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Otages Français au Sahel


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On intervient lorsque l'on a une information.

Tout à l'heur, sur France3, Jean Paul Kauffman qui a été otage au Liban durant 3 ans a dit que lorsque l'on ne parle pas d'un otage, on met sa vie en danger.

Est ce que les médiats français mettent la vie en danger des autres otages en ne parlant pas d'eux ? Où est ce que c'est uniquement réservé aux journalistes ?

Le capital médiatisation-sympatie doit être épuisé sans doute. :rolleyes:

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c'est justement un point qui m'étonne, la logique voudrait qu'un otage discret dont on parle un peu mais pas trop soit facilement négociable.

Quel est l'interet pour un groupe armé de libérer un otage dont on parle tous les jours comme ceux de france 3 ou avant ca la bétancourt ? strictement aucun ca leur fait meme une pub monstre .

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c'est justement un point qui m'étonne, la logique voudrait qu'un otage discret dont on parle un peu mais pas trop soit facilement négociable.

Quel est l'interet pour un groupe armé de libérer un otage dont on parle tous les jours comme ceux de france 3 ou avant ca la bétancourt ? strictement aucun ca leur fait meme une pub monstre .

Un otage dont on en parle pas dans son pays n'a pas de valeur marchande, c'est aussi simple que ça. Avant les groupes spécialisés en prise d'otage prenait des otages de haute valeur comme William Francis Buckley au Liban. Aujourd'hui un simple journaliste ou n'importe quel pecnot avec une bonne tête fait  un meilleur monnaie d'échange.

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On intervient lorsque l'on a une information.

Tout à l'heur, sur France3, Jean Paul Kauffman qui a été otage au Liban durant 3 ans a dit que lorsque l'on ne parle pas d'un otage, on met sa vie en danger.

Mr Kauffman devrait prendre un peut de recul, arretter de se regarder le nombril et comprendre qu'il est aisément remplaçable et que donc sa vie pour la France n'a pas plus d'importance que la vie du gars qui se fout en l'air avec sa bagnole, ou celui qui se fout une balle dans la tete ou l'autre qui se choppe une nosocomiale à l'hopital.

Désolé d'etre cru, mais c'est pas une opinion, c'est un fait. Les gens importants pour la France il n'y en a pas beaucoup et Mr Kauffmann n'en fait pas partit.

Ce qui est important pour la France c'est que les Français ne servent pas de cible. Pour celà il suffit de ne pas cèder et de venger nos otages martyrisés. Que l'otage s'en sorte ou pas est un parametre négligeable sauf en terme de comm.

A mon avis Mr Kauffman qui n'est pas idiot à plus ou moins conscience de ça et il culpabilise. Il aimerait faire de son cas une généralité, ça le tranquiliserait de savoir qu'il n'est pas un précédent honteux, le premier d'une série déjà bien trop longue de compromission avec nos énemis.

Mais Mr Kauffman ne devrait pas culpabiliser:  c'est pas de sa faute si nos politicars prennent les Français pour des lavettes et croient faire un coup de comm quitte à nuire aux interets à moyen et long terme de la France.

Maintenant les Kauffman, Aubenats pour ne parler que des plus médiatiques, s'ils n'ont pas a avoir honte, c'est pas des héros non plus. Si c'étaient des héros ils diraient: "vous auriez mieux fait de me laisser mourir plutot que de cèder aux islamo-fascistes". Donc c'est pas des héros, en plus c'est les plus mal placés pour parler du sujet, apparement ils ont étés tellement traumatisés qu'ils sont incapable de prendre du recul et avoir une reflexion rationelle.

Conclusion: la meilleur chose qu'ils ont a faire c'est fermer leur gueule plutot que de faire pression sur l'état ou s'enrichir en écrivant des bouquins  =(

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Oh mais Aubenats a pas été tromatisée, elle a dit et répétée que c'était l'expérience la plus positive de sa vie, que ça lui avaient permis de se rapprocher du peuple irakien et que si c'était à refaire, elle le referait. ^^

Depuis elle a écrit un boukin pour expliquer les points positifs de sa prise en otage.

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L'histoire semble être plus complexe:

http://www.rue89.com/2010/08/09/germaneau-la-main-de-lalgerie-dans-le-fiasco-militaire-francais-161541

Anthropologue britannique, spécialiste reconnu de la zone sahélienne, Jeremy Keenan affirme dans cet article que c'est la Sécurité militaire algérienne qui a conduit la France dans le fiasco de son opération militaire du 22 juillet au Mali, destiné à sauver l'otage Michel Germaneau. Selon lui, l'armée algérienne a participé à l'une des deux opérations conduites ce jour-là, tout en sachant que l'otage français ne s'y trouvait pas ou plus.

