avait encore les moyens de mener des opérations militaires complexes de cette échelle,  ce qui est très très douteux, vu que la guerre moderne coûte beaucoup de fric bien plus vite qu'au temps jadis (et plus la dite armée est sophistiquée, plus c'est vrai). Bon, en plus, un Jura militairement agressif, ça impressionnerait qui? Combien d'habitants? Et s'il est en crise économique, quelle capacité de développer une armée (il hériterait de quelle partie de l'arsenal français? Y'a quasiment rien de militaire dans le Jura)? Ces scénaris sont vraiment ridicules d'incrédibilité totale: tout au plus ont-ils une utilité politique. En plus d'être un outil pour que l'armée essaie de justifier son existence par des délires, cela ne sert-il pas surtout à servir un nombrilisme national du style "le monde entier en a après nous et veut venir prendre notre tas d'or, donc il faut une armée"? La terrible menace jurassienne, ou celle d'une France sans moyens de payer les opérations de quelques-unes de ses 7 petites brigades (à faire opérer dans un environnement C4ISR à plein régime), ça craint comme prétexte. La menace de bombardement pour l'hypothèse d'un braquage à l'échelle internationale tiendrait plus la route que cette absurdité. Ou alors des hordes jurassiennes de type non militaire/bandes armées légères (et pas bien nombreuses), plutôt du ressort d'affaires de police....

On sait plus quoi inventer comme connerie de nos jours....

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C'est moi ou voler de l'argent c'est complètement farfelu comme objectif militaire? De nos jours, les transactions financières sont informatisées, l'argent à cette échelle c'est un bout de papier ou un octet dans un ordinateur. Du coup faire pression militairement pour se le faire transférer ça semble cohérent, mais envahir pour aller physiquement le récupérer c'est illusoire. Je sais bien que les contextes des exercices militaires c'est souvent un peu n'importe quoi, mais là c'est vraiment surfer sur le thème "les étrangers qui viennent voler le pain des Suisses".

Et pendant ce temps là les US tordent le bras de la Confédération et font accepter une loi financière dictée par eux...

Ce n'était pas ça le thème mais une renégociation forcée de la dette par la saisie d'un gage territorial.

Pour ceux qui pensent que c'est ridicule, je leur recommanderais de voir plus loin qu'un simple problème de confrontation moto-mécanisée. D'autant plus que la prise en compte des nouveaux risques liés à la crise des états providences et à la contestation des états centraux ne conduit pas à des dépenses militaires hautement technologiques. Cest tout le contraire. La réponse s'organise autour du citoyen en arme.

Pour ceux qui ne connaissent pas cet adage :

"La Suisse s'est construite contre..."

Modifié par Serge
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Tu veux aller le récupérer le pognon (qui n'est pas à toi puisqu'il appartient à quelque qui n'est pas toi), tu peux y aller. Bonne chance.

Factuellement, les suisses s'en tapent comme de l'an deux. En revanche, leur sujet d'inquiétude est celui du thème de Duplex-Barbara ou Stabilo-Due. Là, c'est autrement plus sérieux et au lieu de regarder les banques suisses, nous serions mieux inspirés de nous préparer nous à ce qu'ils redoutent eux.

Pour info, en 2009 j'ai participé à des formations en Suisse où ces thèmes étaient déjà joués.

 

 

C'est moi ou voler de l'argent c'est complètement farfelu comme objectif militaire? De nos jours, les transactions financières sont informatisées, l'argent à cette échelle c'est un bout de papier ou un octet dans un ordinateur. Du coup faire pression militairement pour se le faire transférer ça semble cohérent, mais envahir pour aller physiquement le récupérer c'est illusoire. Je sais bien que les contextes des exercices militaires c'est souvent un peu n'importe quoi, mais là c'est vraiment surfer sur le thème "les étrangers qui viennent voler le pain des Suisses".

Et pendant ce temps là les US tordent le bras de la Confédération et font accepter une loi financière dictée par eux...

 

 

 

   Le sujet pour moi n'est pas dans une opération militaire issue d'un scénario parano ... (bien qu'un jour ça pourrait bien arriver si l'Europe s'effondrait et que la seule réponse possible pour la survie européenne face a d'autres menaces soit la création d'un empire Européen pour changer la donne mondial a terme, mais bon pas le sujet)

 

   Le sujet pour moi c'est qu'au de la de l'idée farfelue que la France vienne récupérer de l'argent chez eux, c'est qu'il y a le demi-aveux que la Suisse a bel et bien une masse financière illégitime chez elle produite en France et qui a profité d'un cadre d'évasion fiscale ...