Les accusations portées par Jeremy Keenan contre la Direction du renseignement et de la sécurité (DRS) d'Algérie rejoignent les doutes exprimés par certains responsables français pour qui Al Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) « avance au gré des intérêts du pouvoir algérien ». Ce qui n'a pas empêché, selon l'auteur, le gouvernement français de tomber dans un piège lourd de conséquences.

Nous avons traduit cet article, initialement diffusé par le site anglophone d'Al Jazeera, avec son autorisation, car il apporte de nombreux éléments d'information, et pose de sérieuses questions sur une opération toujours entourée de beaucoup de mystère.

Le raid français au Mali, le 22 juillet, en vue de libérer l'otage français capturé dans le nord du Niger en avril, et qui était détenu par Al Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi), a été un désastre absolu. Il est clair, depuis cette date, que la France, la Mauritanie et l'Algérie, ont tout fait pour camoufler ce qui s'est réellement passé.

Après le silence initial de la France, une série de communiqués et d'informations de presse ont donné une version de plus en plus trompeuse de ce qui s'est réellement passé. La version officielle « aseptisée », ou « mauritanisée » des faits ressemble à une œuvre de fiction.

Elle affirme que la Mauritanie a été informée par des services de renseignement occidentaux du fait que l'Aqmi se préparait à une attaque de son territoire le 28 juillet. Le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz aurait alors prévenu Paris qu'il préparait une opération au-delà de ses frontières contre l'Aqmi, et il se trouvait à l'Elysée le 13 juillet [à l'occasion d'une rencontre franco-africaine, ndlr] au lendemain d'un ultimatum de l'Aqmi à la France, jurant de tuer Germaneau le 26 juillet si ses demandes (jamais spécifiées) n'étaient pas satisfaites.

Les Mauritaniens, aidés par les Français, affirment avoir découvert un campement jusque-là inconnu d'une cellule de l'Aqmi, dans le désert malien, à 150 km de la frontière mauritanienne. Des sources franco-mauritaniennes affirment que des photos indiquent que Germaneau pourrait s'y trouver. La France décide alors d'envoyer vingt ou trente de ses forces spéciales (commandement des opérations spéciales, COS), y compris des agents du renseignement, pour accompagner les groupes spéciaux d'intervention mauritaniens pendant l'attaque.

Toujours selon cette version, la force franco-mauritanienne serait partie d'une base près de la frontière entre le Mali et la Mauritanie. L'attaque a eu lieu à l'aube, et il n'y avait aucune trace de Germaneau. Six « terroristes » de l'Aqmi ont été tués et l'opération a été conclue.

La version « officielle » souligne qu'il n'y a pas eu d'opération aérienne, que cela ne concernait pas la localité de Tessalit, et qu'aucune assistance américaine en renseignement n'a été apportée comme cela a pu être dit par ailleurs.

Mais, une source mauritanienne fiable m'a indiqué par la suite que le camp attaqué n'était pas une base de l'Aqmi, mais seulement un bivouac de trafiquants.

Un « nuage de fumée » pour une opération politiquement sensible

Que s'est-il réellement passé ? Il devient de plus en plus évident que ce qui s'est passé a non seulement été embelli, mais a servi de leurre à une opération bien plus sérieuse et politiquement sensible près de Tessalit.

De fait, peu après le raid du 22 juillet, une dépêche AFP de Bamako a indiqué que l'opération contre le camp de l'Aqmi dans le nord-ouest du Mali n'était qu'un « nuage de fumée… Quelque part dans le vaste désert, une autre opération est en cours », ajoutant que des forces d'autres pays de la région y participaient.

Les premières informations que j'ai reçues de la région, de sources régionales bien placées, peu après midi le 22 juillet, m'indiquaient qu'il y avait eu une intense activité aérienne autour de Tessalit pendant la nuit et la matinée, et que les Algériens, appuyés par les COS français, avaient conduit une attaque dans les montagnes voisines de Tigharghar en vue de libérer Germaneau.

Tessalit est une ancienne base militaire française modeste de l'époque coloniale. Son aéroport est toujours opérationnel, qui a même été utilisé récemment par les forces spéciales américaines et pour des vols militaires ou privés. Mes sources m'ont indiqué qu'on avait pu entendre des tirs, que six « terroristes » avaient été tués, quatre mis en fuite ou blessés, et que Germaneau pourrait avoir été exécuté par ses ravisseurs au début de l'assaut.

Des sources fiables à Tessalit m'ont confirmé qu'en contradiction avec le récit franco-mauritanien, des avions et des hélicoptères ont bien été actifs sur l'aéroport de Tessalit, et qu'il n'y avait aucun signe de présence mauritanienne.

Le 14 mai, dernière « preuve de vie » de Michel Germaneau

Cette information peut être nuancée de deux manières. L'affirmation selon laquelle les Algériens « conduisaient » l'attaque peut simplement signifier que l'Algérie a fourni les hélicoptères de combat, leurs équipages, et tout le soutien logistique au sol, et pas nécessairement les troupes. […]

La seconde nuance concerne le moment et les circonstances de la mort de Germaneau. Il y a des raisons de croire que l'otage français pourrait ne pas avoir été exécuté comme l'a affirmé l'Aqmi, mais pourrait avoir trouvé la mort plusieurs semaines auparavant. Il avait 78 ans, était fragile et dépendant de médicaments qui ne lui étaient pas fournis. La dernière « preuve de vie » reçue par les autorités françaises date du 14 mai. Selon des sources dans la région, il pourrait avoir trouvé la mort peu de temps après.

Le seul témoignage concernant son exécution provient d'un dignitaire local qui a été impliqué dans des négociations antérieures dans des affaires d'otages, et qui est totalement discrédité. De plus, la nature très vague des demandes qui accompagnaient la menace d'exécuter Germaneau, le 26 juillet, ajoutée au fait qu'aucun négociateur n'a été mobilisé côté malien, comme pour des affaires précédentes, ont dû alerter les autorités françaises sur le doute possible à propos du sort de Germaneau.

Le renseignement algérien « au cœur d'Aqmi »

Cela me ramène à la question de savoir comment la France a eu des renseignements aussi erronés. Il est invraisemblable que les services de renseignement français n'aient pas été en contact avec la Sécurité militaire algérienne, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS), à propos de l'opération projetée. Les deux services, français et algérien, ont des relations suivies, et on sait que le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, a rencontré le général Mohamed (Toufik) Mediène, le chef du DRS, le 20 juin à Alger.

Des informations fournies par les satellites américains ont pu aider à localiser les bases de l'Aqmi à Tigharghar. Mais les informations sur leur emplacement précis, les environs, les effectifs, ainsi que l'endroit où aurait pu se trouver Germaneau, ne pouvaient venir que du DRS.

La zone frontalière juste au nord de Tigharghar est survolée quotidiennement par les hélicoptères de l'armée algérienne, et régulièrement par deux Beechcraft 1900 de l'armée de l'air algérienne, équipés de matériel de surveillance. De plus, il existe des contacts étroits entre la cellule d'Abdelhamid Abou Zaïd d'Aqmi et le DRS, Zaïd étant lui-même considéré comme un agent du DRS.

Pour cette raison, les habitants de la région, de plus en plus remontés contre les soi-disantes activités d'Al Qaeda, se réfèrent souvent à l'Aqmi comme « Aqmi/DRS ». Ainsi, les derniers mots attribués au colonel Lamana Ould Bou, du service malien de la sécurité d'Etat, peu avant son assassinat à Tombouctou le 10 juin 2009, étaient :

   « Au cœur d'Aqmi, il y a le DRS. »

Sarkozy a réuni son conseil de défense le 19 juillet au matin. La décision d'intervenir au Sahel n'a donc pas été prise à la légère, et a très certainement pris en compte une évaluation du point de vue de la Sécurité militaire algérienne.

Si Germaneau était déjà mort, comme cela a été suggéré, le DRS doit l'avoir su. S'il était vivant et détenu ailleurs, il l'aurait également su. S'il avait été vivant et détenu à Tigharghar, alors il faut demander qui a prévenu Zaïd de l'imminence de l'attaque militaire, de telle sorte que Germaneau et lui ne s'y trouvaient pas lors de l'assaut ?

L'Algérie tient la France

Quelles sont les conséquences ? Tout indique que le DRS algérien a conduit Sarkozy et la France au désastre. L'opération n'a pas seulement été un échec militaire dans la mesure où elle n'a pas permis de trouver, et encore moins de libérer, Germaneau, mais elle aura des conséquences à long terme pour la France, pour l'Algérie, et pour le Sahel.

Le silence initial, et la chape de plomb qui a suivi de la part de la France, ne sont donc pas surprenants. Les services de renseignement français sont assurément en état de choc en se demandant comment ils ont pu faire de telles erreurs de calcul, qui plus est dans leur « arrière-cour » traditionnelle.

Ce qui est encore plus dur pour la France, c'est que ses relations particulières avec l'Algérie, et leur niveau actuel particulièrement bas, sont telles qu'elle n'est pas en mesure de répondre. Si l'information devient connue, en particulier en Algérie, que les militaires français et algériens ont collaboré pour tuer des musulmans, et dans un pays tiers, les conséquences politiques pourraient être sérieuses. Pour le moment, l'Algérie et le DRS tiennent la France.