 

  Imaginons par exemple qu'on compterait la masse financière cumulée crée en France disparue en Suisse par évasion fiscale (que ce soit des passages physiques de valises, ou habiles montage financier pour y transférer des fonds sans mouvement physique) on pourrait avoir de grosses surprises sur l'aspect gigantesque des sommes illégitimes venues illégalement gonfler la richesse nationale Suisse : Car l'argent une fois qu'il y ait c'est eux qui en bénéficie de sa dépense, investissement ect ... Ne soyons pas candides ...

 

  Je pense qu'il est possible que cumulée depuis le tout début de la 5 ème république en 58, soit 55 ans environ on en soit au de la du millier de milliard d'euros spolié a la France (je pense qu'il est guère utile de chercher a compter les sommes issues des évasions fiscales + anciennes, celle de la 5 ème république nous concernent + en termes d'effets global qu'on pourrait encore ressentir aujourd'hui)

 

   Ne serait ce que 1500 milliards d'euros cumulés partis en Suisse en 55 ans, on pourrait en imaginer l'impact de long termes sur une masse d'argent dont on a pas vu la couleur en impot qui auraient être payé, et en investissements qui auraient du se faire chez nous : Le préjudice, quoi qu'on en pense : EXISTE

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Ne serait ce que 1500 milliards d'euros cumulés partis en Suisse en 55 ans, on pourrait en imaginer l'impact de long termes sur une masse d'argent dont on a pas vu la couleur en impot qui auraient être payé, et en investissements qui auraient du se faire chez nous : Le préjudice, quoi qu'on en pense : EXISTE

 

 

Dis donc, toi, avec des sous entendus pareils, tu ferais pas partie de ces Français qui veulent envahir la Suisse et que l'espionnage helvète aurait entendus, alertant son gouvernement d'un danger imminent, des fois?

Y'a vraiment des gens qui croient que le monde fonctionne comme ça, ou que même l'occupation française de territoires suisses pourrait aboutir à renégocier la dette? Y'a plus simple, pour un Etat comme la France (cad développé, à l'économie en partie "dématérialisée", très intégrée dans les divers flux qui animent l'économie moderne, par opposition à une économie au stade "primaire" de production/distribution directe, en boucle temporelle et géographique réduite), si elle en était à une extrêmité pareille: décréter la banqueroute, partielle ou totale. Parce qu'une France " l'état sauvage" (voire explosée en entités réduites) d'aller envahir le voisin serait de facto hors de tout système international, donc en état de rupture partielle ou complète avec ses voisins, tant au plan diplomatique (et on ne parle même pas des structures de l'UE) qu'au plan économique et commercial. L'économie serait donc de retour à un stade plus primaire de fonctionnement, et ne permettrait pas de financer grand chose en terme d'opérations militaires, ni d'acheter le constant flux de choses diverses dont elle aurait besoin pour ça (pétrole, huiles et autres consommables, pièces détachées....), ni d'avoir accès aux services satellites partagés.... Et elle aurait d'autres trucs plus sérieux à regarder que les yeux secs des banquiers helvètes.... Genre des voisins un peu plus conséquents avec qui elle serait plus ou moins en bisbille, ou en train d'essayer de renouer un minimum de relations sérieuses (et envahir le Suisse dans ce cas, ça aide pas), et plus généralement en train d'essayer de rebâtir une économie.

A moins de poser des bases sérieuses pour un scénario catastrophe, on peut multiplier les hypothèses débiles et incohérentes même pas dignes d'un mauvais jeu vidéo ou d'un roman de Tom Clancy (ou évidemment d'un jeu vidéo tiré d'un roman de Tom Clancy: la double peine en terme de crédibilité), mais fonder un exercice militaire dessus destiné à justifier un modèle de forces pertinent, voire une posture diplomatique (éventuelle), on va pas dire que ça entre dans un autre domaine qu'une entreprise purement politicienne, voire démagogique.

 

Et, tout aussi évidemment, faut pas oublier de parler de l'éléphant dans la pièce: la France a 7 malheureuses brigades désormais, éclatées sur le territoire.... Et ces forces ont un besoin impératif d'un fort environnement techno-intensif très coûteux et complexe à mettre en oeuvre, et d'un accès permanent au commerce mondial pour alimenter cette machine de combat très consommatrice de tout.... Qui peut croire une seconde qu'une France aux abois, ou éclatée, pourrait dégager de quoi menacer la frontière d'une Suisse encore debout, ou organiser une opération militaire complexe et la soutenir dans le temps (entendez plus de.... 2 semaines)? Même en l'état actuel, les 7 brigades, ça pèse pas bien lourd face à une défense territoriale très organisée, nombreuse et appuyée sur un terrain difficile et extrêmement préparé. L'armée française à ce format n'est pas un outil de conquête, même temporaire, si tant est même qu'elle pouvait utiliser TOUT ce format en une seule fois, ce qui est impossible dans un tel scénario, autant pour des raisons pratiques (désorganisation d'un pays en effondrement, absence de moyens, perte rapide de compétence des personnels, voire perte des personnels....) que contextuelles (autres priorités intérieures et extérieures que la putain de Suisse! Autres menaces....).

 

Si les Suisses veulent garder leur modèle milicien, ne serait-ce que parce qu'ils estiment que cela concourt du maintien d'un sentiment d'appartenance et d'un esprit civique, ils feraient mieux de se l'avouer plutôt que d'inventer des menaces non crédibles qui n'auront pour effet concret que d'alimenter les bas instincts des nationalistes bas de plafonds.

 

Dans le registre des prétextes politiques pour la politique de défense, ça semble être la nouvelle tendance, si bien qu'on a fondamentalement deux axes de langue de bois en Europe pour dire n'importe quoi et justifier la politique qu'on veut et qui sert tout sauf les intérêts du pays en question:

- on a le bon vieux: "la guerre a changé ma bonne dame, la technologie, la paix dans le monde, l'intelligence distribuée..... Il nous faut des armées plus petites, plus modernes, plus équipées, plus souples, plus réactives"

- voilà le nouvel axe, fondé sur la "défense territoriale" contre les scénaris les plus débiles: l'Allemagne et la Pologne donnent dans ce registre (et la première entraîne avec elle la Hollande et quelques autres), ça évite de dire qu'on veut un budget de la défense pour garder de quoi remonter en puissance un jour (très légitime), ne pas envoyer de troupes pour la stabilisation de zones fragiles tout en bénéficiant de l'ordre créé par ceux qui le font (partiellement légitime vu les abus américains récents), et surtout distribuer du fric aux grosses boîtes d'armement nationales (un outil politicien très pratique nationalement et localement) tout en se gardant d'être un Etat économiquement trop interventionniste (encore la Pologne a t-elle une ambition nationale affichée, même si on se demande à quoi peut lui servir une armée puissante de défense territoriale.... Sans menace territoriale). La suisse rejoint-elle ce club des Etats maintenant une armée pour maintenir les emplois de l'armement (et la "petite" économie souterraine des contrats d'armement, si éminemment importante dans toute vie politique)?

Modifié par Tancrède
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Le sujet pour moi n'est pas dans une opération militaire issue d'un scénario parano ... (bien qu'un jour ça pourrait bien arriver si l'Europe s'effondrait et que la seule réponse possible pour la survie européenne face a d'autres menaces soit la création d'un empire Européen pour changer la donne mondial a terme, mais bon pas le sujet)

C'est exactement de cela qu'il s'agit. Rien d'autre.

Après, tu expliquera comment faire un empire avec des sociétés en dislocation. Un projet rigolo en somme. Surtout "changer la donne mondiale". Tu va voir que quand il faudra rembourser la dette ta donne personnel changera avec les impôts que l'on te demandera. Et là, tu te posera une question : comment faire pour garder la richesse que j'ai créée ? Il y a la Suisse, bien sûr.

Le sujet pour moi c'est qu'au de la de l'idée farfelue que la France vienne récupérer de l'argent chez eux, c'est qu'il y a le demi-aveux que la Suisse a bel et bien une masse financière illégitime chez elle produite en France et qui a profité d'un cadre d'évasion fiscale ...

Il faudrait un jour arrêter d'écouter les hommes politiques français. Les préoccupations suisses sont d'un tout autre ordre. Le problème est juste qu'ils révèlent ce que nous sommes.

Les sociétés européennes sont complexes. Ce qui est complexe est instable. Ce qui est instable est imprévisible.

Imaginons par exemple qu'on compterait la masse financière cumulée crée en France disparue en Suisse par évasion fiscale (que ce soit des passages physiques de valises, ou habiles montage financier pour y transférer des fonds sans mouvement physique) on pourrait avoir de grosses surprises sur l'aspect gigantesque des sommes illégitimes venues illégalement gonfler la richesse nationale Suisse : Car l'argent une fois qu'il y ait c'est eux qui en bénéficie de sa dépense, investissement ect ... Ne soyons pas candides ...

 

  Je pense qu'il est possible que cumulée depuis le tout début de la 5 ème république en 58, soit 55 ans environ on en soit au de la du millier de milliard d'euros spolié a la France (je pense qu'il est guère utile de chercher a compter les sommes issues des évasions fiscales + anciennes, celle de la 5 ème république nous concernent + en termes d'effets global qu'on pourrait encore ressentir aujourd'hui)

 

   Ne serait ce que 1500 milliards d'euros cumulés partis en Suisse en 55 ans, on pourrait en imaginer l'impact de long termes sur une masse d'argent dont on a pas vu la couleur en impot qui auraient être payé, et en investissements qui auraient du se faire chez nous : Le préjudice, quoi qu'on en pense : EXISTE

Et la marmotte....