L'Aqmi peut recruter au-delà des « musulmans en colère »

La perception d'une France se comportant comme un cowboy néo-colonial endommagerait sa stature dans la région. Pour Sarkozy, dont la décision de choisir cette option à haut risque était sans doute une manière de contrer l'impact de l'affaire Bettencourt-Woerth, il y a désormais le danger que cette opération puisse être comparée à la tentative de Jimmy Carter en 1980 de libérer les otages en Iran, ou pire, au fiasco de l'opération des services français contre le Rainbow Warrior en 1985.

Pour les pays de la région, cela démontre leur incapacité à détruire Al Qaeda et à assurer leur propre sécurité, tout en démontrant que la seule puissance régionale capable d'assurer ce rôle est l'Algérie. Tout la stratégie du DRS en créant l'Aqmi dans la région sahélienne en 2006, a été de convaincre les Occidentaux, et en particulier les Etats-Unis, du rôle indispensable de l'Algérie comme gendarme régional.

A côté du DRS, l'autre vainqueur est, bien sûr, son complice, l'Aqmi. L'épisode lui a offert une victoire de propagande qui relance son impact dans la région, et sa capacité à recruter au-delà du cercle initial des « musulmans en colère ».

L'insécurité dans la région s'est assurément aggravée. Plusieurs leaders d'Aqmi ont menacé de représailles les intérêts occidentaux, comme l'a clairement indiqué une mise en garde du Département d'Etat américain.

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Lui à la limite ainsi que la collusion DRS/AQMI pour déborder au sud des frontières de l'Algérie(comme le problème avait déja déborder chez nous en 95) et rendre ce pays indispensable dans le dialogue inter-régional mais Rue 89 pousse le bouchon des comparaisons un peu loin avec le RW ou le crash des hélicoptères US en Iran.

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Encore une fois, le fait de vouloir parler de "désastre militaire" me parait connoté idéologiquement…

Où est ce fameux désastre ? Aucune perte de notre coté, 6 morts de l'autre (d'où l'idée d'une opération coup de point), un otage très certainement déjà mort à ce moment là.

OÙ EST DONC L'ÉCHEC CUISANT QUE TOUS LES JOURNAUX ONT DÉCRIÉ AVEC TANT D'ÉNERGIE ?

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  • 1 month later...

çà va devenir rentable d'équiper nos travailleurs d'Afrique de balises !

est-ce seulement possible de tracer une personne enlevé?

sinon sur l'aspect terroriste du problème,une seule solution! effacer les Djiadistes les uns après les autres dans des opérations secretes internes aux pays qui les heberges ( par exemple installer une base de "chasseurs" au sein même du Mali.

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Moi je suis assez étonné de la surprise affichée par Areva et Vinci.

C'est pas comme-ci il n'y avait pas eu 15 menaces contre la France et ses intérêts depuis début 2010, un otage executé, un attentat suicide fin août contre une base de l'armée en Mauritanie avec des menaces contre la France dans les revendications...

Ce n'était qu'une question de temps poru de nouveaux otages, j'aurai cru que les équipes (et leur famille) auraient déjà été réduite depuis longtemps et regroupées dans des immeubles réellement et fortement sécurisés.

Mais bon, ce n'est que 5 employés remplaçables et Areva est intouchable  :'(

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çà va devenir rentable d'équiper nos travailleurs d'Afrique de balises !

est-ce seulement possible de tracer une personne enlevé?

sinon sur l'aspect terroriste du problème,une seule solution! effacer les Djiadistes les uns après les autres dans des opérations secretes internes aux pays qui les heberges ( par exemple installer une base de "chasseurs" au sein même du Mali.

je dirais pas mieux....

parce que sans parler de l'Algérie ca a bien existé dans la police sous Mitterrand pour contrer le grand banditisme, alors pour faire du bien a tout le monde, ca serait une chose envisageable.

il n'y a pas de groupe armés au sein de l'onu ? les équipes "rainbow" sont elles des mythes ? parce que bon, il serait temps qu'ils se mettent à faire un choix....

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sinon sur l'aspect terroriste du problème,une seule solution! effacer les Djiadistes les uns après les autres dans des opérations secretes internes aux pays qui les heberges ( par exemple installer une base de "chasseurs" au sein même du Mali.

Comme une partie de la motivation de ces groupes est la religion et la résistance aux entreprises étrangères, il risque d'y avoir un réservoir de recrutement difficilement épuisable...  surtout si les "chasseurs" sont étrangers.

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