As-tu déjà réfléchi sur les causes des 2000 milliards de déficit français?

Au fait, les banques suisses représentent 8 à 10% du PIB. Et comme le PIB marchant n'est pas comme en France de 45%, je te laisse deviner combien le mythe des banques suisses est à relativiser.

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Au fait, les banques suisses représentent 8 à 10% du PIB.

 

Ce chiffre représente l'activité des banques suisses (leur CA annuel, quoi), ou plutôt du secteur financier suisse (sur un PIB de 360 milliards de dollars et des brouettes), pas le CAPITAL qu'elles gèrent. 1/3 des fonds mondiaux se trouvant hors de leurs pays d'origine (cad ce qui est "offshore") sont en Suisse (gérés par des banques suisses ou les branches suisses de banques étrangères). Le mythe n'en est pas un: ces sommes là se comptent en dizaines de millers de milliards de dollars (trillions, quoi). Le PIB n'est qu'un agrégat très incomplet (et peu représentatif de l'économie; de moins en moins en fait) de la valeur ajoutée annuelle des entreprises d'un pays; il ne représente que très peu et très mal (encore plus dans le cas de certains types d'économies) la "richesse" d'un pays, ou le "poids" (tous facteurs cumulés, donc en incluant des notions comme la politique, la "puissance"....) de ses secteurs d'activité.  

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 Clap clap ...

 

 Ou comment faire des pieds et des mains pour nier qu'un préjudice existe, et qu'une masse importante d'argent est bel et bien VOLE aux français par le biais de l'évasion fiscale ...

 

Et vos altercations a la "dis donc toi" :  Qui est tu pour me donner des leçons de ce genre tel un adulte sautant sur un enfant ? Ca veut dire quoi ça ? Jte parle comme ça moi ? Alors baisses d'un ton 2 seconde ...

 

  Le reste vous pouvez nier tant que vous voulez, c'est de l'argent qui nous est pris a nous : Point final, et vous aurez beau allez invoquer je ne sais quelle loghorée le préjudice est la, POINT FINAL

 

  Et que l'état Suisse est attaché a conserver le mécanisme permettant pour que ça continu qu'on appelle le secret bancaire ... Quand bien même ça ne représenterait que 1,2,3% de leur richesse national : Cela considérable, immoral, énorme et tout simplement inique ... Le reste n'est que blablabla

 

   Cela me rappel les révélations du cd-rom de Zandvoort (qui prouvait assez clairement la piste criminelle de réseau de l'affaire Dutroux et clairement pas un pédophile isolé) la justice français a l'époque par le biais des parquets de Paris avait dit une chose quand a ces visages d'enfants : "il faut minimiser"

 

  Parce que c'était tellement énorme, ça faisait tellement peur d'affronter le dossier et les horreurs qu'il cachait, que le ministère public n'a rien su dire d'autre qu'il fallait "minimiser" tellement que l'affaire soit sérieusement instruite aurait pu faire trembler tant de monde et manifestement des puissants

 

   Je constate que pour le préjudice de l'évasion fiscale en Suisse, les réflexes sont les mêmes, et ce même chez le brave petit peuple qui se voile la face ... Il faut minimiser ... Bien sur ...

 

   Posons nous les bonnes questions, un foyer de français est face a un problème financier, alors que pourtant il travaille et qu'il lui saura guère possible d'espérer palier a son problème dans le fond par une hausse de ses revenus ou alors ce ne sera que des apports substentiels, et qu'il s'aperçoit dans l'histoire qu'il a les poches percés qui perdent de la monnaie ...

 

    Bien sur, il ne faut surtout pas qu'il s'interesse a combien il a perdu par cette poche percée, et ni a comment recoudre cette poche ? Et éventuellement, prendre des mesures si des fois il s'apercevait que cette poche ne s'est pas percé toute seule et que quelqu'un a aidé a la découdre (comme trainer éventuellement devant les tribunaux celui qui l'a décousu)

 

    A votre avis il est sensé faire quoi le foyer ? Espérer rêgler sa situation en emportant sa toile de tente a l'usine car il va y passer le restant de sa vie pour espérer maigrement rêgler le problème ... Ou il prend des mesures sur la poche percée ?

 

   Un peu de bon sens ... J'estime qu'au niveau de l'évasion fiscale en Suisse une enquête nationale de grande envergure devrait être menée pour le chiffrer avec exactitude et mettre ce pays devant ses responsabilités c'est tout, il y a des situations qui ne peuvent plus durer et celle ci en est une

 

   Une chose est sure ce n'est pas la passivité qui va nous permettre d'espérer que le problème soit rêglé et le cacher sous le tapis non plus, a voir comment les USA ont mis eux la Suisse devant ses responsabilités, et je doute qu'en tant que voisin direct de la Suisse et partenaire commerciaux ont a au moins des échanges financiers et commerciaux de même envergure voir d'envergure encore + élevé que Suisse - USA (ou la relation est avant tout financière et peu commerciale a quelques trucs d'importations pitoresques près)

 

   Hors on a des moyens de les faire plier sans invoquer bien entendu le militaire, mais je remarque juste une chose si on revenait 400 ans en arrière, des pays se serait fait bruler intégralement moins que ça ... Il faut prendre conscience que le préjudice est insupportable et qu'on se démerde mal dans cette affaire, en sachant que les allemands aussi sont prêt a les mettre au pied du mur ... Que l'Italie est probablement la pire victime directe (évasion fiscale et blanchiement de la maffia) il faudra bien a un moment ou un autre changer de stratégie et isoler ce pays pour le mettre au pied du mur, nous n'aurons pas le choix

Modifié par alpacks
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 J'estime qu'au niveau de l'évasion fiscale en Suisse une enquête nationale de grande envergure devrait être menée pour le chiffrer avec exactitude et mettre ce pays devant ses responsabilités c'est tout, il y a des situations qui ne peuvent plus durer et celle ci en est une

 

Tiens, ça c'est un scénario d'invasion un peu plus crédible (ou moins délirant), mais il ne marche que si la France est encore un Etat qui, bon an mal an, tient debout et peut fonctionner, et évidemment employer ses moyens politiques et militaires comme ils sont faits pour être employés.

Un mouvement important a lieu dans les grands Etats en proie à des difficultés intérieures accrues, notamment sur le plan de leurs finances, et évidemment, il est difficile de faire toutes les réformes intérieures nécessaires dans un temps satisfaisant: trop coûteuses politiquement, manque de marge de manoeuvre financières pour que le train de réformes ne démolisse pas ce qui marche bien ou marche encore (réformer bien, ça coûte très cher: faut payer beaucoup dans un premier temps pour que ça marche ensuite dans un temps plus long), sans compter qu'évidemment, les problèmes des Etats n'ont pas, loin de là, que l'absence de réformes pour cause (incivisme des citoyens, surtout les plus fortunés, perte de sentiment national et/ou de sentiment d'appartenance, identitarismes de tous poils, crises conjoncturelles....). Bref, ça merde, et les grands Etats ont besoin de solutions s'ils veulent rester grands, voire rester des Etats. Et des solutions si possibles rapides, ou en tout cas que des premiers éléments d'une solution de long terme arrivent assez vite. En un mot comme en cent, parmi toutes les causes qui peuvent être invoquées, un consensus se forme pour s'en prendre aux paradis fiscaux et à la manne de l'évasion fiscale (ce qui est loin d'être injustifié vu les proportions actuelles): rappelons que loin de se cantonner aux Etats européens, ce problème touche tous les Etats, et surtout les Etats développés. Loin des "clients habituels" les plus représentés, il faut signaler l'importance du phénomène pour d'autres moins souvent cités, comme le Japon, le Brésil, la Russie ou la Chine. En Chine par exemple, les masses de fric qui sont expédiées hors du pays sitôt engrangées (par de multiples moyens) représentent des montants hallucinants: un Chinois qui réussit envoie son fric et ses enfants hors du pays (le premier pour se planquer et "travailler", les seconds pour étudier). En Russie, c'est pire encore. Mais le point est pour la Chine que le fait a peu de contrepoids vu la nature oligopolistique du système politique: les individus qui dirigent sont du même groupe que ceux qui pratiquent l'évasion fiscale comme second mode de respiration.

 

Mettons donc que la situation en arrive à un point tel que même des dirigeants politiquement lâches et/ou politiquement faibles (à faibles marges de manoeuvre) soient contraints d'agir, et plus terrible encore, de se parler: les paradis fiscaux et places dites offshore sont pointées d'un doigt accusateur COMMUN. Bref, la chasse est ouverte pour récupérer les brouzoufs, dans une vaste croisade civique mondiale qui, par la nature de l'inertie des grandes masses, ne risque pas de faire dans le détail. On reste civilisés, mais on va dérouiller la peau des armées d'Andorre, de Monaco, des îles Caïmans.... Terribles adversaires dont la tyrannie doit être mise au pas.

Donc la Suisse figure dans le cahier des charges, et la France, généreuse, se propose de s'en occuper puisque c'est dans son secteur....

 

Sauf que le scénario s'arrête là: tout se résout "à l'amiable", quelle que soit l'ampleur de la coalition des anti-paradis fiscaux: à moins que certains grands Etats soient tentés de "mourir pour Zürich" (ou Vaduz, ou Panama....), on sait tous que ça s'arrête là, quoique veuille en penser le chef d'Etat Major des forces suisses. Et une France toute seule pour se lancer dans ce genre "d'opération Juste Cause" soit se la ferme et ne fait rien, soit n'est pas si seule que ça (ce qui renvoie à la phrase précédente).

Quoiqu'il arrive, ce genre de scénario implique beaucoup de monde, si ce n'est la planète entière, et c'est toujours un jeu de billard à 87 bandes (et vraiment beaucoup de boules en jeu). Si la France avait 650 millions d'habitants (dans une Europe à population inchangée), et pas 65, et un corps de bataille moderne de 400 000h, pas de 40 000 (même pas en fait), ce pourrait être une autre histoire parce qu'elle aurait les moyens de se foutre des rodomontades et rétorsions des autres, de jouer le tyran régional tout en restant un partenaire incontournable. C'est pas le cas. Imaginer un scénario franco-suisse comme si les deux pays étaient dans une bulle isolée (ce à quoi revient le fait de fantasmer une Europe où tout s'effondre, sauf étrangement la Suisse et la France, histoire que le scénar puisse "marcher"), c'est juste inventer n'importe quoi pour conformer la réalité (enfin un fantasme de réalité) à ses besoins du moment; en l'occurrence, maintenir le modèle militien, faire du consensus politique, maintenir des commandes d'armement nationales.... Donc faire de l'interventionnisme économique massif, du militantisme politique et une bonne petite dose de clientélisme.

C'est juste de la politique. Parce que si les décideurs civils et militaires suisses tablent réellement et sincèrement sur un tel scénario comme faisant partie de l'univers des probabilités, même raisonnablement basses (au lieu de le mettre dans la catégorie juste un cran au-dessus de "invasion extraterrestre"), il y a lieu pour ce pays de remettre sérieusement en question leurs compétences.

 

 

Quand bien même ça ne représenterait que 1,2,3% de leur richesse national : Cela considérable, immoral, énorme et tout simplement inique

 

Meunon, si le secteur financier représentait 1 à 3% de leur PIB, soit de l'ordre des 3,6 à 11 milliards de dollars par an, ça veut dire qu'il représenterait des masses d'argent très nettement moins considérables que ce qu'elles sont aujourd'hui, soit des niveaux d'évasion fiscale de plusieurs degrés de magnitude inférieurs, et sans doute nettement plus tolérables pour les économies développées. Certains pourraient s'offusquer pour le principe, mais ça vaudrait pas la peine de péter une durite ou de consacrer de lourds efforts à contrer la chose. Je ne crois personnellement pas énormément au "qui vole un oeuf vole un boeuf".

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@ Tancrede : ton scénario d'une croisade mondiale contre les "trous noirs" fiscaux a été avancé dans un roman de SF américain des années 90 dont je ne souvient plus du titre...

Un des héros du roman est un vétéran de la guerre contre les banques ou les paras US et russes combattaient les mercenaires des banques suisses dans une ambiance de guerre chimique.

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  Le reste vous pouvez nier tant que vous voulez, c'est de l'argent qui nous est pris a nous : Point final, et vous aurez beau allez invoquer je ne sais quelle loghorée le préjudice est la, POINT FINAL

C'est ça. Une logorrhée.

Quand on montre la lune, certains regardent le doigt. Lier la rearticulation de la défense suisse au secret banquaire est absurde. "Ils se défendent car ils se savent coupables." ce qu'ils perçoivent est autrement plus grave et nous questionne nous, pas eux.

La Suisse est un pays autrement plus résiliant que nous ne le sommes.

   Posons nous les bonnes questions, un foyer de français est face a un problème financier, alors que pourtant il travaille et qu'il lui saura guère possible d'espérer palier a son problème dans le fond par une hausse de ses revenus ou alors ce ne sera que des apports substentiels, et qu'il s'aperçoit dans l'histoire qu'il a les poches percés qui perdent de la monnaie ...

Quand tu accumules des richesses la seule structure qui a la force de te prendre ton argent, c'est ontologiquement l'etat. Pas la Suisse.

 

    Bien sur, il ne faut surtout pas qu'il s'interesse a combien il a perdu par cette poche percée, et ni a comment recoudre cette poche ? Et éventuellement, prendre des mesures si des fois il s'apercevait que cette poche ne s'est pas percé toute seule et que quelqu'un a aidé a la découdre (comme trainer éventuellement devant les tribunaux celui qui l'a décousu)

Tout à fait d'accord. Que l'on sorte les noms. Le dernier, il y a quelques mois n'appartenait pas au "camps de la finance". Enfin pas officiellement.

 

  Une chose est sure ce n'est pas la passivité qui va nous permettre d'espérer que le problème soit rêglé et le cacher sous le tapis non plus, a voir comment les USA ont mis eux la Suisse devant ses responsabilités, et je doute qu'en tant que voisin direct de la Suisse et partenaire commerciaux ont a au moins des échanges financiers et commerciaux de même envergure voir d'envergure encore + élevé que Suisse - USA (ou la relation est avant tout financière et peu commerciale a quelques trucs d'importations pitoresques près)

Peut-être ignores-tu que la géographie financière n'a aucun lien avec celle territoriale. Comment peux-tu presenter un ordonnancement sans chiffre ? Surtout que les USA ont un poids tout autre que la France.

   Hors on a des moyens de les faire plier sans invoquer bien entendu le militaire, mais je remarque juste une chose si on revenait 400 ans en arrière, des pays se serait fait bruler intégralement moins que ça ... Il faut prendre conscience que le préjudice est insupportable et qu'on se démerde mal dans cette affaire, en sachant que les allemands aussi sont prêt a les mettre au pied du mur ... Que l'Italie est probablement la pire victime directe (évasion fiscale et blanchiement de la maffia) il faudra bien a un moment ou un autre changer de stratégie et isoler ce pays pour le mettre au pied du mur, nous n'aurons pas le choix

Quand des pays sont aux abois, leur gourvernants doivent désigner des boucs émissaires pour se faire réélire.
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Bon ... Je vois qu'on a été en forme cette nuit.

 

Donc je remercie Tancrède pour ses interventions de haut niveau; pour le reste (je me comprends) je ne voudrais pas que ce paisible fil suisse (pourrait-il en être autrement quand il s'agit de la Suisse) devienne une n...ième tribune libéralo/anarcho/nationalo/café du commerço.

 

Si vous avez envie de vous étriper sur ces sujets glissants qui nous emportent malgré nous (pour beaucoup) vers le national populisme je vous invite à utiliser les MP, les emails privés, le téléphone ou le comptoir du bistrot choisi par vous.

 

Je vous souhaite une bonne journée

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Les Genevois élisent dimanche à la fois leurs députés et leurs ministres. Le Mouvement citoyen s'en prend aux frontaliers, cette "vermine étrangère".

 

"Le MCG, épouvantail des acteurs du Grand Genève", titre mercredi La Tribune de Genève. Il est vrai que dans cette campagne électorale, la formation d'Éric Stauffer, 49 ans, député et maire d'Onex (une commune de 18 000 habitants), se surpasse dans les slogans assassins. Concernant les frontaliers, sa bête noire, il évoque une "épidémie", un "fléau". Les frontaliers ne se contentent pas de voler le travail des Genevois, "les voitures des travailleurs frontaliers saturent le réseau et gâchent le bien-être des riverains".

Le citoyen, l'organe du MCG, assure qu'un "grand nombre de délinquants voleurs de voitures, de braqueurs, proviennent de la France voisine juste pour commettre leurs méfaits". Quant aux dealers et aux criminels, "ces crapules", il s'agit selon ce parti "pour la plupart de requérants d'asile déboutés". "Pour les incarcérer, pas besoin de prison", de simples conteneurs peuvent suffire... Dans le langage du parti, cela devient : "La vermine, ça suffit."

 

Le MCG s'en prend même aux mendiants, qui ne seraient pas de "pauvres gens", mais des individus "organisés en réseaux mafieux". L'autre formation suisse d'extrême droite, curieusement baptisée Union démocratique du centre (UDC), ne tente même plus de rivaliser avec son concurrent populiste. Elle se contente de rappeler que 92 % des détenus de la prison de Champ-Dollon à Genève sont d'origine étrangère. Et qu'un bénéficiaire sur deux de l'aide sociale

 

Suite : http://www.lepoint.fr/monde/l-extreme-droite-se-dechaine-a-geneve-03-10-2013-1738693_24.php

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@ Tancrede : ton scénario d'une croisade mondiale contre les "trous noirs" fiscaux a été avancé dans un roman de SF américain des années 90 dont je ne souvient plus du titre...

Un des héros du roman est un vétéran de la guerre contre les banques ou les paras US et russes combattaient les mercenaires des banques suisses dans une ambiance de guerre chimique.

 

Effectivement, cela me rappelle  quelque chose d’ancien. Une histoire ou des comploteurs Suisses utilisait un trou noir  au centre de la terre comme machine infernale.

Mais impossible de m’en souvenir. Heureusement, Wikipedia nous aide :

http://en.wikipedia.org/wiki/Black_holes_in_fiction

http://en.wikipedia.org/wiki/Earth_%28Brin_novel%29

Le livre « Earth »  a été traduit en français en deux tomes

Terre : La Chose au cœur du monde

Terre : Message de l’univers

 

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La grande muette achète plus de 74% de son armement en Suisse. Mais la répartition régionale de cette dépense pose problème: de 2001 à 2012, la Suisse alémanique a raflé 97% des 14,8 milliards utilisés.

 

Il ne reste donc plus à la Suisse romande et au Tessin que les miettes, soit 3%. Le déséquilibre est tel qu’il ne peut qu’énerver de ce côté de la Sarine. «Le pire, s’emporte Jean-René Fournier (PDC/VS), c’est que si on détaille les chiffres, on se rend compte que nous sommes à 3,6% pour le matériel à faible valeur ajoutée, comme les bonnets et chaussettes. Mais que, pour la technologie d’armement, nous ne sommes plus qu’à 1%. Au bout du compte, la Suisse romande perd donc non seulement des emplois mais aussi des pôles de recherche et de développement.»

 

http://www.lematin.ch/suisse/armee-depense-suisse-romande/story/19075303

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  • 1 month later...

Forte de ses 31 députés sur 100 au Parlement genevois, les nationalistes ont des chances solides d'entrer, pour la première fois, au gouvernement.

 

Il a vendu des poissons exotiques, il a été mêlé à un scandale politique à l'île Maurice. Il accumule les poursuites et les déboires financiers. Il y a peu, personne n'aurait parié un franc suisse sur les chances d'Eric Stauffer, 49 ans, le fondateur de Mouvement citoyens genevois (MCG), la formation la plus xénophobe de Suisse. Mais mercredi, La Tribune de Genève a consacré une page entière au "fougueux rebelle habillé en notable", le présentant comme un possible futur ministre.

 

Afin de mettre toutes les chances de son côté, le Mouvement citoyens genevois s'est allié avec son frère ennemi à l'extrême droite, l'Union démocratique du centre (MCG), forte de 11 députés au Parlement. Raisonnablement, les nationalistes peuvent espérer faire leur entrée dimanche à la tête de la capitale mondiale de la gestion de fortune.

Pour se faire élire, le MCG n'a pourtant guère mis de l'eau dans son vin. Il s'en prend avec toujours autant de virulence aux frontaliers français, parlant de "fléau", d'"épidémie" qu'il faut "éradiquer". Il martèle que les délinquants voleurs de voitures, les braqueurs "viennent de la France voisine pour commettre leurs méfaits". Quant aux requérants d'asile, pour le parti d'Eric Stauffer, c'est de "la vermine", des "crapules", qu'il faut incarcérer "dans des conteneurs"...

 

Même les mendiants ne trouvent pas grâce aux yeux de l'extrême droite genevoise : "Ce ne sont pas de pauvres gens. Ils sont organisés en réseaux mafieux." Michel Charrat, président du Groupement transfrontalier européen (GTE), fort de 36 000 adhérents, dénonce un climat particulièrement malsain, les frontaliers se voyant traités de plus en plus fréquemment de "racailles" et de "voleurs". "Le MCG parle d'éradiquer les frontaliers. Je me demande quelle sera la prochaine étape", s'inquiète-t-il.

 

Dans le monde bancaire, certains ont fait passer le mot d'ordre que l'élection d'extrémistes n'était pas forcément bonne pour le business.

 

http://www.lepoint.fr/monde/geneve-l-extreme-droite-aux-portes-du-gouvernement-09-11-2013-1753926_24.php

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Ben les jurassiens ou les doubistes attaquant la Suisse, lol. Faut savoir que chaque jour, près de 60 000 habitants de ses 2 départements français franchissent la frontière pour aller y bosser, étant donné qu'il y a de moins en moins de boulot en France et que les salaires suisses y sont 2 fois plus élevé qu'en France.

La franche comté est la région de France qui compte le plus d'ouvriers, en proportion de la population, dont des ouvriers qualifiés, dans les micro mécaniques, batiments, etc etc...

C'est une manne pour les patrons suisses, une main d'oeuvre bosseuse et qualifié et moins cher, si vous entrez dans les usines suisses bordant la frontière, ou même plus loin, jusque les 3/4 des ouvriers sont des français.

Et c'est aussi une manne pour ses salariés frontaliers  français, qui voit leur salaire gonflé et leur pouvoir d'achat augmenté de façon très considérables.

et ça s'en ressent dans l'économie française, puisque ces derniers consomment bcp dans les commerces, et ont un train de vie nettement supérieur à leurs homologues du reste de la France.

Donc le scénario de jurassiens attaquant la suisse, ça serait tuer la poule aux oeufs d'or lol.

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  • 3 weeks later...

En Suisse, l’armée devra aussi faire des économies si elle veut pouvoir moderniser ses équipements. Et cela passe par la fermeture d’un tiers de son parc immobilier. Elle va ainsi diminuer de 36% (8,7 milliards de francs suisses) ses dépenses d’infrastructures....

 

Suite : http://www.opex360.com/2013/11/26/les-casernes-et-les-bases-aeriennes-ferment-aussi-en-suisse/

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  • 2 months later...

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